Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 34 J'aime
  • 4 Commentaires

Thomas Coste 2 - Awa

Chapitre unique

Trash
Garé en pleine nuit devant le petit immeuble où habitent Michelle et sa colocataire, je suis contraint de sortir de mon SUV pour fermer la portière restée ouverte après le départ de la jeune femme.Alors que je fais le tour du véhicule au moteur tournant, une voix derrière moi m’interpelle :
— Tu veux un café avant de reprendre la route ?
Je me retourne pour apercevoir Michelle, souriante, dans l’encadrement de la porte d’entrée du bâtiment et tenant toujours à la main sa petite culotte et son short.Au fond de moi, je sais que c’est une erreur et que je vais la payer cash dans quelques heures au boulot, mais bon... comment résister à cette superbe jeune femme dont l’odeur sensuelle imprègne encore chaque centimètre de ma peau ?
Je marche rapidement en direction du hall d’entrée après avoir garé mon véhicule plus ou moins correctement entre deux rangées de buissons décoratifs et rejoins Michelle qui me tient la porte. Je la suis dans les escaliers. Elle doit sentir que je mate ses fesses nues, car elle prend bien soin de ne pas monter trop vite et d’exagérer le balancement de ses hanches alors que nous arrivons sur le palier du troisième étage. Elle fait jouer sa clé dans la serrure et nous entrons dans le vestibule d’un petit appartement où se mêlent des effluves de cuisine exotique et de citronnelle. La pièce principale est meublée avec goût et est mise en valeur par une décoration soignée faite de masques africains accrochés aux murs et de poteries plutôt modernes disposées sur des étagères.
— Mitch ? C’est toi ?
Une jeune femme de couleur, un peu plus âgée que Michelle, fait irruption dans la pièce, visiblement très inquiète.
— Tu étais passée où ? J’étais morte d’inquiétude ! insiste-t-elle sans même me calculer.— Désolée Awa, je te raconterai mes aventures plus tard, mais je vais bien, très bien même, rassure-toi.
Visiblement un peu calmée, la colocataire jette un œil intrigué à la tenue de son amie et semble enfin me remarquer. Michelle fait les présentations.
— Je te présente Thomas. Sans lui je serais sûrement encore en train de tourner en rond en pleine nature.— Thomas, je te présente Awa, ma colocataire.
Les formalités expédiées, la jeune femme se dirige vers ce qui semble être la salle de bain.
— Puisque tu es réveillée, tu veux bien servir quelque chose à Thomas pour le remercier d’avoir si bien pris soin de moi ? lance-t-elle avant de refermer la porte derrière elle, nous laissant seuls Awa et moi.
— Ahhh, Michelle, soupire Awa en souriant. Si elle n’existait pas, on ne devrait surtout pas l’inventer.
J’acquiesce en souriant poliment, ne sachant pas si la colocataire a deviné ce qui nous a occupé Michelle et moi au milieu de la nuit, et la suis en direction de la cuisine alors que le bruit de la douche nous parvient depuis la salle de bain.
— J’étais tellement inquiète que je me suis servi un scotch. Vous en voulez ? me demande-t-elle pendant que je m’installe sur un des tabourets de bar entourant l’îlot central.— Volontiers.
La jeune femme me sert et s’installe en face de moi. Apaisée, elle déguste l’alcool doré avec parcimonie.
— Désolée pour ma tenue, je ne m’attendais pas à recevoir de la visite.— Pas de soucis, dis-je, voulant la rassurer. Désolé de vous importuner si tard.
Elle boit une nouvelle gorgée de whisky alors que je l’observe en sirotant le mien. Awa est plus grande que Michelle et tout autant athlétique. Un visage un peu rond encadré par une masse impressionnante de cheveux noirs crépus. Des yeux noirs et des lèvres charnues masquant des dents dont la blancheur contraste avec le grain foncé de sa peau. Elle est vêtue d’un maillot de basket trop grand pour elle qui ne peut dissimuler ni une poitrine que je devine opulente, ni un string de dentelle jaune que j’ai entraperçu en la suivant à la cuisine.
— Superbe appartement. Michelle et vous l’avez meublé avec beaucoup de goût.— Merci, me répond-elle. Ce sont des vieux trucs que j’ai chinés et retapés un peu.
Me voyant, fatigué, remuer sur mon siège, elle ajoute :
— Venez, allons nous installer au salon. Nous y serons mieux pour attendre que Michelle sorte de sa douche.
Effectivement, je m’enfonce peu après dans un moelleux sofa et, sans l’arrivée d’une Michelle requinquée par sa douche, je me serais certainement assoupi très vite.Michelle n’a pas pris la peine de s’habiller, seule une serviette en éponge entoure ses longs cheveux mouillés. Elle s’allonge à côté d’Awa sur le sofa disposé en face du mien et pose sa tête sur les genoux de sa colocataire qui commence à lui caresser doucement la joue.
— J’étais vraiment inquiète, tu sais ? Je n’arriverai jamais à dormir sans au moins un ou deux verres supplémentaires, assure Awa en posant une main sur une des fesses de Michelle.
Ne voulant pas m’incruster dans leur intimité, et bien décidé à aller enfin me coucher, je vide mon verre d’un trait et m’apprête à me lever.
— Non reste s’il te plaît, lance Michelle, m’interrompant dans mon élan. Tu ne peux pas partir tout de suite. Tu es fatigué et maintenant tu as picolé.
Visiblement satisfaite en voyant que je me repose au fond du sofa, Michelle se lève et s’en va à la cuisine pour se servir un verre et remplir les nôtres. Awa me lance un sourire que je lui retourne en me mettant à mon aise et, le scotch faisant son œuvre, je m’assoupis au bout quelques minutes, bercé par les douces voix des deux jeunes femmes en face de moi.
Je ne sais pas exactement combien de temps a duré mon somme ni pourquoi je me suis réveillé, mais, lorsque j’ouvre les yeux, j’aperçois devant moi Awa allongée sur le canapé, la tête de Michelle entre ses cuisses écartées. De sa bouche entrouverte s’échappent de brefs soupirs tandis qu’elle masse ses seins l’un contre l’autre au travers de son maillot.Je réajuste ma position le plus discrètement possible, mais, même si elles ont sans doute remarqué mon réveil, les deux femmes continuent leurs activités affriolantes alors que je me rince l’œil. Le string en dentelle d’Awa se trouve à côté de moi sur le sofa sans que j’en comprenne la raison. Je l’attrape et le porte à mon visage pour le humer. Une odeur sauvage, un mélange de musc et de bois de santal, remplit mes narines. Je ferme les yeux pour en savourer chaque nuance jusqu’à ce que la voix de Michelle me tire de mon extase olfactive.
— Tu peux te branler si tu le souhaites. Awa n’aime pas les hommes, mais elle adore l’effet qu’elle leur fait.
Les deux femmes se lèvent et Michelle aide Awa à retirer son haut. Comme je l’avais pressenti, la poitrine de la jeune black est impressionnante. Deux seins lourds, aux aréoles sombres et aux tétons discrets que Michelle ne tarde pas à lécher en me regardant du coin de l’œil. Au bout de quelques instants elle vient s’asseoir à côté de moi sur le sofa, suivie par Awa qui ne tarde pas à s’accroupir et à enfouir son visage entre ses jambes pour lui lécher la chatte tout en me jetant un regard vicieux.
Avant même que j’aie analysé la situation, je sens la main de Michelle sur ma braguette en train d’en défaire un à un les boutons avant de déboucler ma ceinture. Alors qu’Awa la regarde faire en continuant d’aspirer ses lèvres avec des petits bruits de succion, Michelle extrait mon sexe de son étui devenu trop étroit. Parvenue à ses fins, elle s’abandonne en gémissant aux coups de langue de sa maîtresse tout en commençant à me branler lentement.
Pendant que la jeune femme titille la base de mon gland en me caressant du bout des doigts, je contemple Awa qui fait rouler le clitoris de son amie entre ses doigts humides, le léchant et le mordillant pour ensuite le soulager par d’épais coups de langue. La fine toison du sexe de Michelle est trempée de salive et de son jus et, lorsqu’Awa glisse deux doigts à l’intérieur de son vagin, sa main se crispe sur ma queue dressée. Elle reprend ses va-et-vient saccadés alors que d’autres doigts s’ajoutent aux deux premiers jusqu’à ce que, au comble de leur excitation mutuelle, Michelle sente la main complète d’Awa fouiller son intimité. Sa main enserre fortement ma bite alors que ma voisine de sofa jouit bruyamment, faisant trembler le canapé, secouée de violents spasmes.
Le souffle court, la petite brune accueille les doigts ruisselants de son jus dans sa bouche et les suce fiévreusement avant de se tourner vers moi et de m’embrasser goulûment pour me faire déguster une fois de plus la saveur de sa chatte.
Avant de relâcher son étreinte, elle se penche pour lécher une goutte de liquide séminal perlant au bout de mon gland et se lève pour rejoindre Awa allongée sur le tapis du salon. Au passage elle agrippe un bibelot que je prenais pour un vase moderne sur une étagère et se met à le sucer pour le lubrifier. Elle chuchote quelque chose que je ne parviens pas à comprendre à l’oreille d’Awa qui, à quatre pattes, vient se placer devant moi, sa croupe d’ébène dressée dans ma direction. Sans cesser de sucer le godemichet improvisé, Michelle m’aide à retirer mon pantalon et, après m’avoir repoussé sèchement au fond du sofa, s’assied sur le sol entre mes jambes écartées. La caresse des ses cheveux sur ma queue me chatouille et m’excite et, depuis mon trône, je ne manque rien des jeux qui se déroulent entre les fesses de la jeune Africaine.
Michelle passe le « vase » conique d’une trentaine de centimètres luisant de salive entre les fesses et entre les lèvres de sa complice dont le visage repose au sol, accentuant encore le galbe de son dos. De ses deux mains libres, la jeune femme à la peau d’ébène écarte ses fesses pour mieux ressentir la caresse du gode sur son anus. Je m’aperçois que, inconsciemment, je masse ma queue au même rythme que les va-et-vient du cône de porcelaine. Michelle doit sentir les battements de mon sexe sur le haut de son dos, car elle secoue doucement la tête pour accentuer la caresse de ses cheveux. En me penchant légèrement, je distingue la chair rosée du sexe ouvert d’Awa alors que sa colocataire y enfonce lentement le bibelot en faisant un lent mouvement de rotation, lui arrachant un gémissement de satisfaction. Après quelques pénétrations de plus en plus profondes, la brunette retire l’objet du sexe béant et me le tend par-dessus son épaule.
J’y retrouve l’odeur sentie quelques minutes plus tôt sur le string en dentelle et y associe bien vite le goût mielleux de la liqueur d’Awa. L’objet retourne au plus profond de la jeune femme et y poursuit son œuvre, encouragé par les petits cris de la jeune black au comble du plaisir.
Je distingue un mince filet d’urine serpenter à l’intérieur des cuisses d’Awa alors qu’elle jouit sous les coups de boutoir du gode manipulé d’une main experte par Michelle.
Voyant les deux femmes se relever, je pense que le spectacle est terminé, mais, à ma plus grande surprise, la superbe noire, penchée en avant les jambes écartées, appuie ses bras sur les accoudoirs du sofa de manière à ce que ses superbes seins frôlent mon sexe tendu et que son visage se retrouve presque à reposer contre mon torse. Dans cette position, je ne peux plus distinguer Michelle, mais je comprends que celle-ci a repris ses travaux salaces lorsque le corps d’Awa commence à balancer d’avant en arrière sous les impulsions du godemichet fouillant son intimité. Comme pour confirmer mon intuition, la jeune femme me murmure en laissant sa tête reposer sur moi :
— Elle me prend par-derrière, elle sait que j’adore ça.
Je recommence à me branler, ce qui amène ma queue à glisser entre les seins secoués d’un régulier mouvement de balancier, augmentant encore mon ivresse face à ce corps brûlant que je n’ai pas le droit de pénétrer. Le visage toujours collé à mon torse, Awa gémit à chaque coup de pilon, en me précisant les actions se déroulant hors de ma vue :
— Elle me défonce. Je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle me déchire le cul. Elle me lèche pour calmer la douleur. Elle s’enfonce encore plus. Je vais jouir. Mon Dieu, je pisse de plaisir, impossible de me retenir. Je jouis... ahhh je jouis !
Awa doit sentir l’excitation extrême que provoquent en moi ses paroles, car, lesbienne ou non, elle se met à frotter ses gros seins sur ma queue alors que Michelle extrait le gode d’entre ses fesses meurtries et nous l’apporte pour que nous le léchions tous les trois.
— Awa, ma pauvre fille, tu ne vois pas dans quel état tu as mis ce cher Thomas. Tu pourrais au moins terminer le travail !— Je veux bien l’aider, répondit la jeune africaine à sa camarade, mais il est hors de question que cette énorme chose se retrouve en moi ou qu’il te baise devant moi. Venez vous asseoir sur le tapis.
Michelle et moi nous retrouvons donc assis face à face, ses jambes passant par-dessus les miennes, de manière à ce que nos sexes se touchent, ou plus précisément que mes couilles et ma queue remontent de sa petite chatte poilue jusqu’à son bas-ventre. J’admire une fois encore ses mignons petits seins ronds tandis qu’Awa s’installe derrière moi et, passant ses bras sous les miens, empoigne ma bite pour me branler. Voyant où sa colocataire veux en venir, Michelle se penche vers moi, collant sa poitrine à mon torse velu, et m’embrasse fougueusement. Je frissonne, encerclé par deux paires de seins, mon sexe coincé contre la peau satinée du ventre de Michelle et masturbé doucement, une langue suave fouillant ma bouche et léchant mon cou et le lobe de mes oreilles tandis que des ongles griffent mes épaules.
Sentant mon sexe gonfler entre les mains de sa comparse et mon corps de raidir, au bord de l’orgasme, Michelle relâche son étreinte et se couche sur le dos, nos sexes toujours collés l’un à l’autre. Inclinant ma queue en direction de la poitrine à présent offerte, Awa me branle une dernière fois, m’amenant au bord de l’explosion et, soudainement, enlève ses mains de mon sexe qui, libéré de toute contrainte, se met à s’agiter de bas en haut avant de gicler des torrents de foutre qui atterrissent en grosses gouttes sur le visage et les seins de Michelle qui gémit de plaisir devant ce spectacle.
Je sens Awa se relever alors que mon énorme queue finit de décharger son lot de sperme sur le ventre de mon auto-stoppeuse préférée. Couverte de ma semence, la jeune femme attrape mon sexe et le trait pour en extraire les dernières gouttes qui tombent en taches blanches sur les poils sombres de sa toison intime.
Awa s’allonge contre sa maîtresse et commence à récolter du bout des doigts le sperme se trouvant sur ses seins pour le déguster en me souriant. Les deux femmes s’embrassent, léchant au passage le liquide se trouvant sur les lèvres de Michelle, mon sperme passant d’une bouche à l’autre pendant qu’Awa en étale de la main sur sa poitrine aux tétons dressés de plaisir.
Michelle me propose de les rejoindre sous la douche, mais, épuisé, je m’allonge sur le sofa pour terminer mon verre de whisky en regardant les deux femmes aux corps couverts de ma semence se relever et se diriger vers la salle de bain en se tenant par la main. En passant près de moi, Awa se penche légèrement pour effleurer du bout des doigts mon sexe au repos.
— Dommage, murmure-t-elle avant de poursuivre son chemin.
Les premières lueurs du jour pointent à l’horizon alors que je reprends ma voiture. Je me doucherai vite fait à la maison avant de repartir bosser... la journée s’annonce compliquée.
Diffuse en direct !
Regarder son live