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Thérapie familiale

Chapitre 77

Rouge, mais pas de honte.

Avec plusieurs hommes
Quand Jade se réveille le lendemain-matin elle se sent bien et sa Man dort encore, ce qui la fait sourire car lorsqu’elles sont dans leur maison à Meyreuil, c’est toujours la chef de la famille qui est debout la première, se levant aux aurores. Mais ici dans les Cévennes c’est sa fille qui quitte le lit, en essayant comme pour la sieste qu’elles ont faite la veille de ne pas trop le faire bouger, afin de ne pas déranger la belle endormie. Car belle elle l’est incontestablement, et encore plus à présent alors que les traits de son visage sont parfaitement détendus. 
 Au moment-où elle a quitté sa couche la jeune femme reste quelques instants indécise, car elle se dit que si elle sort de quoi faire le petit déjeuner cela va faire du bruit. Elle ne peut pas pour la même raison aller chercher ses appâts pour la pêche qui se trouvent dans le garde-manger souterrain, alors elle va dehors plus désœuvrée qu’autre chose, car après s’être gavée la veille elle n’a pas vraiment faim.  Une fois à l’extérieur elle s’installe dans une chaise longue, profitant de la toute relative fraîcheur matinale, et elle en profite pour réfléchir à ce qu’est devenue sa vie, mais surtout à ce qu’elle sera quand elle retournera à la civilisation. Car elle a quitté le lycée encore vierge, mais va entrer à la fac avec une grande longueur d’avance au niveau de l’expérience sexuelle, sur ceux qu’elle y fréquentera. Est-ce que les garçons qui l’ont surnommée La Vierge de Glace parce qu’elle repoussait timidement leurs avances, se rendront compte qu’elle a beaucoup changé à l’intérieur ? Et d’ailleurs, est-ce que maintenant qu’elle a gagné en assurance, cela se remarquera dans son comportement ? Des questions pour lesquelles elle n’a pour l’instant aucune réponse, mais qui ne l’inquiètent pas pour autant titillant juste sa curiosité. 
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 C’est ainsi que Anne-Lise trouve sa fille quand elle sort à son tour de la maisonnette, alanguie sur son siège, et elle lui demande après lui avoir souri :
 ― Alors, tu as pris ta décision ? ― Quelle décision ? ― Au sujet de la correction, que je t’ai demandée de me mettre. 
 La jeune femme rougit légèrement, avant de répondre :
 ― J’avais complètement zappé. Mais si t’en as envie, je vais te faire ce plaisir.  ― Il ne faut surtout pas que tu te sentes obligée, mon Amour.  ― Tout ceux qui t’ont connue quand t’avais mon âge, prétendent qu’on est pareilles et pas que physiquement. Si c’est vrai, tu dois savoir que si ça me posait un problème, je le ferais pas. 
 La maman sourit à sa fille, ensuite elle lui dit :
 ― On ne t’a pas menti, et de toute évidence tu es en train de devenir comme je suis aujourd’hui, beaucoup plus rapidement que moi à l’époque. J’espère seulement que tu ne tomberas pas dans l’excès, car lorsqu’on exerce un pouvoir sur les gens, la tentation d’en abuser est parfois grande. ― Tu parles de ce soi-disant charisme, que d’après Chloé j’aurais hérité de toi ? ― Effectivement. Tu l’as en toi, même si de toute évidence tu ne t’en rends pas encore compte. 
 ― Comme elle m’a expliqué, c’est le pouvoir de séduire sans l’avoir voulu. Alors je vois pas en quoi c’est mal, d’être aimée.  ― Ce qui est mal ce n’est pas d’être aimée, mais d’en profiter.
 Jade répond, après s’être levée pour faire face à sa mère :
 ― C’est les gens mauvais, qui profitent de ceux qui les aiment. Et moi je ferai jamais ça ni avec toi ni avec personne d’autre, tu le sais bien. 
 Puis elle ajoute, après avoir souri :
 ― Sauf bien entendu quand on sera dans un donjon, ici où à la maison, et que tu m’auras demandé de le faire. 
 C’est au tour de la maman de rougir, et elle ne réplique pas ne sachant plus quoi ajouter.
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 Les deux femmes ont décidé d’aller prendre leur repas matinal chez Damien, convaincues que ce dernier n’aura pas l’idée de s’en plaindre, alors elles se mettent en route après que Jade a baissé son fanion, et qu’elles sont allées dire au revoir à Louve ainsi qu’à ses petits. Même si l’une d’entre elles et peut-être bien les deux, à très envie de monter dans le grenier de la Bergerie vers laquelle elles se dirigent, elles avancent tranquillement leur chapeaux de paille sur la tête et leurs bâtons de bergères à la main, profitant de sentir leurs gros seins se balancer doucement au rythme de leurs pas. Ce qu’elles apprécient toutes les deux. 
 Une fois sur place elles sont accueillies par Nadine qui visiblement a arrêté son vagabondage, pour passer la nuit chez son oncle. La maman et sa fille ne demandent pas à la grand-mère ce qu’elle a fait de sa journée de la veille, estimant que cela ne les regarde pas, et elles prennent toutes les trois leur petit-déjeuner attablées à la cuisine. Par contre, Jade demande alors qu’elles ont presque terminé :
 ― Il est passé où, Papy ?
 C’est sa Mamie, qui lui répond :
 ― Il est parti chez Alain, mais ne devrait pas tarder à revenir. Car il m’a dit qu’il ne traînerait pas. 
 Anne-Lise fait alors à sa fille, en rougissant légèrement :
 ― On devrait peut-être se dépêcher de monter, avant son retour. ― De quoi t’as peur ? Si au contraire il est là avec l’interdiction de nous suivre, y pourra pas nous surprendre comme je l’ai fait hier avec vous. 
 La bonne grand-mère qui a compris de quoi il retourne, même si elle ne sait pas de quelle manière les rôles ont été attribués, leur fait remarquer :
 ― Moi je n’ai pas l’intention de bouger, alors je le préviendrai qu’il n’a pas intérêt à venir vous retrouver. 
 Puis elle ajoute, après avoir souri :
 ― Surtout si l’une de vous deux, tient une cravache à la main. 
 Si elle comprend en constatant que c’est sa propre fille, dont le beau visage avait retrouvé une teinte normale et s’est empourpré à nouveau qui va être corrigée, elle ne fait pas de commentaire. Même si elle est épatée, que par contre sa petite-fille reste parfaitement sereine. 
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 Les deux femmes montent au grenier et si Jade attache Anne-Lise avec des gestes hésitants, après que cette dernière se soit penchée en avant pour poser le cou et les poignets sur les emplacements creusés du pilori, qu’elle a elle-même ouvert, c’est surtout parce que c’est la première fois que la jeune femme manipule le mécanisme de ce meuble, d’un genre très particulier. Quand elle a terminé et que sa Man a écarté les pieds l’un de l’autre, elle se renseigne :
 ― D’après ce que Papy m’a expliqué pour essayer de me convaincre, c’est toi qui dois fixer tes limites. Alors il faut que tu me dises ce que j’ai le droit de te faire, et surtout ce que j’ai pas le droit.  ― Je veux que tu me mettes une fessée, assez appuyée, en me caressant la figue de temps en temps. Et quand mon cul sera bien rouge, tu me fisteras par le vagin. 
 La maman reçoit aussitôt une bonne claque sur les fesses qui la fait sursauter et crier de surprise, pour ensuite s’entendre ordonner :
 ― Tu veux jouer ?! Alors tu dois tenir ta place ! Tu fais ta fière parce que tu as tous les hommes à tes pieds, mais ici tu n’es qu’une grosse chienne qui va être punie pour son arrogance ! Par conséquent tu vas me vouvoyer et m’appeler Mademoiselle, tant que tu seras attachée. Et ensuite tu n’auras aucune exigence, mais juste des implorations ! C’est compris ?!
 La prisonnière ne réagit pas tout de suite, probablement scotchée parce qu’elle ne s’attendait pas à ce que les choses se passent comme ça. Elle reçoit une deuxième tape plus appuyée qui lui provoque la même réaction, aussitôt suivie d’une exclamation :
 ― Tu as compris, bestiasse ?!?!
 Elle répond alors, d’une petite voix :
 ― Oui Mademoiselle. Votre grosse chienne vous supplie de la corriger, et ensuite d’enfoncer votre poing dans son con.
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 Jade qui contrairement a ce qu’elle aurait pensé est en même temps amusée et excitée par ce qui est en train de se passer, sourit pour elle-même étant donné que sa Man ne peut pas la voir. Bien qu’elle ait conscience que pour elle le plus dur reste à faire, puisque malgré tout l’amour qu’elle lui porte elle va devoir faire mal à celle qui l’a mise au monde. Cependant elle ne se démonte pas, car si elle n’a jamais eu l’occasion de mettre de fessée auparavant elle en a reçu une récemment, et elle a aussi eu tout le loisir d’observer son Papy. C’est pourquoi elle ne considère pas la chose comme étant anormale, et elle est bien décidée à passer à l’acte. 
 C’est ce qu’elle ne tarde pas à faire et au départ elle va lentement, prenant le temps d’ajuster les claques qu’elle administre, de manière à les répartir sur toutes la surface du beau cul maternel, tout en les appuyant assez pour qu’elles laissent des marques rouges. Puis lorsqu’elle a pris de l’assurance elle gagne en rapidité, mais sans pour autant faire preuve de précipitation, étonnée de prendre plaisir à entendre les plaintes qu’elle provoque à sa captive. 
 Lorsque la croupe a pris une belle teinte unie elle fait une pause pour caresser la vulve maternelle, en profitant pour se reposer le bras mais aussi pour se tripoter l’entrejambe de l’autre main. Puis quand elle constate que sa maman a commencé à produire de la mouille tandis que ses geignements ont repris, mais sur une autre tonalité car les sensations qu’elle lui procure à présent sont toutes autres, elle recommence à la corriger mais cette fois en changeant de tactique. 
 En effet, si les claques qu’elle donne ont toujours la même force elles s’abattent à présent de manière aléatoire, que ce soit au niveau de l’endroit ou de la cadence, puisqu’elle s’efforce de laisser s’écouler un temps différent entre chacune d’entre elles. Elle a par conséquent le plaisir de voir sa Man sursauter quand elle ne s’y attend pas, ce qui augmente encore son excitation.
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 Anne-Lise ne demande pas grâce, sans que Jade sache si c’est par fierté ou parce qu’elle en veut plus. C’est pourquoi en partant du principe que c’est elle la maîtresse, elle décide d’arrêter mais en se renseignant pour la suite, sans avoir l’air d’y toucher. Enfin au sens figuré du terme, étant donné qu’elle caresse à nouveau la vulve maternelle encore plus mouillée qu’avant, tout en tripotant de son autre main la sienne qui n’a pas grand-chose à lui envier. Elle demande à sa captive :
 ― Tu as aimé ça, hein ma grosse chienne, te faire tanner la peau par ta propre fille ? ― Oui Mademoiselle. Vous m’avez traitée comme je le mérite, et j’ai adoré vous satisfaire.  ― Et maintenant, tu as envie de te faire enfiler comme une femelle en chaleurs, pas vrai ? ― Oui Mademoiselle, j’ai très envie de me faire enfiler pas vous. 
 La jeune femme pose une autre question sur un ton légèrement ironique, tout en caressant cette fois l’anus maternel :
 ― Et si je passais par là ?
 Elle sent l’œillet palpiter sous son doigt, ce qu’elle pense être un signe d’acceptation bien qu’il n’y ait pas de réponse, pourtant elle ajoute comme si elle se parlait à elle-même :
 ― Finalement non. La Poutre de Djouba a ouvert le passage hier, alors ça ne serait pas drôle. 
 Elle commence par enfiler deux doigts dans le vagin par lequel elle est venue au monde, mais ne sentant aucune résistance elle y ajoute les autres, collant son pouce contre sa paume, et elle enquille sa main qui s’enfonce lentement, grandement aidée par la lubrification naturelle déjà produite. 
 Toujours en essayant de ne pas laisser paraître son trouble, car si elle est toujours excitée elle est également à présent légèrement inquiète, elle demande alors qu’elle a stoppé sa progression :
 ― Tu la sens bien, hein ? Tu en veux plus ?
 La réponse ne se fait pas attendre, même si elle est entrecoupée de geignements : 
 ― Oh oui hum, Mademoiselle, mettez-là moi hum, en entier... 
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 Jade à présent rassurée, décide d’entrer à fond dans son rôle de composition :
 ― Mais ça ne se passe pas comme ça, et tu le sais bien. Quand une soumise veut que sa maîtresse lui donne du plaisir, elle doit d’abord la supplier. 
 Anne-Lise a une brève hésitation, sans que sa fille sache si c’est parce qu’elle est allée trop loin ou qu’elle ne sait pas quoi répondre, mais elle finit par lâcher : 
 ― Je vous en supplie, Mademoiselle. J’ai été une mauvaise femme, mais je vous promets qu’à partir de maintenant je ferai tout pour vous satisfaire. Alors faites jouir votre grosse chienne, et elle vous remerciera en vous léchant les pieds. 
 La jeune femme sourit en constatant que sa Man joue elle aussi le jeu à fond, et sa main recommence lentement à s’enfoncer tandis que les geignements reprennent. Lorsqu’elle l’a pénétrée jusqu’au coude elle fait lentement quelques allers et retours, puis ayant constaté que son membre coulissait plus librement tandis que les geignements se sont transformés en râles, elle décide de fermer la main. 
 Quand elle plie la première phalange elle sent une résistance au niveau de la paroi du vagin, mais n’entend aucune protestation de la part de celle à qui il appartient, alors elle fait pareil avec la seconde puis la troisième, tandis que son pouce vient trouver sa place contre son index. Ensuite elle fait coulisser avec précautions son poing tout en le faisant tourner, et une fois qu’elle le sent bouger plus facilement elle augmente un peu la cadence, tandis que sa Man émet des sons de plus en plus rauques. 
 La captive finit par être emportée par un orgasme très puissant, si sa fille en juge la plainte d’agonie qu’elle pousse, et elle est elle-même au bord de la jouissance, étant donné qu’elle n’a pas arrêté un seul instant de se tripoter. C’est la raison pour laquelle elle ne lambine pas au moment de retirer son bras, prenant toutefois la précaution de ne pas être brusque, puis elle fait le tour du pilori pour se retrouver face à sa mère. 
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 Anne-Lise regarde Jade d’un air hagard, et cette dernière bien qu’elle ne soit pas venue pour ça lui présente sa main gluante de mouille, et lui dit :
 ― Lèche !
 La mère s’exécute tandis que sa fille lui caresse le crâne, comme elle le ferait avec un animal de compagnie dont elle serait satisfaite du comportement, puis elle s’approche un peu plus pour que ce soit cette fois sa vulve qui soit à portée de la langue, qui ne manque pas de la nettoyer à son tour. Il ne faut pas longtemps pour que la jeune femme jouisse elle aussi, en poussant un gémissement mélodieux, et au moment de l’orgasme elle colle la tête maternelle contre elle, à l’aide de ses deux mains qu’elle a à présent posées dessus. 
 Lorsqu’elle a repris ses esprits Belette délivre Renarde, qui à sa grande surprise se met immédiatement à quatre pattes, pour venir lui lécher cette fois les parties de ses pieds qui ne sont pas couvertes par ses sabots. Elle en est épatée car elle était convaincue qu’il s’agissait de paroles en l’air, prononcées sous le feu de l’action, ce qui ne l’empêche pas de retirer ses chaussures pour voir jusqu’où celle qui l’a mise au monde, est capable d’aller. La réponse à son questionnement ne se fait pas attendre, puisque la langue va jusqu’à s’insinuer entre ses orteils, ce qu’elle trouve chatouilleux mais agréable, et pour finir sa soumise se met à sucer le plus gros de son pied gauche. 
 Se souvenant que Djouba a fait la même chose à sa Man lorsqu’il l’a sodomisée hier, elle se dit qu’il ne s’agit pas d’une lubie passagère mais d’une pratique en soi, et elle se promet d’approfondir ses connaissances en la matière. Car elle trouve ça en même temps étrange et attirant. Puis pour clore cette séance sado-masochiste incestueuse, la Maîtresse dit à sa soumise :
 ― Tu es une bonne chienne, et je pense que je vais t’adopter.
 L’intéressée toujours à quatre patte redresse la tête, mais son masque d’impassibilité est revenu sur son visage magnifique, et elle répond d’un ton égal :
  ― Nous le ferons autant que tu le voudras, mon Amour. Mais si tu racontes à qui que ce soit ce qui s’est passé ici, je te laverai la bouche avec du savon noir, pour te passer l’envie de recommencer.  
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 Jade sait qu’à présent il s’agit d’un avertissement sérieux, pourtant elle ne se démonte pas et elle demande à Anne-Lise de la même manière, tandis qu’elle l’aide à se relever :
 ― Même à Enzo ? ― Oh il va l’apprendre, sois-en certaine. Mais ce sera à moi de lui en parler, et de l’amener gentiment à nous rejoindre. Enfin, s’il a des dispositions pour ça, car si ce n’est pas le cas nous ne jouerons que toutes les deux. ― Et Clara ? ― Ce sera la même chose, en ce qui la concerne. Ils seront tous les deux mis au courant, car il n’est pas question que nous cachions quoi que ce soit aux membres de notre famille. Et pour ce qui sera d’avoir notre propre donjon, il ne se fera que si ça ne dérange pas ton frère ni ta sœur. Qu’ils aient envie de participer, étant une autre question à poser. 
 Jade sourit en constatant que sa Man considère la copine de son fils comme étant elle aussi sa fille, ce qui ne la surprend pas vraiment. Pas plus que le fait qu’elle a envisagé toutes les éventualités, y compris l’incompréhension que pourraient susciter ses envies et ses besoins, auprès de ses proches. 
 Mais pour l’instant, elle dit à celle qui l’a mise au monde :
 ― Bon, on va aller prendre une bonne douche, et après je te pommaderai le popotin. Car y faut qu’il ait retrouvé sa couleur normale, avant que tu redescendes vers la civilisation. 
 C’est au tour de Anne-Lise de sourire, non seulement en constatant que sa fille a retrouvé son parlé habituel, mais aussi parce qu’elle s’est adressée à elle en étant directive. 
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 Comme elles l’ont décidé les deux femmes prennent une douche ensemble, et si elles se savonnent l’une l’autre, ce qui implique de se toucher même dans les parties les plus intimes de leurs corps respectifs, il n’y a entre elles aucune tension sexuelle mais juste de la tendresse. La fille prenant même des précautions exagérées, après ce qu’elle vient de faire subir à sa maman. 
 Une fois rincées puis séchées, la jeune femme passe de la pommade sur les fesses charnues de celle qui l’a mise au monde, qu’elle trouve toujours aussi belles et espérant avoir les mêmes à son âge, tandis que sa patiente est penchée en avant avec les coudes posés sur le plateau de la table de la cuisine. Elle constate satisfaite que la rougeur s’est considérablement atténuée et ne va pas tarder à disparaître, que car conséquent sa Man va pouvoir marcher toute nue en pleine nature, sans avoir à prétendre qu’elle a pris un coup de soleil. 
 Damien contrairement à ce qu’il avait annoncé n’est pas encore revenu de sa petite virée, ce qui signifie qu’il n’est pas au courant de ce qui s’est passé entre ses deux petites nièces, et comme il n’est que le milieu de la matinée, la maman et sa fille décident de continuer l’initiation aux échecs de cette dernière. Elles découvrent que Nadine dont elles ne s’étaient pas inquiétées de l’absence, s’est installée sous le Grand-Chêne dans une chaise longue, et en train de tricoter. 
 Anne-Lise lui fait remarquer, sur un ton neutre :
 ― Tu as choisi une drôle de place, pour surveiller le retour du Vieil Ours.  ― T’inquiète, j’étais dans la cuisine à compter mes mailles, ou en tout cas à essayer car tes meuglements de vache en train de vêler me déconcentraient, et je ne suis venue ici que quand tu t’es calmée.
 Sa fille rougit légèrement, et elle préfère changer de sujet tout en grimaçant légèrement, tandis qu’elle s’assoit sur l’un des deux bancs :
 ― Et sinon, il faut préparer quelque chose pour midi ? ― Non. Stéphanie avait des restes pour la vie des rats, alors Damien est revenu hier de chez Laurent avec son sac plein de nourriture. 
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