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Thérapie familiale

Chapitre 82

Un regard chargé d'amour.

Inceste
Une fois la visite terminée la famille Pasquier, à savoir Anne-Lise et ses trois Amours Enzo, Clara et Jade prennent congé de Djouba et de sa pensionnaire Chloé, afin de partir directement pour la Bergerie du Vieil Ours par un nouveau sentier. Car l’aînée du groupe après avoir fait trois séjours sur le plateau, connaît parfaitement la disposition des habitations les unes par rapport aux autres. 
 Lorsqu’ils arrivent sur place c’est la fin de la matinée, et ils vont directement vers le Grand Chêne sous lequel le barbecue a déjà été allumé. Nadine ne s’y trouvant pas, probablement parce qu’elle est en train de préparer à manger dans la cuisine, Damien s’exclame en voyant ses parents venir vers lui :
 ― Ah quand-même !! Je me suis demandé, si je ne devais pas vous faire rechercher par hélicoptère, car je commençais à m’inquiéter !
 C’est la plus jeune qui réplique, sur le ton de la plaisanterie :
 ― Eh tu t’inquiétais de quoi, Papy ? De pas pouvoir te vider les couilles, dans un trou qui a moins de 40 ans ? ― Petite impertinente, tu mériterais que je te mette une bonne fessée.  ― Je te ferai ce plaisir, seulement si tu le mérites. Alors au lieu de nous engueuler parce qu’on est allés se balader, tu ferais mieux de nous montrer que t’es content de nous revoir. 
 Son frère est scotché de constater que la jeune femme a énormément changé, car même s’il savait déjà qu’elle a effectué une grande avancée sur le plan sexuel, partant de zéro pour arriver à une expérience plus qu’honorable pour son âge, il n’avait pas encore réalisé qu’elle s’est également beaucoup affirmée au niveau du caractère. Mais il est vrai qu’étant donné qu’ils se connaissent tous les deux depuis toujours, la grande complicité qu’il les unit étant une des rares choses qui n’a pas bougée, sa sœur ne se comporte pas vis à vis de lui d’une manière différente d’avant.
 Leur maman pour sa part est heureuse, car elle appréhendait l’entrée de sa petite fille si réservée dans le monde des adultes, consciente qu’elle ne pourrait pas toujours être derrière elle pour la protéger ou la conseiller, et la voilà à présent complètement rassurée. Même si bien sûr l’échange qui vient d’avoir lieu tenait beaucoup plus de la chamaillerie entre personnes qui s’aiment, que d’un accrochage agressif.    C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ils se disent ensuite affectueusement bonjour, les trois femmes faisant tourner leurs langues autour de celle du vieil homme après avoir posé leurs mains sur ses épaules, tandis qu’il ne se prive pas de caresser sans retenue leurs fesses nues. Enzo se contentant pour sa part de lui faire chastement la bise, répondant ainsi à une coutume familiale bien plus ancrée dans les mœurs.
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 Après ces retrouvailles Anne-Lise se rend dans la cuisine pour prêter la main à sa mère, et ses enfants qui ont demandé à leur aïeul s’il avait lui aussi besoin d’aide, après qu’il leur ait répondu suivent leur maman pour dire bonjour à leur mamie. Cette fois Enzo alors que Clara n’a pas non plus hésité, mélange lui aussi sa salive avec celle de la bonne grand-mère, tandis qu’ils se pelotent mutuellement l’arrière train, puis les trois jeunes prennent des carottes dans le garde-manger, car ils ont décidé d’aller voir Constance et son bébé. 
 La pensionnaire n’est pas surprise de constater que Hortense qui a à présent une dizaine de jours, est sortie de la bergerie bien entendu en compagnie de sa mère, qui la surveille sans avoir l’air d’y toucher. Cependant l’attention de cette dernière se détourne de sa petite quand elle voit arriver les humains, car elle a compris que comme d’habitude, elle va pouvoir se régaler en mangeant son légume préféré. Jade en bonne professeure, explique à sa sœur d’adoption comment présenter une racine à l’animal en la posant sur le plat de sa main, tandis que son frère grattouille la tête de l’ânon, qui est beaucoup moins farouche que dans les premiers temps. 
 Ils restent un petit quart d’heure en compagnie de ces bêtes, qui ne le sont pas tant que ça, puis ils retournent dans la cuisine pour se laver les mains, et ensemble ils dressent le couvert sur la table sous le Grand-Chêne, étant donné que c’est là que va se dérouler leur repas de midi. 

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 Comme à leur habitude ils boivent l’apéritif, et lorsque Damien présente une assiette à Clara sur laquelle sont posées un douzaine d’amourettes qu’il a faites griller, elle en prend une sans hésiter pour la croquer. Alors que les autres la regardent pour voir de quelle manière elle réagit, elle leur demande :
 ― Bé quoi ? J’ai un bouton qui a poussé sur mon front ?
 C’est Nadine qui répond :
 ― Non, tu es toujours aussi belle ma pitchounette. On se demandait juste, si tu aimais ces rognons d’un genre particulier ? ― Ah, je vois. C’est une sorte de bizutage, pas vrai ? D’abord vous faites goûter, et ensuite vous expliquez ce que c’est, en vous marrant de voir la tête que font les gens.
 Sans attendre elle en prend une deuxième, et tout en ayant la bouche pleine elle leur explique :
 ― Vous le savez peut-être pas, mais l’agneau tient une place importante dans ma religion. Pas que dans la mienne d’ailleurs, vu que les bases sont les mêmes pour les trois grandes, qui sont présentes dans notre partie du monde. Et manger les testicules de ces bestioles, c’est pas pire que justement leurs rognons qui si y sont mal préparés sentent la pisse. Et quand on y réfléchit, c’est moins dégueu que leur cervelle. 
 Jade intervient :
 ― Moi je connaissais pas quand y m’ont fait goûter, mais je me suis pas démontée pour autant.
 Enzo plus intrigué qu’autre chose prend une animelle, il l’enfourne d’abord prudent ne sachant pas à quoi s’attendre, puis il s’exclame :
 ― C’est super bon ! Pourquoi tu nous en as jamais fait, Man ? ― Tout simplement parce qu’elles sont dures à trouver dans le commerce, mon Amour. Certains disent que les bouchers se les gardent pour eux, d’autres qu’ils ne les vendent qu’à leurs meilleurs clients. Toujours est-il que quand on leur en demande, on a l’impression de vouloir la lune. 
 Après ces amuse-gueules ils mangent de manière plus conséquente des grillades, ainsi que les trois truites pêchées par Jade, le tout étant accompagné par une salade de riz que Nadine a préparée, puis ils continuent par du fromage, et terminent avec un tiramisu que la bonne grand-mère a également confectionné dans la matinée.  
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 C’est quand ils ont bu le café que Clara demande en rougissant à Jade, ce qui avec sa peau mate pourrait presque passer inaperçu :
 ― Je suppose que depuis que t’es ici, tu t’es faite prendre plein de fois par deux mecs en même temps. ― Plein de fois, y faut pas non plus exagérer. En plus, ça fait que quinze jours que j’y suis, sur le plateau.  ― Oui, mais quand-même…
 Tous ont compris où la jeune femme veut en venir, c’est la raison pour laquelle ils ne sont pas étonnés lorsqu’elle continue dans son idée, en ayant l’air et un ton malheureux :
 ― … maintenant je suis la seule, qui a encore jamais fait ça. Et c’est un peu la honte, vu que j’ai un an de plus que toi.   ― Pourtant hier tu l’as fait, puisqu’y avait Papy dans ton con et Enzo dans ta bouche.  ― Oui mais dans la bouche, c’est quand-même pas pareil...
 Anne-Lise que son comportement amuse, dit à sa fille d’adoption :  
 ― Tu sais, ici les choses ne se passent pas comme dans le reste du monde. Alors si tu as envie que nos deux hommes te prennent en même temps, il te suffit de le leur demander. Et je suis convaincue qu’ils se feront un devoir de parfaire ton éducation, en comblant tes lacunes.  ― Oui mais… je voudrais pas non plus abuser. Car je suis pas la seule femme, et j’ai déjà eu largement ma part.  ― Ah, c’est ça qui te pose un problème ? Tu as peur qu’on se sente délaissées, frustrées, ou un truc dans le genre ?
 Jade ajoute avec malice :
 ― Ou t’as la honte de passer pour une chaudasse, peut-être ?
 L’intéressée, finit par lâcher :
 ― C’est surtout parce que depuis que je suis toute petite, on me répète qu’y faut partager et pas être égoïste. Alors que depuis que je suis arrivée ici, j’ai l’impression qu’y en a que pour moi, et que les restes c’est pour les autres. C’est quand-même un peu gênant, vous savez.
 Cette déclaration les fait tous éclater de rire, même Clara qui se joint à l’hilarité générale, et c’est Nadine qui finit par conclure :
 ― Ta délicatesse te fait honneur, ma pitchounette. Mais tu sais, ici c’est pas les hommes qui manquent. En temps normal, il y en a même autant que des femmes. Alors il ne faut surtout pas t’imaginer, nous priver de quoi que ce soit. 
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 Bien entendu les deux qui sont présents, d’hommes, ont suivi cette conversation avec intérêt, et tandis que ses parentes commencent à débarrasser les reliefs de leur repas, Enzo dont le membre n’a pas manqué de se dresser à l’idée de ce qui va se passer, s’allonge sur le Banc d’Amour en calant sa nuque sur l’arrondi le plus haut, et l’arrière de ses genoux sur celui du bas. Une fois qu’il s’y est installé, il fait remarquer :
 ― Il est plutôt confortable ce truc, on dirait pas à le regarder. 
 Mais sa petite copine, le reprend aussitôt :
 ― Eh, ce que j’ai dit ça te dispense pas de nous aider à tout ranger, espèce de feignasse.  ― Mais je croyais que… ― Tu croyais quoi ?! Que t’allais te la couler douce, pendant que les autres se tapent tout le boulot ? ― Mais je bande, là… ― Et j’espère bien que ça sera pas la dernière fois, mon Cœur. En attendant bouge ! 
 Puis elle ajoute, après lui avoir fait un petit sourire ironique :
 ― Et surtout t’inquiètes de rien, car si ton envie repart et arrive pas à revenir, j’irai demander de l’aide aux bergers du coin. 
 Maté le jeune homme se relève pour donner la main aux autres membres de sa famille, et ensemble ils font place nette sur la table, faisant des allers et retours jusqu’à la cuisine pour tout remettre en ordre. Enzo qui bien qu’étant un homme demeure un Roux-Pasquier, ne démord pas de son idée. Enfin façon de parler, puisque son sexe reste bien raide tout au long de la corvée qui lui est imposée, et une fois décalotté par sa Man son gland le précède d’une vingtaine de centimètres, partout où il se rend. Ce qui amuse beaucoup ses compagnes mais moins son grand-oncle, qui aimerait bien à son âge être encore en mesure d’avoir la même constance. 
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 Quand ils ont terminé et qu’ils sont tous à nouveau sous le Grand-Chêne, Clara annonce à son chéri :
 ― Bien, maintenant que tout est rangé, je pense que tu peux te reposer comme tu l’avais fait pour buller.
 Il s’empresse de lui obéir, une fois qu’il est en place elle grimpe à son tour sur le drôle de siège, enjambant Enzo pour venir se mettre à genoux face à lui un mollet de chaque côté de son bassin, puis sans hésiter elle attrape son membre pour en guider le bout jusqu’à l’entrée de son vagin. Tandis qu’elle abaisse lentement son corps pour le faire pénétrer en elle, la jeune femme lui explique :
 ― Tu vois mon Cœur, moi aussi maintenant je suis prête. Il suffisait juste d’attendre le bon moment. 
 Car de toute évidence la tige de chair pénètre sans trop forcer dans le fourreau qu’elle trouve humide à souhait, qui est donc prêt à l’accueillir, car ce dernier s’est lubrifié en prévision de ce qui est en train de se passer. Clara fait coulisser trois fois le piston dans sa culasse pour ajuster sa position, puis elle s’allonge carrément sur le torse de son amoureux, avant de dire à leur aîné :
 ― À toi de jouer, Papy. 
 La jeune femme ne se pose pas la question de savoir si le vieil homme est lui aussi en état de la combler, tant elle est sûre de son affaire, et elle n’a pas tort puisque ce dernier lui demande :
 ― Mais tu ne préfères pas que je te passe avant un peu de pommade, pour te préparer le troufignon ma Petite Louvette ? ― Non Papy. Comme dit Man tu peux te vider cul-sec, car moi aussi j’aime quand ça pique les yeux. 
 Fort de son expérience il n’insiste pas, sachant qu’à partir du moment-où il ne perdra pas le contrôle de ses pulsions ce qui ne lui est encore jamais arrivé, il sera toujours temps de changer la façon de procéder, si sa partenaire a présumé de sa capacité à supporter la douleur.  
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 Damien pose son gland qu’il a lui même décalotté contre l’anus de Clara qui n’a pas bougé, le membre de son petit copain toujours planté dans son vagin, il l’attrape par la taille et il lui demande :
 ― Tu es prête, ma Pitchounette ? ― Oui Papy. Enzo est déjà passé par là plein de fois, car j’adore ça. Y faut juste que je m’habitue à la grosseur de ton calibre, alors vas-y franchement mais pas trop vite, et sauf si je crie Stop tu t’arrêtes pas. 
 Tandis que le bout de la queue pénètre lentement en écartelant sa rondelle comme elle ne l’a jamais été avant, en tout cas de cette manière, la jeune femme pousse un geignement qui n’est certainement pas provoqué par le plaisir. Cependant elle ne demande pas à son empaleur d’arrêter, alors il continue de forcer sans aucune hâte mais inexorablement le passage, jusqu’à ce que son bassin vienne s’appuyer contre les petites fesses musclées de sa victime consentante. 
 Pendant ce temps Enzo n’a pas bougé, si ce n’est au niveau de la tête car après avoir pris appui sur ses coudes posés sur son torse, sa petite copine a redressé la sienne pour qu’ils puissent se faire face, et pour l’encourager il couvre avec tendresse son beau visage de baisers, tout en caressant doucement ses cheveux. Ses yeux à lui sont embués autant que les siens à elle, comme s’il arrivait à absorber une partie de sa douleur, et le long regard qu’ils échangent malgré la situation est chargé d’amour, mais aussi de tendresse. 
 Car ces deux-là sont le seul véritable couple de la famille, étant donné que contrairement aux autres ils se sont choisis. Tout comme ils ont ensuite décidé ensemble de tout partager, rien bien entendu ne leur ayant été imposé, et ils ont fait le pari un peu fou que les sentiments qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ne seraient pas balayés par les vagues de plaisir provoquées par de multiples partenaires sexuels. 
 Et ce pari, Jade et Anne-Lise alors que Nadine est retournée dans la cuisine, sont convaincues que les deux amants qui ne sont pas de passage l’ont déjà gagné. Car il pourrait y avoir n’importe qui en train de faire aller et venir son membre dans les boyaux de la jeune femme, il pourrait lui procurer dix fois plus de plaisir, que tout son amour serait quand même dirigé vers celui qu’elle est en train de fixer en ce moment. 
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 Forte de ce constat la maman passe derrière sa fille pour l’enlacer tendrement, cette dernière cale son dos contre les gros seins moelleux, et joue contre joue elles regardent leurs parents aller lentement vers la jouissance, sans même songer un seul instant à se donner du plaisir physique, tant le spectacle qui s’offre à leurs yeux les satisfait.  
 Pendant ce temps Damien a entrepris de sodomiser Clara tout en gardant un rythme très mesuré, patientant pour augmenter la cadence que l’anneau de chair qui bague sa queue d’une manière délicieuse, desserre son étreinte pour qu’il puisse coulisser plus librement à l’intérieur. La jeune femme et son amoureux en ont profité pour s’embrasser carrément, faisant tourner leurs langues l’une autour de l’autre, et lui alors qu’il est bloqué sous elle, prend son plaisir dans le fait que le corps de son amante est entraîné par les mouvements pourtant lents de leur aîné, ce qui le stimule un peu comme si elle se trémoussait sur lui. 
 Cependant la situation évolue lentement mais sûrement, et peu à peu la queue vénérable qui impose son rythme prend de la vitesse, en faisant des mouvements plus amples tandis que Louvette bien que retenue par les bras encore puissants du Vieil Ours, se sent plonger vers l’avant puis revenir en arrière de manière de plus en plus perceptible. Cela en arrive au point que les deux jeunes sont obligés d’interrompre leur échange de salive, de peur que leurs dents ne s’entrechoquent ou qu’ils se mordent les lèvres sans le faire exprès. 
 Clara en profite pour poser ses mains sur le torse de son chéri, ils recommencent à se regarder amoureusement, et libérée du bâillon qu’elle s’était volontairement mis dans la bouche, elle se laisse aller à exprimer sans aucune retenue le plaisir qu’elle éprouve depuis déjà un petit moment.
 Car ce dernier est de plus en plus intense, et il finit par l’emporter alors qu’elle sent avec étonnement et satisfaction ses deux partenaires se vider en elle en même temps. Car si celui qui est passé par la porte de derrière a fourni tous les efforts ce qui l’a au passage grandement stimulé, il a sur celui de la porte de devant l’avantage de l’expérience et par conséquent de l’endurance.   
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 Damien reste quelques instants immobile et toujours planté dans sa petite-nièce, en profitant pour reprendre son souffle, puis il se retire et lui dit après avoir mis une claque plus amicale qu’autre chose sur ses belles petites fesses :
 ― Tu es digne d’entrer dans notre famille, ma Petite Louvette, et je te prends comme pensionnaire quand tu veux. 
 Alors qu’elle avait posé sa tête sur l’épaule d’Enzo le temps de retrouver ses esprits, elle la redresse pour répondre du tac au tac :
 ― Je deviendrai pensionnaire, que le jour où mon homme se fera berger. Alors sans vouloir te vexer Papy, ça sera pas demain la veille. Car j’ai pas non plus envie, d’élever les petits qu’on va faire en pleine cambrousse. 
 Le vieil homme éclate de rire, puis il réplique :
 ― Et ce n’est pas moi qui vais te le reprocher, ma toute belle. J’espère juste que vous viendrez me voir de temps en temps, avec ou sans vos pitchouns. Enfin, en attendant que ce soit moi qui vienne à vous. Car je ne sais pas si vous êtes au courant, mais votre mère n’a pas l’intention de me laisser finir ma vie ici, alors que j’y serais pourtant à ma place pour y passer l’éternité. 
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