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Thérapie familiale

Chapitre 53

Nouvelles séances photos.

Erotique
Lorsque Jade entre dans l’enclos de Constance, ignorant complètement les autres stalles d’où s’échappent pourtant des bêlements montrant que certaines d’entre elles sont toujours occupées, elle ne voit qu’une chose qui est l’ânon en train de téter sa mère. Il est la reproduction conforme en miniature de celle qui l’a mis au monde, si ce n’est que sa robe est plus claire, mis à part bien entendu en ce qui concerne les parties qui sont blanches. Mais ce qui trouble la jeune femme c’est qu’il mesure déjà dans les cinquante centimètres de haut, et étonnée elle demande à son grand-oncle :
― Mais comment il a fait, pour tenir dans son ventre ?!― Ça je l’ignore, car je ne suis pas vétérinaire. Il devait certainement avoir les pattes collées le long du corps.― Oui mais quand-même, elle dû vachement souffrir quand il est sorti.― Probablement, mais la nature est bien faite car ça a été rapide. Si les ânons sont nettement plus gros que les bébés humains, leur mise bas ne prend en général pas plus d’une quinzaine de minutes. Alors que pour les femmes les contractions peuvent durer des heures, et parfois davantage. De plus, chez cette espèce il est assez rare que plusieurs petit naissent d’une seule portée.  Jade est tellement captivée par ce spectacle qu’elle ne pense pas à s’avancer, et Constance qui a vu les carottes qu’elle n’a pas cette fois pensé à cacher derrière son dos, et qui visiblement ne veut pas se déplacer pour ne pas déranger son bébé, pousse un braiment plaintif qui sonne comme un reproche. Lorsqu’elle en comprend la raison la jeune femme d’abord étonnée sourit, puis elle se décide à bouger pour aller tendre un des légumes à la nouvelle mère, en le plaçant sur le plat de sa main tendue. Après qu’elle l’a happée l’ânesse se met à la mâcher lentement, savourant son plaisir et en hochant la tête, comme pour remercier sa bienfaitrice de la faveur qu’elle vient de lui faire. 
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Pendant ce temps, Nadine qui a bien évidemment accompagné ses parents s’est mise à caresser doucement l’ânon, qui semble s’en moquer tant il est occupé à avaler goulûment le lait nourricier et maternel. Elle demande à sa petite-fille :
― Tu as réfléchi, au nom que tu veux lui donner ?― Pas vraiment, mais vous êtes vraiment sûrs que c’est une fille ?
C’est Damien qui répond :
― Bien entendu. J’ai vérifié et il s’agit non pas d’une fille, mais d’une femelle.
Jade ne relève pas même si elle n’en pense pas moins, puis elle propose :
― Alors pourquoi pas Hortense ? Puisque son père s’appelle Horace et sa mère Constance.― C’est une excellente idée, même si je trouve que donner des prénoms humains à des animaux et en particulier lorsqu’il s’agit d’ânesses, ce n’est pas très flatteur pour les femmes que nous sommes.

C’est bien évidemment la grand-mère qui vient de faire cette remarque, ce qui fait sourire sa petit-fille, et encore plus lorsque son grand-oncle réplique :
― De toute manière, si on avait choisi Grisette ou Grisonne, tu aurais dit qu’on ne respecte pas les vieux.― C’est vrai que toi tu ne respectes rien, vieux mécréant. Et pour te donner une leçon, ce soir je vais coucher avec ma Pitchounette.
Cette chamaillerie faite sur le ton de la conversation amuse beaucoup Jade, qui leur demande tandis qu’elle donne sa deuxième carotte à l’ânesse :
― Vous êtes toujours comme ça, où c’est juste parce que je suis là ?
Damien vexé de savoir qu’il va devoir dormir tout seul et sera peut-être même privé de sexe, car il connaît assez sa nièce pour savoir que ce n’était pas des paroles en l’air, répond en bougonnant :
― Oh ce n’est pas nouveau. Brebis a toujours été une forte tête, et comme pour Constance j’ai très mal choisi son petit nom.
Cette dernière hoche la tête comme pour confirmer cette affirmation, ce qui fait éclater de rire les trois humains, et les deux plus âgés arrêtent leur dispute qui n’en était pas vraiment une.
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S’ensuit comme c’était prévu une séance photo, à laquelle même Nadine se prête de bonne grâce. Elles commencent par aller se mettre debout de chaque côté d’Hortense qui a fini de se nourrir, Jade ayant posé une main sur le garrot de l’ânon et sa Mamie placé la sienne par dessus. Le jeune animal étant très calme probablement parce qu’il est rassasié, il ne bouge pratiquement pas et va même jusqu’à fixer l’objectif avec placidité.
Après cela, sans avoir reçu aucune directive mais sachant que c’est ce que son grand-oncle attend d’elle, Jade s’accroupit en écartant les cuisses toujours face à l’objectif, bientôt imitée par son aïeule qui n’hésite pas une seule seconde. Et Constance qui jusqu’à présent était absente de la scène, se déplace pour venir poser fièrement à l’arrière plan.
Le vieil homme est bien évidemment aux anges, devant ce tableau à la fois pastoral et érotique qui lui est offert. Et pas que, puisque son membre circoncis ne tarde pas à prendre du volume pour ensuite se dresser, prouvant ainsi que celui à qui il appartient n’est pas encore bon pour la réforme. Sa réaction ne manque pas d’amuser sa nièce et la petite-fille de celle-ci, mais le plus étonnant c’est qu’Hortense qui a remarqué le mouvement s’avance curieuse vers le photographe. Les deux femmes qui ont pourtant toujours leurs mains posées sur elle, ne faisant rien pour la retenir.
Ce n’est que lorsque le museau du jeune animal n’est plus qu’à une vingtaine de centimètres de son gland, que Damien comprenant qu’il est en danger se précipite derrière le battant de la porte de l’enclos, qu’il referme rapidement. Une fois en sécurité, il s’exclame indigné :
― Non mais ça va pas la tête ?! Tu me prends pour ta mère ou quoi ?!
Bien évidemment Nadine et Jade toujours accroupies éclatent de rire, au point qu’elles sont obligées de se tenir l’une à l’autre, et Constance pousse un hi-han comme pour partager leur hilarité.
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Une fois qu’elle a repris avec peine un peu de son sérieux, Jade demande à son grand-oncle :
― Bé alors Papy, je croyais que t’aimais trop te faire téter par les femelles ?
Suite à cette réplique sa grand-mère et elle sont prises d’un nouveau fou rire, et Hortense probablement frustrée que l’objet de sa convoitise ait disparu, pousse un braiment pour manifester sa frustration. Probablement le tout premier de sa vie, auquel sa mère répond sans doute pour la féliciter d’avoir appris à s’exprimer. Damien qui à l’abri des planches en bois a retrouvé un peu de sa sérénité, répond à sa petite-nièce :
― Ce que tu n’as peut-être pas remarqué, ma Petite Belette, c’est que ses dents sont déjà trois fois plus longues que les tiennes. En plus, si chez nous l’homosexualité est considérée comme étant une pratique normale, la zoophilie par contre nous la jugeons contre nature.
Jade qui comme sa Mamie s’est relevée, en comprenant que la séance photo s’est terminée plus tôt que prévu, s’exclame aussitôt :
― T’es bi, Papy ?!?―Bien sûr que non, j’aime beaucoup trop les femmes pour aller avec un homme. Mais à partir du moment où ça me plaît de voir deux d’entre elles se lécher la figue, je me dois d’accepter que deux hommes puissent faire la même chose. C’est une question de logique, même s’il ne me viendrait jamais à l’idée d’aller mater deux mecs en train de s’empapaouter. Seulement ici les hivers peuvent sembler encore plus longs qu’ailleurs, et vu qu’il n’y a que Charlotte qui reste à l’année, et que les villageoises ne montent que pour nous livrer leurs productions c’est à dire du printemps à l’automne, il y en a qui n’ont pas la patience d’attendre le retour des beaux jours. Surtout parmi nos jeunes.― Mais moi je croyais qu’on naissait comme ça ? Que c’est dans notre tête et qu’on peut rien y changer...― Pour certains c’est effectivement dans leur nature, mais pour d’autres c’est un choix délibéré. Toi par exemple, tu as pris goût aux femmes depuis que tu es ici. Mais si tu n’avais pas été mise face à cette opportunité, que soit dit en passant tu avais le droit de refuser, tu n’aurais peut-être même jamais envisagé de passer à l’acte. C’est d’ailleurs ce qui arrive à la plupart de ceux qui restent enfermés dans leur petite vie conventionnelle, parce qu’ils n’ont pas l’esprit assez ouvert. En conclusion et pour citer le dicton préféré de ta mère, même si je ne suis pas convaincu que Coluche ait prononcé ces mots un jour, dans la vie il faut tout essayer, pour savoir ce que l’on aime.― Alors si je suis bien ta logique, toi aussi t’as essayé avant de dire que t’aimes pas ça ?
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Nadine qui a assisté à cet échange avec un petit sourire aux lèvres, intervient :
― Bien sûr que non, ma Nine. Tu peux être certaine que ton Papy est bien trop macho pour tenter ce genre d’expérience, qui selon lui porterait atteinte à sa virilité. D’ailleurs s’il a toute une collection de photos des femmes qui sont venues ici et ont posé nues pour lui, c’est pour meubler ses longues soirées d’hiver.
Alors que Jade est amusée par cette remarque, elle est convaincue que son grand-oncle a rougi sous son hâle. Ce qui n’empêche pas ce dernier de se défendre :
― D’abord je ne suis pas macho, je suis juste ancré dans mes convictions. Et de ce côté là tu n’as rien à m’envier, car quand tu as une idée dans la caboche c’est impossible de l’en faire sortir.― Ça je ne vais pas prétendre le contraire, puisque c’est un trait de caractère qui me vient de mon père. Autrement dit de ton frère. Et pour ce qui est d’aller avec les bêtes, tu ne sais pas non plus ce qui se passe chez les autres quand tu n’y es pas, alors tu ne peux rien affirmer.― Mais quand-même, si certains des bergers avaient un comportement bizarre, on s’en rendrait compte.― C’est surtout par rapport à celui des animaux que tu t’en apercevrais, car les humains savent parfaitement dissimuler leurs travers. Mais ça ne sert à rien de discuter à ce sujet, puisque ce ne sont que des suppositions.
Ça a été le tour de Jade d’écouter en silence, et étant donné qu’elle n’a pas envie de s’étendre sur je sujet de la zoophilie, elle oriente la conversation en demandant :
― Mais c’est qui ici qu’est bi, alors ?― Jonathan, Clément et Kevin. Car même si à chaque fois qu’ils passent à l’acte ils font preuve de discrétion en s’isolant, ils ne s’en cachent pas pour autant. Mais il est possible que pour d’autres ce soit occasionnel, ou alors qu’ils n’assument pas leurs penchants vis à vis de ceux qui sont hétéros.
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Jade comprend mieux à présent, ce que sont allés faire celui qui fait pousser du cannabis et l’éleveur de cochons dans la Bergerie de son grand-oncle, le soir où ils se sont tous retrouvés pour fêter officiellement son arrivée sur le plateau. Bien entendu, étant une enfant du vingt-et-unième siècle cela ne la choque pas, et si elle n’est pas étonnée en ce qui concerne le premier, puisque sa mère Valérie lui a avoué qu’elle le dominait et que c’est peut-être elle qui lui a ouvert cet appétit en le sodomisant, elle l’est tout de même pour ce qui est du second, puisqu’il est pour elle la représentation de la masculinité dans toute sa splendeur. C’est la raison pour laquelle elle demande :
― Mais elle est au courant, Aurélie ? Parce que moi je trouve quand-même qu’y forment un beau couple, avec Jonathan.
Nadine qui les connaît tous les deux donne son avis en hochant la tête de haut en bas, tandis que Damien précise :
― Même s’ils sont bien appariés, ils ne forment pas vraiment un couple. Car notre avocate est beaucoup trop indépendante pour venir s’enterrer ici à l’année. De plus je ne sais pas si elle t’en a déjà parlé, mais bien qu’elle apprécie les coups de queue elle a une nette préférence pour les femmes. Les meufs comme tu dis. Par conséquent, elle est tout comme lui homosexuelle dans sa tête.
Puis estimant que le sujet est clos il ajoute en jetant un regard méfiant à Hortense, alors qu’il est toujours à l’abri derrière la palissade :
― Si on allait poursuivre cette petite séance photo à l’extérieur, pour éviter qu’un accident arrive ?
Cette suggestion fait sourire les deux femmes, et la plus âgée lui répond sur un ton ironique :
― Bien entendu, car il faut que tu complètes ta collection pour l’hiver prochain.― Le problème avec toi, c’est que tu n’as jamais rien compris à l’art.― Ce que tu appelles de l’art, moi je le définis comme étant un besoin obsessionnel. Même si je dois reconnaître que tu maîtrise parfaitement ta technique, et que parfois tu arrives à faire de belles images, aimer prendre en photo une femme à quatre pattes en faisant des gros plans sur sa figue, comme si elle n’était qu’une femelle en chaleurs avide de se faire monter, c’est de la pornographie et rien d’autre. Prétendre le contraire n’est qu’hypocrisie.― N’empêche que tu t’y colles comme les autres.― Oui, pour te faire plaisir espèce de vieux pervers.― Mais aussi parce que ça t’excite de savoir que d’autres vont te mater ensuite, pas vrai ?― Bien entendu, foou pas mi prendré per une aoutré (ndla : il ne faut pas le prendre pour une autre). Je suis une cochonne et je l’assume.
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Même si cette nouvelle chamaillerie n’a rien de méchante et qu’elle en est amusée, Jade coupe ses aînés dans leur élan en s’exclamant :
― Oh les deux roumègaïres (ndla : râleurs), on y va où on prend racine ici ?!
Nadine plus étonnée qu’autre chose, demande à sa petite-fille :
― Mais depuis quand tu parles provençal, toi ?― Depuis que je t’entends, Mamie, autrement dit depuis ma naissance.
Cette réplique amène un sourire attendri sur le beau visage de sa grand-mère, qui lui répond :
― Je suis fière de toi, ma Nine. Mais dis-moi, il n’y a pas cette option à la fac d’Aix ? Car contrairement aux bretons où aux alsaciens, nous nous parlons une vraie langue et elle est reconnue comme telle.― Si, mais franchement, à quoi ça me servirait dans la vie de tous les jours ?
Puis devant la mine déçue de son aïeule, elle ajoute :
― Mais si tu veux tu pourras m’en apprendre plus, pour que je puisse ensuite faire pareil avec mes petits-enfants.
Nadine retrouve aussitôt le sourire, et elle répond tout en caressant affectueusement les petites fesses nues de Jade :
― Mais bien entendu, ma Pitchounette. Car les mamies ça sert aussi à ça, à perpétuer les traditions.
Tandis qu’elles se regardent tendrement, Damien s’impatiente à son tour et il leur demande :
― Alors, on va les faire ces photos, où on attend l’hiver ?― Y neige souvent ici, Papy ?― Ça arrive, mais elle ne dure jamais bien longtemps parce qu’on n’est pas assez haut. Par contre les montagnes restent blanches jusqu’au printemps, et c’est magnifique. Il faudra que tu viennes voir une fois, pour te rendre compte.― Mais rassure-moi, vous vous habillez quand-même quand ça caille ?― Évidemment, on n’est pas des fanatiques ! Quand il fait froid il n’y a qu’à l’intérieur qu’on reste à poil, car heureusement nos maisons sont bien isolées. Mais tous les printemps nous revivons, et quand les beaux jours reviennent nous attendons tous avec impatience le premier barbecue de l’année.
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Ces petites précisions ayant été données, les trois parents quittent la bergerie des animaux pour se diriger vers celle qui sert d’habitation aux humains, cependant ils contournent cette dernière afin d’aller en direction du grand chêne. Jade n’ayant pas manqué de remarquer amusée, que l’érection de son Papy n’a pas résisté à la frayeur qu’il a eue. À moins que son excitation ne soit retombée plus lentement, car elle ne peut être certaine de rien, étant donné que tandis qu’ils discutaient le bas du corps de son aïeul lui était caché par le portail de l’enclos.
À présent qu’ils sont à l’ombre du feuillage de l’arbre vénérable, c’est sa grand-mère qui ne l’est pas moins à ses yeux qui demande :
― Alors Vieil Ours, comment tu veux qu’on se la joue, cette fois ?
Cette question implique qu’elle n’en est pas à son premier coup pour ce qui est de servir de modèle à son oncle, ce qui ne surprend pas sa petite-fille qui a dans sa Cabane un album supposé être rempli de photos de sa Mamie, qu’elle n’a d’ailleurs pas encore eu le temps de feuilleter. Jade est même étonnée étant donné que Brebis a en quelque sorte été la pionnière des pensionnaires, qu’il n’y en ait pas plus vu qu’elle en a également trois pleins d’images de Renarde. D’autant que sa grand-mère qui a pourtant l’air de considérer ces séances comme étant pornographiques, semble tout de même s’y prêter volontiers, et cette dernière hausse un sourcil ironique lorsque Damien lui répond :
― Eh bien, j’aimerais que vous vous comportiez comme si vous aviez des fringues, comme une Mamet et sa Pitchounette le feraient.
C’est ce que les deux femmes que quarante années séparent font sans tarder, en prenant des poses naturelles et en évitant de regarder l’objectif, sauf lorsque le photographe le leur demande. Même lorsqu’elles en arrivent à s’enlacer, cela reste chargé de tendresse et témoigne de l’affection familiale que se porteraient deux parfaites nudistes. Pourtant ni l’une ni l’autre ne sont surprises, lorsque leur parent leur suggère sur le ton de la conversation :
― Il fait lourd aujourd’hui, pas vrai ? Vous n’auriez pas envie de prendre une petite douche, par hasard ?
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Étant donné que cette demande est cousue de fil blanc, la grand-mère et sa petite-fille ne font aucune objection et se contentent de sourire, même si l’aînée des deux a haussé une seconde fois un sourcil ironique. Ce qui a probablement un rapport avec le fait que le membre de Damien s’est à nouveau dressé, et le temps que ce dernier aille raccorder le tuyau à la source, les femmes dénouent leur cheveux dans le but d’aller sous la pluie artificielle.
Une fois qu’elles y sont, le premier instant de saisissement passé car l’eau est toujours aussi froide, les deux parentes se mettent à se frotter vigoureusement et mutuellement le corps, afin de faire circuler leur sang. Toutes occupées qu’elles sont elles ne remarquent pas ou alors font mine de ne pas s’en apercevoir, que le paparazzo a recommencé son petit reportage. Ensuite sans aucune hésitation elles commencent à chahuter ensemble, autant pour ne pas rester immobiles que pour s’amuser, et Jade n’a pas le souvenir sauf peut-être dans sa petite enfance, de s’être comportée de cette manière avec sa Mamie.
Car c’est un fait que leur relation a changé, et même si la personne avec qui elle est en train de se bagarrer amicalement reste sa grand-mère, qu’elle doit continuer à adorer en tant que telle, elle s’est à présent dans certains domaines hissée sur un même pied d’égalité qu’elle. Car elle est à présent devenue une adulte à part entière, qui est elle aussi en train de s’épanouir dans sa sexualité.
Lorsqu’elles se sont lassées de ce petit jeu les deux femmes sortent de sous la douche en se tenant par la main, puis elle posent cette fois de manière affichée face à l’objectif, allant par jeu jusqu’à faire une révérence au photographe, dont le sexe circoncis est toujours bien raide.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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