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Thomas Coste 5 - Melissa

Chapitre unique

SM / Fétichisme
Cela fait plusieurs semaines que Pilar m’a annoncé qu’elle retournait chez elle au Venezuela le temps de régler quelques affaires avec son restaurant et nous y voilà, c’est le jour de son départ.Je sors de la douche alors qu’elle se maquille devant le grand miroir de la salle de bain, son corps parfait encore réhaussé par ses sous-vêtements de dentelle blanche. Alors que je me sèche, son reflet me sourit. Comme elle va me manquer.Je m’approche d’elle pour déposer un baiser sur la peau satinée de son épaule. Nous avons fait l’amour toute la nuit mais j’ai encore envie d’elle. Je pose une main sur son ventre et descend doucement pour me glisser sous la dentelle de sa culotte et insinuer deux de mes doigts entre les lèvres humides de son sexe. Elle frissonne.
— Je n’ai pas le temps Tom. Je ne dois surtout pas rater mon vol et il part dans trois heures.
Comme si je ne l’avais pas entendu, j’excite rapidement son petit bouton, le faisant gonflé de plaisir. Pilar gémit en se tenant aux bords du lavabo. Sa chatte dégouline de son jus sous l’action de mes doigts et bientôt je la sens s’abandonner en tremblant, terrassée par l’orgasme qui la submerge. La laissant essoufflée face au miroir, je retire mes doigts et les lèche, satisfait de mon œuvre, en me dirigeant vers la chambre.
— Tu ne crois pas réellement que tu vas t’en tirer comme ça ? me lance-t-elle en me retenant par le bras.— Je croyais que tu n’avais pas le temps ?— Appuie-toi contre le lavabo et écarte les jambes… je vais te faire jouir en moins de deux minutes.
Je laisse la jeune femme me pousser contre le meuble et je prends la pause.
— Penche-toi plus, m’ordonne-t-elle en s’accroupissant derrière moi. Je sais que tu rêves de ça depuis notre première soirée à l’EDEN Club…
Je sens son visage s’appuyer fortement contre mes fesses et sa langue passer sur mon anus. Effectivement, voir le captif black se faire sucer le cul par Pilar m’avait mis dans tous mes états et maintenant, alors que je sens la pointe de sa langue se glisser en moi, je ferme les yeux et me laisse faire. Comme sa langue me pénètre, Pilar attrape ma queue et commence à me branler à deux mains entre mes jambes écartées. Je l’imagine se délecter de mon cul tout en sentant ma bite durcir dans ses mains. J’en tremble de plaisir. Je perçois son souffle chaud et humide sur mes couilles tandis que sa langue fouille mon cul avidement et que ses mains traient ma queue gonflée de désir.Pilar se relève et me retourne face à elle sans cesser de me branler. Elle me sent au bord de l’explosion, et elle a raison. Soudain, elle lâche ma bite et recule d’un pas en baissant le devant de sa culotte.
— Jouis dans ma culotte, que j’emporte un peu de toi avec moi.
Je m’approche d’elle et place le bout de ma queue contre sa chatte tout en me branlant. Comme je la sens frotter son sexe contre le mien, je ne tarde pas à jouir et à gicler mon jus sur sa toison soigneusement taillée et sur la dentelle blanche de sa culotte. Tandis que je me recule, Pilar étale mon sperme sur son sexe avant de remettre en place ses sous-vêtements et de se diriger vers la chambre en sifflotant.
Une vingtaine de minutes plus tard, alors que je l’enlace une dernière fois devant le taxi qui attend dans l’allée, je peux sentir les effluves de mon jus mélangé au sien remonter de son entre-jambe. Elle m’embrasse goulument avant de monter dans la berline qui s’éloigne bien vite, me laissant là, debout, comme un con à qui sa vie semble un peu trop vide tout à coup. Heureusement pour moi, je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, une longue journée à l’agence m’attend.
En fin de matinée, alors que je me débats avec la rédaction d’une offre, on frappe à la porte de mon bureau.
— Entrez !
Melissa, une stagiaire provenant de notre agence de Londres qui est là pour trois mois, passe la tête dans l’entrebâillement de la porte en souriant.
— Excusez-moi Tom, dit-elle avec un charmant petit accent « So british ». J’aurais voulu vous montrer mon projet pour la campagne de Noël Solaris. Vous avez quelques minutes ?— Oui oui, venez donc, réponds-je tout content d’échapper à mes travaux administratifs pour quelques minutes.
La jeune femme referme la porte vitrée derrière elle et s’approche de mon bureau en me tendant une clé USB. Je projette le fichier sur un large écran accroché au mur. Melissa se tient debout à côté de moi et je peux sentir de très légères effluves de jasmin. Pas de parfum, simplement une crème pour le corps ou un shampooing.
Sur la première maquette, pour une affiche, je constate que pour bien faire les choses et pour faire quelques économies, Melissa a posé elle-même avec le produit du client. Je me demande si elle a fait appel à Candice, notre photographe attitrée. La jeune stagiaire passe une dizaine de minutes à m’expliquer sa démarche et les idées de développement qu’elle a pour finaliser ce projet. Je dois dire que je suis épaté, mis à part un léger soucis que j’ai remarqué depuis le début : c’est l’ancien modèle du logo Solaris que Melissa a utilisé sur ses visuels.
Lorsque je lui fais remarquer, la jeune femme est confuse et il me semble que je vois le rose lui monter aux joues malgré sa peau couleur café au lait. Je la rassure et lui dit de revenir me voir, une fois les corrections effectuées, pour que nous planifions le rendez-vous avec le client. Comme je suis satisfait de son travail, je compte bien lui faire présenter son projet à la direction de Solaris la semaine prochaine. Je retourne à mes tâches en pensant au week-end qui arrive à grands pas.
Samedi en début d’après-midi, je me prépare une salade avant de me mettre pour quelques heures à un projet personnel lorsqu’on sonne à ma porte. Je porte un jean et un t-shirt informe car je ne comptais pas sortir aujourd’hui. Je décide que ma tenue ira très bien pour l’importun se tenant sur mon seuil.
Melissa se tient sur le pas de la porte, un cartable sous le bras.
— Désolé de vous déranger pendant le week-end, mais je voulais vous apporter les épreuves corrigées pour que vous puissiez les regarder calmement avant lundi, me dit la jeune stagiaire.— Bonjour. Entrez donc !
Melissa me suit dans la cuisine ouverte sur le séjour.
— Vous avez déjà mangé ?— Heuu… non, mais ne vous dérangez pas pour moi, me répond-t-elle, je picore comme un oiseau.— Eh bien vous allez rester m’accompagner et nous regarderons ça ensemble, lui dis-je sans lui laisser l’occasion de protester. J’en ai pour 5 minutes, servez-vous un verre de vin et faites comme chez vous.
Tandis que je termine ma vinaigrette, la jeune femme fait le tour de la pièce en buvant de petites gorgées de vin blanc. Elle porte un gilet tricoté par-dessus une brassière blanche qui ressort sur sa peau. Un ample pantalon de lin écru et des sandales de cuir aux fines lanières. Ses vêtement larges ne me permettent pas d’apprécier ses formes mais je devine un corps parfaitement proportionné sous la toiles fines de ses habits.Nous nous installons et examinons les nouveaux projets d’affiches tout en mangeant. Une fois quelques menus détails réglés, nous discutons de son parcours professionnel et de ses attentes une fois sont stage terminé. Au moment du café, je remarque que le regard de mon invitée fixe quelque chose derrière moi. Je me retourne sur la grande statue de Bouddha trônant sur une étagère à côté de la cheminée, « cadeau » de mon ex-femme.
— Vous êtes adepte du bouddhisme ? me demande Melissa en me voyant me retourner.— Pas vraiment. J’avoue ne pas y connaitre grand-chose. Et vous ?— Pas au sens stricte non, je ne suis pas assez disciplinée pour ça, mais je pratique la méditation très régulièrement. Je m’intéresse également au Tantra.— Le Tantra ? c’est… sexuel non ?— Oui et non. C’est une pratique spirituel qui, lorsqu’elle est appliquée au sexe, ouvre des expériences inattendues. Vous avez déjà essayé ?
Désarçonné par la franchise de sa question, je mets quelques secondes à répondre.
— Non… je…
Me voyant déstabilisé, ne trouvant plus mes mots, Melissa me sourit avant de proposer de but en blanc :
— Ça vous dirait ?
Je tente de bredouiller un « pourquoi pas » alors que la jeune femme se lève pour aller examiner la statue de plus près.
— Alors disons demain en fin de journée, disons seize heures trente ? Je vous attends chez moi, c’est à deux pas de l’agence, me lance Melissa juste avant de se diriger vers la porte.
Je suis toujours figé à table alors que j’entends sa voiture sortir de l’allée. Dans quoi me suis-je encore fourré ?
Ce dimanche ressemble à une vraie journée d’automne. Brouillard, pluie glacée, vent, je m’engouffre rapidement dans le porche de l’immeuble où l’agence loue un appartement pour Melissa. Je monte les trois étages par l’escalier et trouve la porte. Ne sachant pas ce qui m’attend, je tiens à la main un bouquet de fleurs achetées à la gare quelques minutes plus tôt. Je frappe deux coups et attend, le blouson trempé, sur le palier.
Une Melissa tout sourire vient m’accueillir. Elle porte un chemisier de coton rose et un pantalon noir, toujours aussi amples. Je lui tends les fleurs alors qu’elle m’invite à entrer.Je la suis jusqu’à une pièce haute de plafond embaumant le jasmin et les épices. Alors qu’elle dispose le bouquet dans un vase, je me débarrasse de mon blouson et examine la pièce. La décoration est minimaliste. Une table basse au centre d’un tapis, entourée de coussins, quelques tableaux représentant des paysages, des bougies disposées çà et là, donnent à la pièce une atmosphère intime et chaleureuse.
— Tiens, dis Melissa en me tendant une tasse de thé. Installons-nous quelques minutes que je t’explique.
Le tutoiement m’aide à me détendre alors que je la suis et que nous nous installons autour de la table basse. Je fais une grimace en buvant une première gorgée du breuvage. Elle rit.
— C’est du Damania, m’apprend-elle, c’est relaxant !
Le goût est amer et végétal mais, une fois la première surprise passée, je m’y fais rapidement.
— Le tantrisme est une doctrine indienne issue de l’hindouisme et du taoïsme, ensuite adoptée par le bouddhisme, m’explique-t-elle. Cette pratique ne connaît ni dualité ni opposition ; le moi et le monde extérieur, l’homme - le yang et la femme - le yin, l’esprit et la matière sont un tout. La pratique du tantrisme permet de les associer pleinement pour parvenir ensuite à un niveau de conscience supérieure et à une harmonie parfaite, libérée des contraintes extérieures.
Me voyant intéressé mais pas vraiment au clair avec ce qui m’attend, Melissa précise en me souriant délicatement.
— Ne t’inquiète pas, tu n’auras qu’à me suivre, te laisser porter, et me faire en retour la même chose que moi. Maintenant vient.
Je la suis le long d’un couloir, jusqu’à la salle de bain où un bain a été coulé dans une vaste baignoire.
— Comme tu n’es pas un adepte de la méditation, un bon bain, de la musique douce, et le thé vont t’aider à te mettre en conditions pour la suite. Je te laisse t’installer, savoure le présent sans penser à l’avenir. Je viendrai te chercher lorsque je serai prête.
Juste avant de sortir de la pièce, la jeune femme met en route une petite enceinte qui diffuse bientôt une musique douce qui se mélange harmonieusement au bruit de la pluie battante sur le velux se trouvant juste au-dessus de la baignoire.Je me déshabille et me glisse dans l’eau chaude. Je soupir de plaisir et décide, comme me l’a dit Melissa, de savourer le moment. Je ferme les yeux et me laisse bercer par la musique. J’ai la tête qui tourne un peu, le thé sans doute. Je ne saurais dire combien de temps je reste dans le bain mais la voix de Melissa derrière la porte me sort de ma torpeur :
— Tu peux venir me rejoindre si tu le souhaites. Il y a un peignoir accroché à la porte.
Sans répondre, je rassemble quelque peu mes idées avant de sortir de la baignoire. Je me sèche avant d’enfiler le peignoir. Vu mon gabarit, le vêtement en éponge est vraiment trop court pour moi, mais l’essentiel est caché. Je souris en me voyant dans la glace et je veille que les pans sont bien fermés avant de sortir de la pièce.
La même musique douce baigne l’appartement et je suis la mélodie jusqu’au séjour. Au sol, au centre de la pièce, Melissa a déposé un large matelas recouvert de serviettes éponges. Les lumières sont éteintes et la pièce est uniquement éclairée par la lueur de plusieurs dizaines de bougies. J’entends une porte se refermer et je me retourne alors que la jeune femme entre dans la pièce, uniquement vêtue d’un peignoir rouge. Elle finit d’attacher ses cheveux en chignon en s’approchant de moi.
Sans dire un mot, elle saisit une petite coupe contenant des fruits coupés en morceaux et vient se tenir debout devant moi. Elle choisit un bout de mangue bien mûre qu’elle passe langoureusement sur ses lèvres avant de me le faire manger en le glissant dans ma bouche. Je savoure la saveur sucrée du fruit et prend à mon tour un morceau d’ananas dans la coupe que je porte aux lèvres de Melissa qui l’aspire en plongeant son regard au fond du miens.
La jeune métisse approche son visage de moi et je sens le souffle de sa respiration alors qu’elle passe sa bouche entrouverte dans mon cou tandis que ses doigts caressent ma nuque. Je crois même sentir la pointe de sa langue tracé un sillage humide sur le haut de mon torse alors que ses doigts effleurent les lobes de mes oreilles. Je l’imite en déposant de petits baisers dans ses cheveux, en passant mes mains dans leurs boucles soyeuses. Sans cesser de me caresser avec sa bouche, Melissa fait lentement glisser son peignoir sur le sol et défait précautionneusement le nœud de ma ceinture pour passer ses mains dans mon dos et me débarrasser de mon vêtement qui rejoint bientôt le sien sur le parquet ciré. La jeune femme se colle à moi et passe ses mains le long de ma colonne vertébrale, de ma nuque à mon coccyx..
Se faisant, je sens la peau brûlante de son ventre frotter contre mon sexe et c’est seulement à ce moment là que je me rends compte que je ne bande même pas, malgré le fait que je suis au comble de l’excitation.
Toujours sans prononcer un mot, Melissa m’invite à m’allonger sur le matelas à plat ventre. Pendant que je m’installe, elle prend précautionneusement un bol avant de s’installer à califourchon sur le haut de mes cuisses. A l’aide d’une cuillère en bois, elle fait couler de longs filaments d’huile chaude sur mon dos qu’elle étale par de longs massages qui font rouler mes muscles. Ses mains passent sur mes épaules avant de redescendre sur mes flancs et de passer sur mes fesses et l’arrière de mes cuisses. Je sens Melissa bouger légèrement alors qu’elle enduit sa poitrine et son ventre d’huile de massage et qu’elle se couche sur moi pour me masser doucement avec tout son corps. Ses tétons durcis remonte le haut de mes jambes, sur mes fesses, avant de tracer leurs sillons le long de mon dos. Après quatre ou cinq vas-et-viens langoureux, la jeune femme opère un délicat retournement et se retrouve assise dans le creux de mes reins.
Je sens la chair satinée de son sexe appuyée sur mon dos alors qu’elle se penche en avant pour masser mes jambes, ses mains remontant de ma plante des pieds jusqu’entre mes cuisses entrouvertes, effleurant par la même occasion la peau de mes couilles du bout des doigts.
La jeune femme me fait me retourner sur le dos et, comme elle n’a pas changé de position, se retrouve assise sur mon torse de manière à ce que je ne puisse rien manquer de la vue de son anatomie parfaite. Ne sachant pas quoi faire de mes mains, j’entreprends de masser ses cuisses tandis qu’elle enduit mon ventre, mes cuisses et mon sexe d’huile et recommence à me masser. Comme elle se penche en avant, j’ai une vue imprenable sur sa chatte et son petit trou rasés de près. Je sens ses petits seins passer sur mon sexe toujours au repos alors qu’elle masse mes pieds et mes mollets puis, alors qu’elle remonte ses massages, sur mon ventre. Je me retrouve bientôt le visage encadré par ses cuisses et son entrejambe à quelques centimètres de mon nez. Je peux humer son odeur intime alors que ses mains encadrent ma queue et s’en saisissent pour la masser délicatement. C’est seulement au moment où la bouche de Melissa caresse mon membre viril que celui-ci commence à se raidir légèrement.
La jeune stagiaire fait alors coulisser ma queue dans sa bouche chaude et humide, centimètre par centimètre, m’avalant complétement. Il ne m’en faut pas plus pour que j’attire son entrejambe contre ma bouche et glisse ma bouche entre les lèvres entrouvertes de sa vulve.
Je savoure chaque sensation envahissant mon corps à cet instant : sa bouche et sa langue enveloppant ma queue comme au ralenti, le souffle de sa respiration sur mes testicules que ses mains font rouler entre leurs doigts huileux, les discrets gargouillis de sa salive alors qu’elle m’avale jusqu’à la garde et que je viens appuyer sur le fond de sa gorge. Le goût aigre et sucré de son jus sur ma langue qui fouille sa chatte, la douceur de la peau de son sexe contre ma bouche. Son odeur poivrée, entêtante, alors que la pointe de mon nez frotte contre son petit trou du cul, presque au point de pouvoir s’y enfoncer délicatement. J’écarte ses fesses de mes mains afin de pouvoir mieux contempler son petit trou rose et je me déplace légèrement pour pouvoir l’embrasser et le goûter à son tour. Etonnement, il ne résiste presque pas alors que j’y glisse le bout d’un doigt.
Je m’apprête à en introduire un second lorsque Melissa se redresse et se retourne pour me faire face, toujours à cheval sur moi.
— Je veux te sentir en moi et que nos deux corps ne fassent plus qu’un, me susurre-t-elle. En se plaçant au-dessus de ma bite complétement dressée à présent.
Je la regarde placer mon gland gonflé à l’entrée de son sexe et s’empaler lentement sur mon sexe. Je me vois glisser en elle, millimètre par millimètre, son vagin serré autour de moi. Arrivée au maximum, Melissa stoppe son mouvement et se penche sur moi, ses jolis seins appuyés contre ma poitrine. A l’aide de petits mouvements rotatifs du bassin, elle me garde en elle tout en remuant sur mon sexe qui gonfle encore. J’attrape ses fesses et me redresse de manière à ce que nous nous retrouvions assis l’un en face de l’autre, nos sexes unis et nos corps enlacés au centre du matelas. Glissant toujours sur ma queue, Melissa me laisse empoigner ses seins à pleines mains et les embrasser goulument, tétant leurs mamelons gonflés, puis elle prend mon visage entre ses mains pour m’embrasser à pleine bouche.Sentant que je suis proche de l’explosion, la jeune femme ralentit encore ses mouvements et resserre les muscles de son périnée sur ma bite.
— Pas encore, me chuchote-t-elle avant de se retirer et de se coucher sur le dos entre mes jambes. Prends mon cul, m’invite-t-elle en relevant ses jambes de manière à ce que je puisse m’introduire plus facilement entre ses fesses.
J’empoigne ma queue luisante de son jus et, en me redressant un peu, la glisse délicatement dans l’anus de Melissa qui m’aide par de petits mouvements de bassin. Son cul s’ouvre miraculeusement alors que je m’enfonce totalement en elle. Me sentant au plus profond de son cul, Melissa me tend les bras pour que je l’aide à se redresser et se retrouve assise sur moi, ma bite enfoncée tout au fond de ses entrailles. Elle reprend ses baisers fougueux tout en remuant sur moi de plus en plus vite. Je la sens au comble de l’excitation, le souffle saccadé alors qu’elle continue à m’embrasser. Nos corps glissent l’un contre l’autre alors que notre sueur se mélange à l’huile de massage. Je sens sa cyprine couler sur la base de mon sexe qui continue de la ramoner en rythme.
Soudain, je sens son anus se refermer sur moi et la jeune femme se figer alors qu’un orgasme la submerge. Moi-même au bord de l’explosion, je me retiens alors qu’elle se retire de moi pour sucer ma queue souillée avec passion et application.
— Je veux te sentir me remplir de ton foutre brûlant, me dit-elle en me replaçant au fond de sa chatte.
Je peux sentir le fond de son sexe contre le bout de mon gland alors qu’elle remue sur moi en poussant de petits soupirs et qu’elle m’encourage :
— Oui, comme ça. Donne-moi ton jus. Inonde-moi, vas-y.
Me sentant jouir, Melissa se relève légèrement, se retirant à moitié, et me laisse exploser en elle en des jets puissants que je ressens frapper au fond de sa chatte. Le flot de sperme semble intarissable et s’écoule bientôt le long de ma bite pour retomber sur mon ventre et sur mes cuisses. Se sentant remplie de mon sperme, Melissa jouit à son tour et s’enfonce sur mon sexe dans un débordement de semence laiteuse.
Quelques minutes plus tard, nous sommes allongés l’un contre l’autre sur le matelas. Melissa caresse ma queue flétrie, poisseuse de mon foutre, tandis que je joue d’un doigt à titiller son clitoris encore gonflé d’excitation. Sous l’action de nos caresses mutuelles, nous sommes très vite en train d’appuyer nos mouvements, couchés côte à côte, elle caressant et suçant délicatement ma queue, moi passant mes doigts entre les lèvres rosées de sa chatte, m’attardant sur son bouton gonflé et son petit trou encore dilaté par nos précédents ébats.
Je sens Melissa trembler, assaillie par le plaisir alors que je glisse plusieurs doigts en elle pendant que je suce son clitoris. Revenue de ses émotions, la jeune métisse s’applique sur mon gland alors qu’elle me branle des deux mains. Sous l’action de sa bouche et de ses mains, je jouis bien vite dans sa bouche dont les lèvres sont hermétiquement refermées sur ma queue. Melissa n’interromps sa masturbation que lorsqu’elle est certaine d’avoir extrait chaque goutte de jus de mon sexe, puis elle se redresse pour me montrer qu’elle avale avec satisfaction la totalité du sperme quelle a gardé dans sa bouche.
Nous restons là, allongés, à nous caresser mutuellement, jouissants encore plusieurs fois chacun, avant que l’heure avancée de la nuit ne me force à retourner chez moi. Quelle expérience !
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