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Thérapie familiale

Chapitre 76

Une nouvelle Valse des Bergers

Avec plusieurs hommes
Jade en voyant Anne-Lise revenir constate qu’elle n’arrive pas à marcher normalement, car elle se déplace avec une certaine raideur au niveau du bassin, c’est pourquoi elle lui demande pleine de sollicitude :
 ― Ça va, Man ? ― Oui mon Amour. C’est juste que mon corps est beaucoup moins souple, que quand…
 Elle laisse sa phrase en suspens, et sa fille après avoir souri lui demande :
 ― Que quand t’étais belle, jeune et insouciante ? ― Exactement. Et ce n’est pas que je cherchais mes mots à cause de la vieillesse, mais juste que je ne voulais pas que tu ne me reproches à nouveau de ressasser. Pourtant c’est un fait que plus on prend de l’âge, et moins notre corps accepte les excès. Ou alors, il met plus de temps à récupérer. Ceci dit je ne regrette rien, car ça valait la peine de me faire déchirer le cul de cette manière. J’ai joui comme un dingue.  ― Ça, je crois qu’on s’en est tous rendus compte. Mais tu vas pouvoir retourner à ma Cabane, après le repas ? ― Bien entendu. Dans quelques heures il n’y paraîtra plus, en tout cas je l’espère. En attendant, je vais aller manger un peu pour reprendre des forces. 
 C’est à ce moment-là que Belle qui avait disparu afin de vivre sa vie réapparaît pour quémander des caresses, dans un premier temps, et elles vont toutes les trois en direction de la grande table qui est la réplique de celle qu’il y a chez Damien, sur laquelle de la nourriture a été disposée en abondance. Comme la fois d’avant il y a toutes sortes de salades, de pâtes, de riz, de lentilles et de pommes de terres, mais également de la charcuterie.
 Stéphanie elle aussi prévenante, apporte à la maman un coussin et lui dit :
 ― Tiens ma Grande. Car si je sais que tu es un peu maso sur les bords, ça ne sert quand même à rien de souffrir inutilement. 
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 Alors que la plupart des convives sont restés debout les deux femmes s’assoient côte à côte sur l’un des deux bancs, et tandis qu’elles se servent copieusement de la terrine, qu’elles vont déguster en la mettant sur du pain tout frais en les accompagnant de cornichons, Aurélie vient s’installer en face d’elles une assiette de ratatouille à la main, et leur demande :
 ― Je ne vous dérange pas, j’espère ?
 Tandis que Jade regarde sa Man pour voir de quelle manière elle réagit, cette dernière répond après avoir esquissé un sourire :

 ― D’autant moins, que j’ai entendu dire le plus grand bien à ton sujet.  ― Je pourrais dire la même chose de toi, mais je pars du principe que la meilleure façon de se faire une opinion sur une personne, c’est d’apprendre à la connaître personnellement. C’est la raison pour laquelle je suis venue.  ― C’est un principe très sage. Alors si ça ne te dérange pas, j’aimerais te poser une question par rapport à ton métier.  ― J’ai la réputation d’être franche, comme toi d’après ce qu’on m’a dit. Donc, j’y répondrai donc en toute honnêteté.  ― C’est justement de ça dont il s’agit. Comment est-ce que tu fais, pour défendre une personne à partir du moment où tu sais qu’elle est coupable ? ― La grande question morale, que beaucoup de gens se posent. Il faut tout simplement partir du principe, que tout le monde à droit à un avocat pour assurer sa défense. Car si c’était réservé aux innocents, ça ne serait qu’une parodie de justice. De plus, dans certains cas le doute est permis, et le but d’un procès est justement de déterminer l’innocence ou la culpabilité.  ― Je suis d’accord. Mais dans le cas où tu défends quelqu’un que tu sais coupable, et que tu gagnes ton procès, tu te sens comment après ? ― Eh bien, pour se sentir moins mal on se dit que c’est le juge, ou les jurés quand il s’agit des assises, qui ont tranché. Et si ce n’est pas suffisant, on quitte le droit pénal pour une autre spécialité. Car il y a toutes sortes d’avocats, et pas seulement ceux qui plaident pour des affaires de meurtres ou de viols. 
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 À ce moment-là Anne-Lise sourit, et Aurélie dit à Jade non sans humour :
 ― On dirait que je viens de réussir mon test d’aptitudes, ma Toute Douce. 
 Et c’est ensuite la maman, qui s’adresse à sa fille :
 ― Tu avais raison, mon Amour. Cette jeune femme est très bien, et elle me plaît. 
 Elles éclatent toutes les trois de rire, Chloé vient les retrouver en amenant avec elle une bouteille de vin, et elle dit à la plus âgée :
 ― J’ai cru entendre tout à l’heure que t’aimes le rouge, Man, alors je t’en ai apporté. 
  Cette dernière ne se formalise pas de s’entendre appeler d’une manière qui est normalement réservée à ses enfants, et elle répond après avoir souri :
 ― Effectivement, et je te remercie. Car à partir du moment-où on n’en abuse pas, c’est bon pour la santé. 
 Les quatre femmes continuent à discuter tranquillement tout en se restaurant tandis que la soirée suit son cours, puis Aurélie leur annonce :
 ― Si ça ne vous ennuie pas, je vais aller m’allonger sur le Banc d’Amour. Car à ma connaissance, aucun de ces repas ne s’est déroulé sans qu’il y ait une Valse Des Bergers, et ce serait dommage de rompre avec la tradition. 
 Chloé demande aussitôt :
 ― Parce que ce que Renarde à fait tout à l’heure, ça compte pas ?
 C’est l’intéressée qui répond : 
 ― Pas vraiment, puisqu’il ne sont pas passés par ma bouche. Quand bien même il y en aurait qui ne seraient pas de cet avis, rien n’interdit d’en faire une deuxième.
 Puis Jade intervient à son tour :
 ― Moi ce qui m’étonne, c’est que Mamie y soit pas déjà allée. 
 Effectivement la bonne grand-mère a l’air de passer une soirée tout à fait ordinaire, enfin pour une nudiste, et c’est encore Anne-Lise qui donne la réplique :
 ― Si tu veux mon avis, elle a dû s’en donner à cœur joie tout au long de la journée. Et même si nous avons tous hâte de recommencer après une bonne partie de jambes en l’air, chaque corps a ses propres limites.  
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 Après ces paroles pleines de bon sens l’avocate va prendre place sur le siège qui a une forme particulière, mais contrairement à sa nouvelle amie un peu plus tôt, elle pose ses fesses sur l’arrondi du bas et l’arrière de son cou sur celui du haut. Cependant sa position étant donné qu’elle a largement ouvert les cuisses, indique clairement qu’elle n’est pas venue là pour piquer un roupillon, et ce sont cette fois les bergers les plus âgés qui s’approchent d’elle. 
 Damien dont le sexe s’est déjà dressé, probablement pour faire valoir son droit d’aînesse demande à la jeune femme :
 ― Tu veux la danse classique, Pouliche ? ― Oui Vieil Ours, j’ai envie de me faire pistonner le con. 
 Il se met à genoux entre ses jambes sans attendre, les soulevant tout en les écartant un peu plus après avoir placé ses mains sous ses genoux, puis sans formalité il s’enfonce en elle. Pendant ce temps Djouba est venu se mettre dans la même position que lui mais sur le côté d’Aurélie, de manière à ce que sa poutre elle aussi dressée soit à la portée de la main gauche de la pensionnaire, et Alain qui est resté debout présente son gland qu’il a décalotté devant sa bouche, tandis que Laurent ferme la ronde en face de Djouba, lui aussi à genoux. 
 Jade qui les observe avec intérêt, constate que la seule différence majeure d’avec le moment-où elle s’est retrouvée dans la même situation, est qu’il n’y a aujourd’hui qu’une seule femme. Mais il y en a également une autre, qui est que tous les hommes sont cette fois arrivés en même temps. Elle en déduit que pour elle, ils étaient venus les uns après les autres afin de ne pas l’effaroucher. 
 Sinon tout se déroule comme elle l’a déjà vu, et même plus vu qu’elle a participé, puisque sans qu’elle ait remarqué quel signal ils se sont donné, les bergers au bout d’un moment se déplacent tous en même temps. Le photographe se faisant à présent masturber, le sculpteur sucer, le savetier lui aussi branler, et le boulanger a introduit sa baguette dans le four chaud et humide de l’avocate. 
 Au bout d’environ deux minutes a lieu une nouvelle rotation, puis encore une autre après une durée à peu près identique, ensuite il y a une courte pause tandis que le jeune femme a son premier orgasme, et ils recommencent à tourner. Trois des hommes chacun leur tour réussissent à éjaculer dans sa bouche, et alors qu’elle a joui une deuxième fois il ne reste plus que le colosse africain en lisse, qui entreprend de la besogner sans ménagement. 
 Bien que peu de paroles aient été échangées il lui a bien entendu demandé son avis au sujet de la rudesse, et Aurélie y prend un plaisir évident puisque si jusqu’à présent ses gémissements étaient restés relativement discrets, ils ont gagné en puissance, en quantité, mais également en intonation car ils sont montés dans les aigus. Elle finit pas avoir un troisième orgasme en poussant un feulement, tandis que le géant noir se vide en elle en grognant.   
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 Si certains se sont intéressés à la scène d’autres ont continué à manger et le repas suit tranquillement son cours, mais vient le moment que redoute un peu Jade, vu que Clément se met à rouler le premier joint de la soirée après s’être assis au bout de la table. Une fois qu’il l’a terminé puis allumé le cône commence à tourner, tandis qu’il déjà a entrepris d’en confectionner un deuxième. La jeune femme est tout de même épatée, lorsqu’elle voit sa Man qui est plus près qu’elle du cultivateur de cannabis, prendre sans hésiter la cigarette pour la porter à sa bouche et tirer dessus. Après avoir aspiré plusieurs fois la fumée prétendue nocive par certains et bienfaitrice par d’autres, elle se tourne vers sa fille et lui dit :
 ― Si tu en as gardé un trop mauvais souvenir, tu n’es pas obligée de faire comme nous. Mais dans le cas contraire, souviens-toi de ce que je t’ai expliqué. Tu tires trois fois dessus, tu passes à ton voisin, et tu attends que les effets aient commencé à se dissiper avant de recommencer. Et si on t’en présente un nouveau ou le même avant, tu passes ton tour et tu le fais directement circuler. Car non seulement nous ne réagissons pas tous de la même manière, mais il y en a aussi qui sont plus habitués que d’autres. 
 Tandis que Jade hoche la tête pour signifier qu’elle a compris, la main légèrement tremblante elle prend le joint pour le porter elle aussi à sa bouche. Clément pour faire le malin, y va de son commentaire :
 ― Je lui ai dit, que le problème venait d’elle et pas de ma production. Mais elle a pas cru voulu me croire.
 Anne-Lise qui n’est pas encore stone le foudroie du regard, et réplique d’une voix tranchante :
 ― J’en ai corrigé de plus costauds que toi !! Alors si tu ne veux pas repartir d’ici le cul tout rouge pour avoir rendu ma fille malade, tiens toi à carreau, mon garçon !
 Le silence se fait instantanément autour de la table, et Valérie qui a assisté à l’échange est devenue toute blanche, prête à intervenir pour défendre son fils dont le visage a pour sa part pris la teinte d’une pivoine. Cependant, un regard lourd de conséquences de la part de Nadine la retient. Intelligente, la professeure a compris qu’elle a affaire à des louves, que Renarde qui en cet instant porte mal son surnom est une Alpha prête à tout pour protéger sa petite, et que Brebis en cas de conflit surveillera ses arrières, probablement aidée par d’autres. C’est la raison pour laquelle bien qu’étant une dominante, ou se prétendant comme telle, elle baisse la tête en signe de soumission.  
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 Jade pour sa part n’a jamais vu sa Man énervée avant aujourd’hui, puisque même quand elle s’est retrouvée en face du gros dirlo de son lycée, elle était restée d’un calme olympien. C’est pourquoi elle pose sa main libre sur l’épaule maternelle dans un geste qui se veut apaisant, et c’est Aurélie remise de sa valse qui détourne l’attention en disant :
 ― Nous sommes tous un petit peu responsables. Car il n’y a pas qu’au niveau du sexe, qu’il est de notre devoir d’éduquer nos jeunes. La fumette, ça s’apprend aussi. 
 Anne-Lise tourne lentement la tête dans sa direction, elles se fixent quelques instants du regard, puis elle répond :
 ― En même temps, c’est pas faux. 
 Sans crier gare les deux femmes éclatent de rire à l’unisson, et ceux qui avaient retenu leur souffle s’attendant à ce qu’un orage éclate, recommencent à respirer. Lorsque Jade soulagée se tourne vers Laurent assis lui aussi à côté d’elle, pour lui donner le cône après avoir tiré trois fois dessus et pas une de plus, il lui fait un clin d’œil et elle sourit en se souvenant qu’il lui a raconté, qu’il était bien content que sa Man ne se soit jamais mise en colère après lui. 
 Notre Petite Belette remarque un peu plus tard, que si les hommes restent le dos tourné après s’être éloignés pour aller toujours au même endroit dans le but de se vider la vessie, les femmes par contre se retournent avant de se mettre accroupies les cuisses largement écartées, pour se soulager sans complexe face à l’assistance. Sans qu’elle sache si elles ont reçu des consignes, ou si elles se comportent de cette manière de leur propre initiative.   
 Le rassemblement se poursuit sans autre incident, quelques actes sexuels ont lieu en public mais pas tous, car certaines des personnes présentes disparaissent discrètement pendant un petit moment, avant de revenir sans se faire remarquer plus, et l’ambiance redevenue bonne le reste. Suivant les conseils de se Man Jade tire sur plusieurs joints mais de manière espacée, si bien que contrairement à la première fois qu’elle a fumé elle n’est pas malade, mais se sent calme et détendue comme si plus rien ne pouvait l’atteindre. 
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 Alors qu’il fait à présent nuit noire, Jade assisse sur le banc en train de contempler les autres membres de la communauté d’un air rêveur, sursaute lorsque Anne-Lise pose doucement une main sur son épaule, et lui dit :
 ― Il nous faut penser à rentrer, mon Amour. Car tout à l’heure je dois repartir pour Meyreuil, alors il vaudrait mieux que je dorme un peu. Tu vas pouvoir marcher ?
 Bien qu’étant légèrement stone la jeune femme a compris que la soirée est déjà bien avancée, puisqu’elle vient d’apprendre que ce n’est plus le même jour, et elle répond d’une voix pâteuse en se tournant vers celle qui l’a mise au monde :
 ― C’est plutôt moi qui devrais te poser la question. T’as encore mal au cul ? ― Je ne suis pas en état de courir, mais pas non plus handicapée au point de rester sur place.  ― Ok, alors je vais boire un coup d’eau, et après on partira. Mais même si y a un beau clair de lune, on aurait dû penser à prendre une lampe.  ― T’inquiète. Laurent va nous en prêter une, et il la récupérera demain. 
 C’est ainsi qu’après avoir pris congé de leurs hôtes et de Belle elles se mettent en chemin, leurs chapeaux vissés sur la tête et leur bâtons de bergères à la main. La plus jeune qui porte le falot dispensant un halo de lumière sur environ trois mètres autour d’elles, constate satisfaite que sa Man arrive à présent à se déplacer normalement. Et si ses propres pas sont au départ hésitants, marcher l’aide à avoir les idées plus claires et elle ne tarde pas à retrouver son état normal. 
 Elles ont parcouru environ un kilomètre, lorsque Anne-Lise dit à Jade :
 ― On va faire une petite pause, car j’ai envie de pisser.  ― C’est marrant, car maintenant que t’en parles moi aussi. C’est sûrement à cause de la flotte, que j’ai bue avant de partir. 
 Tandis qu’elle pose la lampe sur le sentier qu’elles sont en train de suivre, sa Man qui s’est délestée de son bâton s’en éloigne de deux pas avant de se mettre accroupie face à la lumière, en ouvrant largement les cuisses. Ensuite elle écarte ses grandes lèvres puis leurs petites sœurs, et elle vide sa vessie devant elle sans en éprouver la moindre gêne, poussant au contraire un soupir qui exprime sa satisfaction. 
 Tandis qu’un flot de liquide ambré jaillit faisant des éclaboussures sur le sol, la fille hésite à faire comme sa maman, puis elle se dit qu’après ce qui s’est passé entre elles sa pudeur est ridicule. Alors elle adopte la même position, ouvre le passage avec des gestes identiques, puis elle se laisse aller au plaisir modeste mais indéniable de se soulager complètement nue en pleine nature. 
 Lorsqu’elles ont terminé elles se sourient, elles se relèvent, puis leurs bâtons à nouveau en main ainsi que la lampe pour la plus jeune, les deux bergères reprennent leur marche en direction de la Cabane. Une fois qu’elles y sont arrivées Jade hisse son pavillon orange, afin de signaler à un éventuel observateur que sa Man et elle sont bien rentrées mais n’ont pas envie d’être dérangées, puis fatiguées par leur soirée elles vont se coucher ensemble dans le lit, et ne tardent pas à s’endormir dans les bras l’une de l’autre. 
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