Jade dont les doigts sont à présent gluants de mouille bien qu’elle les ait déjà léchés plusieurs fois, se retient d’éclater de rire en entendant sa grand-mère parler de cette manière. Elle ne sait pas ce qu’elle trouve le plus drôle, que sa Mamie se soit abaissée à faire cette supplique, ou le fait qu’elle l’ait prononcée comme une écolière récitant son texte en classe. Toutefois Damien semble satisfait même si le ton employé n’était pas vraiment soumis, et fort de sa victoire il jette sans attendre sa cravache sur le sol.Répondant à ce signal Nadine écarte plus largement les jambes, puisque ses cuisses sans pour autant se toucher étaient restées proches l’une de l’autre, sans doute pour protéger sa vulve des coups de badine, et son anus fripé apparaît symbolisant une petite porte invitant son tortionnaire à entrer chez elle. Le vieil homme dont le membre est resté bien raide pendant toute la correction qu’il a donnée, ce qui n’a pas semblé le gêner le moins du monde, va sans attendre poser son gland contre la rondelle de chair. Puis ayant attrapé sa prisonnière par la taille il donne un bon coup de reins, son sexe tendu s’enfonçant comme dans du beurre.La bonne grand-mère n’émet aucun son, même lorsque le bassin de son oncle vient heurter avec rudesse ses fesses qui doivent pourtant être douloureuses, et seul se fait entendre le bruit mat dû à l’impact lorsque leurs deux corps entrent en contact. À ce moment-là sa petite-fille regrette de ne pas être à la bonne place, pour voir la tête que fait sa Mamie. Elle est tout de même captivée par le spectacle, car si les jambes de son aïeule sont restées bien droites et ses pieds plantés au sol, ses énormes seins sous le choc ont sursauté pour se mettre ensuite à se balancer lentement.
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Damien marque un temps d’arrêt, puis il demande à Nadine sur un ton agressif : ― C’est ça que tu attendais, hein salope ?! Elle répond en le défiant : ― Si c’est tout ce que tu es capable de donner, vieil impuissant, franchement j’espérais mieux.― Je vais te montrer pour de bon de quoi je suis capable, connasse ! Au point que la prochaine fois, je n’aurai même pas besoin de te tanner le cuir pour que tu me supplies de t’enculer.― Que couiounado, je vais m’estouffer de rire. Piqué au vif, ou pas, Damien se remet en mouvements et il entreprend de pilonner sans aucun ménagement sa nièce. Cette dernière sous les coups de boutoirs ne tarde pas à geindre, sans que sa petite-fille arrive à déterminer si c’est de douleur ou de plaisir, et elle voit la volumineuse poitrine grand-maternelle qui était redevenue immobile le temps de leur échange verbal, recommencer à osciller avec une amplitude de plus en plus grande. Bien que l’accouplement soit rude Jade ne s’en inquiète pas, car elle est convaincue que l’action a été préméditée. Ses deux parents se connaissent en effet depuis bien des années, et ils savent donc parfaitement de quoi l’autre est capable. C’est la raison pour laquelle le seul trouble qu’elle ressent est d’ordre sexuel, puisque son excitation non seulement n’est pas retombée un seul instant, mais elle est en plus montée d’un cran au niveau de l’intensité. Pourtant elle sait qu’elle est encore loin de l’orgasme, et son seul souci est de savoir si elle y arrivera avant la fin des hostilités. Car sa vraie Mamie tout comme son faux Papy sont déchaînés, et elle sourit en se disant qu’ils se comportent plus comme le feraient deux jeunes vivant leurs premiers émois, que comme de vieux routards ayant eu de nombreuses relations. Ce qui la réjouit non seulement par rapport au fait qu’elle en est le témoin privilégié, mais également pour celui qu’ils soient encore capables de se comporter de cette manière à leurs âges.
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Alors qu’elle s’était jusqu’à présent contentée de pousser de courtes exclamations qui ressemblaient à des plaintes, Nadine émet soudain un gémissement bien plus long annonciateur de l’orgasme qui est en train de la submerger. Ce qui est confirmé a Jade, qui voit du liquide gicler du vagin de sa Mamie, et qui va asperger les jambes de son Papy. Ce dernier qui n’est pas en reste grognant plusieurs fois son plaisir, probablement pour ponctuer ses jets de sperme qui vont se perdre dans le fondement familial qui l’accueille. La vision des ses parents bien plus âgés qu’elle pris de jouissance émerveille la jeune femme, son seul regret étant de ne pas avoir éprouvé la sienne en même temps qu’eux. Mais une surprise de taille l’attend, puisqu’une fois son plaisir consommé Damien sort rapidement du trou qui devait pourtant être pour lui très douillet, il retire la cheville de bois retenant sa captive semblant vouloir la libérer, mais il l’attrape sans ménagement par le chignon pour lui faire faire demi-tour, et venir l’obliger à se mettre à quatre pattes devant sa petite-fille, qui a arrêté de se masturber en constatant la violence de la scène et en est effrayée. Une fois que sa prisonnière est dans la bonne position, il la guide toujours en la tenant par les cheveux pour qu’elle vienne entre les cuisses de sa petite-nièce, puis il lui dit sans aucune douceur : ― Tantôt tu t’es plainte de servir de serpillière, alors tu vas enfin pouvoir nous prouver ton utilité ! Nadine ne réplique pas et se contente de faire un clin d’œil complice à Jade pour la rassurer, n’ayant rien perdu de sa superbe malgré que sa coiffure soit désormais de travers, puis sans attendre elle donne un premier coup de langue sur sa vulve juvénile. Il est bien entendu suivi de quantité d’autres, pourtant Damien qui semble satisfait n’y assiste pas, puisqu’il descend au rez-de-chaussée alors que son membre est toujours raide.
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Jade a posé les mains sur la tête de sa Mamie, se laissant aller au pur plaisir de sentir sa langue en même temps douce et râpeuse, lui faire regagner le plaisir qu’elle avait perdu sous le coup de ses émotions. Car il est certain que la bonne grand-mère est experte pour ce qui est de prodiguer des cunnilingus, ce qui ne peut que signifier qu’elle a dû en donner un bon nombre dans sa vie. La jeune femme est ivre de bonheur lorsque Damien revient sur la mezzanine, et ce dernier qui a de toute évidence pris une douche rapide, semble avoir retrouvé sa bonhommie coutumière, alors que son sexe a repris sa position au repos. Il tient à la main un pot de sa pommade miracle, c’est pourquoi après avoir fait un sourire à sa petite-nièce et sans se préoccuper du fait que celle qui l’est à part entière est toujours occupée avec sa langue, il s’agenouille au niveau des fesses de cette dernière qui sont encore rouges, pour les enduire sans attendre. Tandis qu’il s’applique, il explique : ― Il faudra lui en remettre une fois qu’elle se sera lavée, ma Petite Belette. Et étant donné que vous allez coucher ensemble cette nuit, c’est un honneur qui te reviendra de droit. Jade s’apprête à répondre, mais sa grand-mère l’en empêche car après avoir décalotté son clitoris plus avant avec ses lèvres elle est en train de le mordiller avec ses dents. Cette fugace sensation de douleur ajoutée à celle du plaisir de plus en plus intense qu’elle éprouvait déjà devient explosif, et c’est ce qui ne manque pas de lui arriver tandis qu’elle pousse un gémissement aigu, traduisant l’orgasme qu’elle est en train de ressentir. Tandis qu’elle se cambre ses mains se crispent dans le chignon de sa Mamie, le défaisant un peu plus, puis vaincue par la violence de sa jouissance elle retombe en s’affalant.
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Le temps que Jade reprenne ses esprits Nadine s’applique à nettoyer sa vulve en continuant à la lécher, afin de lui faire une toilette toute symbolique. Damien en a profité pour finir de pommader le postérieur de sa nièce, et il leur dit avant de retourner en bas : ― Je viendrai remettre de l’ordre demain quand vous serez parties, alors ne vous donnez pas cette peine. Un fois qu’il les a quittées les deux femmes se regardent avec tendresse, car à présent que la tension sexuelle est retombée, elles ont retrouvé sans se poser de questions la complicité qui les unit depuis toujours. C’est donc le plus naturellement du monde qu’elles se prennent par la main après s’être relevées, et qu’ensemble elles quittent la mezzanine pour se rendre dans la salle de bain. Une fois sur place Jade aide sa Mamie à retirer son corset, en le délaçant dans son dos et en se demandant comment elle a pu se débrouiller pour le mettre toute seule. Elle trouve ce vêtement doux au toucher, ce qui est en contradiction avec l’usage auquel il est destiné, toutefois elle ne fait pas de commentaire à ce sujet. Ensuite les deux femmes défont leurs coiffures, puis elles vont sous la douche se savonnant mutuellement après s’être mouillée. Là encore Jade ne ressent aucun érotisme mais juste le besoin de se sentir propre, et elle sourit au souvenir qu’il y a des années de ça, elle adorait que sa Mamie remplace sa Man lorsqu’il s’agissait de lui donner son bain. De plus elle éprouve une immense satisfaction d’être aspergée par de l’eau chaude, ce qui ne lui est pas arrivé depuis deux jours. Ce n’est qu’à ce moment-là, qu’elle se rend compte, que c’est probablement la seule chose qui lui a véritablement manquée quand elle était dans sa Cabane. Une fois rincées et séchées les deux parentes se rattachent mutuellement les cheveux en queue de cheval haute, puis elles se rendent directement dans la chambre de Jade, car elles sont fatiguée par leur journée qui a été riche en émotions. En chemin, elles ne voient Damien ni dans la cuisine ni dans le salon qu’elles traversent d’un pas tranquille. Lorsqu’elles sont arrivées à destination elles ouvrent les fenêtres pour la nuit, et Jade après que sa Mamie se soit mise à quatre pattes sur le lit sans dire un mot, applique à nouveau sur ses fesses charnues de la pommade qu’elle a tirée du tiroir d’une des tables de nuit. Constatant au passage satisfaite, que le postérieur grand-maternel a retrouvé sa teinte habituelle. Ensuite elles se couchent, et épuisées elle ne tardent pas à s’endormir dans les bras l’une de l’autre.
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Lorsqu’elle se réveille le lendemain-matin, Jade constate qu’il est encore tôt et que le jour se lève à peine. Si leurs corps se sont séparés pendant la nuit, sans doute pour trouver inconsciemment une position plus confortable, sa Mamie est toujours allongée dans le lit, sur le côté et en train de la regarder en souriant. Cette dernière lui demande à voix basse : ― Tu as confiance en moi, ma Nine ?― Depuis toujours, et tu le sais bien.― C’est parfait. Alors reste couchée et attends moi un peu, je ne vais pas être longue. Elle se lève rapidement pour quitter la chambre, et en revenir moins de cinq minutes plus tard en ramenant deux serviettes éponge, qu’elle pose au pied du lit sous le regard intrigué de sa petite-fille. Car si cette dernière frissonne ce n’est pas d’appréhension, mais parce que sa grand-mère vient de retirer le drap et le couvre-lit qui lui tenaient chaud, ne paraissant pas elle-même incommodée par la fraîcheur matinale. Ensuite Nadine reprend un des linges qu’elle remet ensuite sur la couche à l’endroit où elle a dormi, alors qu’elle l’a laissé plié en deux pour faire double épaisseur. Puis elle dit à Jade : ― Pose tes miches dessus, et mets-toi en position comme si tu allais te faire prendre par un homme. La jeune femme obéit docilement, elle ramasse ses jambes tout en les écartant, plantant ses pieds à plat sur le lit, ainsi sa vulve se retrouve parfaitement exposée et elle attend patiemment la suite. Qui ne tarde d’ailleurs pas à arriver, puisque sa Mamie ressort le pot de pommade, celui qu’elle a elle-même utilisé la veille pour lui badigeonner les fesses. Lorsqu’elle l’a ouvert, elle lui explique tout en enduisant sa main gauche de mixture : ― Tu ne dois pas avoir peur, et dis-toi que lorsque tu accoucheras de ton premier nistoun (ndla : bébé) ce sera une autre affaire, car à ce moment-là tu n’éprouveras aucun plaisir. Comprenant ce qui va lui arriver Jade est prise d’un nouveau frisson, mais elle se reprend bien vite car elle est convaincue que sa grand-mère ne lui veut que du bien. C’est la raison pour laquelle, elle est bien décidée à ne pas protester et à se laisser faire.
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Nadine commence par introduire son majeur et son index dans le vagin de Jade, prenant le temps de les faire tourner, puis elle y ajoute son annulaire avant de répéter l’opération. Étant donné que la main est petite, cela ne fait pas plus d’effet à la jeune femme que si elle était pénétrée par un sexe de taille moyenne, de plus, la pommade étant légèrement aphrodisiaque cela commence à l’exciter. Lorsque l’auriculaire vient se joindre à ses trois grands-frères Jade commence à ressentir un étirement, mais ce n’est pas douloureux et le fait qu’ils bougent lentement, laissant à son vagin le temps de s’adapter à cette intrusion qui n’est pas naturelle, lui procure une sensation plus étrange qu’autre chose. La bonne grand-mère agit sans aucune hâte, faisant pivoter sa main avec délicatesse dans le conduit, et n’hésitant pas à rajouter de la lubrification. À force de patience la gêne qu’éprouve sa petite-fille finit par se transformer en un début de plaisir, et elle se met à geindre doucement sous le regard attentif de sa Mamie. Lorsque le pouce vient participer lui aussi à ce slow langoureux ce n’est qu’une formalité, vu qu’il s’est collé contre la paume, et ce n’est que quand le bas de cette dernière s’enfonce à son tour, car c’est à cet endroit que le diamètre est le plus important, que la sensation d’élargissement forcé reprend Jade. Toutefois cela ne lui dure pas longtemps puisque la pommade aidant cette fois encore, son vagin s’adapte à la situation et le plaisir ainsi que les geignements qui vont de paire la reprennent. Tandis que la main s’enfonce lentement en pivotant sur elle même, comme pour forer le passage, ce qu’elle est en quelque sorte en train de faire, Jade en même temps que la sensation d’étirement éprouve un sentiment de plénitude. Mais ce dernier ne tarde pas à supplanter le premier, surtout lorsqu’elle sent que la main de sa Mamie arrête de s’enfoncer tout en continuant sa lente rotation.
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Alors que jusqu’à présent elle avait gardé sa tête confortablement posée sur son oreiller, se laissant aller aux émotions qu’elle ressentait, Jade redresse le buste en s’appuyant sur ses coudes, pour regarder où sa grand-mère en est. Elle ouvre de grand yeux en constatant que cette dernière s’est enfoncé en elle jusqu’au coude, et elle s’exclame : ― Tain Mamie !! Je savais pas que c’était possible de faire ça ! Nadine lui répond amusée alors que sa main s’est arrêtée de tourner, et tandis que sa petite-fille sent ses doigts à l’intérieur d’elle se replier pour former un poing : ― Pourtant mon avant-bras n’est pas plus long que la poutre de Djouba, et c’est justement le but de la manœuvre. Pour que la première fois qu’il te proposera de te l’enfiler, tu ne refuses pas parce que tu auras la trouille. Car à présent, tu sais que tu es capable de la recevoir en entier. La jeune femme qui n’avait pas du tout pensé à ça, même si elle s’est posé plusieurs fois des questions à ce sujet depuis qu’elle a vu le membre surdimensionné du berger africain en érection, sourit en reposant sa tête sur le coussin, tandis que la main de sa grand-mère dans son vagin se remet à bouger mais cette fois d’avant en arrière, et commence à coulisser en elle comme un piston. Jade à présent que le passage est fait n’éprouve plus que du plaisir et le sentiment d’être comblée, au sens propre comme à celui plus figuré du terme. Son conduit a commencé à se lubrifier naturellement, et sa Mamie sentant que son bras glisse peu à peu plus librement augmente petit à petit la cadence, tout en gardant un rythme modéré. Ce qui n’empêche pas la jeune femme de geindre de plus en plus bruyamment, bien au contraire car elle ne peut pas retenir ses râles de plaisir, alors que jusqu’à aujourd’hui, elle s’est toujours appliquée à faire preuve de discrétion. Au moment où un orgasme très intense l’emporte, peut-être le plus puissant qu’elle a éprouvé jusqu’à maintenant et qu’elle crie pour expulser sa jouissance, Jade sent du liquide chaud gicler en elle. Toutefois le passage étant obstrué par le bras de Nadine toujours en place, il ne peut pas s’écouler librement et se répand à l’intérieur. Elle vient d’avoir une éjaculation féminine, ce qui avait probablement été prévu et explique la présence de la serviette éponge sous ses fesses.
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Une fois que le plaisir de sa petite-fille a été assouvi et tandis que cette dernière reprend ses esprits, Nadine retire lentement son bras qui est gluant de pommade et de mouille mélangées, mais avant de l’essuyer avec le deuxième linge elle prend le temps de sucer ses doigts avec un air gourmand, ce qui fait sourire Jade qui lui dit : ― Papy a dû m’entendre, et je me demande ce qu’il a pensé.― Tout simplement que tu as pris ton pied de bon matin. Puis elle ajoute plus sérieusement : ― Et surtout ne vas pas croire qu’il est réellement jaloux de ce que les autres te font, car ce n’est que du cinoche. En réalité il est heureux pour toi que tu puisses t’épanouir dans ta sexualité, car il a avant tout l’âme d’un formateur fier de transmettre son savoir.― C’est pour ça qu’il aime autant les petites jeunes de mon âge ?― Exactement. Et moins elles ont d’expérience comme ça été ton cas quand tu es arrivé ici, et plus ça lui plaît. Mais ne vas pas non plus t’imaginer qu’il pourrait s’intéresser à des adolescentes, car il est avant tout un homme de principes, et il met un point d’honneur à ce que toutes celles dont il s’occupe soient majeures.― Mais c’est chez toi ou chez nous, qu’y va aller quand y pourra plus s’occuper de lui tout seul ?― Ce sera à lui de décider, et avec ta mère nous nous sommes mises d’accord à ce sujet. Quel que soit son choix nous le respecterons, car il s’agit de sa vie avant tout.
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La suite, si vous en manifestez le désir...
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