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Thomas Coste 7 - Justine

Chapitre unique

SM / Fétichisme
Sur le départ pour un séjour professionnel de trois jours dans l’agence principale de Paris, je parcours le wagon afin de trouver la place que j’ai réservé. La voiture est peu remplie en ce début d’après-midi et la majorité des passagers occupent déjà leur siège.
853, voilà ma place.Je dépose mon sac de voyage dans le compartiment situé au-dessus de ma place et m’installe à côté de la fenêtre. En face de moi, une jolie rousse fouille dans un sac à dos et en sort un ordinateur portable qu’elle pose sur ses genoux. Son visage me dit quelque chose mais impossible de me rappeler à quelle occasion nous nous sommes croisés. Une cliente de l’agence certainement. La jeune femme ajuste ses lunettes et commence à pianoter sur le clavier.
Alors que le train s’ébranle et que nous sortons de la gare, j’en profite pour consulter mes courriels à l’aide de mon téléphone : 17 messages non-lus. Je pense qu’il va falloir moi aussi que je sorte mon portable pour gagner en efficacité. J’ai deux heures trente avant d’arriver à la Gare Montparnasse, autant en profiter.
Je récupère mon ordinateur dans mon bagage et commence moi aussi à pianoter. Alors que je confirme l’heure de mon arrivée à la maison mère, la jeune femme m’interpelle :
— Excusez-moi mais je crois que j’ai oublié mon chargeur à la maison, pourriez-vous me dépanner, mon ordinateur va s’arrêter.— Bien sûr, répond-je en fouillant dans mon sac pour en trouver le câble de chargement.— Merci beaucoup, je dois absolument terminer ma présentation avant que nous arrivions à Paris. J’ai un rendez-vous très important.
Nos regards se croisent et je la reconnais : la jeune soumise sur la scène d’orgie à laquelle Solange m’a invité il y a quelques mois. Elle aussi m’a reconnu, j’étais une des seules personnes ne portant pas de masque ce soir-là.
— Je crois que nous avons une amie en commun, me dit-elle en souriant pour dissiper toute gène éventuelle.— Effectivement, acquiesce-je alors qu’elle branche son portable à la prise murale.— Je m’appelle Justine, se présente-t-elle d’une petite voix douce.— Thomas, enchanté.
Elle recommence à pianoter, ses doigts volent rapidement sur les touches. J’en profite pour la détailler, même si j’ai encore des images assez précises de chaque détail de son corps :De beaux yeux verts encadrés par une longue crinière frisée flamboyante. Un petit nez couvert de taches de rousseur et des lèvres minces maquillées avec sobriété. Elle porte un chemisier blanc un peu translucide qui laisse distinguer la dentelle foncée de son soutien-gorge. Un pantalon de flanelle rouge et des escarpins Louboutin souligne ses jambes fuselées. Quelques bijoux discrets mais visiblement de marque et une paire de lunettes cerclées d’or lui apportent une touche chic et classieuse.
— Vous voyagez pour votre travail ? me demande-t-elle.— Oui, j’ai plusieurs réunions de prévues dans l’agence principale. Je suis dans la pub. Et vous ?— Moi aussi. Je suis styliste et j’ai rendez-vous avec une maison de couture qui pourrait m’aider à me développer au niveau national et peut-être international.

Elle boit de petite gorgée d’eau à sa gourde métallique avant de poursuivre :
— Peut-être pourriez-vous jeter un coup d’œil à ma présentation avec votre regard de professionnel et me dire ce que vous en pensez ?— Volontiers, mais la mode ne fait pas vraiment partie de mon cercle d’expertise.
Justine vient s’asseoir sur le siège à côté du miens, son portable sur ses genoux pour me faire visionner son travail. Je me penche sur l’écran alors qu’elle débute la présentation.
Le logo de sa marque de vêtements, sous-vêtements devrais-je dire, « Calypso » s’affiche au centre de l’écran et laisse la place à des photos représentant les diverses catégories de tenues proposées portée par des mannequins, dont Justine. La jeune femme me présente ses produits et j’avoue être assez séduit par le style luxueux et sophistiqué de ses créations. Je ne trouve pas grand-chose à corriger, visiblement elle s’est bien préparée à sa réunion.Elle reste à côté de moi durant le reste du voyage et nous bavardons de nos diverses expériences passées dans la capitale.
— Ça te dirait de profiter du Paris by Night d’une manière peu courante ? me propose-t-elle.— Tu sais, je ne suis pas trop boites de nuit et fiesta nocturne.— Il ne s’agit pas du tout de ça. Bonne musique, bonne bouffe, et ambiance… insolite. Ça te tente ?
J’hésite un court instant avant de répondre, ne sachant pas de quoi elle veut bien parler.
— Allez, pourquoi pas ?— Super, se réjouit-elle. Je te propose de nous retrouver ce soir à vingt-deux heures à cette adresse, poursuit-elle en me tendant une carte de visite. Attention, le dress-code est assez stricte. C’est noté au dos.
Nous rangeons nos affaires alors que le train entre en gare. Une fois sur le quai, Justine me fait la bise en me glissant un « à ce soir » dans un souffle avant de s’éloigner en direction des escaliers.
Ma chambre d’hôtel est à deux pas de la gare et de l’agence principale. Je me rafraichis rapidement avant de me rendre à la première de mes réunions avec Tony. Nous terminons un peu après dix-neuf heures et je dois lutter pied à pied pour refuser les propositions de sorties entre potes de la part de mon patron.Comme convenu avec le concierge de l’hôtel, un smoking m’attend soigneusement rangé dans la penderie lors de mon retour dans ma chambre. Le fameux dress-code. Je commande un taxi pour vingt-et-une heures trente avant de filer me délasser dans un bain brûlant. J’ai largement le temps.
Le taxi me dépose à l’adresse indiquée cinq minutes avant l’heure de mon rendez-vous avec Justine. La rue est déserte et mal éclairée, seule une lumière rouge signale l’entrée du lieu mystère.Un videur à l’air patibulaire m’accueil. Je lui tends la carte de visite sans dire un mot et il m’invite à entrer. Je suis un long couloir s’enfonçant sous le niveau de la rue pour déboucher dans une salle décorée avec raffinement. Plusieurs convives sont déjà attablés et ne prêtent pas attention à mon arrivée. Une serveuse m’accueille et m’accompagne jusqu’à une table située au fond de la pièce. Je suis le premier arrivé. Je m’installe et examine l’endroit en appréciant la musique de jazz diffusées par les enceintes disposées au plafond.
Une vingtaine de minutes plus tard, j’aperçois Justine se diriger vers moi depuis l’entrée. Elle porte un bustier et une jupe de cuir noir. Des bas tenus par un porte-jarretelle que l’on distingue à chacun de ses pas. Des escarpins aux talons d’une hauteur insolente. Un ruban de soie autour du cou et des longs gants noirs de la même matière. Ses cheveux sont attachés en un savant chignon et son maquillage est nettement moins discret que cet après-midi. J’adore ce dress-code !
Je me lève pour lui faire la bise et lui présenter sa chaise. Même son parfum semble plus brûlant ce soir. Je commande un whisky et elle une coupe de champagne. Elle allume une 100’s et souffle la fumée vers le plafond en plongeant son regard au fond du mien.
— Comment c’est passés ta réunion ? me demande t’elle en se penchant légèrement vers moi.— Très bien merci, et la tienne ?— Je pense que l’affaire va se faire, avoue-t-elle en me souriant.— Félicitations ! Il va falloir que l’on fête ça !
Elle me sourit en me dévoilant ses dents éclatantes. Son regard est pétillant et séducteur et je m’y noie sans aucune retenue. Excellente musique, whisky délicieux, ambiance cosy et une jeune femme ravissante qui me sourit… que demander de plus ? La soirée s’annonce exceptionnelle.Sans avoir rien commandé, la serveuse nous apporte nos plats. Juste savoureux, comme tout le reste. Pour clore ce fabuleux repas, je commande un ristretto. Justine reste au champagne.
— Je pense qu’il est temps que je t’explique la suite du programme ne crois-tu pas, me dit Justine alors que la serveuse dépose un carton à l’emballage noir devant moi.
Justine défait l’emballage en s’aidant de ses ongles vernis de noir et soulève le couvercle.
— Tu te doutes déjà que je suis disons… aventureuse. J’aime les situations imprévues. Le seul souci, c’est que j’aime aussi garder des traces de ces moments, ce qui est plus compliqué.
Je jette un coup d’œil rapide dans la boite. J’aperçois un appareil photo hors de prix, une petite trousse de velours noir et deux oreillettes pour téléphones portables. Justine poursuit ses explications :
— Je voudrais que tu me suives dans les rues de Paris. J’aime m’exhiber la nuit. Et que tu filmes et prennes des photos. Si je fais des rencontres, tu resteras à l’écart mais, pour que tu puisses participer, tu pourras me dire ce que tu veux que je fasse par le biais des oreillettes qui nous relierons en permanence. Je te jure de faire absolument tout ce que tu souhaiteras, sans aucunes limites.
Justine se lève et vient se placer debout à côté de moi. Elle prend la petite trousse de velours et en sort un objet doré un peu plus gros qu’un œuf de caille.
— Tu vas me glisser ce petit objet dans les fesses. Il est télécommandé par une petite application que je vais installer dans ton portable qui permet de le faire vibrer à distance quand tu souhaiteras me donner du plaisir.
La jeune femme suce langoureusement le petit objet métallique avant de me le tendre.
— Enfile-le-moi bien profond, me dit-elle en se retournant.
Je passe une main sous la jupe de Justine alors qu’elle écarte légèrement les jambes et se penche imperceptiblement en avant. J’écarte des doigts la ficelle de son string et peine quelque peu à trouver son anus. Je suis obligé de lécher à mon tour l’œuf doré pour parvenir à le faire glisser dans l’étroitesse de son petit cul. Je replace son sous-vêtement et caresse l’intérieur de ses cuisses alors que je ressors ma main de sous sa jupe. Je la sens frissonner de plaisir.La jeune femme retourne s’asseoir et m’emprunte mon téléphone. Elle me le rend au bout de quelques instants, ouvert sur l’application dont elle m’a parlé.
— Essaie-le, me murmure-t-elle.
Je règle les vibrations au tier de la puissance et caresse plusieurs fois la touche en forme de cœur rouge située au centre de l’écran. Justine ferme les yeux et penche la tête en avant. Je devine le petit œuf vibrer au fond d’elle et cela me déclenche un début d’érection sous la table.
Vingt minutes plus tard nous sommes de retour dans la rue où le seul bruit et celui des talons de Justine sur les pavés. Je la suis à une quinzaine de mètres de distance alors qu’elle se dirige en direction d’un parc au coin de la rue. J’en profite pour prendre plusieurs clichés de sa silhouette gracieuse éclairée par la lueur des lampadaires.
Arrivé aux grilles du parc, je la vois assise sur un banc, juste sous l’éclairage public. Je la distingue défaire le ruban de son bustier et exposer sa poitrine. Les jambes écartées, elle remonte sa jupe et glisse ses doigts sous la dentelle de son string et se masturbe. A quelques mètres d’elle, un groupe de jeune la regarde en riant. Plusieurs passants la regardent et s’éloignent. Je photographie et je filme depuis l’extérieur du parc. L’appareil est doté d’un zoom puissant et je ne manque absolument rien du spectacle.
Je lui envoie deux ou trois petites vibrations pour lui faire savoir que j’apprécie le spectacle tandis qu’elle se lève du banc et repart vers le fond du parc les seins toujours à l’air.
Au centre du parc se trouve une grande fontaine entourée d’une demi-douzaine de bancs. Sur un d’entre eux, un jeune couple se bécote fougueusement. Justine s’installe sur le rebord de la fontaine face à eux et soulève complétement sa jupe pour mieux toucher son sexe. Je me dissimule derrière un buisson et commence à mitrailler. Le couple ne remarque d’abord pas Justine qui se masse les seins en se branlant à quelques mètres d’eux. Tout à coup, la femme tourne le regard et l’aperçoit. Revenue de sa première surprise, elle murmure quelque chose à l’oreille de son compagnon et se lève pour se diriger vers Justine. Je me tiens prêt à intervenir si nécessaire mais la femme reste debout devant Justine et lui dit quelques mots que je ne peux saisir.Les deux femmes se dirigent vers l’homme resté sur le banc et s’installent de part et d’autre de lui. L’inconnue encourage son compagnon à caresser les seins de Justine puis les deux femmes s’embrassent devant lui.
— Montre-moi ses seins, chuchotai-je dans l’oreillette.
Je vois alors Justine soulever le pull-over de la femme et sortir de son soutien-gorge deux seins lourds aux larges aréoles que je photographie sous toutes les coutures. Justine les prend à pleines mains et les embrasse tendrement pendant que l’homme sort sa bite de son pantalon. La femme commence à le branler et invite Justine à le sucer. Celle-ci se penche sur le membre dressé et passe sa langue sur son gland. L’homme passe ses mains sur les fesses des deux femmes et embrasse sa compagne pendant que Justine le pompe goulument.
Occupé à filmer, je ne remarque pas tout de suite un homme se rapprocher du trio en pleine action et sortir son sexe pour se branler devant eux. L’apercevant, Justine lui fait signe d’approcher et le suce à son tour à sa plus grande surprise. La femme continue de branler son homme en l’embrassant pendant que le nouvel inconnu caresse les seins de Justine tandis qu’elle le pompe avec soin. Sans cesser de sucer le sexe de l’inconnu, Justine se redresse et, la jupe complétement relevée, s’assied sur le membre tendu du gars du banc. Je la contemple sauter sur la queue, faisant secouer sa poitrine en rythme. La femme suce à son tour l’inconnu sous les yeux de son compagnon. Je fais vibrer sans interruption l’œuf pour exciter encore plus ma complice et bientôt je l’entends gémir de plaisir.
— Laisse le deuxième gars te baiser.
Je vois Justine se lever et tendre sa croupe au second gars en prenant appui sur le dossier du banc. Sans se faire prier, le type s’enfonce en elle et je zoom sur ses seins animés d’un puissant mouvement de balancier sous les coups de bite de son amant de fortune. Je l’entends gémir dans l’oreillette tandis que le gars défonce sa chatte sans retenue.
De son côté, la femme s’est elle aussi empalée sur la queue de son compagnon qui masse ses énormes seins. Justine se déplace et vient se pencher derrière les fesses de la jeune femme. Le deuxième homme, voyant sa croupe encore plus tendue, s’enfonce de nouveau en elle alors qu’elle doigte le petit trou de la femme. Je n’ai même plus besoin de l’oreillette pour entendre tout ce petit monde gémir de plaisir dans le silence du parc.
La jeune femme se redresse, se retirant du sexe tendu de son ami, et indique à Justine de s’accroupir au pied des deux hommes qui se tiennent, leurs sexes tendus dans leurs mains, devant elles. Alors que ma comparse s’exécute, l’inconnue s’agenouille derrière elle et lui masse les seins en jetant un regard excité aux deux hommes qui se branlent au-dessus du visage de Justine. Zoomant au maximum tout en poussant les vibrations du vibromasseur à plein régime, je vois Justine secouée par des vague de plaisir alors qu’elle jouit en hurlant de plaisir. Leur motivation exacerbée par les orgasmes de ma complice, les deux inconnus éjaculent en même temps, striant le visage de Justine de leurs jets de sperme brûlant, la faisant crier de plus belle.
C’est précisément à ce moment-là que trois agents de police, deux hommes et une femme, surgissent de je ne sais où et encerclent le petit groupe. Après une brève discussion, les policiers emmènent tout le monde en direction de l’avenue toute proche. L’œil toujours fixé à l’objectif, je vois Justine, le visage encore ruisselant de la semence de ses amants de fortune, se tourner discrètement dans ma direction et me faire un clin d’œil assorti d’un petit sourire satisfait avant de disparaitre, encadrée par les trois cadors.

Le lendemain matin, alors que je me prépare pour une journée de pure folie, dont une importante réunion avec Tony et plusieurs de ses associés, mon téléphone vibre sur la table de nuit. Justine m’informe qu’elle vient de sortir du poste, qu’elle a adoré la soirée, et qu’elle me recontactera prochainement pour venir chercher l’appareil photo dans quelques jours, à Bordeaux.Soulagé que les choses se soient visiblement bien passées pour elle, je finis rapidement de m’habiller et fonce prendre le taxi qui m’attend au pied de l’hôtel.
Exténué par cette journée-marathon, il est un peu plus de 22 heures lorsque je trouve ma place dans le TGV qui doit me ramener en Gironde. J’installe mon portable sur la petite table trônant au milieu des quatre sièges en espérant que ceux-ci restent vides durant le voyage pour me permettre de traiter les notes prisent durant les réunions de la journée et d’étendre mes jambes engourdies.J’ai à peine le temps de sortir un dossier qu’un homme d’un certain âge avec une panse imposante vient prendre place dans le siège à côté de moi en poussant un long soupir de soulagement. J’essaie de l’ignorer alors qu’il secoue la banquette pour y caler au mieux son énorme postérieur. Par la force des choses, je me retrouve coincé à ma place... mieux vaut que je n’aie pas envie de pisser pendant les presque trois heures de voyage.
Alors que le train commence à rouler doucement et que j’entame le début du premier compte-rendu, une frêle silhouette s’installe dans le siège face à moi. Je lève les yeux et aperçois une jolie petite brune d’une vingtaine d’années se tortiller pour retirer son blouson en jean. Voyant que je l’observe, elle lève la tête et me sourit.
— C’était moins une que je le rate, me dit-elle avec un petit rire.
Sans répondre, je lui adresse un sourire en hochant la tête avant de retourner à mon écran. A mes côtés, l’homme s’est assoupi et commence à ronfler. Le voyage va être long. Enfin installée, la jeune femme en face de moi feuillette un magazine sur le vin. J’en profite pour l’étudier le plus discrètement possible : de longs cheveux bruns soigneusement attachés en une queue de cheval, un visage doux légèrement maquillé, le jolis yeux olive et des lèvres charnues. Un petit corps svelte dont la petite poitrine est moulée dans un simple top blanc. Je remarque que ses tétons pointent au travers du tissu. Des belles hanches rondes et de longues jambes mises en évidence par un jean moulant. J’ai un air gêné lorsque je me rends compte qu’elle a cessé sa lecture et me regarde l’observer. Je retourne piteusement à mes mornes occupations tandis qu’elle aussi me scrute par-dessus son illustré.
Les yeux me piquent, fatigués par cette longue journée. Mon voisin dort toujours tandis que ma voisine s’est levée depuis plusieurs minutes pour se rendre aux toilettes situées au bout du wagon. J’étouffe un bâillement lorsque mon téléphone vibre dans ma poche. Ravi de cette distraction inattendue, je me cale au fond de mon siège et m’aperçois qu’il s’agit d’un message sur ma messagerie. Expéditeur inconnu. J’hésite un instant, pensant à un message indésirable mais bon... je clique finalement sur la touche OUVRIR.
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine en découvrant un selfie de ma voisine de siège. Visiblement toujours aux WC, celle-ci me sourit à pleine dents en dévoilant ses seins ronds aux tétons pointés. Je me demande comment elle a réussi à avoir mon numéro mais je remarque bien vite que mon bureau improvisé est jonché de documents portant l’en-tête de l’agence et, surtout, d’une de mes cartes de visite. Excité, je like la photo d’un petit cœur, curieux de savoir s’il y aura une suite. En attendant, je dépose mon smartphone à côté de mon portable et m’enfonce dans mon siège en fermant les yeux.
J’entends la porte du couloir s’ouvrir et se refermer dans un chuintement. Ma voisine vient s’asseoir dans le siège en face de moi et je reste les yeux clos jusqu’à ce que mon téléphone vibre à nouveau. J’ouvre les yeux. Elle est en train de pianoter sur l’écran de son téléphone. J’attrape mon smartphone, un nouveau message d’elle : cette fois-ci, elle me jette un regard plein d’envie en pinçant la pointe d’un de ses seins entre deux doigts. Je lève les yeux de l’écran pour la regarder. Elle me sourit, les yeux plissés de malice.
Mon téléphone vibre à nouveau, et l’inconnue ne me quitte pas des yeux alors que j’ouvre son message. Sur l’écran, elle a déboutonné son jean et écarte les jambes, les seins toujours à l’air et le regard encore plus lubrique. Je la regarde en prenant un air montrant que ses envois me font de l’effet. Elle pianote un bref instant et mon téléphone vibre à nouveau. Alors qu’elle me fixe à nouveau, je m’installe, confortablement allongé au fond de mon siège, pour admirer sa dernière œuvre. Assise sur la cuvette des WC, la jeune femme, toujours topless, a baissé son jean sur ses chevilles. A l’aide de sa main libre, l’autre prenant le selfie, elle a écarté sa culotte de dentelle blanche, dévoilant un sexe aux lèvres gonflées et minutieusement épilées.
Je sursaute en sentant quelque chose frôler l’intérieur de ma cuisse gauche. Le pied nu de la jeune femme remonte le long de ma jambe jusqu’à mon entre-jambes et je remarque seulement à ce moment-là que je bande comme un fou, chauffé à blanc par ses photos. Ma voisine s’est allongée, faisant semblant de dormir, pour que son pied arrive jusqu’à moi.
Je zoom sur son sexe tandis que son pied appuie sur ma queue tendue, les couilles encore pleines depuis la nuit passée à mater Justine. Je sens ses orteils me caresser au travers de la fine toile de mon chino puis s’arrêter au niveau de la pointe de mon gland. Je quitte la contemplation de sa chatte pour m’apercevoir qu’elle me mate, les yeux grands ouverts, en me faisant une mimique mimant l’étonnement face à la taille de mon sexe sous son pied. Je souris à mon tour alors qu’elle reprend son activité sous la tablette en me gratifiant d’un regarde d’une lubricité absolue.
Si mon énorme voisin ne me bloquait pas, je me jetterais sur elle et la prendrais là, au milieu du wagon et des autres passagers, lui défonçant sa petite chatte jusqu’à la faire hurler de plaisir.
Je ferme les yeux pour mieux savourer la lente masturbation qu’elle me prodigue de son pied expert. S’attardant tantôt sur mon gland, tantôt sur mes testicules, la jeune femme me fait gonfler de plaisir, ce qui la fait sourire dans son faux-sommeil. Je me raidis dans mon siège, me sentant au bord de l’explosion, pour lui faire comprendre d’arrêter ses massages et d’épargner la toile de mon pantalon. Se stoppant, elle ouvre les yeux et me fixe sans cesser de me sourire. Je soupire, déçu de ne pas pouvoir jouir alors que j’en meurs d’envie, mais soulagé de ne pas maculer mes vêtements avant d’avoir fini mon trajet. Mon soulagement est de courte durée car la jeune femme reprend ses caresses et me ramène instantanément au bord de l’extase. Je lui jette un regard suppliant mais rien n’y fait et, n’y tenant plus, je jouis en rependant des flots de sperme qui coulent entre mes cuisses et le long de mes couilles, jusque à la raie de mes fesses.
Je suis encore secoué par des vagues de plaisir alors que le train entre en gare de Bordeaux et que ma jolie voisine se lève et remet son blouson. Avant de se diriger vers la sortie du wagon, elle se penche vers moi en souriant et dépose une carte de visite sur le clavier de mon ordinateur.
— A bientôt, me murmure-t-elle avant de longer le couloir et de disparaitre.
Je regarde la carte : Mathilde Leroux, vendeuse en grands vins.
Le wagon est presque vide et j’embarque prestement mes affaires et déboule sur le quai, espérant apercevoir Mathilde, en vain.
— Finalement, ce trajet n’a pas été si long que ça, pensai-je en longeant le quai, mon sac en bandoulière et le pantalon plein de taches de mon sperme.
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