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Thérapie familiale

Chapitre 74

La Bergerie de Laurent.

Hétéro
Les deux femmes se préparent avant de quitter la cabane. Ce qui se résume à mettre leurs chapeaux de paille sur leurs têtes et à se munir de leurs bâtons de bergères, puisqu’elles ont décidé qu’étant deux, elles n’ont pas besoin de prendre un sac à dos avec un talkie-walkie à l’intérieur. Elles ont par conséquent l’air de véritables bergère, mais en version nudiste, et après que Jade a baissé son fanion pour signaler qu’il n’y aura plus personne, elles se mettent en route en marchant d’une allure modérée, tout en discutant tranquillement.  Bien que ce soit elle la pensionnaire et sa Man une visiteuse, cette dernière contrairement à elle est déjà allée chez Laurent, même si cela remonte à une dizaine d’années. C’est pourquoi Belette se laisse guider par Renarde, et elles se figent toutes les deux lorsque après avoir parcouru plusieurs kilomètres et avant d’être en vue de l’habitation, elles sont accueillies par des aboiements. Le canidé qui s’approche d’elles avance à une allure assez vive bien qu’il semble âgé, et le fait qu’il remue frénétiquement la queue leur indique qu’il a l’intention de les accueillir, et pas de les chasser. 
 Ce comportement étonne Jade étant donné que cette bête n’est pas sensée les connaître, mais pas Anne-Lise qui se met accroupie en écartant les cuisses et en tendant les bras, tout en s’exclamant :
 ― Belle !! C’est bien toi ?!? 
 La chienne puisqu’il s’agit d’une femelle vient faire la fête à l’humaine en geignant de joie, lui léchant la vulve, le ventre et les seins, tandis que cette dernière que ça n’a absolument pas l’air de déranger, explique à sa fille en caressant l’animal :
 ― Sa mère est morte à sa naissance, et Stéphanie avait bien à faire pour s’occuper de cinq chiots orphelins. Alors on se les ai partagés, et elle je l’ai prise avec moi à ma Cabane. J’allais tous les deux jours à la Bergerie de ton Papy pour traire une brebis, et pas qu’elle d’ailleurs, ensuite je revenais la nourrir au biberon. Au moment de repartir à Meyreuil elle était sevrée, j’ai failli craquer et l’emmener avec moi, en plus j’étais sûre que ça ne vous aurait pas déplu à ton frère et toi. Mais j’ai écouté la voix de la raison, qui me disait qu’elle serait plus heureuse ici, alors je l’ai laissée. Même si j’ai pleuré sans pouvoir m’arrêter, jusqu’à ce que j’arrive à ma voiture. 
 Belle qui s’est calmée n’en a pas moins toujours l’air heureuse de ces retrouvailles, et Belette demande à Renarde :
 ― Après tout ce temps elle se souvient encore de toi, alors qu’elle était qu’un bébé ? ― C’est à cause de mon odeur, je pense. Car contrairement à mon apparence, elle n’a pas dû trop changer.
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 Jade soupire bruyamment en entendant la dernière phrase, et sa Man qui s’en est rendue compte s’excuse :
 ― Je ne le ferai plus, promis juré. ― T’as plutôt intérêt, sinon, je vais te mettre une fessée pour de bon.  ― Pourquoi, pour de bon ? ― C’est une blague entre Enzo et moi. Y m’a dit que t’allais m’en foutre une, parce que j’ai eu que la mention Bien à mon bac, et je lui ai répondu qu’au train où vont les choses, c’était moi qui allait te la filer. 
 ― Il est plutôt gonflé, ton frère, car lui son examen il l’a eu de justesse. 
 Jade se souvient surtout que c’est la seule fois qu’elle a vu Enzo complètement soul, mais elle n’en parle pas et Anne-Lise lui demande, après s’être relevée :
 ― Mais dis-moi, ça te plairait de m’en mettre une pour de bon, de fessée ?
 La jeune femme s’empourpre, ce qui ne l’empêche pas de répondre tandis qu’elles recommencent à avancer cette fois en compagnie de la chienne :
 ― Si c’est toi qu’en as envie, je le ferai. Mais moi j’en vois pas l’utilité, d’autant plus que je pourrai pas t’enculer après.  ― C’est vrai, car je ne pense pas qu’il y ait de gode-ceinture chez ton Papy. Ce n’est pas son genre. Par contre, tu pourrais me fister.  ― Sauf que si je te fais ça demain-matin, tu repartiras avec les fesses toutes rouges.  ― Si tu utilisais une cravache, ce serait le cas. Mais à la main, mon cul va assez rapidement retrouver sa teinte habituelle. Maintenant c’est juste une idée, et si elle te déplaît, je pourrai toujours demander à quelqu’un d’autre. ― Disons que je vais y réfléchir pendant la nuit, et que je te dirai ce que j’ai décidé au réveil. Car si pour toi c’est déjà du vécu, pour moi c’est tout nouveau. En plus, ça reviendrait à inverser l’ordre des choses, vu que jusqu’à présent c’est toujours toi qui m’en a mises. 
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 Tout en discutant elles ont marché pour arriver jusqu’à la Bergerie de Laurent, que Jade n’est pas été étonnée de découvrir du même style que les deux qu’elle connaît déjà, mis à part qu’elle n’a pas exactement les mêmes dimensions, et bien évidemment il y a aussi un bâtiment pour les animaux. C’est alors qu’elle remarque qu’en plus du ruisseau et du chêne destiné à faire de l’ombre, l’habitation est pourvue d’une petite excroissance, comme si on y avait rajouté une pièce. 
 Cette dernière possède un toit conique bien à elle, qui est en fait une cheminée de laquelle s’échappe de la fumée bien qu’on soit en été. Ce qui explique qu’une bonne odeur de pain embaume l’air, car le berger qui habite ici est également le boulanger du plateau, et de toute évidence il a décidé de faire une fournée en plus des deux habituelles de la semaine.   
 Stéphanie se rend compte la première de leur présence, elle s’élance dans leur direction ses énormes seins se balançant allégrement, et elle se jette dans les bras de Anne-Lise qui les lui a ouverts. Visiblement la matrone est émue au point d’en pleurer de joie, sa réaction fait japper la chienne, et lorsqu’elle s’est calmée la femme s’exclame :
 ― Ils auraient pu nous prévenir, au moins ! Quand je t’ai vue, j’ai cru que que mon cœur allait s’arrêter !
 Laurent apparaît alors sortant de son fournil, et il leur fait en venant vers elles beaucoup plus calmement, juste avant de faire chastement la bise à la plus jeune du groupe :
 ― Moi je me suis douté, quand Belle est partie au galop en geignant. Car elle est toujours très calme, et seuls un grand malheur ou une grande joie, peuvent lui changer le tempérament. ― Et tu ne m’as rien dit, espèce d’âne ?!
 C’est Stéphanie qui lui exprime son indignation, alors qu’elle vient d’enlacer Jade à son tour tandis que son berger fait pareil avec Anne-Lise, et il se défend :
 ― Je ne voulais pas que tu aies une fausse joie, ma Levrette, car je n’étais sûr de rien.
 Puis il ajoute pour Renarde, en se reculant afin de la regarder :
 ― Bon retour parmi nous, Fille du Feu et de la Glace.
 Jade est amusée que le berger appelle sa Man lui aussi de cette manière, et encore plus en constatant qu’il a été pris d’une solide érection, en tenant son corps contre le sien. Son sexe est aussi gros que celui de Damien, mais le paraît encore plus à cause de sa petite taille. 
 La jeune femme lance un regard chargé d’ironie à sa mère, qui lui répond en haussant les épaules comme si elle n’y était pour rien, ce qui redouble son amusement. Stéphanie qui par contre a gardé tout son sérieux, lui dit :
 ― Viens avec moi, ma belle. On va aller surveiller que le pain ne brûle pas, car je crois qu’après avoir été séparés si longtemps, ces deux-là ont des choses à se dire. 
 Elle a parlé sans aucune trace d’humour, comme si elle le pensait réellement, et Belette avant de suivre la matrone voit sa Man décalotter le berger, d’un geste de la main qu’elle trouve gracieux. 
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 Lorsque les deux autres femmes sont entrées dans le fournil Anne-Lise fait un sourire chargé de tendresse à Laurent, puis ayant empoigné son membre et sans le quitter des yeux, elle se met accroupie en écartant les cuisses avant de commencer à lécher son gland, sa langue s’enroulant autour avec agilité. L’homme que cette caresse d’un genre particulier fait geindre doucement, pose ses mains sur le sommet du crâne de sa fellatrice comme pour l’encourager, alors qu’il sait parfaitement qu’elle n’en a nul besoin.
 Renarde cajole son ami de cette manière pendant un petit moment, puis son dard descend le long de la hampe pour aller s’intéresser à ses bourses chauves, pendant que sa main entame une lente masturbation. Après avoir pris la mesure de ses testicules elle en gobe un, et elle le tète goulûment avant de passer à son voisin tout en regardant le berger du coin de l’œil pour constater le bien qu’elle lui fait, puis elle change à nouveau de côté et ainsi de suite. 
 Lorsqu’elle estime que c’est assez sa bouche remonte, et c’est cette fois le gland qui a droit à la même attention de sa part, jusqu’à ce qu’elle décide de l’enfoncer plus avant en elle. Lorsqu’il passe la frontière plus que symbolique de sa glotte elle déglutit, ce qui provoque à Laurent un petit cri qui n’a rien à voir avec la douleur. 
 Satisfaite car elle l’observe toujours pour voir de quelle manière il réagit, elle engloutit sans se presser le membre en entier en elle, jusqu’à ce que son nez soit chatouillé par les poils du pubis qui lui fait face. Ensuite elle revient tranquillement en arrière, elle déglutit à nouveau avant que le gland retourne dans sa bouche, elle passe plusieurs fois sa langue autour pour le cajoler, puis elle recommence à le faire plonger.
 Probablement à cause de l’émotion des retrouvailles car le berger ne doit pas être en manque d’attentions féminines, il ne faut pas plus de cinq allers et retours avant qu’il décharge, et Anne-Lise est récompensée par le fait qu’il gicle dans sa cavité buccale, ce qui lui permet d’apprécier le goût et la texture très particuliers de son foutre. Car tout comme sa fille elle adore le sperme, et s’en régale à chaque fois qu’elle a l’occasion d’en déguster. 
 Lorsque la source s’est tarie elle lèche une dernière fois le gland toujours en elle, puis elle le recrache et l’homme l’aide à se relever, sans paraître gêné par le fait qu’avec ses talons haut elle le dépasse de plus de dix centimètres, quand ils se retrouvent debout l’un en face de l’autre.
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 Laurent dit à Anne-Lise, en lui caressant tendrement la joue :
 ― Tu m’as manqué, car des comme toi il n’y en pas deux. Sauf peut-être ta fille, qui te ressemble tant. Mais pourquoi tu as mis si longtemps, avant de nous revenir ? ― Parfois la vie choisit à notre place. J’avais deux enfants à élever, qui ne savaient rien de mon passé. Je ne pouvais pas les abandonner, et ils étaient trop jeunes pour que je les emmène avec moi ici. ― Ça veut dire qu’à partir de maintenant, on va te voir plus souvent ?  ― Je vais très certainement revenir le week-end prochain, pour vous présenter mon fils. Car c’est une chose qui a été décidée, sans qu’on me demande mon avis.  ― Il lui ressemble beaucoup ? ― Énormément. C’est pourquoi j’ai émis des objections, en faisant croire que je m’inquiétais de la réaction de sa petite-copine, quand elle découvrira de quelle manière on vit sur le plateau. Mais en réalité c’est celle du Vieil Ours que je crains, car ça va lui faire un choc en le voyant. ― T’inquiètes pas trop, il a le cœur solide. En plus, il est assez malin pour faire la part des choses. Après tout le petit il n’y est pour rien, s’il ressemble à David. ― Je le sais, mais Damien n’a toujours pas digéré sa disparition.  ― Et sinon, après, tu vas revenir nous voir ? ― C’est bien possible, car il n’y a plus d’interdit. Alors il se pourrait que je passe de temps en temps, pour vous faire un petit coucou.  ― Et nous t’accueillerons avec plaisir. Mais en attendant, mes pizzas ne vont pas se cuire toutes seules, alors il faut que j’y retourne.  ― Tu as besoin d’aide ? ― Tu rigoles ? Tu es la seule à avoir vraiment bossé cette semaine, car comme tu le sais, ici sauf en période de tonte on se la coule douce. Alors profites de ton week-end, et de ta fille. Car je suppose que tu vas repartir demain ? ― Oui. Je ne serai en congés qu’à la fin du mois, et avec les enfants on ira dans les Landes.  ― Dommage, car ça aurait été sympa que vous veniez tous ici. Mais si tu as loué là-bas… ― En fait non. On va dans une petite maison qui appartient à mon amie Stéphanie. Tu te souviens d’elle ? ― Même si n’est venue qu’une fois, je ne vois pas comment j’aurais pu l’oublier. Moins belle que toi, mais toujours demandeuse et prête à mettre la main au panier pour provoquer les envies. En plus, c’est elle qui nous a appris à danser La Valse Des Bergers, et qui a expliqué à Djouba quelle forme devait avoir son Banc d’Amour, pour être en même temps fonctionnel et confortable. 
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 Anne-Lise sourit en se rappelant ces souvenirs, puis ils vont dans le fournil où Laurent relève Stéphanie et Jade de leur surveillance. Les trois femmes ressortent donc de la pièce dans laquelle il fait beaucoup plus chaud que dehors, et au moment-où celle qui n’est que de passage, va pour demander à leur hôtesse si elle peut faire quelque chose pour se rendre utile, elle voit arriver le couple le plus improbable qu’elle ait jamais vu. Il s’agit bien entendu de Djouba et de sa Souricette perchée sur son épaule, qui semble babiller tandis qu’il lui répond par des sons caverneux monosyllabiques. 
 La maman après avoir souri, dit à sa fille qui s’est également rendue compte de leur approche :  
 ― Tu avais raison, mon Amour. Ces deux-là sont en même temps très différents, et complémentaires. ― Et te fies pas aux apparences, car elle ressemble à une poupée mais y paraît que c’est une grosse tête. ― Et je parie qu’en plus, comme il est brave comme pas deux elle le mène par le bout du nez ? ― Là tu te trompes, car c’est pas son genre. ― Excuse-moi, je ne voulais pas dire du mal de ta copine.  ― Apprends juste à la connaître avant de la juger, et tu verras que ça va bien se passer. 
 Anne-Lise sourit en comprenant que Jade vient de lui donner une leçon, et elle accueille les nouveaux arrivants d’un air enjoué. Après avoir posé sa pensionnaire sur le sol sans effort apparent, le berger africain annonce à son amie de longue date :
 ― Fille du Feu et de la Glace, je te présente Chloé que tout le monde ici appelle Hermine, et qui est également ma Souricette. 
 La lilliputienne blonde s’avance vers son aînée, et elle lui dit très sérieusement :
  ― Je suis enchantée de faire votre connaissance, Renarde. Car on m’a énormément parlé de vous, et j’ai carrément l’impression de rencontrer une légende. 
 Anne-Lise décontenancée par cet éloge rougit légèrement, ce qui fait sourire sa fille et le colosse, puis elle répond :
 ― Moi aussi on m’a parlé de toi, et en bien. Mais si tu veux que nous devenions de bonnes copines, commences par me tutoyer. Car ici on ne vouvoie que ceux qui portent des vêtements.  
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 Chloé s’approche pour faire chastement la bise à Anne-Lise, puis elle enlace Jade à qui elle dit :
 ― Tu m’as manqué, ma Belette. Mais j’imagine que t’as été très occupée.  ― Bé, avec toutes ces visites, celle de ma Mamie, celle de ma Man, et tous ceux qui sont venus me voir à ma Cabane, c’est clair que j’ai pas vu le temps passer.  ― T’inquiète, je sais ce que c’est. Car quand on est nouvelle, les mecs veulent tous tremper leur biscuit dans la crème pour savoir quel goût elle a. Et les meufs c’est pareil, sauf qu’elles y vont carrément avec leur langue.
 Cette description très imagée de la réalité les fait tous rire, et la bonne humeur de la blondinette s’accentue lorsque Stéphanie amène trois pains aplatis, dans lesquels ont été faites des entailles disposées de manière à représenter un épi. La jeune bergère s’exclame aussitôt :
 ― Ah, les fougasses de Laurent ! On peut les goûter, Maman ?
 Anne-Lise objecte aussitôt :
 ― On devrait peut-être attendre les autres.
 Mais la matrone, lui répond :
 ― Pense-tu. Il y en a trois autres encore au four, et après il y aura des pizzas. Alors personne ne va mourir de faim ce soir, et régalez-vous pendant qu’elles sont encore chaudes.
 Puis elle ajoute en les désignant chacune leur tour, avant de repartir :
 ― Celle-la est aux olives, celle-ci aux anchois, et celle-là aux grattons. 
 Alors qu’Hermine a déjà tendu le bras pour se servir, Djouba l’arrête en lui disant tandis qu’il sort deux bouteilles de vin blanc de son sac à dos, dont il s’est délesté :
 ― Tu devrais avant aller nous chercher des verres, Souricette, ce qui nous permettra de doubler le plaisir. 
 La jeune femme lui obéit sans rechigner, et Jade demande à sa Man tandis que son amie s’est éloignée en direction de la Bergerie :
 ― Alors, c’est qui qui mène l’autre par le bout du nez ?
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 Les quatre compères trinquent ensuite au plaisir des retrouvailles, tout en se régalant avec le pain provençal, et les autres invités arrivent peu à peu. En commençant par Alain qui présente sa fille Élodie à Anne-Lise, qui ne semble pas étonnée que la jeune femme soit enceinte jusqu’aux yeux, et se contente de la féliciter pour l’heureux évènement qu’elle attend. Tout en caressant tendrement son ventre rebondi, après lui en avoir demandé la permission. 
 Viennent ensuite Jonathan et Aurélie, c’est cette fois Jade qui fait les présentations, et sa mère et l’avocate se mesurent du regard pendant une dizaine de secondes, avant de se sourire chaleureusement visiblement satisfaites du résultat de leur examen. Cette joute silencieuse a échappé à la plupart des personnes présentes, mais pas à Jade ni à Djouba qui se trouve à ce moment à côté d’elle, et se penche pour lui glisser discrètement à l’oreille :
 ― Même si d’autres comme Brebis et Bichette font volontiers de l’esbroufe, nous avons là les deux plus fortes personnalités du plateau. Alors il est heureux pour l’ambiance de la soirée, qu’elles aient décidé d’un accord tacite de s’apprécier. 
 La jeune femme acquiesce convaincue qu’il a raison, et son attention est détournée par l’arrivée de nouveaux venus, qui ne sont autres que sa vraie Mamie et son faux Papy. Puis c’est le tour de Kevin et de Charlotte, cette dernière rabrouant son frère parce qu’il n’a pas pensé à amener un cadeau pour la visiteuse, alors qu’il n’était même pas au courant de sa présence. Et comme la fois précédente, le trio composé de Valérie, de son fils Clément et du caganis Théo est bon dernier, même si contrairement au premier souper ils ne sont pas en retard. 
 Tous les invités sont là, ceux que Anne-Lise ne connaissait pas lui ont été présentés, et la soirée peut commencer...
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