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Thérapie familiale

Chapitre 65

La sieste crapuleuse.

Lesbienne
Jade est heureuse d’avoir de la compagnie, même si les deux femmes qui se sont invitées dans ce qu’elle considère à présent comme étant sa deuxième maison, lui donnent l’impression de ne pas être vraiment amies entre elles mais semblent au contraire vouloir rivaliser pour s’attirer ses bonnes grâces. 
 En ce qui concerne Stéphanie que tout le monde sur le plateau appelle Maman d’une manière affectueuse, elle est convaincue qu’elle se comporte de cette manière par pure gentillesse. Quant à Valérie celle qui est considérée comme étant une dominatrice, elle agit comme si elle avait une faute à se faire pardonner. Pourtant notre petite Belette ne se sent pas concernée, puisqu’elle ne sait pas ce qui a bien pu se passer entre sa grand-mère et elle.    La jeune femme accepte donc la présence de ses deux aînées avec bonne humeur, car malgré sa timidité elle est tout de même sociable, ce qui ne l’empêche pas d’aller changer la couleur de son fanion pour hisser celui qui est orange, et qui signifie je suis occupée revenez plus tard. Elle espère tout de même que les deux personnes qui ont le plus d’importance à ses yeux dans la communauté, à savoir son Papy et son amie Chloé, comprendront que cette interdiction ne les concerne pas puisque c’est ce qu’elle leur a affirmé et qu’elle le pensait. 
 Stéphanie après que Jade a changé de drapeau, lui demande amusée :
 ― Tu as envie que nous restions entre filles, ou c’est parce que tu as peur que Théo déboule et dévore plus que sa part de tiramisu ? ― Un peu les deux, mais en même temps le tiramisu j’en suis pas privée. Car j’en ai déjà mangé avant-hier quand ma Mamie est venue, et je suis sûre qu’elle va ramener du mascarpone. 
 Valérie intervient :
 ― Si je l’avais su, j’aurais fait un autre dessert pour aujourd’hui.  ― Oh non, moi je suis d’accord pour en manger tous les jours. Mais y faudra surtout pas me demander laquelle de vous deux fait les meilleurs, parce que je veux pas d’embrouilles. 
 Cette remarque lancée sur un ton humoristique les fait toutes les trois éclater de rire, et étant donné que c’est la fin de la matinée la cadette qui est en quelque sorte l’hôtesse, même si elle a du mal à entrer dans ce rôle face à ses deux aînées qui sont plus âgées que sa Man, s’occupe de faire du feu dans le barbecue dans le but de réchauffer la paëlla. 
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 Étant donné que Valérie a amené une bouteille de vin blanc de son pays qui est l’Alsace les trois femmes ne se privent pas de prendre l’apéritif en fin de matinée, et Jade fait remarquer à ses invitées qui n’en sont pas vraiment, puisque ce sont elles qui ont amené le boire et le manger :
 ― Je crois que quand je vais repartir d’ici, je serai devenue alcoolo. 
 Stéphanie lui demande aussitôt :

 ― Tu n’avais jamais bu d’alcool, avant de venir sur le plateau ? ― Si ça m’est arrivé, mais seulement une coupe de champagne à la fin d’un repas de fête et basta. ― Tu ne fais jamais la bringue avec tes amis, alors ?
 C’est Valérie qui vient de poser cette question, et la jeune femme lui répond :
 ― Non, car je sors pratiquement pas. Non pas que ma Man me l’ait interdit, mais je lui ai jamais demandé la permission parce que ça m’intéressait pas vraiment. C’est sûrement à cause de mon caractère, car je suis pas à l’aise avec les gens que je connais pas. En tout cas c’était comme ça avant, car si je suis venue ici c’était pour soigner ma timidité. Maintenant, on verra bien comment ça se passera quand je serai à la fac, car si c’est comme dans les films c’est pas les occasions qui vont me manquer. 
 Stéphanie reprend la parole :
 ― Je suis certaine que ça va aller, car je trouve que tu as changé depuis qu’on s’est vues lundi. Tu ne rougis plus pour un oui ou pour un non, et tu es beaucoup plus à l’aise pour discuter. ― Oui, même moi je m’en suis rendue compte. Pis y m’est arrivé tellement de trucs depuis que je suis ici, que j’ai l’impression d’être là depuis un mois alors que ça fait seulement cinq jours.  ― C’est la preuve que tu ne t’ennuies pas.
 Puis Valérie surenchérit :
 ― Et que tu te trouves bien avec nous. 
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 Une fois qu’elles se sont installées pour leur repas de midi bien évidement à l’ombre du chêne, Jade ne manque pas de complimenter les cuisinières chacune leur tour, l’une pour le plat principal et l’autre pour le dessert. Entre les deux elles mangent de l’époisses ce qui est sa maigre contribution, enfin façon de parler car il est question de matières grasses, et la jeune femme se prend à regretter de ne pas avoir un verre de vin rouge pour déguster avec. Non pas qu’elle soit devenue pour de bon accro à la boisson, mais elle trouve que les deux saveurs se marient parfaitement. Quant à Louve qui est venue quémander sa part du festin, elle n’a pas l’air de se plaindre de devoir se contenter de quelques os de poulet qui ne sont pas bien gros. 
 Ensuite Stéphanie se propose pour faire le café, mais Jade fait valoir sa prérogative :
 ― Je me suis encore jamais servi de cette cafetière italienne, alors j’aimerais quand-même essayer pour pas mourir idiote. 
 Puis elle ajoute en rosissant :
 ― Enfin, si vous avez pas peur que ça soit trop dégueu…
 Mais Valérie la rassure :
 ― Tu sais, la seule chose qui est vraiment importante mis à part la variété du café, et là tu n’as plus le choix car je suppose que tu n’en as qu’une sorte, c’est la quantité de poudre que tu mets par rapport au volume d’eau, et c’est ce qui fera qu’il sera plus ou moins corsé. Et si tu as deux invités comme nous à présent, ils n’auront pas forcément la même idée du dosage idéal. Par conséquent ils te diront poliment qu’il est très bon après l’avoir goûté, même si ils ne le pensent pas vraiment, ce qui ne sera pas de l’hypocrisie mais de la politesse. Après c’est la machine qui fera le reste, et une fois que tu l’auras mise sur le feu il te suffira d’attendre qu’elle ait sifflé pour servir. ― Waouh, quelle explication magistrale. Je suis sûre que Djouba aurait pas fait mieux. 
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 Jade rougit en pensant qu’elle est peut-être allée trop loin mais ses aînées la rassurent en riant de bon cœur, et Stéphanie précise ensuite :
 ― Valérie ne s’en vante pas, mais elle est prof. Seulement parfois le naturel revient au galop, et elle s’adresse à nous comme si on était ses élèves. Quant à notre Apollon africain, comme tu le sais peut-être lorsqu’il est arrivé ici il ne parlait pas un mot de français, et il a tenu à maîtriser notre langue de manière à s’intégrer. 
 Sa commère ajoute : 
 ― De mon point de vue sa façon de s’exprimer n’a rien de pompeuse, et elle devrait plutôt être suivie en exemple.  ― Oui, enfin, tu ne peux tout de même pas reprocher à nos jeunes de parler à leur manière, car le français évolue en permanence.  ― C’est certain, mais pas toujours dans le bon sens... 
 Cette petite chamaillerie qui lui rappelle les échanges entre sa Mamie et son Papy, fait sourire Jade qui n’a pas pris les remarques de l’alsacienne comme étant un reproche qui lui était directement adressé. Mais ne sachant pas comment la discussion va évoluer, elle décide d’y mettre un terme en disant :
 ― En attendant, le café ne va pas se faire tout seul. Alors je vais aller chercher tout ce dont j’aurai besoin, et vous me direz quelles quantités je dois mettre. 
 La jeune femme contrairement à son habitude s’est appliquée à parler correctement, en marquant la négation et à remplaçant un de ses Y habituels par un Il pour bien montrer qu’elle a écouté la leçon, puis elle se lève dans le but d’aller dans sa Cabane. Heureusement à son retour les deux femmes semblent s’accorder sur le dosage, et c’est ainsi qu’elle prépare le tout premier café italien de sa vie, même si comme annoncé c’est la bouilloire qui fait ensuite l’essentiel. 
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 Une fois qu’elles ont bu leur boisson et que les invitées n’ont pas manqué de complimenter leur hôtesse, ce qui a fait sourire cette dernière, Valérie annonce en s’étirant et après avoir baillé à s’en décrocher la mâchoire :
 ― Puisque le drapeau est orange et qu’on ne risque pas d’être dérangées, j’irais bien faire une petite sieste. Pas vous les filles ?
 Même si elle est amusée d’entendre des femmes qui ont plus de 40 ans être qualifiées de filles, Jade rougit parce qu’elle a parfaitement compris ce que se coucher complètement nue en leur compagnie implique. Ce qui ne l’empêche pas de répondre :
 ― Contrairement à chez ma Man ici le gazon est pas arrosé, alors l’herbe risque de nous piquer les fesses. Par contre, en se serrant dans mon lit on devrait pouvoir y tenir à trois. 
 Stéphanie qui n’a rien contre cette idée, donne son avis :
 ― Ce sera parfait, mais avant on va débarrasser la table. 
 Il ne leur faut pas bien longtemps pour tout ranger et les trois femmes ne tardent pas à se retrouver allongées sur la couche, après avoir retiré leurs sabots suédois, jade se retrouvant sur la gauche de Stéphanie mais aussi sur la droite de Valérie, et par conséquent entre les deux. Ne sachant pas comment les choses vont se passer elle décide d’attendre pour le voir, et à sa grande surprise c’est la matrone aux énormes seins qui prend l’initiative et qui lui demande, alors que sa voix est devenue encore plus tendre que d’habitude comme si elle s’adressait à une enfant :
 ― Tu n’as pas envie de téter Maman, ma petite poupée en sucre ?
 La jeune femme ne résiste pas longtemps à cette invitation pourtant surprenante, et elle répond oui en hochant timidement la tête. Stéphanie change alors de position, se redressant pour aller appuyer son dos contre le mur de la pièce unique en le calant avec un oreiller, et sa très généreuse poitrine qui s’était avachie quand elle était couchée reprend sa forme habituelle. La jeune femme qui a attendu que son aînée soit confortablement installée bouge à son tour, elle met la moitié supérieure de son corps sur celui de la matrone, approche sa bouche du sein droit et prend son mamelon en bouche. 
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 Jade éprouve une sensation étrange, en sentant le bout de chair très doux devenir dur entre ses lèvres lorsqu’il s’érige, car elle est partagée entre le sentiment de vivre une nouvelle expérience et celui d’un retour aux sources. Comme si elle redécouvrait un des trésors qu’elle a perdus depuis longtemps, et dont elle avait oublié jusqu’à l’existence. Le plaisir physique qu’elle ressent est léger comme celui d’un baiser d’amour, mais celui plus cérébral explose dans sa tête car elle aime énormément ce qu’elle est en train de vivre. Comme si elle venait de s’affranchir d’un nouveau tabou, alors qu’en réalité il n’en est rien puisqu’il s’agit uniquement de fantaisie. 
 Tandis que sa main droite vient se poser sur l’autre sein de la matrone, qu’elle se met à caresser, la gauche part à la recherche de la vulve de son amante pour lui prodiguer le même genre de traitement. Stéphanie qui n’avait pas attendu cet instant pour commencer à geindre doucement, montrant ainsi qu’elle est très sensible au niveau des tétons, augmente en intensité ses manifestations de contentement. 
 Valérie qui s’était allongée sur le côté afin de contempler la scène, décide d’y participer à son tour. Ce qui n’a rien de surprenant étant donné que c’est elle qui a suggéré qu’elles se retrouvent toutes les trois dans cette situation, chacune sachant parfaitement de quelle manière les choses allaient évoluer même si elles n’en connaissaient probablement pas les détails à l’avance. Pour se faciliter la tâche l’alsacienne descend du lit pour y remonter aussitôt mais pour s’allonger dans le sens inverse, c’est à dire que son visage se retrouve à présent au niveau du bassin de Jade, et ses propres hanches à celui de la tête de Stéphanie. Ce qui à cause du mur ne lui est possible qu’en pliant les jambes, ses talons venant se coller contre ses fesses.
 Il ne lui reste plus qu’à soulever la cuisse gauche de la jeune femme, ce qui lui est d’autant plus facile que cette dernière l’aide en venant appuyer la plante de son pied correspondant sur le lit, et à venir coller sa bouche sur la vulve juvénile. 
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 Jade qui pour la toute première fois de sa vie est en train de faire l’amour avec deux femmes en même temps, n’aurait pas l’idée de s’en plaindre. Son plaisir physique surtout au niveau de son bas-ventre devient de plus en plus intense, parce que la langue qui est en train de fouiller son intimité dans ses moindres recoins est tout autant agile qu’experte. Pour ne pas être en reste vis à vis de sa bienfaitrice, sa main droite quitte le sein de sa maman de circonstances pour partir explorer l’abricot de Valérie, ce qui va permettre à sa bouche de changer de téton, tandis que sa main gauche continuera à inspecter la figue de Stéphanie.  
 Les trois partenaires se comportent avec des gestes mesurés et une douceur toute féminine, convaincues que le plaisir qu’elles éprouvent et qui augmente lentement en intensité, finira par se transformer en jouissance. Elles le savent d’expérience, car seul un incendie ou un tremblement de terre pourraient les interrompre. Si leur échange peut paraître inégal aucune d’entre elles n’éprouve le besoin de se lamenter, car elles ont conscience qu’il y aura d’autres occasions qui leur permettront de rétablir l’équilibre. 
 La bouche de Jade passe d’un mamelon à l’autre, lorsque Maman qui a pris sa tête entre ses mains pour la cajoler en manifeste l’envie, ou peut être le besoin, tout en lui murmurant des paroles pleines de tendresse. La jeune femme n’en éprouve pas la moindre gêne ni aucune lassitude, pas plus qu’avec ses doigts qui sont devenus trempés de mouille, et qui lui permettent de tripoter en même temps deux sexes féminins identiques dans leurs compositions, mais différents dans leurs morphologies. 
 Car si les grandes lèvres de Valérie sont joufflues comme les siennes, celles de Stéphanie sont fines au point d’en paraître insignifiantes en comparaison de leurs petites sœurs qui en débordent. Ces dernières sont chiffonnées comme du papier crépon dont on aurait fait une fleur, mais bien entendu en infiniment plus doux, et inversement celles de sa commère sont fines et ciselées. 
 Quant à leurs clitoris celui de la bretonne ressemble à un gland d’homme miniature en plus allongé, ce qui permet de faire coulisser son capuchon dessus pour le masturber, alors que celui de l’alsacienne doit avoir la même forme que celui de Chloé. Autrement dit il ressemble dans sa morphologie à un jaune d’œuf au plat mais ovalisé, bien entendu lui aussi en taille très réduite. Le mieux étant par conséquent de le frotter délicatement pour le stimuler, en posant directement un doigt dessus où à travers son capuchon.  
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 Même si Jade doit s’y prendre différemment les deux femmes semblent éprouver un plaisir égal, qu’elles ne manifestent pourtant pas de la même manière que ce soit au niveau de la tonalité ou de l’intensité, et celui qu’elle-même ressent car la langue pleine de douceur qui la fouille elle non plus n’en finit pas de faire croître son plaisir, est étouffé la plupart du temps par un bâillon en forme de sein maternel.  
 La jeune femme n’est pas surprise d’atteindre l’orgasme la première, car non seulement elle est persuadée qu’une langue est beaucoup plus efficace que des doigts dans ce domaine, mais en plus les siens manquent d’expérience. Elle redresse la tête pour regarder Maman qui la fixe avec tendresse, et elle expulse un gémissement orgasmique qui la libère de la tension qu’elle avait accumulée. Elle reste quelques instants immobile le temps de récupérer puis ses mains reprennent leurs besognes, tandis que l’alsacienne continue à lécher sa vulve dans le but de récupérer le jus qu’elle a produit. 
 Jade quant à elle poursuit le doigtage de ses deux aînées jusqu’à ce que Stéphanie la première puis Valérie la suivant de peu, arrivent elles aussi au plaisir ultime. Ensuite elles s’allongent toutes les trois côte à côte, sans s’être privée de lécher ses phalanges pour récolter la mouille qui s’y est déposée, puis les trois femmes font une courte sieste qui leur permet de se remettre de leurs émotions.   
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