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Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur.

Chapitre 3

AUDACE

Voyeur / Exhibition
Six JUILLET
Il fait chaud. Je suis dans la maison. Je n’ai pas réussi à me réveiller assez tôt aujourd’hui pour aller à la crique. Il est 11 heures. Le soleil tape trop fort maintenant. Ce soir peut-être ? Je traîne en petite culotte entre mon ordinateur, sur la table de la cuisine, et le lit où je m’affale de longs moments pour lire. Avant-hier, trop écœurée par la réponse de Michel, je n’ai pas eu le courage de me remettre à travailler. Je suis restée lire des magazines, un roman, téléchargés sur ma tablette avant de partir. J’ai cuisiné un peu plus que d’habitude. J’ai dormi. Le soir, je suis retournée marcher le long de la côte. En revenant, j’ai aperçu Adonis. Il réinstallait son filet. Je suis restée le regarder un peu. C’était beau, ces gestes précis, maîtrisés. Puis il a plongé, avec son tuba et son pic. Je le suivais, la tâche de son maillot rouge, son dos, ses fesses qui pointaient vers moi à chaque nouvelle incursion vers le fond... Il est magnifique. Lorsqu’il est remonté sur le rocher, nos regards se sont croisés. Nous nous sommes longuement regardés. Puis je l’ai salué et je suis rentrée. Enfin, je me suis remise à mon ordinateur et j’ai travaillé une bonne partie de la nuit. J’ai continué hier, presque toute la journée.
J’ai repris ma thèse. Je ne changerai pas de plan ni d’idée. J’irai jusqu’au bout. J’ai réorganisé les chapitres que j’avais déjà écrits, je réécrirai plus tard les parties à revoir, je vois ce qu’il me manque, je commence à combler les vides. Je passe beaucoup de temps sur les cavaliers de Marini. Ces figures me fascinent. Ce sont elles qui m’ont guidé vers ce sujet. Elles sont tellement marquantes, révélatrices de son évolution au fil des ans. Bien sûr, elles prouvent qu’il n’a jamais renoncé, à travers la figuration, à la dimension psychologique... contrairement à Giacometti. Mais ils se sont côtoyés, admirés, influencés. Et Giacometti a bien repris une des Pomone de Marini, pour la faire sienne. C’est un vrai dialogue. Parfois en désaccord, mais qui les a nourris, tous deux... Confortés aussi dans leur refus d’abandonner la figuration. L’influence est vraiment réciproque ! Ces cavaliers... nus sur leur monture, ne faisant qu’un seul corps, d’abord calmes, puissants, puis au contraire, de plus en plus tourmentés et irrémédiablement désunis. Le cri terrible de l’homme et du cheval... le déséquilibre. Les figures de Giacometti aussi étaient en déséquilibre. Ces femmes et hommes qui marchent, d’abord pleinement debout, ancrés, puis de plus en plus tendus vers l’avant, de moins en moins stables... J’y arriverai. Je lui tiendrai tête.
Je me suis endormie. J’ai fait deux bonnes heures de sieste je crois. Il est 17 heures. Même nue sur le lit, j’ai transpiré. Le drap est mouillé. Il doit commencer à faire moins chaud maintenant. Je sors sur la terrasse, enveloppée dans le drap. La mer est bleu pâle, légèrement voilée par la chaleur. Le ciel est transparent. Même sous la treille, la lumière m’éblouit. J’ai chaud... Je descends de la terrasse et me dirige vers la douche extérieure. L’eau coule sur mon corps, sur mon visage... Elle me rafraîchit. C’est si bon. Je reste sous le jet, appuyée contre le muret. — Madame ! Madame ! Mon dieu, c’est la voix d’Adonis ! Il est là ! Je l’entends, sur la terrasse ! — Madame ! Vous êtes là ? Je dois vous parler ! Je suis nue sous la douche, mes vêtements sont dans la maison... Mais il y a le drap...
— Bonjour Adonis J’arrive sur la terrasse, le drap enroulé autour de mon buste. Adonis, qui regardait à l’intérieur de la maison dans l’embrasure de la porte, sursaute. Il se retourne précipitamment et se fige. Il me regarde, bouche bée. — Je prenais juste une douche — Désolé madame, désolé. Je veux pas déranger. Je vais... — Non, c’est bon Adonis. Reste. Que veux-tu me dire ? — Euh, oui. Désolé. Je vais pêcher maintenant. Vous voulez du poisson ce soir ? Je souris. Je ne m’attendais vraiment pas à ça ! Il est mignon. Il est tellement sérieux, ça avait l’air si important quand il m’appelait... Il est si gêné, là, devant moi, ce beau pêcheur à la peau hâlée, au torse sculpté, aux bras vigoureux... Nous restons face à face, les yeux dans les yeux. — Adonis, ce serait très gentil de ta part de m’en apporter. Il bredouille quelque chose que je ne comprends pas, me fait un petit signe et s’en va. Je le regarde s’éloigner et rejoindre le chemin, vêtu d’un simple bermuda, sa besace de cuir et son matériel accrochés dans le dos. Je m’assois sur la chaise longue de la terrasse. Le drap, mouillé, laisse transparaître les aréoles brunes de mes seins et mes tétons pointés. Même en deux épaisseurs... Adonis... J’aimerais tant qu’il les prenne, les lèche, les suce, les dévore... Mon beau petit pêcheur grec...

Je rêve, sur la terrasse. Il commence à faire moins chaud. Le soleil de la fin de journée passe sous la treille, caresse gentiment mon corps. Je m’assoupis.
Je me réveille. Adonis est là. Il m’appelle doucement. Il est revenu. Il est debout, face à moi. Depuis tout à l’heure, je suis restée sur la chaise longue, toujours vêtue de mon drap ! Il a séché, mais il a légèrement glissé, dévoilant largement un de mes seins et s’ouvrant en une large fente le long de ma jambe droite, dénudée jusqu’en haut de ma cuisse. Je le remonte précipitamment et recouvre ma jambe. Depuis quand est-il là ? M’a-t-il observée longtemps exposer mon corps aussi impudiquement ? Ou peut-être a-t-il aidé le vent à jouer avec mon drapé... Cette fente, sur ma jambe, qui dévoilait presque mon intimité... est-ce vraiment naturel ? Mon sein blanc lourd, à la large aréole, au téton saillant, est-ce qu’il l’aime ? Ma cuisse généreuse, voulait-il la caresser, la remonter, jusque-là, tout en haut, dans le pli si tendre ? Je ne peux empêcher mon regard de glisser sur son torse de jeune athlète, vers son bas-ventre. A travers le bermuda, il me semble distinguer une bosse, remontant vers l’aine, à droite. Il bande ! C’est sûr ! Il me veut ! Il veut me baiser, là, maintenant, sur cette terrasse, m’arracher mon drap, me bouffer les seins, le ventre, m’écarter violemment les cuisses, se jeter sur ma chatte ! Me donner sa belle jeune queue tendue ! Oui ! C’est sûr ! Il veut me prendre ! — Poisson madame ! Je pose dans la cuisine ? — Ah... euh... oui, c’est ça. Euh, OK Adonis. Il entre dans la maison. Je le suis. Je réalise que la pièce est dans un total désordre. Des sous-vêtements, un short, un body, une robe, gisent sur le sol, au pied du lit défait, sur la chaise... Sur la table du coin cuisine, aucune place pour poser quoi que ce soit entre mon ordinateur et mes papiers. Je rassemble mes feuilles de notes en catastrophe et les pose sur la chaise. L’ordinateur rejoint le lit. Il pose sa besace. En sort une belle araignée, et trois rougets. — Vous aimez ça madame ? — Oui, oui... J’adore le poisson. Et le crabe. — trois poissons, c’est bon ? — Oui, merci Adonis. Ca fera un merveilleux diner. Mets ça sur ma note avec la nourriture du marché, OK ? — OK madame. Je dois partir. Il referme sa besace, l’enfile autour de son torse et se dirige vers la porte. Je le suis à nouveau sur la terrasse. — Merci Adonis. Passe une bonne soirée. — Bonne soirée madame. — Adonis... Appelle-moi Julia s’il te plait... Et tu peux me tutoyer... Me dire « tu », pas « vous »... — OK. Au-revoir... Il s’en va. Avant de passer le muret de pierres sèches, il s’arrête et se retourne. — Vous êtes très belle madame... Julia. A demain.
Je reste sans voix. Je le regarde. Il est reparti aussitôt, il remonte à grands pas le chemin vers la route, vers chez lui. Ai-je bien entendu ?

sept JUILLET
Je suis face à la crique. Six heures 30. Je suis seule. Adonis n’est pas encore là. Mais je sais qu’il va venir. Je descends.
Je nage. Je nage dans l’eau encore sombre. Le soleil est bas et n’éclaire pas ce côté de l’anse. Je m’abandonne. Je distingue à peine le fond. Je sens parfois des frôlements, des courants. L’eau caresse mon corps nu. J’adore plonger, sentir mon dos, mes fesses, mes jambes se replier, transpercer la surface, s’exposer au jour naissant, puis s’enfoncer dans l’onde mystérieuse. Sentir l’eau entre mes jambes courir à travers mes poils noirs, passer entre mes lèvres, mes fesses, caresser mes cuisses. Mes seins lourds, portés par la mer. Je jouis. Je jouis de toute cette liberté, cette présence totale, là, maintenant. Je me hisse sur la plateforme de marbre. Je m’allonge. Comme hier. J’attends. Je sais qu’il va venir. Et je sais qu’il me trouve belle. Je veux qu’il me voie. Encore. Toujours. Chaque matin. Notre secret. Ca y est, je l’entends ! Il a atterri sur le rocher, il fait coulisser la corde. Je l’entends sortir le filet. Retirer les poissons, les assommer d’un grand coup sur le rocher, de ses mains puissantes. Les jeter dans sa besace. J’entends le filet qui coulisse à nouveau, plonge... Mes fesses. Je lui offre mes fesses. Il les voit, il les aime. Mes jambes légèrement entrouvertes... Ce n’est rien. Juste le bonheur d’être nue. Ici, là, avec lui. Aucune gêne. Il me connaît. C’est mon complice. Je ne l’entends plus. Mais je sais qu’il est toujours là. Je sens son regard. Que fait-il ? Va-t-il venir ? Non ! Je n’oserai pas... D’un bond, je me retourne et m’assois face à lui, les jambes repliées contre ma poitrine, serrées. Il est bien là. Il s’est assis au bord de l’eau, comme hier. Il regarde l’eau, relève la tête vers moi, plonge à nouveau son regard dans la Méditerranée... Je suis toute nue, face à lui. Il est là, à 20 mètres. Il voit mes jambes, mes cuisses, mes fesses, le haut de ma poitrine... Voit-il ma fente, entre mes jambes repliées ? Je serre bien les mollets, je joue à cache-cache... Mais j’aimerais tant qu’il y ait une petite faille... Il ne bouge pas. Nous cohabitons. Lui, en slip de bain. Moi, nue. Il est trop loin, je ne vois pas son entrejambe... Est-il en érection ? Comment est son sexe ? Est-il épais, ou fin ? Long ? Court et massif ? Son corps n’est pas très poilu, son sexe est-il bien caché ? Je l’imagine fin, long, gracieux, comme lui. Ses bourses, bien pendantes, peu velues, douces, jolies... Je veux les manger, les lécher. Avaler son sexe, en entier, tout au fond, dans ma gorge. Le sucer, le sucer comme une folle, jusqu’à la dernière goutte de sa semence qui envahit ma bouche, dégouline sur mon corps. Mais... est-il puceau ? Il est si beau... Il y a sûrement des tas de filles de son âge sur l’île, et avec les touristes... Mais il est si timide... J’aimerais discuter un peu avec lui, mais son français est si limité, et je ne parle pas un mot de grec !
Je veux le rejoindre. Oserais-je y aller nue ? Non ! Pas là, pas maintenant. De toute façon, il est bientôt huit heures. Il va falloir que je remonte. Je saisis mon maillot de bain. Je me retourne vers la falaise, enfile mon haut, me relève et fais vite glisser le bas sur mes jambes et mes fesses. Je me tourne à nouveau vers lui et plonge. Je nage un peu dans la crique, un peu de crawl, de brasses, de plongées sur quelques mètres, puis je m’approche du rocher. Je me hisse sur la roche. — Bonjour Adonis. — Bonjour Julia. — Bonne pêche aujourd’hui ? — Oui, dix gros poissons. — Reviendras-tu pêcher ce soir ? — Oui. — Je dois rentrer maintenant Adonis. Tu restes ici ? — Oui. J’aime cet endroit le matin. Je vais nager peut-être. — Alors à plus tard Adonis... — Oui. C’est marché aujourd’hui. J’apporte la nourriture cet après-midi. — Oh c’est vrai ! Merci !
Le temps de cette petite discussion, dans le soleil déjà bien haut, mon maillot est presque sec. Je saisis mon short et mon débardeur et les enfile. Je me lance dans l’escalade. J’arrive bientôt au chemin. Je vois Adonis debout, en bas. Il grimpe plus haut sur le rocher, s’accroche à un petit surplomb de la falaise, à environ trois mètres au-dessus de l’eau. Il se prépare à plonger. Au terme d’un saut d’une grâce absolue, sublime parabole, il pénètre dans l’eau comme une torpille ! Il a disparu. Je ne le vois plus, il ne remonte pas ! Mon dieu, et s’il s’était blessé ! Ça fait bien plus d’une minute maintenant ! Ah, ça y est... il est là-bas ! Il a traversé presque toute l’anse ! Je crie, je lui fais signe, je sautille, j’applaudis des deux mains à tout rompre ! Il me salue, il rit. Il rit aux éclats, fier de lui. Puis il se remet à nager. Je prends la direction de la maison. Je suis le chemin quelques minutes. Arrivée au virage, avant de quitter la crique, je me retourne une dernière fois. Adonis est en bas, au milieu de l’anse. Il nage. Il nage doucement, profite de l’eau, comme moi tout à l’heure. Il vient de culbuter vers le fond. Mais... il n’avait pas de maillot ! Je vois son shorty rouge, là-bas, sur le rocher ! Il est nu, là, en bas. Il nage. Il nage nu, comme moi ! Il sait que je le vois ! Il veut que je le voie ! Il veut me montrer ! Ses sublimes fesses, son sexe ! Il remonte. Il flotte. Il fait la planche. J’aperçois la tâche noire de sa toison, sa verge repliée... Mon beau pêcheur ! Adonis ! Nu dans la mer.
Je me suis réinstallée à ma table de travail. J’écris. Vite. Cette fois-ci, je suis lancée. J’ai les idées claires, toutes ces réflexions, ces informations, amassées au fil des années, elles sont là, elles sortent, elles s’organisent. Je sais où je vais et je ne dévierai pas. Je n’ai pas répondu à Michel. Il doit enrager ! Je m’en fous. J’avance sans lui maintenant. Je lui enverrai la thèse entièrement finie. Et s’il n’en veut pas, je chercherai quelqu’un d’autre. Mais je sais que j’ai raison. Il ne pourra pas me saquer dans un jury... malgré son influence. Mais... arriverai-je aussi à me détacher de lui ? Je sais très bien qu’il le faut, qu’il ne m’apportera jamais rien, qu’on ne construira rien. A 32 ans, il est temps que je mûrisse, que je me libère... Aurai-je la force ? Il m’a retenue, regagnée, tellement de fois, depuis six ans ! Il faut que je finisse cette thèse, il faut en finir ! 13 heures. Je mange une salade. Les légumes et les fruits sont tellement bons ici. Adonis doit m’en apporter d’autres, tout à l’heure. J’ai travaillé quatre heures. Je tombe de sommeil. Il fait chaud. Je m’allonge sur le lit.
Je suis nue, allongée sur le dos. Je somnole dans la touffeur de la pièce. Malgré tous mes efforts pour garder la fraîcheur, il doit bien faire plus de 30 degrés à l’intérieur. Adonis... Son corps nu se mouvant dans l’eau transparente... Son corps parfait. Svelte, fort, agile... Cette puissance latente dans tant de finesse et de grâce. Le subtil mouvement des muscles de son dos, de ses fesses, de ses cuisses, de ses jambes... Leur furtive tension avant le délié voluptueux. Ses accélérations, ses plongeons, ses gentilles cabrioles, dans l’onde bleue... Mes mains courent sur mon corps. Mes seins... Je les tiens, je les presse, ces beaux seins gonflés, qui débordent... oh... ces mains qui me tiennent, me pétrissent... glissent sur mes cuisses douces, pleines, musclées, mes fesses charnues...
J’entends un bruit. Les pas d’Adonis sur le chemin ! Il arrive ! Il va venir ! Je suis là, dans la pénombre. La porte est fermée, mais la fenêtre et les volets de la cuisine sont entrouverts... Il est sur la terrasse. Il m’appelle. Il ne crie pas vraiment, un simple appel, presque chuchoté. Il doit supposer que je dors. Je vois son ombre passer devant la fenêtre. Il écarte un peu le volet. Il s’approche. J’aperçois l’ombre de sa tête... Il regarde. Me voit-il, au fond de la pièce, dans l’ombre ? Je ne bouge pas. Je reste sur le lit, étendue, nue. Je ferme les yeux. Adonis est toujours là, immobile, entre le volet et la fenêtre. Il me regarde. C’est sûr, il me voit. Ses yeux se sont habitués à l’obscurité. Derrière le volet, il n’est pas ébloui par la lumière extérieure. Il me voit, nue. Mon corps alangui. Ma large poitrine, mes hanches amples, mon ventre légèrement bombé, et la tâche sombre de mon entrecuisse, tournée vers lui. Il voit mon sexe. Il ne voit que ça. L’origine du monde : ici, dans cette position, pour lui, c’est mon corps, c’est moi ! Il ne part pas. Il me regarde. Il me mate ! Il me trouve belle. Il pense à mon sexe, mes fesses, mes seins. Il voudrait les toucher, les goûter, les manger. Il bande. Son sexe est prêt à exploser ! Il l’a sorti. Il le tient dans ses mains. Il se touche. Il se branle. Il se masturbe en regardant mes seins, mon sexe, mes cuisses, ouverts, offerts... Ma main droite, lascive, quitte mon ventre. Elle passe sur mes seins. Caresse. Descend. Descend. Atteint ma toison. Je replie mes jambes, écarte... Je me touche. Je suis trempée. Je me caresse doucement. Il regarde. Je ne le sais pas. Je dors. Je ne peux pas deviner. Mon majeur et mon annulaire pénètrent mon con. Mon index fouille entre mes lèvres, mon pouce câline mon bouton dressé. Ma main gauche caresse mes seins. Je me cambre légèrement, tends doucement les muscles de mon dos, mes cuisses, mes fesses, mes jambes, mes pieds, mes orteils... La jouissance est là, elle m’envahit lentement, remonte dans mon ventre, ma poitrine, ma bouche, ma tête... Une vague après l’autre. Je me touche. Je fais durer. Mon bassin danse doucement sur ma main. Une jouissance lente, puissante... Il est là, il me voit me toucher, me baiser... Je lui montre tout. Mon sexe ouvert. Mon cul écarté. Mes beaux seins blancs, gonflés, durs... Il ne peut plus me quitter des yeux. C’est magnifique, une femme qui se touche ! A-t-il déjà vu ça avant ? Il se branle, il se branle comme un fou. Son sexe long, tendu, magnifique, il le prend, il le masturbe, vite, si vite... Il éjacule ! Il éjacule toute sa semence, il ne s’arrête plus. Ça gicle, ça déborde ! C’est sans fin ! Il recouvre le mur ! Il s’en est mis partout ! Son sperme abondant de jeune homme, qui jaillit, qui m’envahit... Et moi je jouis. J’éclate. Je jouis en vagues incontrôlées. Je crie. Je mords mon poing. Je mouille, je me répands...
Je me réveille. 15 heures. Adonis est parti. Je sors sur la terrasse. Les produits du marché sont posés sur la table. Je regarde vers la fenêtre. Etait-il bien là ? M’a-t-il vraiment vue ? S’est-il masturbé ? Je passe ma main sous mon nez. Cette odeur... ma chatte... est-ce qu’il l’aimerait ? Est-ce qu’il aimerait me lécher, me boire, me dévorer ? Saurait-il me faire jouir, de ses lèvres charnues et sa langue ardente ?
Je suis toujours nue. Je descends de la terrasse et rejoins la douche.
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