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Thérapie familiale

Chapitre 81

Des fruits, qu'il ne faut pas croquer.

Hétéro
C’est ainsi que la famille Pasquier, La maman, son fils et ses deux filles, quittent la cabane de Jade après que cette dernière a abaissé son fanion, pour signaler à d’éventuels visiteurs qu’il n’y aura plus personne. Ils prennent d’un pas tranquille la direction de la Bergerie de Djouba, les femmes en plus de leurs bâtons de bergères ayant mis leurs chapeaux de paille sur leurs têtes, ce qui avec leurs sabots suédois est la seule chose qu’elles portent, étant donné que comme le veut la tradition sur le plateau, tout le monde reste nu en permanence. 
 Ils discutent de choses et d’autres en marchant d’un pas tranquille, et il ne leur faut pas énormément de temps pour arriver à destination, puisque Anne-Lise qui reste celle qui connaît le mieux la disposition des lieux, leur a fait emprunter un sentier qui les mène directement à l’habitation du Berger. Ce dernier lorsqu’ils arrivent est en train de couper du bois, probablement en prévision de l’hiver, car les bûches qu’il débite sont trop grosses pour aller dans un barbecue. Il transpire légèrement en maniant une cognée que ne lui envierait pas un géant, tandis qu’une lilliputienne blonde est tranquillement assise sur le sol en tailleur, à l’ombre d’un chêne, et en train de lui faire la lecture. 
 C’est en tout cas ainsi que les découvrent Clara et Enzo, puisque les deux autres membres de leur petite troupe les connaissent déjà. La jeune femme quand le colosse africain se retourne en se rendant compte de leur arrivée, et qu’elle voit pour la première fois son membre circoncis aux dimensions hors normes, lâche un oOooh qui en dit long sur ce qu’elle en pense. Lorsque Chloé se lève après avoir posé son livre, le contraste entre sa peau dorée et celle d’ébène de son compagnon est encore plus frappant, en raison de leur différence de taille et de corpulence qui en découle. 
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 Jade s’avance la première en souriant, elle fait la bise au berger alors qu’il s’est penché pour être à sa hauteur, puis elle enlace son amie tandis que sa maman s’approche à son tour mais pour faire l’inverse, et c’est cette dernière qui entame les civilités d’usage :
 ― Mes amis je vous présente mon fils Enzo ainsi que sa petite amie Clara, qui a hérité du doux nom de Louvette, et que je considère également comme ma fille. Mes Amours je vous présente Djouba mais également Chloé qu’on appelle aussi Hermine sur le plateau, et qui est sa pensionnaire. 
 Le colosse fait remarquer, avec sa placidité coutumière : 
 ― Ton garçon, je l’aurais reconnu entre mille et même dans la pénombre, Fille du Feu et de la Glace. 
 Puis il ajoute :
 ― Mais je manque à tous mes devoirs. Désirez-vous prendre un rafraîchissement, après avoir marché en plein soleil ?
 S’ils sont étonnés par sa manière de s’exprimer les deux qui le voient pour la première fois n’en laissent rien paraître, et Chloé après qu’ils aient poliment accepté la proposition part en direction de l’habitation, pour aller leur chercher de quoi se désaltérer. Jade lance alors un regard entendu à sa mère, car elle n’a pas oublié la remarque que cette dernière a faite une semaine plus tôt, au sujet de qui dans ce couple devait mener l’autre par le bout du nez. Après elle suit son amie dans la Bergerie dans le but de l’aider, et une fois qu’elles sont à l’intérieur cette dernière lui dit :
 ― C’est un sacré beau mec, ton frangin. En même temps je suis pas surprise, car c’est vrai qu’y ressemble énormément au type de la photo.  ― C’est pas faux, mais si tu veux mon avis à le comparer sans arrêt, ça va finir par le gonfler. 
 Hermine se renseigne, avec une pointe d’humour :
 ― Comme toi avec ta reum ? ― Non, c’est pas pareil. Man pour moi c’est un modèle, alors même si au début j’avais du mal à l’admettre, je suis assez fière d’être comme elle. Par contre David, c’est et ça restera pour mon Frérot et moi un étranger. Car il a pas envie d’en savoir plus, au sujet de son vrai père. Probablement parce que celui qui nous a élevés, bien qu’y soit le mien nous a pas laissé un bon souvenir, vu qu’y nous a abandonnés comme des vieilles chaussettes. 
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 Tout en discutant les deux amies ont préparé de la citronnade, enfin façon de parler étant donné qu’elle était déjà dans le réfrigérateur et qu’il leur a suffi de l’en sortir, puis de mettre sur un plateau six verres. Ensuite elles ressortent de la maison, la blondinette portant la boisson et la fauvette un plat en olivier chargé de verres. Ce dernier ressemblant comme beaucoup d’autres choses dans ce lieu à une œuvre d’art, puisqu’il a été sculpté avec délicatesse sans rien perdre de sa fonctionnalité. 
 Elles trouvent ceux qu’elles ont abandonné quelques instants sans surprise assis à l’ombre d’un chêne, et en train de discuter tranquillement. En tout cas trois d’entre eux puisque Clara visiblement intimidée reste silencieuse, tout en ne pouvant pas s’empêcher de regarder de temps en temps le membre d’ébène du colosse, en rougissant à chaque fois légèrement alors qu’il est pourtant sagement au repos. Même comme ça elle le trouve impressionnant, au point que Anne-Lise se décide à lui venir en aide, après avoir jeté un regard à son fils pour voir comment il réagit à la fascination de sa copine. Et étant donné qu’il en est lui aussi amusé, la maman explique à sa fille d’adoption avec humour :
 ― Tu sais, si tu as envie de la toucher, il te suffit de demander la permission à celui à qui elle appartient, mon Amour. Et si c’est ce qui te retient, je n’ai jamais vu aucun des bergers du plateau, refuser ce genre de propositions. 
 La jeune femme redresse la tête pour regarder timidement le colosse noir tout en s’empourprant, et elle se renseigne avec la voix qu’elle devait avoir étant petite fille, et qui lui est revenue sans qu’elle s’en rende vraiment compte :
 ― C’est vrai, je peux ?
 Il lui répond très sérieusement, et avec douceur :
 ― À partir du moment où tu en as envie il va de soi que tu le peux, Louvette. Mon serpent ne le montre pas encore car tout comme toi il est réservé, mais il est déjà charmé par ta présence. 
 Puis il ajoute, après avoir souri :
 ― Et tu n’as aucune inquiétude à avoir. Car non seulement il ne mord pas, mais en plus ce n’est pas du venin qu’il risque de cracher. 
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 Clara même si elle est encore un peu rouge n’hésite pas, et elle va se mettre à genoux entre les deux grosses jambes de Djouba, avant de caresser doucement son boudin qui comme par magie prend vie sous ses doigts, puisqu’il commence par prendre du volume avant de dresser lentement la tête. Quand il a atteint sa pleine croissance elle le masturbe lentement avec ses deux mains, tout en léchant le gros gland enroulant sa langue autour, comme elle le ferait avec une boule de glace. 
 Les autres la regardent faire en même temps amusés et attendris, même Enzo, et sans qu’il s’en rende compte sa main va se poser sur les petites fesses de Chloé, qui contrairement à Jade ne s’est pas assise mais se tient debout à côté de lui, peut-être pas complètement par hasard. Car si le jeune femme a fait le service versant de la citronnade fraîche dans les verres distribués par son amie, elle aurait pu ensuite elle aussi prendre place sur un siège.
 Mais elle n’en a rien fait, et pour bien montrer qu’elle apprécie ce contact elle se cambre un peu plus pour augmenter la pression, tout en écartant ses pieds l’un de l’autre de manière à faciliter l’accès à son intimité. Le jeune homme comprenant l’incitation ne tarde pas à poser ses doigts sur le sexe offert pour le tripoter, mais au jugé, car il est très intéressé par Clara qui a écarté les mâchoires en grand, pour arriver non sans difficulté à faire entrer le gros champignon sombre dans sa bouche, tout en continuant à branler sa tige. 
 Pendant ce temps, Anne-Lise confortablement installée dans un fauteuil a elle aussi écarté les cuisses, et tout en se caressant la vulve d’une main alors que de l’autre elle tient sa boisson, elle annonce sur le ton de la conversation à son vieil ami :
 ― Avec mes Petits, on a décidé de venir passer le mois d’Août ici, Djouba des Terres Lointaines. 
 Le berger africain répond après avoir poussé un petit geignement, qui témoigne que ce que son invitée est en train de lui faire ne le laisse pas indifférent : 
 ― C’est une excellente nouvelle, Fille du Feu et de la Glace. Cela nous laissera tout le loisir de déterminer, si je suis enfin arrivé à ton niveau aux échecs. Car je ne te cache pas, que la partie nulle de la semaine dernière m’a laissé sur ma faim. 
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 Jade qui a adopté la même position que sa Man est elle aussi en train de se tripoter, et elle sourit en observant la scène car elle est heureuse de constater que les membres de sa famille, ceux qui viennent ici pour la première fois, ont l’air d’apprécier ses amis. Bien qu’elle n’ait pas de partenaire avec qui s’amuser elle ne se sent pas délaissée pour autant, vu que non seulement depuis qu’elle est arrivée sur le plateau elle a eu plus que sa part de jouissance, mais de surcroît dans sa nouvelle philosophie de la vie, offrir et partager sont devenues deux choses très importantes. 
 C’est d’ailleurs ce que doit penser également celle qui l’a mise au monde et qui lui fait face, vu qu’elles échangent un long regard chargé de tendresse et de satisfaction. 
 Pendant ce temps Chloé a décidé d’attraper le taureau par la corne, puisque se sentant prête elle a fait volte face pour tourner le dos à Clara, qui après avoir essayé de s’enfoncer le gros serpent dans le gosier y a renoncé, et se contente de le téter tout en le caressant avec ses menottes. La blondinette a dans l’idée de venir s’asseoir à califourchon sur Enzo mais en lui faisant face, de manière à le chevaucher, et ce dernier qui n’a rien contre se renseigne tout de même :
 ― Y va tenir le coup, ce siège ? ― T’inquiètes de rien, il a été fabriqué par Djou et comme tout le reste il est à son image, en même temps beau et costaud.
 Puis en se déplaçant avec souplesse elle attrape au passage le membre du jeune homme, qui n’a pas manqué de se dresser, et elle décalotte son gland pour le guider jusqu’à l’entrée de son vagin, qu’elle approche lentement et avec précision. Ayant à présent une jambe de chaque côté de ses cuisses elle s’empale sur son pieu de chair, en poussant un long soupir qui témoigne de la grande satisfaction qu’elle en ressent. 
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 Tandis que Chloé fait lentement l’amour à Enzo, qui en profite pour caresser ses belles petites fesses, Clara décide de changer de tactique et elle baisse la tête tout en pliant le cou, pour aller gober un des deux gros testicules à travers leurs bourses sombres, fripées et débarrassées de leurs poils, tout en continuant à branler lentement le mat qui les surplombe. Djouba semble apprécier cette variation au niveau de son plaisir, puisqu’il caresse doucement sa crinière d’ébène, tout en lui disant entre deux soupirs de satisfaction :
 ― Hum, avec ce dévouement, tu serais à ta place parmi nos pensionnaires, ma petite Louvette noire.
 Au lieu de répondre elle mordille le pruneau qu’elle a dans la bouche, ce qui provoque une petit cri de surprise et probablement de peur mélangées au berger, car il suffirait qu’elle croque dedans pour le faire hurler de douleur. Mais comme elle y a au contraire mis énormément de délicatesse, démontrant une parfaite maîtrise d’elle même, la douleur fugace procure à l’homme un supplément de jouissance, qu’il manifeste par de petits gémissements tandis qu’elle récidive, avant de s’intéresser au deuxième fruit qui est lui aussi à sa portée. 
 Ensuite la jeune femme reprend le gros gland en bouche pour recommencer à le téter, tout en massant cette fois les testicules avec ses petits doigts, ce qui la encore semble plaire énormément à celui qui est le centre de ses attentions. Elle n’y met aucune hâte certaine d’arriver à ses fins, et l’homme qui bénéficie de sa pratique ne semble pas avoir envie de s’en plaindre, car bien qu’ayant une expérience assez fraîche Clara l’a acquise auprès d’une spécialiste, qui n’est autre que Anne-Lise. 
 Cette dernière tout comme sa fille est en train de se masturber en regardant les autres, et elles n’éprouvent aucune frustration de devoir se faire plaisir en solitaire, bien au contraire. En plus de celui bien physique qu’elles ressentent, elles ont également la satisfaction de voir leur proche parent aller lentement vers la jouissance, et en parallèle sa petite copine qui n’est pas non plus très loin de la donner.
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 C’est l’équipe formée par Enzo et Chloé qui gagne cette course qui n’en était pas une, car ils arrivent à l’orgasme en même temps tandis que la jeune femme se cambre pour gémir son plaisir, et qu’il manifeste plus sobrement le sien tout en caressant les petits seins de sa partenaire, après avoir délaissé ses fesses. Djouba ne tarde pas à les rattraper alors que Clara qui a toujours son gland dans la bouche, a bien du mal à avaler son sperme qui semble abondant. 
 Lorsqu’il s’est vidé la jeune femme se relève, elle se précipite vers Jade les joues gonflées, et après s’être penchée en avant en posant ses mains sur les épaules de sa sœur d’adoption, elles échangent leur tout premier baiser de femmes leurs salives se mélangeant à la semence masculine, tandis que leurs langues tournent l’une autour de l’autre. 
 Pendant ce temps Hermine va plus calmement se mettre à genoux entre les jambes de Renarde, et en léchant la vulve de cette dernière elle récolte la mouille qu’elle a produite, se régalant de la boire, ce qui a le double effet de mener son aînée plus rapidement vers la jouissance. Quand elle y parvient, Renarde émet un gémissement clair et mélodieux pour la manifester. Louvette qui a finit de donner sa part de liqueur à Belette fait de même avec elle, afin qu’elle arrive à sont tour à l’orgasme, en poussant un petit cri qui ressemble énormément à celui de sa maman.  
 Clara est la seule à ne pas avoir atteint le plaisir ultime, cependant il ne lui viendrait pas à l’idée de s’en plaindre car non seulement elle n’en a pas été privée jusqu’à présent, mais en plus elle sait que ce n’est en ce qui la concerne que partie remise. C’est la raison pour laquelle une fois qu’elle est à nouveau debout elle fait face au berger africain, qui est resté tranquillement assis, et elle lui demande toute timidité à son égard envolée :
 ― Y paraît qu’y a plein de belles choses à voir, dans ta maison. T’as pas envie de nous les faire voir ?
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 La colosse se lève avec une souplesse étonnante pour ses cent-vingt kilos, ensuite il lui répond :
 ― Tu sais, il s’agit juste de morceaux de bois que j’ai taillés pour passer le temps, alors ça n’a rien d’extraordinaire. Mais si ça peut te faire plaisir, je n’ai rien contre l’idée de vous les montrer, à Enzo et toi. 
 Jade sourit tout en se demandant s’il est modeste à ce point, mais sa maman qui a elle aussi quitté son siège met un terme à son interrogation, en allongeant une claque sonore sur les fesses noire et musclées de son ami de longue date, puis en lui disant :
 ― Arrête de faire ta chochotte, Djouba des Terres Lointaines. Non seulement ça ne va pas avec ta stature, mais en plus nous savons tous les deux, que tu es fier de certaines de tes œuvres. ― J’ai juste dit ça afin que notre Louvette ne soit pas déçue, Fille du Feu et de la Glace, car tout le monde n’apprécie pas mon travail. 
 Elle lui lance un regard chargé d’ironie qui le fait sourire, avant de répliquer :
 ― Même si je doute que ce soit le cas, je ne vois pas qui aurait le courage ici ou ailleurs, de critiquer tes réalisations en te regardant dans le blanc des yeux.  ― Mince, moi qui croyais qu’ils se comportaient avec moi de cette manière par pure courtoisie, je suis on ne peut plus désappointé. 
 Cet échange verbal a eu lieu sous les regards amusés des quatre jeunes, qui même s’ils ne connaissent pas l’un ou l’autre depuis bien longtemps, ont compris qu’il y a une grande complicité entre leurs deux aînés et qu’ils sont en train de se taquiner. Et étant donné que personne n’a rien à ajouter, la petite troupe se met en mouvement pour aller dans la Bergerie. 
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 Une fois dans la cuisine, car les pièces même si elles n’ont pas les mêmes dimensions sont disposées à peu près comme dans la maison de Damien, Clara tombe en arrêt devant l’éléphant de soixante-dix centimètres de haut qui n’a pas bougé d’un millimètre depuis la dernière fois, et est donc toujours sur le sol à la même place. Elle s’exclame, une fois revenue de sa surprise :
 ― C’est ça que t’appelles un morceau de bois, juste taillé pour passer le temps ?! Il est magnifique cet animal, et je le verrais bien dans mon salon !
 Enzo même s’il est lui aussi impressionné, intervient avec humour :
 ― Tu veux parler du salon de tes parents, de celui de Man, ou de celui que Nous aurons un jour ?
 Il a volontairement appuyé sur le pronom personnel pour signifier qu’il aura son avis à donner le moment venu, et même si de toute évidence il n’aurait rien contre l’idée de posséder une sculpture comme celle-là, cela ne l’empêche pas de préciser :
 ― Parce que moi dans le nôtre je verrais plutôt une louve, puisque c’est le petit nom qu’on te donne par ici, et que je trouve qu’il te va très bien.  ― Tu penses à une Louvette noire ? ― Hum oui, et pourquoi pas en train de se faire prendre par un mâle brun ?
 Anne-Lise y va de sa remarque :
 ― Entre ma fille, qui aimerait mettre sur les murs des photos de nous nues, avec un agneau dans les bras, et mon fils qui voudrait qu’on y ajoute des statues d’animaux en train de s’accoupler, je crois que je n’oserai plus inviter personne dans ma maison. 
 Jade fait remarquer, sur le ton de la plaisanterie :
 ― Où alors, que des gens qui comprennent quelque chose à l’art. 
 Puis Chloé se renseigne :
 ― T’as déjà sculpté des gens ou des bêtes en train de baiser, Djou ? ― Je n’y ai jamais pensé, Souricette. Et c’est peut-être parce que selon moi, l’acte sexuel c’est avant tout un mélange de sensations et pas quelque chose de figé. Ce serait par contre un exercice assez intéressant à réaliser, mais comme l’a si bien souligné notre Renarde, la difficulté serait ensuite pour le commanditaire d’exposer le résultat sans choquer personne.   
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 Ils en restent là au sujet de cette idée et ils vont ensuite dans la grande pièce qui fait office de salon, à l’intérieur de laquelle les nouveaux venus découvrent les autres sculptures. Et si Clara s’intéresse surtout aux animaux qu’elles représentent, en particulier le cerf mesurant un mètre de haut cors compris, le grand tétras grandeur nature qui fait la roue, l’aigle et l’éléphanteau joyeux qui la fait sourire, Enzo lui semble fasciné par les jeux d’échecs. Surtout celui avec les pièces en ébène et en ivoire, dont toutes les figurines humaines sont nues et façonnées dans les moindres détails.
 Pour terminer ils vont à l’étage où se trouve l’atelier de l’artiste, avec ses trois établis ainsi que ses râteliers sur lesquels sont rangés les outils de sculpteur, et si la bâche qui recouvre la pièce d’un cinquantaine de centimètres de haut toujours en cours de réalisation a été déplacée, elle n’a pas cessé de la dissimuler. Jade bien qu’elle se demande cette fois encore de quoi il s’agit ne pose pas de question, et c’est Anne-Lise qui parle :
 ― Je vois que tu es toujours aussi mystérieux, au sujet de ton travail tant qu’il n’est pas terminé, Djouba des Terres Lointaines. ― Nous avons tous nos petites manies, Fille du Feu et de la Glace, et les miennes ne sont pas pires que celles des autres. 
 Cette remarque fait sourire notre Belette, et elle jurerait même si ce n’est pas évident à constater à cause de la couleur de sa peau, que je berger a rougi. 
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