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Thérapie familiale

Chapitre 72

Double plaisir.

Inceste
Comme elles l’ont décidé les deux femmes vont prendre le chemin de la Cabane de Jade, et cette dernière n’est pas surprise de constater que sa Man a elle aussi un chapeau de paille, ainsi qu’un bâton de berger. Une fois qu’elles se sont équipées ajoutant à leurs tenues des sac à dos, celui de Anne-Lise devant contenir ses affaires de toilette, elles se mettent en route. 
 Tandis qu’elles avancent tranquillement car rien ne les presse, leurs gros seins se balançant doucement au rythme de leurs pas, la maman fait remarquer à sa fille :
 ― Ça m’avait manqué, de marcher complètement nue en pleine nature.  ― Oui, en montant ici ça m’a semblé très zarbi, sûrement parce ce que c’était tout nouveau pour moi. Mais une fois sur le plateau, j’ai commencé à trouver ça fun. Tu vas peut-être me trouver bestiasse, mais en le faisant je me sens libre comme jamais je l’avais été avant.  ― Non, tu n’es pas ridicule, car ça me fait le même effet. Et j’imagine que c’est la même chose pour les autres, même si je n’ai jamais pensé à leur poser la question.  ― Avec certains de ceux que j’ai rencontrés ici, c’est une des choses qui va me manquer quand je serai rentrée à la maison.  ― Tu sais, dans le Lubéron il est possible de faire des randonnues.  ― Comme celle que j’ai faite avec Papy, le lendemain de mon arrivée ? ― Je parie qu’il t’a emmenée voir le monolithe, et qu’il t’a raconté une histoire macabre au sujet de sacrifices humains. ― Oui, mais il m’a surtout dit que c’était là-bas qu’y t’avait dépucelée, et il a fait pareil avec moi.
 Anne-Lise s’arrête pour faire face à Jade, et elle lui dit visiblement émue après avoir posé doucement les mains sur ses épaules :
 ― Il ne t’a pas menti, et ça me fait plaisir d’apprendre que ça c’est passé de la même façon pour nous deux. Car ça nous rapproche encore plus.
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 La maman et sa fille tombent dans les bras l’une de l’autre, elles se caressent doucement d’une manière affectueuse avant de se séparer, puis la plus âgée demande :
 ― Mais tu as joui, au moins, quand il t’a enfilé son gros bâton de berger ? Car c’est peut-être moi que tu vas trouver bestiasse, mais je trouve super important de garder un bon souvenir de sa première fois. Même s’il y en a plein d’autres après.  ― Oui, j’ai joui comme une dingue, Man. Et j’ai trouvé ça en même temps pareil et différent, que quand y m’avait enculée avant. Car je jouis aussi du troufignon.  ― Ça je le savais déjà, mon Amour, car tu me l’as dit au téléphone le soir de ton arrivée ici. Mais ça me fait plaisir d’apprendre que tu aimes autant l’un que l’autre, car dans la vie il faut savoir varier les plaisir.
 Alors qu’elles recommencent à marcher, Jade n’est pas étonnée d’avoir ce genre de conversations avec celle qui l’a mise au monde, et elle sourit en pensant qu’elle n’a même pas rougi une seule fois, tant cela lui a semblé naturel. Elle reprend la conversation de départ, parce qu’elle est curieuse d’en apprendre plus :
 ― C’est où déjà, le Lubéron ? ― C’est le massif, qui se trouve entre Manosque et Cavaillon. Donc, c’est beaucoup plus près de chez nous qu’ici.  ― Mais on risque pas de rencontrer des gens habillés et de les choquer, si on va se balader à poil là-bas ? ― Déjà c’est un coin assez sauvage, justement parce qu’il n’y a pas grand-chose de plat. De plus, depuis quelques années des sentiers ont été balisés uniquement pour les randonnueurs, et les autres sont en principe prévenus. Par conséquent, les seuls qu’on risque de rencontrer en s’y rendant ce sont des voyeurs. C’est pourquoi il est fortement recommandé d’y aller en groupe. Il faut également être équipé d’un poncho pour se couvrir de manière à être décent, si on quitte la zone balisée. Ce qui est plus rapide que remettre ses vêtements, si jamais on croise un égaré ou un cueilleur de champignons. Ce qui peut toujours arriver. Mais dis-moi, ça a l’air de t’intéresser.  ― C’est juste une idée, mais si on y allait avec Enzo et Clara si elle est d’accord, et pourquoi pas Tatie Stéphanie, Tonton Marc, Léa et Manon puisqu’y sont eux aussi nudistes, on serait assez nombreux pour faire fuir les voyeurs. Surtout si avec nous on a deux mecs.  ― C’est une bonne idée, et ça ne nous coûtera rien d’en discuter avec eux pour savoir ce qu’ils en pensent, quand tu seras rentrée. 
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 Lorsqu’elles arrivent en vue de la Cabane, alors que les chiens qui gardent le troupeau de moutons ne semblent pas faire attention à elles, Anne-Lise fait remarquer à sa fille :
 ― Même si les animaux ne sont pas les mêmes, ça n’a pas changé depuis la dernière fois que je suis venue. Un peu comme si le temps, n’avait pas de prises sur cet endroit. 
 Jade sourit en entendant ces propos nostalgiques, et alors qu’elles sont à côté de la maisonnette elle dit à sa mère, après qu’elles se sont délestées de leurs sacs et de leurs bâtons : 
 ― Puisque t’as parlé d’animaux suis-moi, je vais t’en présenter. 
 Les chiots ont beaucoup changé en l’espace de quelques jours. Ils ont pris du poids tout en gagnant en vivacité, et lorsqu’ils se rendent compte de la présence des deux humaines qui ont contourné l’habitation pour venir les voir, ils gambadent en toute confiance à leur rencontre, ayant reconnu l’odeur de l’une d’entre elles qu’ils considèrent comme faisant partie de leur petit univers. Même si l’apparence de ces deux géantes sans fourrure, doit leur sembler bien étrange. 
 Tout cela se passe sous le regard attentif de Louve, qui bien que conciliante n’a rien perdu de sa vigilance. Pourtant cette dernière se relâche un peu, lorsque Jade ouvre le paquet que Damien lui a donné au moment de son départ, et qui contient des déchets qui seront pour elle un régal. Lorsque la jeune femme après s’être accroupie les jambes écartées, dépose dans sa gamelle le contenu de son colis qui est composé de cartilages et d’os, sur lesquels sont encore accrochés des morceaux de viande, elle lui lance un regard reconnaissant avant d’attaquer son festin. Ensuite elle se laisse caresser, car étant intelligente il ne lui viendrait pas à l’idée de mordre ni même de grogner, après sa bienfaitrice.
 Pendant ce temps, Renarde qui a adopté la même position que Belette fait connaissance avec les trois petits, qui l’ont immédiatement adoptée probablement parce qu’ils ont reconnu en elle en la flairant, une proche de celle à qui ils se sont déjà habitués. 
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 Anne-Lise va même jusqu’à attraper celui qui est noir pour le prendre dans ses mains, ce qui ne semble pas le déranger plus que sa mère qui continue à bâfrer, et Jade lui dit sur un ton légèrement enjôleur :
 ― Il est trognon, pas vrai ? ― Déjà ce n’est pas il, mais elle.  ― Comment tu peux le savoir ? S’il a une fente à la place de la zigounette, ça doit être minuscule.  ― Appelle-ça de l’instinct maternel, ma fille. Et je sais aussi ce que tu as en tête, alors tu ferais mieux de l’oublier.  ― Mais… ― Il n’y a pas de mais qui tienne. Sa place tout comme celle de ses frères est ici, en pleine nature. Car elle serait malheureuse, si on la retenait prisonnière dans une maison. Cette race à été créée pour garder les moutons, c’est dans leurs gênes depuis des centaines voire des milliers d’années. Par conséquent il serait cruel et même inhumain, de l’obliger à vivre d’une autre manière.  ― C’est quand-même pas pareil que si on vivait en ville, au quatrième étage d’un immeuble. Car on est aussi un peu à la campagne.  ― Tu n’as pas tort, mais notre terrain n’est pas assez grand pour qu’elle puisse s’y dépenser, et la laisser vagabonder ne nous attirerait que des ennuis. Car sans parler des viandards frustrés qui risquent de la prendre pour cible en rentrant bredouille, et des petits bâtards qu’elle pourrait nous ramener dans son ventre, on a dû aussi te dire qu’en plus d’être des gardiens, ces chiens sont également des chasseurs.  ― Mais… on pourrait pas envisager d’en avoir un d’une autre race ? Un qui serait moins gros, et avec moins de besoins ? ― Pour que ce soit moi qui le nourrisse, qui ramasse ses crottes, ou qui aille le promener pour qu’il puisse les faire en dehors de notre propriété ? ― Si on en prend un, y sera à moi et je m’en occuperai.   ― Dans ce cas, ce sera en fonction de tes résultats à la fac, et nous choisirons la race ensemble.  ― Mais c’est du chantage ! Tu dis sans arrêt que j’ai mûri, pourtant tu me fais toujours pas confiance.  ― Appelle-ça comme tu veux, mais la vraie raison c’est que je veux surtout m’assurer qu’après avoir vécu comme une sauvageonne pendant un mois, à te faire enfiler par tous les trous à la moindre occasion, tu te réacclimateras correctement à la manière dont vivent les gens d’en bas. Et que tu penseras autant à ton avenir, sinon plus, qu’au plaisir que peut t’apporter une bonne partie de jambes en l’air. Si la promesse d’avoir un chien peut t’aider à y arriver, j’accepterai le fait de trouver des poils partout dans ma maison. Sans parler des autres dégâts, que cet animal ne va pas manquer d’occasionner.  
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 Jade est en même temps rassurée et dépitée, de constater que sa Man même si elle est à présent partisane de la liberté sexuelle, y compris entre membres de la même famille, n’a pas pour autant perdu une certaine rigidité en ce qui concerne sa manière de voir les choses. 
 Ce constat n’empêche pas la jeune femme de sourire, lorsque celle qui l’a mise au monde toujours comme elle accroupie, après avoir reposé la chiot met sa main ouverte devant sa bouche comme si elle voulait dissimuler le bâillement qui vient de la prendre, mais qu’elle trouve légèrement exagéré. D’autant plus, qu’il est le préambule d’une annonce :   
 ― J’ai bossé comme une dingue toute la semaine, et ce matin je me suis levée aux aurores pour venir ici. Sans parler de la fatigue du voyage. Alors si ça ne te dérange pas je vais aller faire une petite sieste, en prévision de la soirée qui nous attend. 
 Elle lui demande, sans essayer de cacher son amusement dans sa voix :
 ― Et tu veux que je t’accompagne, où tu préfères que je te laisse dormir ? ― Tu fais comme tu veux, mon Amour. Si j’ai bien compris, c’est ici que tu as attrapé les truites dont on s’est tous régalés à midi. Alors si tu préfères aller pêcher que venir avec moi, cela ne m’ennuiera pas. 
 Jade comprend que sa Man veut lui laisser l’initiative, c’est pourquoi elle répond :
 ― Même si contrairement à toi j’ai pas trop forcé ces derniers jours, je vais aussi me reposer pour être en forme ce soir. 
 Cette déclaration amène un beau sourire sur le visage non moins magnifique de Anne-Lise, qui est surtout chargé de douceur et de tendresse, et laissant là les chiens elles se redressent avec autant de souplesse l’une que l’autre, pour se rendre dans la Cabane. 
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 Avant d’aller à l’intérieur Jade prend le temps de hisser son fanion orange, elles récupèrent leurs sacs pour les rentrer, et une fois dans la maisonnette dans laquelle elle pénètre pour la première fois depuis des années, Anne-Lise qui a attendu sa fille même si elle savait parfaitement où trouver la clef, constate tout en posant son chapeau sur la table :
 ― Ici non plus ça n’a pas changé. Tout est resté simple et fonctionnel, mais en même temps sympathique. 
 Puis avisant le serpent niché au dessus de l’armoire, elle ajoute en le désignant :
 ― Mis à part la décoration. C’est une petite touche personnelle que tu as apportée, où il était déjà là à ton arrivée ? ― Non, c’est moi qui l’ai amené. Il a été fabriqué par Kevin, qui en plus d’être berger est mouleur de godes, et il me l’a offert le soir où on s’est tous réunis chez Papy. Mais avant ça j’en avais trouvé toute une collection dans mon armoire à la Bergerie, et si j’ai envie je pourrai les prendre avec moi quand je repartirai. Mais j’en ai quelques-uns ici, même si à part les plugs j’ai pas encore eu le temps de les essayer. Tu veux les voir ? ― Bien entendu. Il est toujours intéressant de combler ses lacunes.  
 Cette nouvelle remarque fait sourire Jade, elle ouvre la porte du meuble avant de s’effacer pour laisser la place à sa Man, qui s’approche pour regarder les jouets posés sur une étagère. Effleurant les deux qui sont en bois, elle commente : 
 ― Ceux-là je les connais, car ils n’ont pas été moulés mais taillés par Djouba. Il se pourrait même que je les aie utilisés, car il t’en donnera des neufs juste avant ton départ pour que tu les emportes avec toi. 
 Ensuite elle touche les plugs anneaux, puis elle dit :
 ― Si comme moi tu aimes avoir les larmes aux yeux quand une queue écartèle ta rondelle, ceux-là tu n’auras pas besoin de les emmener. 
 Jade rougit légèrement, avant de répliquer :
 ― Mais ici y vont me servir, car quand Djou va m’enculer y vaudra mieux que je sois préparée.  ― Ce sera en effet préférable, sinon tu vas te pisser dessus. Il t’a déjà prise par devant ? ― Oui, mais Mamie m’avait fistée le matin en prévision. Alors j’ai pas eu les foies, et ça s’est très bien passé. ― Sage précaution de la part de ta grand-mère, et je n’aurais pas fait mieux. Mais elle t’a faite jouir au moins, sa grosse queue ? ― Oh oui Man. Et après, j’ai même réussi à m’en enfoncer une partie dans le gosier. ― Je suis très fière de toi, mon Amour. Car pour bien des femmes, ce que tu as fait est impossible.
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 Ensuite la maman prend le jouet qui a une forme élancée et qui mesure vingt-cinq centimètres de long pour quatre autres de diamètre, avec ses testicules serrés l’un contre l’autre et qui se termine en se rétrécissant comme s’il n’avait pas de gland, et elle demande à sa fille :
 ― C’est celui d’un animal, mais lequel ? ― Chloé m’a dit qu’y s’agit d’un cerf.
 Après l’avoir reposé elle s’empare de celui qui mesure une quinzaine de centimètres de long, fortement veiné, avec un gland de forme triangulaire aux bords arrondis, un creux au milieu et une pointe au bout, et elle continue de se renseigner :
 ― C’est celui d’un gros chien ? ― Non, d’un loup. 
 Elle saisit cette fois avec les deux mains celui qui mesure quarante centimètres de long et dont le diamètre doit en fait sept. Qui a une forme à peu près cylindrique et se termine par une demi-sphère, alors que sa hampe est parcourue de longues et grandes veines, avec en son milieu une excroissance qui fait tout le tour, et elle commente tout en le soupesant :
 ― J’en ai déjà vu un comme ça, et c’est un étalon au milieu d’un pré qui en était équipé. ― Sauf que tu l’as vu de loin et que de près il aurait été bien plus gros, car en fait il s’agit de celui d’un poney. 
 Tout comme les précédents Anne-Lise le remet à sa place, pour prendre le dernier qui est aussi long mais d’un diamètre bien plus raisonnable, puisque c’est le double gode avec ses deux membres de forme humaine fidèlement représentés, et alignés l’un sur l’autre avec un gland à chaque bout. Elle demande sur un ton taquin, à sa fille :
 ― Et celui-là, tu l’as essayé avec ton amie Chloé ? ― Non, comme je t’ai déjà dit j’ai pas eu le temps.  ― Mais maintenant, nous en avons du temps...
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 Jade rougit à nouveau légèrement, en comprenant que sa mère est en train de proposer qu’elles se donnent du plaisir en se partageant le jouet. Mais en même temps il a été conçu pour ça, l’idée ne la dérange pas non plus, et c’est pourquoi elle réplique sur un ton légèrement ironique :
 ― Bé, je croyais que t’étais fatiguée, Man. Mais on peut toujours l’essayer, pour voir comment ça fait. 
 Anne-Lise qui depuis ses émotions du matin a eu le temps de se reprendre, répond sur un ton égal :
 ― J’aurai tout le temps de me reposer quand nous aurons joui, mon Amour.
 Puis sans attendre avec le double dong toujours à la main, Renarde grimpe sur le lit pour s’allonger sur le côté, et attendre tranquillement que Belette vienne la rejoindre. Cette dernière n’a aucune hésitation et elle va se mettre en face d’elle dans la même position, puis l’aînée sourit à sa cadette avant de lui dire :
 ― On va se chauffer un peu en se caressant la figue, et quand on sera prêtes je t’enfilerai un gland pendant que tu me feras pareil avec l’autre.  ― Ok Man. 
 Après avoir posé l’objet en caoutchouc pour l’instant inutile entre elles, la main de la maman vient aussitôt se plaquer contre les grandes lèvres joufflues de sa fille, qui ne tarde pas à lui rendre la politesse, et elles se frottent lentement jusqu’à ce qu’une douce chaleur les envahisse, avant-coureuse de la venue du plaisir. Celui-ci arrive progressivement, encouragé par le fait qu’avec leurs mains libres elles sont parties à la découverte de leurs corps respectifs, qu’elles explorent en les caressant. Ce qui se traduit au début par des soupirs de satisfaction qui deviennent de plus en plus profonds, pour se transformer ensuite en petits geignements très significatifs. 
 Pendant toute la durée de cette préparation les deux partenaire incestueuses ne se quittent pas des yeux, se souriant de temps en temps, puis sentant que pour elle le moment est venu de passer aux choses sérieuses, Renarde enfonce son index entre les petites lèvres de Belette, pour le ressortir quelques instants plus tard trempé de mouille. 
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 Anne-Lise satisfaite de son examen approfondi prend le temps de sucer son doigt, puis elle va glisser sa main droite sous la hanche de Jade, avant d’empoigner avec la gauche le double dildo à environ un quart d’une de ses extrémités, pour ensuite poser le gland qui est du côté le plus court contre la fente du vagin de sa fille. Cette dernière, calquant ses mouvements sur ceux de sa mère. C’est comme ça qu’elles s’enfoncent mutuellement les bouts de caoutchouc de quelques centimètres, pour retourner en arrière puis revenir en avant, et ainsi de suite aller progressivement plus profondément alors que leurs plaintes de plaisir reprennent. 
 Au départ le sex-toy s’est retrouvé courbé grâce à sa souplesse, puis tendu entre elles, et arrive le moment où elles doivent le lâcher pour se rapprocher l’une de l’autre, afin qu’il puisse les pénétrer plus pleinement. Leurs gros seins finissent par se toucher, allant s’écraser les uns contre les autres, et leurs têtes ayant suivi le mouvement elles s’embrassent à présent à pleine bouche, leurs langues se mettant à valser. 
 Leurs mains désœuvrées redeviennent baladeuses, tandis que leurs bassins se rapprochent jusqu’à se toucher, avant de s’éloigner l’un de l’autre avec une synchronisation parfaite. La lenteur de leurs déplacements leur permettant d’apprécier pleinement la montée du plaisir, dont les manifestations sonores sont étouffées par leur baiser incestueux. Alors qu’elles sont seules au monde, si un observateur devait les définir en un seul mot, ce serait sans aucun doute possible Tendresse.  
 Hasard ou coordination, la maman et sa fille atteignent l’orgasme au même moment, et étant donné qu’elles ont pris leur temps elles ont également celui d’arrêter de se galocher, pour reculer leur têtes et voir la jouissance arriver dans leurs regards respectif. Ce qui leur permet de pousser chacune un gémissement libérateur, qui se confondent tant ils sont semblables, avant de se faire un sourire chargé de l’amour qu’elles se portent.
 Ensuite Anne-Lise envoie sa main entre leur deux corps, elle saisit le double dildo, elle tire fermement mais sans brusquerie dessus, et grâce à sa souplesse et à leurs lubrifications naturelles, il ressort d’elles sans leur provoquer le moindre désagrément. Elle le brandit quelque instants au dessus de leurs corps comme s’il s’agissait d’un trophée, elles le regardent pour constater qu’il est tout gluant de leurs plaisirs, puis celle qui le tient le jette sur le sol avant de dire :
 ― Il est bien, ce truc. Il faudra que tu penses à le ramener à la maison, car même si Clara est partageuse nous serons trois femmes pour un seul homme. 
 Tandis que sa fille lui sourit la maman ferme les yeux, et elle ne tarde pas à s’endormir dans ses bras. 
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