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Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur.

Chapitre 5

Délivrance

Voyeur / Exhibition
18 JUILLET  Hier j’ai répondu à Michel. Je lui ai dit que j’avançais vite, que tout était très clair dans ma tête, et que je lui enverrai la thèse terminée. Il va hurler ! J’ai failli lui parler du beau pêcheur grec…  Il n’est pas encore sept heures. Je descends à la crique. Adonis est déjà là ! Pourquoi est-il venu si tôt ce matin ? Il a déjà ramassé ses poissons et renvoyé le filet. Il m’aperçoit sur la falaise. Je le salue, timidement. Il me fait un signe de la main, puis se retourne. Il se déshabille ! Entièrement. Il est nu. Je le vois grimper vers le haut du rocher comme l’autre jour, rejoindre le promontoire. Il va plonger. Il reste là, debout contre la falaise, nu dans la lumière du jour naissant. C’est magnifique. J’en pleure presque. Je le regarde, les yeux embués. Il s’élance, il monte vers le ciel, reste comme suspendu, puis retombe, rejoint la verticale et transperce la surface brillante dans une gerbe d’étoiles blanches. Il a disparu. Il est sous l’eau. Dans son élément. Il nage. Il sent l’eau filer contre son corps entier. Il est bien. Heureux. Mais il doit remonter. Retourner vers le monde aérien. Il surgit. Là-bas, près de l’autre rive. Il sourit. Je le salue. J’applaudis doucement. J’écrase une larme sur ma joue.   Je descends. Je m’accroche à la falaise. J’arrive bientôt au rocher. Je saute. Je me retourne. Adonis est toujours dans l’eau. Il nage, loin, vers le large. Je l’observe. J’ai envie. Je me déshabille. Tout. J’enlève tout. Je suis nue, debout sur le rocher. Je le regarde au loin. Il peut me voir. Il s’est arrêté de nager. Nous nous regardons. Longtemps. Je plonge. Je nage sous l’eau. Je rejaillis. Je m’allonge sur le dos. Je flotte. J’avance doucement en dos crawlé. Lentement. Un bras après l’autre. Détendue. Adonis est là-bas, un peu plus loin. Nous sommes nus tous les deux, dans l’eau. Nous nageons, chacun dans sa bulle. Je regarde le ciel. La lumière. La falaise. Je flotte. J’entends Adonis. Il approche. Il est là. Tout près. Je me retourne. Il est derrière moi, à deux mètres à peine. Il s’est arrêté. Il me regarde, debout dans l’eau. Je me redresse et lui fais face. Nous nous fixons. Calmes. Silencieux. Je souris légèrement. Lui aussi. Il me trouve belle, je le vois dans son regard. Et il sait qu’il est beau. — Bonjour Julia. — Bonjour Adonis. — C’est bien, non ? Nager. Ici. Ce matin. — Nus. — Oui. — Nous deux. Adonis. — Personne ne peut voir. Tu es… Julia… Si belle… — Toi aussi… — Mais… Je dois partir… Maintenant… — Non… Tu ne peux pas rester… encore un peu ? — Je vais au port… Avec ma mère. Elle va sur une autre île. 4 jours. Je l’aide avec ses bagages. — Ah… OK…  — Plus tard… — Oui. Peut-être. Ce serait bien. Tu peux… si tu veux… venir… à la maison… — ….  Il s’en va. Il s’éloigne. Nous étions là, tellement idiots, comme deux jeunes amoureux qui n’osent pas faire le premier pas ! Pourquoi ne lui ai-je pas sauté dessus ? Pourquoi ne l’ai-je pas embrassé, n’ai-je pas saisi son sexe, là, si près de moi ?  
Il grimpe sur le rocher. Je le veux ! Il est si beau. Je veux croquer ces fesses, ces cuisses, sucer son sexe… Le manger. Qu’il me prenne !  Je le regarde grimper. S’éloigner. Je me remets à faire la planche. Je ferme les yeux. Je reste dans l’eau. Adonis me porte. Je suis dans ses bras. Je pleure. Je suis si bien…  Je suis rentrée à la maison. Je me remets à ma table de travail. J’essaie d’écrire. Mais… Adonis. Je n’arrive pas à me concentrer. J’écris et il est là, dans ma tête, à tout bout de champ. Adonis qui nage, nu. Adonis qui grimpe. Qui plonge. Qui me regarde, debout sur le rocher. Qui me sourit. Qui me trouve belle…  C’est la fin de la journée. Je l’attends. Je n’attends que lui. Je n’arrive plus à rien faire. Pourquoi ne vient-il pas ? Il est libre, maintenant… Je descends vers la falaise. Vers la crique. Peut-être y est-il ?  Je scrute la mer. En bas. Les rochers où il pêche le soir. Rien. Pas de nageur. Pas de pêcheur. Adonis n’est pas là. Peut-être a-t-il une petite amie ? Là-bas, au port… Il est sûrement dans ses bras ! Il en profite. Il la baise. Il la tringle, cette salope !  23 heures. Je me suis couchée. Je suis nue sur le lit, comme d’habitude. J’essaie de m’endormir. Je somnole. Il fait chaud… La porte et la fenêtre sont ouvertes.  Je me réveille. Ca y est ! Il est là. Je l’entends. Je le sens. Il me regarde. Adonis… Je bouge doucement sur le lit, langoureusement… Sur le côté, légèrement repliée, le corps tourné vers lui, je m’offre à lui. Mes fesses. Mes seins. Il m’admire. Il les veut. Il est devant la porte, il a écarté le rideau. Je vois son ombre. Il regarde. Mon beau voyeur. Mate ! Mate moi ! Mate mon cul, ma chatte ! Mais non, ne mate pas ! Agis ! Agis Julia ! Mon dieu. Vais-je oser ?  — Adonis… Il ne dit rien. Il ne bouge pas. — Bonsoir Adonis… Entre si tu veux J’entends le bruit du rideau de la porte. Il a osé ! Il est là, dans ma maison, à quelques pas. Il me regarde, nue sur le lit. Je me prélasse. Je m’allonge sur le dos, lentement, lascivement. Je sens ses regards qui caressent mon corps. Ma main droite glisse sur mes seins. Je replie légèrement les jambes, rapproche les cuisses puis les écarte doucement. Ma main a glissé sur mon bas-ventre… Il est là, près de moi. Il s’est approché du lit. Il me regarde. Je le regarde.  — Continue Julia… s’il te plaît… Il m’a parlé ! Il veut que je continue, que je me donne du plaisir, là, pour lui !  Je me touche. Je me masturbe. Je me caresse les seins, le ventre, les cuisses. Lentement. Ma main droite sur mon clitoris… Je suis trempée. Adonis me regarde ! Je soupire lentement… Mes doigts entre mes lèvres. Qui vont et viennent. De mon bourgeon gonflé de désir à mon vagin qui déborde… Ma main sur mes cuisses, mes fesses… J’écarte… Je montre tout. Il est là, près du lit. Je le regarde, débordante de désir. Il me mate… Il passe la main dans son short. Son sexe ! Il le sort. Il est bandé à mort. Il me le montre. Il joue avec. Il me montre ses couilles ! Son short est à ses pieds. Il est nu, entièrement, face à moi. Il tient son sexe dans sa main, dressé. Il se branle. Doucement. Il est au bout du lit, je le vois entre mes cuisses, je lui montre ma fente, mon cul, ma main qui me pénètre, me fait jouir… Je pousse de petits cris. Je vais de plus en plus vite. Lui aussi. Mon corps vibre, la jouissance monte, elle me prend, elle m’envahit, elle est là, dans mon ventre, mon cœur, ma tête…. Elle explose ! Mon ventre ne m’appartient plus, il est pris de spasmes, l’orgasme se répand, descend vers ma vulve, je me tends, et j’expulse ma jouissance ! Je crie ! La rivière jaillit, elle se projette, loin, loin, loin devant… Je ne vois plus rien… Je vole. J’entends au loin Adonis qui crie. Il a joui ! Je sens son sperme qui jaillit sur moi ! Il m’asperge, il m’inonde ! Il n’arrête pas ! Il veut me couvrir de sa semence !  Je passe ma main sur mon ventre. Doucement, j’étale le foutre d’Adonis. Je m’enduis de son jus. Je me caresse. Je reprends peu à peu mes esprits. Il est toujours là. Au bout du lit. Debout. Le sexe à demi bandé. Il me regarde lui aussi. Je lui souris. J’écarte doucement les cuisses… « Viens ! »  Il vient. Il est là. Je sens son corps. Il avance. Il glisse entre mes cuisses. Il s’allonge. Adonis…  Adonis est contre moi, sur mon ventre, mes seins, entre mes bras, entre mes jambes. Sa tête dans le creux de mon épaule. Ma main droite parcourt sa douce et épaisse chevelure, la gauche s’aventure sur son dos, ses bras, ses épaules. Il ne bouge pas, se laisse faire. Il est bien, contre mon corps. En mon sein. Il est léger. Je sens ses muscles puissants. Je le caresse doucement, tendrement. J’ai tellement attendu ce moment ! Adonis, dans mes bras…   Il ne dit rien. Nous nous taisons. J’entends sa respiration, forte, près de mon oreille. Un baiser. Léger. Un tout petit baiser. Si joli, si tendre. Là, dans le creux de mon cou. Il hésite. Il ne sait pas. Je lui caresse le visage, les épaules. Je le masse doucement. Il recommence. Un baiser. Un autre. De plus en plus forts. Il plonge dans mon cou, mes cheveux. Il s’éveille. Sa langue joue avec le lobe de mon oreille. Il la mordille, l’embrasse. Ses mains me touchent. Mon visage. Mes bras. Mes hanches. Mes cuisses… Oh, Adonis… Il s’est avancé, son bassin est contre le mien. Je sens son pubis, son sexe. Son torse sur mes seins… Mes mains atteignent ses fesses, ses si belles collines dorées, douces, fermes, rondes… Je les prends de mes deux mains. Je les tiens, je les caresse, je les presse, les masse, les pétris… Il soupire. Sa bouche sur ma joue. Il se rapproche. Ça y est, je sens son souffle, ses lèvres me couvrent de baisers… Ma bouche. Ses lèvres charnues. Le contact. C’est une explosion. Nos lèvres se mêlent, se collent, se caressent, s’aspirent, s’échangent… Les baisers sont fous, des milliers… Ma langue. J’ouvre la bouche. Elle s’avance entre mes lèvres, caresse doucement les siennes, parcourt leur délicat dessin, se délecte de leurs chairs pulpeuses… La sienne. Elle est là. Timide. Je la rencontre. La salue. Ses lèvres se sont ouvertes. Je m’immisce. Doucement. Gentiment. Tendrement. Nos langues se découvrent, s’apprennent. S’aiment. S’encanaillent. Nos bouches ont fusionné. Elles dansent. Sa main ! Elle est là, sur mon sein gauche ! Il le prend ! Il le tient ! Oohh… Adonis ! Prends-le. Caresse-le. Mange-le. Il est à toi, pour toi. Mon beau sein blanc gonflé de désir. Tendu. Mon téton érigé, le relief de mon aréole… Tu les découvres. Tu les effleures, les caresses, les presses, les pinces… Tu les aimes, je le sens. Tu tiens mon sein, pleinement, fièrement. Je sens ta main, ta belle main, qui s’écarte, qui l’enveloppe, qui essaie de tout saisir… Ta bouche. Tu glisses. Oui, vas-y. Tu es attiré. Tu n’y peux rien. Voilà. Tes lèvres se posent, là, tout au bout. Tu suces. Tu tètes. Tu lèches. Je sens ta langue qui caresse, ta bouche qui aspire… Je chavire... Je soupire, je gémis doucement… Tu fais l’amour à mes seins, mes deux beaux seins ronds. Tu n’arrêtes pas. Tu les prends, les masses, les embrasses, les lèches, les manges… Des ondes de plaisir me parcourent. Je sens ton corps sur moi, ta taille entre mes cuisses, je te serre, mes pieds caressent tes jambes, mes mains malaxent ton dos, s’agrippent, fouillent ta dense chevelure noire… Ton sexe est dur à nouveau. Il effleure mon pubis, mon entrejambe…Ohhh… Ta bite… Sur mes lèvres…  Je te sens. Tu es là, au creux de mon ventre. En moi. Ton sexe. Il me pénètre. Doucement. Tout doucement. Tu as peur ? Je le sens tressaillir. Tu t’arrêtes. Tu retiens ton souffle ! Non ! Pas maintenant ! Je me fige. Ça y est, c’est passé, ce n’était rien… Tu recommences… Tu t’habitues à moi… Tu me découvres. Tout au fond. Tu me pénètres entièrement. Ton gland tape contre mon utérus. Tu me caresses, je te serre… Je veux te sentir. Ta belle queue. En moi. Entre mes lèvres. Contre mes parois. Le plaisir est là, tout autour… Tes bourses frappent contre ma vulve... ton bassin me percute… tu me secoues, tu me prends, de plus en plus fort, de plus en plus vite… J’écarte les cuisses, les remonte, je t’offre mon con, mon cul… Tu me surplombes, je devine ton visage dans la pénombre, j’essaie de t’embrasser, je caresse tes cheveux, ton dos… tes muscles tendus par l’effort, si puissants… Tu m’exploses. Je sens ton sexe jusqu’au fond de mon ventre. Tu burines. Tu ouvres un chemin. En moi. Pour le plaisir qui monte et m’envahit, immense, dense…. Les déferlantes.   J’ai joui. Encore. Encore. Comme une folle. Sans arrêt. Il m’a prise, reprise. Nous avons baisé. Follement. Animalement. Il ma mangée, je l’ai dévoré. J’ai léché son corps, son sexe… Mais il n’en pouvait plus. Il m’avait tout donné...  Il est parti. C’est le petit jour. J’ai mal aux cuisses, je sens le sexe, le sperme, la sueur, je suis collante… Je suis si bien.   -------------- 19 JUILLET  Je suis allongée sur le transat sur la terrasse. J’attends Adonis. Il va venir. Il doit m’apporter du poisson pour le déjeuner. Il m’a promis. Je n’ai rien écrit ce matin. La nuit a été trop courte… Je suis encore avec lui. Dans ses bras. Je sens sa peau contre la mienne. Il me tient. Fermement. Gentiment. Amoureusement ? Il va venir… Je somnole sur la chaise longue. Je ne me suis pas habillée. Même pas lavée. Je veux garder cette odeur… Son odeur. Sur moi. Le drap du lit, maculé de sexe, me recouvre mollement. Il arrive ? J’entends ses pas sur le chemin !  Il traverse le jardin, il approche… Je garde les yeux clos. Il s’arrête. Il est juste là, à droite, à l’entrée de la terrasse. Il me regarde. Il ne dit rien. Je dors. Il ne veut pas me réveiller. Il approche doucement… Il pose sa besace sur la table. Il m’observe. Me mate…  Le drap, coquin, glisse entre mes jambes. Ma jambe droite est nue. Entièrement. Mon ventre, mon sein, se dévoilent partiellement… Il doit apercevoir la lisière de ma toison, au bord du drap, là, dans le creux… J’allonge les jambes. Mon téton est apparu. Le drap… entre mes jambes… Mon pubis, sous le pli du tissu, là… Il regarde. Il scrute, essaie de voir. Je replie et serre les jambes. Il ne voit plus rien ! Je me tourne doucement sur le côté, vers lui. Cette fois c’est mon côté gauche qui se dévoile… Mon sein gonflé. Mon dos. Le haut de mes fesses… Plus bas, le drap couvre toujours ma jambe gauche, mais la droite, en-dessous, reste nue presque jusqu’en haut de la cuisse. Je remonte un peu le tissu sur mon sein et mon côté gauche, toujours endormie… Il glisse à nouveau doucement. Lentement. Dévoilant petit à petit mon beau mamelon blanc. Puis il tombe tout à fait. Mes deux seins sont nus, face à lui. Il ne bouge pas. Il me regarde. Je me retourne à nouveau, lascivement, sur le dos, le buste toujours nu, jambes allongées, légèrement écartées. Ma main gauche s’est posée sur mon ventre. Le drap ne couvre plus que mon pubis, mon entrejambe et ma jambe gauche jusqu’à mi-mollet. Mes doigts caressent doucement ce petit ventre joliment charnu… Il regarde. Il attend. Il espère. Une faille. Une ouverture. Vers ce jardin sombre, cette vallée miraculeuse… Juste l’entrapercevoir…  Mes doigts bougent. S’avancent. Délicatement. Sous le drap. A travers ma toison. Touchent la commissure des grandes lèvres. Glissent doucement… Mon petit bouton s’éveille, se déploie… Je le lutine, le caresse… Je souris, à peine. Je replie un peu les jambes, les resserre… sur ma main. Il ne voit rien. Il suit les mouvements, sous le drap. Mon bas-ventre s’est un peu découvert… Mes doigts s’immiscent entre mes lèvres, parcourent mon vestibule, remontent vers mon clitoris, redescendent… et pénètrent ma grotte. Ma main enserre toute ma chatte. Je me pénètre. Je me fouille. Je m’enfonce… J’ouvre la bouche. Un soupir m’échappe. Un doux gémissement…  Je sens un souffle. Sur mon ventre ! Son haleine. Il est là. Il me survole. Il me hume. J’entrouvre les yeux. Il s’est agenouillé à ma droite, penché vers moi. Sa tête est au-dessus de mon ventre. Il fixe mon bas-ventre, sous le drap… Il se penche, essaie de deviner… Mes jambes serrées sur ma main recouverte lui cachent tout. Il attend. Il veut voir ! Mes doigts qui me pénètrent, mon sexe qui s’ouvre, ma jouissance qui dégouline… Mais je ne montre rien. Lentement, ma main droite s’approche de lui. Je touche ses cheveux. Je m’y plonge. Il n’a même pas bougé. Captivé par le spectacle de mon entrejambe. Je le caresse. Il se laisse faire. Je fouille sa belle tignasse noire et… doucement, gentiment, je le pousse vers mes jambes. J’écarte lentement le drap. Il descend… Je le sens. Là. Sa tête entre mes jambes. Je sens son haleine sur mon sexe. Il est si près. Il s’approche. Il observe. Il hume. L’odeur de mon sexe, encore mêlée à celle du sien. Le parfum fort et entêtant des corps mélangés. Un baiser, à peine esquissé. Ses lèvres sur les miennes intimes, juste sous mon bouton enflé. Sa langue. Il hésite. Il effleure à peine. Il recommence. Je soupire. Je le guide. Oui, vas-y, comme ça, Adonis. Je veux ta langue, tes lèvres, ta bouche ! Là, mange-moi ! Il recommence. Il me lèche, il a compris, sa langue va et vient de mon vagin à mon clitoris, s’attarde, titille, léchouille… Ses lèvres embrassent, suçotent… Puis sa langue repart, s’insinue entre mes petites lèvres, explore l’entrée de ma source… Je le serre entre mes jambes. Je sens sa tête, ses cheveux, son cou, ses côtes… Son visage dans mes plis intimes… Il s’active. Il ne cesse plus de revenir laper mon clitoris bouillant de jouissance. Il a compris, il insiste, de plus en plus vite, il sait faire, il est à moi, il est là, entre mes cuisses, tout à moi ! Adonis !!! Oui, ton doigt, voilà ! Ooohhhh….  Adonis m’a fait jouir. Plusieurs fois. Il m’a bouffé la chatte ! Il était mien. Là. Il me baisait, de sa bouche et ses doigts. Le demi-dieu rendait hommage à mon corps fertile, agenouillé entre mes jambes, entre mes fesses…  Il est reparti. Il ne m’a pas pénétrée. Je suis toujours nue sur le transat, alanguie. Il va revenir. Il me l’a dit. Mais quand ?  Il est 16 heures. Pas de nouvelles d’Adonis. Je me suis remise à écrire. Il le faut bien. Sinon je vais perdre le fil et prendre du retard. Mais… Adonis.  23 heures. Toujours pas de nouvelles ! Mais qu’est-ce qu’il fait ! Il est pourtant seul, sa mère est toujours absente aujourd’hui. Mais merde, il me prend pour une conne !  -------------- 20 JUILLET  7 heures. Je suis nue dans l’eau. Je nage. Je parcours lentement la crique, sur le dos. Mon corps s’offre une nouvelle fois tout entier au soleil naissant. Je sens sa douce chaleur sur mes seins, mon ventre, entre mes jambes… Je flotte. Je dérive. Yeux fermés. Je m’approche doucement de ma plage de marbre. Pourquoi n’est-il pas venu cette nuit ? Encore cette petite salope qu’il tringle ?  Soudain, une main. Surgie des profondeurs, elle agrippe ma jambe droite ! C’est sa main, je l’ai reconnue. Mais je me retourne, me débats, je ne vais pas me laisser faire ! Il m’attrape par la taille, par derrière. Il me serre. Il me tient si fort ! Je lui donne des coups de pieds, j’essaie de nager de mes seuls bras pour me libérer de l’étau… Je lui donne des claques sur le torse, les bras… Rien à faire, il est plus fort ! Je me laisse aller, tout en continuant à me débattre plus mollement. Il me pousse. Nous atteignons le rocher. Il me plaque contre le marbre. Je m’agrippe à la plateforme. Je le sens dans mon dos. Il m’embrasse le cou, la nuque. Non, il me mord, il me dévore ! Hmm… J’aime ça ! Il est déchaîné. Ses mains passent sur mon ventre, agrippent mes seins. Il les écrase, les presse, les tord… Son bassin écrase mon postérieur. Je sens sa tige dressée… Il a trouvé une excroissance sous-marine du rocher où poser ses pieds. Il m’écrase contre la paroi. Sa verge s’insinue entre mes deux collines… Je sens les va-et-vient de son bassin. Mes fesses branlent sa longue, belle et jeune queue… Il aime mon cul. Il l’excite. Il le veut… Adonis. Je te sens contre moi. Autour de moi. Partout. Si fort, si puissant. Tes mains, tes bras…. Tu tiens mes seins, mon cou, mon ventre, mon dos, mes fesses, mon sexe... Mais c’est mon cul que tu veux. Je le sais. Je me laisse faire. Je me cambre. Je te l’offre… Tu parcours ma vallée… Je sens ton membre gonflé de désir pour moi, tendu, prêt à me prendre… Tu t’arrêtes parfois sur mon petit orifice… Il t’intrigue. Il t’appelle. Il t’attend… Viens. Viens. Oui. Tu sens que je réagis, que moi aussi je te veux, là… Tu hésites. Tu appuies. Doucement. Tu es soudain si tendre, si gentil… Tu m’écartes. Je te sens. Tu avances lentement. Je t’aide. Je sais… Tu ne me fais pas mal. Je sens ta belle queue en moi. Dans mon cul grand ouvert… Elle progresse. Je gémis, je me mords les lèvres. Ma main agrippe ta cuisse, je te pince, je te griffe…. Je te veux. Prends-moi, prends-moi le cul, tout mon cul, il est à toi !  Adonis me prend. Il pilonne consciencieusement mon arrière-train. Sous l’eau. C’est prodigieux ! De l’eau s’insinue parfois en moi en même temps que son sexe. Ses mains malaxent mes seins, il mord ma nuque, je m’agrippe au rocher d’une main et je me touche de l’autre. Je tiens mon con, je le pénètre de mes doigts, je me fouille. Je crois sentir parfois sa bite à travers la fine paroi… Je jouis. Je crie. C’est si bon. Ça dure…. Les vagues de plaisir me parcourent. Il tient ! Il continue… Il m’encule. Je hurle. Il m’inonde, il se décharge, violemment. Contre mes fesses je sens ses coups de boutoir tendus, ses jets chauds dans mes entrailles. Je m’envole...  Nous sommes nus, allongés sur le dos sur la pierre blanchâtre. Yeux fermés. Je tiens sa main. 
-----------------Prochain chapitre : "Découvertes"
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