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Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur.

Chapitre 7

LIBERTÉS

Avec plusieurs hommes
3 AOÛT
Chaleur étouffante. Plus de 40 degrés depuis hier. Depuis des jours je vis nue dans la maison, sur la terrasse, sur la falaise, dans la crique… Je ne croise jamais personne, à part Adonis. Parfois, en fin de matinée ou l’après-midi, j’aperçois un ou deux promeneurs sur le chemin de la falaise, mais jamais ils ne remontent vers la maison.Cette nuit je me suis endormie sur mon travail. Je viens de me réveiller. Il est déjà 7 heures 30 passées. Vite ! Je me lève et cours vers la crique. Adonis doit déjà y être ! Quand j’arrive au coude de la falaise, près du promontoire, j’aperçois l’ombre. Elle. La fille. La mateuse. Merde ! Elle aussi est déjà là. Accroupie sur le rocher, elle nous attend ! Je suis entièrement nue. Trop pressée, en manque de sexe, je n’ai pris ni vêtement ni serviette ! Elle ne me voit pas encore, elle regarde vers la crique. Dois-je faire demi-tour ? Mais Adonis… Il va partir… Je le veux ! Je veux sa bite ! Elle s’est retournée ! A-t-elle senti ma présence ? Elle est là, à quinze mètres devant moi. Elle s’est levée et me regarde. Pour la première fois je la vois distinctement, en pleine lumière. Au début, l’air gênée, j’ai cru qu’elle allait partir en courant, mais non, elle se tient là, bien droit, face à moi. Elle est belle. Sublime. Fine, chevelure ondulée mi-longue, châtain aux reflets roux. Pas encore très formée mais sa robe blanche étroitement ajustée laisse deviner d’adorables petits seins ronds, gonflés et fermes, une taille de guêpe, un mignon petit derrière mais des hanches prometteuses... Jeune, peut-être plus jeune qu’Adonis. Elle sait, elle aussi, qu’elle a hérité de la beauté des dieux anciens. Je le sens dans la calme assurance de son regard. Elle me défie. Elle sent mon doute. Mes lèvres à peine entrouvertes, mon regard sur son corps…
Il faut que j’avance. Je dois y aller… Je m’approche. J’arrive à sa hauteur. Elle me détaille de ses yeux d’émeraude. Entièrement. Mon corps aux chairs plus si fermes, les premières rides au coin des yeux, mes petits plis, mes rondeurs… Elle fait quelques pas en avant, quitte le promontoire pour rejoindre le chemin. Ainsi placée, on ne peut pas la voir du fond de la crique. -    Bonjour, dit-elle, avec un adorable accent grec.-    Oh, bonjour, vous parlez français ! -    Oui, un petit peu. J’apprends à l’école. Pour le tourisme. Je travaille au port.-    Euh… Excusez ma tenue, je ne pensais pas qu’il y aurait quelqu’un à cette heure…-    Ce n’est pas grave. Nous sommes entre femmes…-    Oui, oui, c’est ça…-    Mais lui, là, en bas, le pêcheur…-    …-    Ce n’est pas grave non plus. Je crois. N’est-ce pas ?-    …-    C’est Adonis. C’est mon amoureux.
-    …
Merde ! Cette petite salope est la poule d’Adonis. Elle revendique son bien, et je n’arrive pas à lui répondre quoi que ce soit ! C’est une gamine mais elle est si divinement belle, si parfaite… Cette connasse me fout des complexes et me paralyse ! Allez, réponds quelque chose !
-    Euh… Oui, il m’a parlé de toi ! Ben voyons, quelle réponse débile !
-    Je ne crois pas. Il n’a pas le courage pour ça.Et bam ! Grillée !-    Tu n’as pas une grande opinion de lui… Pour une amoureuse !Ah, voilà enfin un peu de répartie.-    Je suis simplement réaliste. C’est un homme. Mon premier vrai amoureux, mais je sais que les hommes sont lâches…-    Là, je dois dire que tu n’as pas tort. Avec toute mon expérience…-    Oui, tu as de l’expérience. Tu es douée…Elle a dit cela en détournant le regard, d’un ton entre défi, regret et envie.-    Bon. Je crois qu’on devrait arrêter de tourner autour du pot, non, réponds-je ?-    Tourner autour du pot ?-    Oui, enfin, on devrait se parler franchement ! Je suis là, complètement nue devant toi, je n’ai rien à cacher et je sais que tu sais ce qu’Adonis et moi faisons. Je sais que tu nous suis. Nous regardes. Tous les jours. Tout le temps. Tu le regardes me faire l’amour. Et pourtant tu ne dis rien !-    Je ne dis rien… Mais je ressens… Et je sais que ça ne servirait à rien de parler. Quand je le vois avec toi. Tu le tiens. Il veut ton corps. Tu lui apprends. Il n’a jamais connu ça. Et moi non plus…-    Vous n’avez jamais fait l’amour ?-    …-    Toi, si belle, si jeune, si désirable ?Elle se tait, fixe le sol. Puis elle me regarde dans les yeux et reprend :-    Je sais que tu vas partir bientôt. Adonis restera ici. Moi aussi. Il t’oubliera. Je lui ferai oublier. Il reviendra à moi. Il n’est jamais parti. Il m’aime. Il vient me voir tous les jours. Je sais qu’il m’aime. Mais tu l’as envoûté… Et moi aussi. Je sais que tu as remarqué ma présence, j’ai vu ton regard. Mais je veux vous regarder. Je veux voir. Je veux comprendre. Je veux apprendre…-    Pour le reprendre…-    Je le ferai. Il est à moi.-    Peut-être… Qui sait ? Tu as l’avantage du terrain, mais j’ai vu des histoires bien surprenantes…-    Je le connais si bien. Tu ne sais rien de lui. Tu ne connais que son corps et lui ne connaît que ton cul et tes seins…-    Oui, mais il les adore ! Et d’ailleurs il les attend, là, en bas. Tu peux rester, tu peux nous regarder, j’aime que tu voies tout ce qu’il me fait. Aujourd’hui je veux qu’il me prenne par le derrière…-    Tu n’arriveras pas à me choquer, Julia. Je sais que pour le moment tu gagnes. Je ne t’en veux pas. Tu me seras utile…-    Tu connais donc mon nom… Et toi comment t’appelles-tu ?-    Eleni.-    Alors Eleni, à bientôt. Je ne t’en veux pas non plus. C’est comme ça. Nous sommes deux. On verra…
Je m’éloigne et dévale le chemin en pente, vers l’autre rive de la crique, vers la faille dans la falaise qui me mènera à mon homme. Il est là, en bas, je lui fais signe. Il sourit, il va m’attendre. Il n’a pas vu Eleni. Derrière moi je sens les regards de ma rivale sur mon corps. Mes larges fesses et mes seins lourds qui s’agitent dans ma course. Mes cuisses. Mon ventre. Je m’en fous. Je gagne !Je descends. Adonis m’attend au pied de la falaise. Je lui saute dessus et le couvre de baisers. Il me plaque contre la paroi de marbre, je saisis son sexe et ses couilles en glissant ma main droite sans ménagement dans son slip de bain. Mon autre main tient sa nuque, nos bouches se battent, se dévorent. Sa main droite s’élance elle aussi entre mes jambes à l’assaut de mon sexe, l’autre s’est glissée entre mes fesses et la falaise. Il malaxe mes fesses, fouille avec dextérité ma chatte trempée, tandis que je branle sa longue queue, caresse ses testicules, mordille son cou, ses épaules… Il glisse un doigt vers mon petit orifice, tandis que trois autres pénètrent déjà de plus en plus violemment mon vagin grand ouvert… Oui, mon Adonis, vas-y, prends-moi comme ça, ouvre ton chemin… Il s’introduit doucement au creux de mon anneau serré et commence son ouvrage, de plus en plus loin, vite, fort… Je gémis, je lui parle, lui dis qu’il est mon homme, mon dieu, qu’il peut me baiser, me prendre comme il veut, m’enculer ! Son maillot gît au sol. Je tiens fermement sa verge tant désirée, je la caresse, je l’astique, je la sens gonfler, s’agiter vers mon corps, si tendue, la sève monter...  Je me tourne, face contre la muraille blanche. Sa hampe se place immédiatement entre mes fesses. Il lèche et mordille mon cou, mon dos, mes épaules, puis descend le long de ma colonne vertébrale. Je sens sa langue, ses lèvres, au creux de mes reins, sur mes fesses qu’il embrasse et croque à pleines dents. Puis il écarte mes deux lobes charnus et je sens son visage plonger dans ma vallée intime. Je bascule mon bassin, sa langue et sa bouche s’attardent sur ma rondelle étroite, la caressent, la titillent, s’y insèrent furtivement, de plus en plus fréquemment, puis descendent vers ma grotte où coule une source de plus en plus abondante… Je crie doucement, je feule, je gémis… Ses mains caressent mon ventre, mes seins, mon pubis. L’un de ses doigts s’attarde sur mon bouton tendu, va et vient entre mes lèvres… Ooohhh Adonis ! Prends-moi, viens, là, maintenant ! Il se relève. Sa queue glisse à nouveau entre mes fesses, un petit détour vers ma vulve, entre mes lèvres brûlantes, puis elle repart vers ma caverne étroite, où je l’attends… La voie est ouverte, elle glisse en moi, je sens sa bite dans mes entrailles… si profondément, si doucement, si fortement… Il parcourt incessamment mon cul, de plus en plus fort, loin. Les vagues de son corps déchaîné m’écrasent contre le mur de marbre brut. C’est une fusion marine et minérale, violente et caressante, puissante et lente… Ses mains sur mes seins et dans mon con, son souffle de plus en plus haletant dans mon cou, ses morsures, ses baisers, ses griffures… Oui, tu vois Eleni, il est en moi, de partout, il est à moi, il me baise, il m’encule, il me dévore, il m’aime !!!

Je nage dans la crique. Adonis est parti, il était déjà tard, il devait y aller. C’est marché aujourd’hui. Quand je me suis retournée, après cet orgasme qui nous a emportés ensemble, Eleni non plus n’était plus sur le promontoire. Je flotte. Je fais la planche, au milieu de la crique, les yeux fermés, depuis de longues minutes. Le soleil et les vaguelettes caressent mon corps, à présent presque uniformément recouvert d’un hâle léger après ces journées de nudité totale. J’aime sentir l’eau libre entre mes jambes, mes fesses, mes seins… Je crois que je ne pourrai plus jamais mettre un maillot pour me baigner ! Le soleil est bien haut, il doit être près de dix heures. Il va falloir que je regagne la maison. J’ouvre les yeux et recommence à nager doucement. Encore quelques plongeons.  Mes fesses encore jouissantes du corps d’Adonis sur elles, en elles, culbutent et s’offrent au soleil avant l’immersion. Je nage, j’explore les fonds paradisiaques de la crique, puis je rejaillis dans la lumière aveuglante. Finalement, je rejoins le rocher au pied de la falaise. Je reste encore quelques minutes assise, jambes allongées et le buste penché en arrière, offerte au soleil qui me sèche. Merde, j’entends des voix sur le chemin au-dessus de moi ! Je tourne la tête. Un homme et une femme, la cinquantaine, touristes en promenade, se tiennent au débouché de la faille sur le chemin. Sans doute voulaient-ils descendre… Mais ça me semble un peu trop escarpé pour eux. En attendant, ils profitent du spectacle ! Je n’y peux rien, alors je fais comme si je n’avais rien remarqué et je continue mon bronzage. La parisienne stressée et pudique est devenue une vraie nudiste décomplexée !Ils s’éloignent. Je jette de temps en temps un œil vers le haut de la falaise. L’homme, lui, a le regard aimanté vers mon rocher pendant qu’ils contournent la crique ! Au coude du chemin, avant de disparaître vers la maison, ils montent tous deux sur le rocher, face à moi, admirant la baie et, discrètement, mon corps épanoui dans le soleil blanc.Les touristes partis, je me dépêche de grimper vers le chemin. J’entends d’autres éclats de voix au loin derrière moi, visiblement un groupe de plusieurs jeunes gens. Merde, c’est un défilé aujourd’hui ! Ils ne sont pas encore en vue. Vite, je pars au pas de course pour rejoindre la maison. Mais je vais rattraper mes deux quinquagénaires ! Ils se sont encore arrêtés un peu plus loin, en contrebas du chemin qui remonte vers la maison, pour admirer la mer.  Tant pis, je continue ! En passant près d’eux ils me saluent. En allemand. Ouf, les Allemands sont rarement gênés par la nudité. Je ralentis et réponds à leur salut en anglais. -    Hello. -    Excuse-me young lady, we would like to go to the port. Is it this way ? me demande la femme. (Excusez-moi, jeune dame, nous voulons aller au port. Est-ce par ici ?)-    Yes, you have to take this path, up this little hill, and reach the little road just behind the top. Or you can stay on the coastal path, it goes all around the island but it will be far much longer i’m afraid. (Oui, vous devez prendre ce chemin qui grimpe la petite colline et rejoindre la petite route juste après le sommet. Ou vous pouvez rester sur le chemin côtier, il fait le tour de l’île mais ça risque d’être beaucoup plus long.)-    Oh, I think we will take the road then. Thank you very much. (Oh, je crois que nous allons prendre la route alors. Merci beaucoup !).Décidément ! Il fallait que ça tombe aujourd’hui ! Les premières personnes que je vois passer sur le chemin qui remonte vers la maison à part Adonis. Je repars. Les deux Allemands me suivent. Je sens des regards sur mon postérieur ondulant, mes cuisses, mes seins. Ce n’est pas désagréable ! Je me dépêche d’entrer dans le jardin et de rejoindre la terrasse. Je les salue de la main en me retournant.

C’est la fin de l’après-midi. J’ai encore dormi. Sur la terrasse, à l’ombre de la treille. Toujours dans ma tenue d’Eve. Je sens le souffle d’Adonis sur ma peau ! J’entrouvre les yeux. Il est là, assis à même le sol près de mon transat. Nu lui aussi. Il me regarde, tout près de mon visage. Je lui souris. Il se penche vers ma bouche et m’embrasse. Je l’attire contre mon corps. Nous restons l’un contre l’autre, enlacés, échangeant quelques baisers. Sa jambe droite s’est glissée entre les miennes. Je sens son sexe sur ma cuisse. Petit à petit il se gonfle de désir. Sa cuisse remonte vers mon entrejambe, presse doucement mes lèvres qui s’entrouvrent. Sa bouche s’abaisse vers mes seins. Il les couvre de petits baisers, puis sa langue joue avec mes aréoles, excite délicatement mes tétons qui se dressent. Il les lèche, les suçote, les mordille, les tète de plus en plus franchement. Mes mains fouraillent dans sa tignasse brune, caressent ses épaules et son dos musclés. Sa verge est complètement érigée. Je glisse une main entre nos torses, vers son membre. Je le caresse lentement, puis je m’attarde sur ses bourses. Je les tiens précieusement au creux de ma paume. Je les caresse d’un doigt, les cajole. Ces tendres préliminaires s’éternisent. Nous sommes si bien, dans l’ombre brûlante de cette fin de journée.Enfin, il glisse. Au creux de mes cuisses, sa bouche rencontre mes lèvres. Il me lèche. Tendrement, délicatement, amoureusement.  Il parcourt mes creux et mes monts, déniche les moindres recoins sensibles. Il me connaît. Ses mains honorent mon buste, mes hanches, mes fesses. Il descend, couvre mes jambes de baisers, glisse du transat à mes pieds. Mes pieds. Il les caresse. Saisit mon pied droit, l’apporte doucement à ses lèvres. Il le lèche, le baise, toute la plante, du talon aux orteils. Mes orteils. Sa langue les lutine, ses lèvres les étreignent, les suçotent, de plus en plus avidement, longuement. Je deviens folle. Ma main gauche branle mon clitoris, pénètre mon con. La droite malaxe mes seins gonflés. De mon pied gauche je caresse son torse puissant, puis je descends vers son ventre tendu, je joue dans sa toison, écrase tendrement sa tige dressée, enfin ses précieuses petites pierres si chaudes, tout mon pied contre son sexe tendu…Il me prend. Doucement. Tendrement. Entre mes cuisses. Sa queue sillonne mon vagin. Son torse écrase mes seins. Je gémis à son oreille, je lui parle, lui crie doucement, je le veux, je l’aime, j’aime tout ce qu’il me fait. Je le veux en moi là, comme ça, maintenant, pour toujours. Son foutre m’inonde.
J’ouvre les yeux. Adonis s’est effondré au creux de mon épaule. Je le caresse doucement. Derrière nous, à l’entrée de la terrasse du côté du chemin, le couple d’Allemands nous observe. Je pouffe ! Ils sont gonflés ces deux-là! Ils devaient être sur le chemin du retour et ont sans doute été attirés par le bruit de nos ébats… La situation devrait me choquer mais elle m’amuse ! Je les fixe en arborant un sourire des plus coquins. Ils me rendent ce sourire. Je saisis les fesses d’Adonis à deux mains, je le plaque fermement entre mes cuisses. Il s’éveille à peine, commence à couvrir mon cou de tendres baisers. Puisque vous aimez le spectacle, on va vous en redonner ! Adonis se redresse et fixe mon visage, contre ma vulve encore inondée sa verge recroquevillée reprend lentement un peu de volume. Je lui fais signe de la tête, il se retourne et aperçoit lui aussi les Allemands. Ils sont entrés sous la treille. La femme a la main dans le short de son mari. Adonis sursaute, il va se lever mais je le garde contre moi. « Ne t’inquiète pas mon amour. Tout va bien, je les connais. Je veux faire encore l’amour. Je veux leur montrer notre amour dingue ! »Il semble perdu, hésitant, il me regarde. Je ne lui laisse pas le choix, je l’embrasse à pleine bouche tandis que ma main droite retourne se glisser contre sa queue. Je la câline, caresse ses douces petites boules… Petit à petit il se détend et se laisse aller. Notre étreinte reprend. Les Allemands sont à notre droite. Le short de l’homme est tombé, il déshabille sa femme. Ils sont nus. Pas trop mal foutus pour leur âge ! L’homme, aux cheveux blancs, est vraiment grand, assez massif. On les sent tous les deux assez sportifs finalement, encore assez musclés, pas trop en chairs, à peine un petit ventre chacun. La femme, blonde, a de gros seins qui tombent un peu, mais ils sont si appétissants ! D’ailleurs son mari a la tête plongée entre ses belles mamelles ! Il les dévore et les pétrit des deux mains. Elle couine ! De sa propre main elle laboure sa chatte, à la pilosité clairsemée qui laisse voir ses petites lèvres proéminentes, ouvertes. Ils sont déjà excités comme des fous. Le sexe du mari est de taille très honorable. Sa femme le branle avidement. De notre côté, Adonis est de plus en plus excité par la situation. Sa hampe a retrouvé sa glorieuse rigidité. Il se redresse, m’attrape par les hanches et me fait me retourner, fesses en l’air. Décidément, il aime ce côté de mon anatomie ! C’est limite vexant pour mon joli minois mais bon, j’ai l’habitude… Apparemment, c’est une levrette cette fois. Pourquoi pas ?Nous nous sommes tournés face aux Allemands, je prends appui sur le transat tandis qu’Adonis commence ses va-et-vient et s’encastre de plus en plus violemment dans mon postérieur. De temps en temps, il me claque une fesse, une cuisse. Je me mords les lèvres en gémissant, tout en regardant nos deux complices d’un air profondément lubrique. Eux aussi sont passés aux manœuvres internes. La femme s’est allongée sur la table, perpendiculairement à nous, l’homme est entre ses jambes et la pilonne brutalement. Je la regarde dans les yeux. Ses seins généreux ondulent au rythme des coups de boutoir. Nos jouissances s’additionnent. Plus elle crie, plus je sens Adonis, plus mon cul et mon vagin s’enflamment, plus je m’envole… Nous crions ensemble, nos hommes râlent, nos ventres se remplissent, nos orgasmes s’entremêlent…
Je reprends doucement mes esprits. Adonis s’est retiré. J’ai toujours le derrière relevé. Les mains d’Adonis le caressent. Mais non, ces mains-là sont plus épaisses, plus massives… Je relève la tête. C’est l’Allemand qui se tient derrière moi ! Il me caresse les fesses, les cuisses, remonte vers mon entrejambe… Que dois-je faire ? Je crie ? Je le laisse faire ? Pourquoi Adonis le laisse-t-il me toucher ? L’Allemand me parle dans sa langue. Je parle couramment italien et espagnol et me débrouille en anglais, mais je ne comprends rien à cette langue ! Il a l’air de me dire des choses gentilles. Ses caresses sont agréables, sensuelles. Il ne touche pas ma vulve, il se rapproche, s’éloigne, tourne autour, s’attarde dans le doux creux de mes cuisses… Et sa femme, que fait-elle ? Je me tourne vers elle. Elle a mis le grapin sur Adonis cette coquine ! Elle est à genoux devant lui, sa queue entre les mains, sa bouche tente de ranimer le bel engin mais il a déjà beaucoup donné aujourd’hui mon beau pêcheur grec ! C’est pas gagné ! Toujours est-il qu’il se laisse faire ! Et il a l’air d’aimer ça. Bon ! Puisqu’on en est là…
Je commence à montrer un accueil plus favorable aux caresses du nouvel admirateur de mon arrière-train. Ses mains s’attardent davantage dans les creux de l’aine, puis, sentant mes dispositions plus accueillantes, osent glisser un doigt entre mes lèvres. Il remonte vers mon clitoris, l’autre main honore toujours mes fesses mais s’aventure vers mon petit anneau… Mais non, je ne veux pas, pas là. Je le lui fais sentir et il abandonne aussitôt. Je sens son sexe, seulement à demi dur et qu’il manipule, se frotter contre mes lèvres. Son gland parcourt ma fente, titille mon petit éperon ultra-sensible. Je gémis doucement. Ses mains remontent maintenant vers mes hanches, poursuivent sur les côtés du buste et se posent sur mes seins. Il me redresse en pressant très sensuellement ma poitrine. Ses mains sont grandes, elles englobent presque tout un sein. Mes tétons sont gentiment pincés entre ses doigts. Je sens son souffle dans ma nuque. Il m’embrasse doucement. Entre mes cuisses, sa queue s’est bien durcie. Je la serre tandis qu’elle va et vient d’avant en arrière entre mes lèvres, rendant fou mon clitoris ainsi caressé par son gland épais. Je gémis de plus en plus librement. Il sent mon envie, mon sexe de plus en plus mouillé, mon bassin qui bascule légèrement. Il a compris. Son gland écarte mes lèvres et se glisse dans mon vestibule. Il s’y attarde un peu puis me pénètre d’un coup, tout au fond, m’arrachant un râle puissant. D’un bras vigoureux autour de ma poitrine il me tient toujours redressée, tandis que son sexe s’anime en moi. Son autre main est plaquée sur mon pubis et s’occupe avec talent de mon bouton de chair de plus en plus déchaîné. S’il continue comme ça je vais jouir en quelques secondes ! Je tourne à nouveau la tête vers Adonis. Cette coquine d’Allemande lui procure une monumentale branlette espagnole entre ses mamelles massives, et sa queue est tendue comme jamais ! Merde, quelle salope ! Mais son mari aussi sait y faire. Il pilonne le fond de ma caverne, je me suis penchée à nouveau et son bassin s’enfonce avec force dans mes lobes charnus, déclenchant à chaque secousse une onde de plaisir qui remonte dans mon dos, mon ventre, mes seins, ma tête… Je crie. J’entends ses râles à chaque poussée. Les secousses sont de plus en plus fortes et rapprochées. Adonis à présent pénètre lui aussi sa belle cochonne sur la table, elle a les jambes écartées, posées sur ses épaules, et gémit continuellement. Il y va à fond le salaud ! C’est sûr, il va tenir longtemps, je le lui ai bien préparé mon étalon ! Mais moi je n’en peux plus. Les ondes de plaisir se succèdent sans arrêt et me submergent, je me tends vers le ciel, l’extase me saisit une nouvelle fois et me fige. Je sens le sexe de mon partenaire s’immobiliser, je le serre en moi si fort… il m’enserre à nouveau dans ses bras, tout contre lui, et crache son foutre en trois secousses puissantes. Je m’affale à nouveau sur le transat. Le sperme coule lentement sur mes cuisses. J’entends les cris de l’Allemande qu’Adonis tringle sauvagement. J’ai les yeux fermés. Je sens encore les mains de mon partenaire qui parcourent mon dos, mes fesses, mes jambes. Il me caresse, me masse doucement. Il est gentil. C’est bon. Je suis si bien, là, nue, dans la douce chaleur de la fin d’après-midi, repue de sexe et d’amour.

-------------Prochaine épisode : Déviation
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