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Thérapie familiale

Chapitre 73

Farniente à la Cabane.

Inceste
Jade qui s’est elle aussi assoupie, se réveille avant sa mère. Ne voulant pas déranger cette dernière car elle se doute qu’elle doit être réellement fatiguée, elle descend du lit en prenant ses précautions pour ne pas la faire bouger, puis après avoir récupéré le double gode elle sort de sa Cabane, en refermant doucement la porte derrière elle. Une fois dehors elle va laver le jouet à la source, puis elle le met à sécher en le posant en équilibre sur une branche du chêne, et elle sourit en constatant que les deux glands se sont mis à pendre de chaque côté.
 À la position du soleil elle estime que ce doit être le milieu de l’après-midi, et réfléchissant à la manière dont elle pourrait occuper son temps en attendant que celle qui l’a mise au monde se lève, elle décide de retourner dans la maisonnette pour aller y chercher les albums-photo. Bien entendu elle s’applique à faire le moins de bruit possible, et une fois son forfait accompli elle ressort comme elle est entrée, en se déplaçant à pas de loup telle une voleuse.  Revenue à l’ombre de l’arbre elle pose les trois cahiers sur la table, elle s’installe dans une chaise longue, puis elle reprend le premier volume, toujours le même, pour recommencer à regarder les clichés là où elle s’était arrêtée. C’est à dire quand sa Man qui avait alors son âge, s’est faite sodomiser par leur Papy sur la table de la cuisine.  En allant plus avant dans le temps puisque les images ont été classées dans l’ordre chronologique, elle découvre Anne-Lise dans diverses situations, parfois seule, en couple ou en groupe, et s’adonnant à des activités ordinaires ou sexuelles. La seule constante étant qu’elle est systématiquement nue, et presque toujours chaussée de sa paire de sabots suédois à talons de dix centimètres de haut. 
 La plupart des gens qu’elle voit en sa compagnie lui sont inconnus, mis à part Damien, Nadine, Alain le savetier et Djouba. Ces deux derniers étant les seuls mis à part les membres de sa famille, déjà présents sur le plateau à l’époque. Ils apparaissent bien évidement plus jeunes que de nos jours, le premier ayant encore tous ses cheveux et le second montre un air triste, peut-être parce que le souvenir de ce qui lui est arrivé dans son pays d’origine, était alors plus vif. 
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 Jade passe ensuite au second album, celui qui est daté de 2009 et dans lequel sa Man avait 29 ans. Elle la découvre par conséquent beaucoup plus ressemblante à ce qu’elle est aujourd’hui, étant donné que non seulement elle n’a plus que 10 ans de moins, mais ses grossesses ont déjà eu lieu. Son charme quant à lui est intemporel, même si c’est elle qui à présent a un regard triste, probablement à cause de son divorce récent mais aussi du fait de s’être éloignée de ses deux enfants. 
 Il y a par contre une nouvelle venue qui n’est pas pour la jeune femme une inconnue, loin de là, puisqu’il s’agit de sa Tatie Stéphanie qui est bien plus joyeuse que sa Man, sans aucun doute parce qu’elle vient de découvrir un mode de vie qui lui convient parfaitement. C’est la première fois qu’elle la voit complètement nue, mais étant donné qu’elles se sont baignées un nombre incalculable de fois ensemble, cela ne la change pas énormément de quand elle porte un de ses bikinis souvent minimalistes. 
 Jade remarque tout de même au passage que les seins de sa Tatie sont moins gros et plus ronds que ceux de sa Man, mais eux aussi pendants parce qu’elle a eu également deux enfants, et elle se dit qu’une pratique intensive du nudisme n’a pas dû arranger les choses. Ses petites lèvres assez longues dépassent sans complexe entre leurs grandes sœurs, quant à son pubis il est parfaitement lisse, mais il est vrai qu’avec sa blondeur de cheveux sa touffe ne devait pas être très étendue avant d’être supprimée. 
 Les deux femmes sont la plupart du temps ensemble dans des situations diverses, sauf lorsqu’il est question de sexe mais pas toujours, et c’est souvent une répétition de ce qui s’est passé en 1998. Même si elle se doutait que cela s’est produit, Jade découvre sa Man et sa Tatie s’embrassant à pleine bouche, puis se faisant un 69 ce qui a l’air de beaucoup leur plaire. Et lorsqu’elles sont séparées de nouvelles personnes apparaissent, par exemple Laurent le boulanger et sa pensionnaire Stéphanie, comme les autres moins âgés d’une dizaine d’années qu’à présent.
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 Jade va pour ouvrir le troisième volume, celui de 2010, quand elle voit Anne-Lise sortir de la Cabane. Cette dernière a encore les yeux ensommeillés mais paraît pourtant reposée, et elle lui demande en s’approchant :
 ― Tu es en train de regarder les albums de vacances de ta Man quand elle était encore jeune, mon Amour ?
 ― Arrêtes un peu, avec ça. J’ai l’impression d’entendre Papy, qui est toujours en train de se lamenter. 
 La maman rougit légèrement, pourtant elle ne réagit pas à l’impertinence de sa fille mais au contraire abonde dans son sens :
 ― Tu as raison, et comme tu le lui as fait remarquer ce matin, je ferais mieux d’en profiter tant que je peux au lieu de me plaindre.  ― Je te préfère comme ça. Mais dis-moi, ces photos tu les as aussi à la maison ? ― Oui. Je ne les ai pas mises dans des cahiers, mais dans des pochettes planquées dans ma chambre ? ― Sous tes petites culottes ? ― Sûrement pas. Car si ton frère avait eu l’idée d’aller mettre le nez dedans pour s’émoustiller, il les aurait trouvées. Par contre même si je ne vous en ai jamais parlé, il y a un coffre-fort dissimulé dans le placard, qui au départ était juste destiné à ranger mes bijoux. Mais il est assez grand pour contenir également les photos, et même mes jouets intimes.  ― Et mon père, il était au courant ? ― Pour les photos, je les ai faites développer après son départ. Quant aux jouets, il trouvait normal que je m’en serve et ça devait même le rassurer. Car il devait penser que pendant que je me les enfilais, je n’avais pas envie d’aller voir ailleurs. ― Puisque t’as parlé de développements, tu penses qu’y serait possible d’en agrandir certaines ?  ― Tu veux nous afficher sur les murs, pour que ceux qui nous rendent visite nous voient à poil ?! 
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 Jade sourit à cette idée, puis elle réplique : 
 ― Je croyais que t’assumais ? ― Entre assumer et choquer les autres, il y a une énorme différence mon Amour.  ― C’est pas faux. Mais j’ai pas non plus dans l’intention, de mettre des photos de nous en train de nous faire enculer, sur les murs du salon. Je pensais plutôt à ma chambre, et y s’agit de celles sur lesquelles on a chacune un agneau dans les bras. En particulier celles où y tètent, car tu le sais pas encore mais ça m’est arrivé à moi aussi.  ― Je me souviens parfaitement de cette expérience, car je l’ai trouvée fantastique dans tous les sens du terme. Mais pourquoi ces images en particulier ? ― Parce que justement j’ai éprouvé les mêmes sensations que toi. En plus, je les trouve à la fois érotiques et pleines de tendresse. Pour finir, que ça nous soit arrivé à toutes les deux et d’après Papy à personne d’autre, c’est aussi très symbolique.  ― Dans ta chambre ce n’est pas très indiqué, car n’importe quel visiteur pourrait y entrer par inadvertance. Par contre, maintenant que vous êtes ouverts à de nouveaux horizons ton frère et toi, j’ai l’intention de faire aménager le grenier.  ― Pour y mettre un pilori et une croix ?
 Sa mère rougit à nouveau, avant d’avouer :
 ― Oui, entre autres. Mais aussi un deuxième salon car il y a assez de place, dans lequel nous pourrions recevoir des amis libertins. Comme par exemple votre Tatie Stéphanie et Tonton Marc. Mais aussi Léa et Manon qui maintenant qu’elles sont assez grandes, ont tout comme vous commencé à suivre les traces de leurs parents.   ― Tu veux organiser des partouzes, Man ?
 Cette fois Anne-Lise s’empourpre carrément, mais elle ne dément pas :
 ― C’est un peu l’idée, même si le terme est plutôt cru. 
 Puis elle se défend :
 ― Mais je suis pas la première à l’avoir eue, puisque le baisodrome des Rougon est déjà terminé, alors que je nôtre n’est encore qu’un projet. Et il le restera, si ton frère en toi n’êtes pas tous les deux d’accord pour qu’on en fasse un.  ― Moi je le suis, et pour les agrandissements c’est aussi OK ? ― Disons que… ― Comme pour le chien, ça dépendra de mes résultats à la fac ? Car je suppose qu’en plus du coût financier, y aura aussi ce prix à payer.
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 Anne-Lise qui a retrouvé une teinte normale ne relève pas le fait que sa fille lui a coupé la parole, et au contraire lui dit :
 ― Tu as tout compris, mon Amour.
 Puis changeant de sujet, elle demande :
 ― Si on va se baigner dans le lac, ça va faire fuir les poissons ? ― Et où tu voudrais qu’y (z)’aillent ? Avec Aurélie on s’est baquées, et ça à pas empêché la truite que t’as mangée à midi de se faire attraper après. Mais je te préviens, l’eau est assez fraîche.  ― Oui, je m’en souviens. Mais elle le sera moins que celle de la douche de ce matin, qui arrivait directement de la source. Après avoir dormi comme une masse je me sens toute ensuquée, et ça va me réveiller. 
 Jade ne réplique pas, et avant de se diriger vers le bassin naturel elle prend le temps d’aller ranger les albums, tandis que sa Man l’attend patiemment. Ensuite elles y vont en se tenant par la main, puis sans se concerter elles s’élancent ensemble en criant pour se donner du courage. Une fois dans l’eau en train de nager elles constatent que ce n’est pas si terrible que ça, c’est pourquoi elles y restent un bon quart d’heure, finissant par s’asperger l’une l’autre pour s’amuser. 
 Lorsqu’elles ressortent ruisselantes d’eau c’est Jade qui reprend sa maman par la main, et elle l’entraîne vers la plaque d’herbe, sur laquelle elle s’est déjà allongée en compagnie d’Aurélie. C’est d’ailleurs ce qu’elles font, et alors que Anne-Lise s’est mise sur le dos sa fille grimpe sur elle mais son bassin au niveau de sa tête, en faisant attention en l’enjambant de ne pas lui faire mal. 
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 Pendant cette mise en place et même avant elles n’ont prononcé aucune parole, et se sont comportées comme s’il s’agissait d’une suite logique entre deux amantes. Jade a posé ses coudes au sol et ses mains à l’arrière des cuisses de sa Man, dont les jambes sont à demi repliées, et à présent que sa tête surplombe le sexe duquel elle est sortie il y a un peu plus de 18 ans, elle constate en souriant que mis à part la teinte de la toison qui orne son pubis, puisque le reste est parfaitement lisse, elle a sous les yeux la réplique exacte du sien. 
 Sans hésiter elle donne un coup de langue sur les grandes lèvres charnues qui l’attirent terriblement, et comme s’il s’agissait d’une résonance elle en sent un autre sur les siennes. Convaincue que le bien être qu’elle a éprouvé devait être partagé par celle qui l’a mise au monde, elle recommence encore et encore, pour lécher avec gourmandise ce fruit défendu par la morale, mais si appétissant. 
 Les deux partenaires incestueuses ne tardent pas à geindre doucement, et leurs manifestations sonores gagnent en intensité lorsque leurs langues s’insinuent entre leurs babines joufflues, pour aller chercher leurs nymphes qui sont recouvertes de mouille. Nectar dont elles se régalent, et qui est la récompense de leurs efforts en plus du plaisir récolté par réciprocité. 
 Pas un seul instant la jeune femme ne pense que ce qu’elle est en train de faire est mal. D’ailleurs, comment le plaisir qu’elle éprouve pourrait-il être le résultat d’un acte pervers, puisqu’il est juste question d’amour entre une mère et sa fille ? La seule chose qui la trouble, c’est que le sexe dont elle s’occupe est tellement semblable au sien, qu’elle a l’impression étrange d’être devenue assez souple pour se lécher elle-même. 
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 Cependant cette sensation cesse, lorsque après avoir déplacé ses mains pour écarter les grandes lèvres maternelles, Jade envoie la langue pour aller dénicher son clitoris. Car dès l’instant où son organe fouisseur se pose sur le capuchon protecteur du petit bouton magique, elle se rend compte qu’il est deux fois plus gros que le sien. Elle n’a aucun mal à le décalotter, dès qu’elle le touche directement elle entend un petit gémissement de pur plaisir, et elle ne tarde pas à en pousser un identique étant donné que la même chose lui est arrivée, avec un court instant de décalage. 
 La fille plie un peu plus le cou pour aller poser ses lèvres sur le pistil de sa maman, qu’elle se met à sucer tout en le titillant du bout de la langue, tandis que les plaintes sonores qui n’ont rien a voir avec la douleur se font de plus en plus aiguës. Elles finissent par être emportées par un orgasme si intense qu’il les fait crier leur jouissance, puis elles restent quelques instants avachies et immobiles, ce qui leur permet de reprendre leurs esprits. 
 Lorsqu’elle redresse la tête, Jade en voyant le sexe poisseux de Anne-Lyse se dit que ce serait dommage de laisser perdre cette mouille, qu’elle a trouvée délicieuse. C’est pourquoi elle recommence à lécher la vulve maternelle mais à présent juste par gourmandise, même si la volupté qu’elle ressent puisque cette fois encore il y a une réciprocité, n’est pas négligeable. 
 Lorsqu’elle en a récolté le plus gros elle se met a genoux, elle se retourne toujours en faisant attention de ne pas s’appuyer sur sa Man, puis elle va s’allonger à ses côtés, recevant au passage un sourire chargé d’amour et de reconnaissance. Elle n’est pas étonnée, lorsque cette dernière lui demande :
 ― Tu as fait la même chose avec cette femme qui s’appelle Aurélie ? C’est elle qui t’a appris ?
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 Amusée, Jade répond par une autre question :
 ― T’es jalouse, Man ? ― Ne sois pas bestiasse. Quand on est libertin on ignore ce qu’est ce sentiment, et heureusement parce qu’il est destructeur. ― Pourtant quand je t’ai parlé de Chloé ça t’a fait ni chaud ni froid, alors qu’on s’est léchées aussi. Mais Aurélie par contre, elle t’interpelle.  ― Eh bien tu as répondu en partie à ma question, puisqu’il y a eu aussi la pensionnaire de Djouba, et peut-être même avant. Mais en même temps j’aurais dû m’en douter, étant donné que tu m’as dit qu’elle est ton amie. Quand à Aurélie, si elle m’interpelle comme tu le dis, c’est parce que je la devine plus femme que fille.  ― Et t’as raison, car elle a la trentaine. Mais elle m’a avoué qu’elle préfère les femmes sans pour autant repousser les hommes, et pour moi c’est exactement le contraire. Alors t’as pas de souci à te faire, si tu veux avoir un jour des petit-enfants.  ― Je n’étais pas inquiète à ce sujet, car non seulement il y a de fortes chances pour que Clara m’en fasse avant toi, mais en plus comme je te l’ai déjà dit, ce que je veux avant tout c’est ton bonheur. Donc si tu devais faire ta vie avec une femme, je l’accepterais sans problème. D’autant plus que comme tu aimes aussi te faire enfiler par des hommes, ça laisse la porte ouverte aux nistons
 Cette conclusion pragmatique fait sourire la jeune femme, et elle précise :
 ― Sans parler de sexe, Aurélie va te plaire. Car elle est franche, belle, et aussi intelligente puisqu’elle est avocate.  ― Alors comment une femme comme elle, a pu atterrir ici ? ― Par rapport à son boulot. Elle a défendu les bergers dans un procès.  ― C’est l’histoire du chien qui a été tué, alors qu’il n’avait rien à faire ici ? ― Exactement. Quand elle a découvert comment on vit sur le plateau ça lui a plu, l’année dernière elle est venue comme pensionnaire de Papy pendant ses congés, et cette année elle est allée chez un autre berger pour me laisser la place. 
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 Elles continuent de discuter, et Anne-Lise demande à sa fille :
 ― Mis à part ces deux femmes, tu as noué d’autres relations ? ― Pas vraiment. La plupart viennent ici, on baise, et après y repartent. ― En somme, c’est la vie de plateau. 
 Ce jeu de mot les fait rire, puis la plus jeune dit à sa mère :
 ― Tu nous avais jamais dit non plus, que tu sais jouer aux boules. ― Tu veux dire à la pétanque ? ― Oui. ― Tu sais, pour moi c’était juste un passe temps, et je participais pour leur faire plaisir. Ils ont cru que j’étais habile, mais c’était juste de la chance car je ne calculais pas trop. Par conséquent, ça n’a rien à voir avec ma passion pour les échecs.  ― Et le tir à l’arc ? Djou m’en a pas parlé, mais j’imagine que t’as dû essayer aussi, vu que c’est une de ses passions.  ― Je me débrouillais pas trop mal, mais quand il a estimé que j’avais le niveau pour aller chasser, j’ai refusé. Car l’idée de tuer des petits lapins touts mignons, me dérangeait.  ― C’est sûr qu’y sont plus attendrissants que les poissons. Mais en même temps, tu manges de l’agneau.   ― Quand je le fais, j’évite de penser aux petites boules de poils que j’ai tenues dans mes bras. Sinon, ça me coupe l’appétit. Mais tu pourrais toi, dégommer un cul-blanc avec une flèche ? ― Franchement, si à ce moment-là je pense très fort à un civet, je crois bien que oui. Sauf que j’ai pas le niveau pour les tirer, vu que je me suis entraînée qu’une fois. ― Alors c’est que nous ne sommes pas si pareilles que ça, car moi je suis convaincue que même en mourant de faim, ça me serait impossible. En attendant, si on se prenait du souci ? Car j’aimerais bien arriver chez Laurent dans les premiers, de manière à ce que ce soit les autres qui viennent vers moi pour me dire bonjour, et pas l’inverse.  ― Mais ça te dérange pas, qu’on y aille les mains dans les poches ? ― Non, puisqu’on en a pas, de poches. Plus sérieusement, ta grand-mère a tout prévu. Alors nous on va se comporter comme des pique-assiettes, sans aucun remord. 
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