Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 88 J'aime
  • 2 Commentaires

Thomas Coste 1 - Michelle

Chapitre 1

Trash
Je me nomme Thomas, Tom pour les amis. J’ai 30 ans et je travaille dans une petite agence de publicité du Sud-ouest. Divorcé depuis peu, je suis obligé d’accumuler les heures supplémentaires pour boucler des fins de mois difficiles.
Ce soir-là, fatigué par une longue journée devant l’écran de mon ordinateur, je parcours les quelques kilomètres qui me séparent de chez moi au volant de mon SUV. A cette heure tardive, les petites routes de campagne sont désertes et je roule vivement, musique à fond et vitres ouvertes, car l’air de cette fin septembre est encore chaud pour la saison.
Alors que je ralentis à un carrefour, j’aperçois une silhouette au bord de la route qui me fait de grands signes. Intrigué, je décide de m’approcher pour voir de quoi il s’agit. Je ne crains pas trop une mauvaise rencontre, car mon mètre quatre-vingt-douze et mon look athlétique en ont déjà refroidi plus d’un, voulant me chercher des noises. Alors que je tourne, le faisceau de mes phares éclaire la silhouette d’une jeune femme près de laquelle je me gare. Je baisse le son du poste alors qu’elle s’approche de la vitre baissée du côté passager :
— Bonsoir, dit-elle avec un sourire timide. J’ai raté mon bus, alors j’ai décidé de rentrer à pied, mais je crois que j’ai sous-estimé la distance à parcourir. Et en plus, mon téléphone est à plat. Vous pouvez me pousser sur quelques kilomètres pour me rapprocher de Saint-Claude ?— Bonsoir, je vais dans la direction opposée, réponds-je, mais, voyant sa mine se décomposer, j’ajoute sans même penser à la fatigue : mais pas de souci, je vais vous raccompagner. Montez !— Merci, lance-t-elle en s’installant sur le siège passager. Je m’appelle Michelle.— Enchanté. Thomas.
J’opère un demi-tour alors qu’il ne me reste qu’un ou deux kilomètres jusqu’à mon lit. Saint-Claude est à plus de quinze bornes, la demoiselle s’est bien trompée !Je profite de l’éclairage public alors que nous traversons un village pour détailler ma passagère imprévue. Plutôt petite, mais de carrure sportive, le début de la vingtaine. De longs cheveux bruns attachés en queue-de-cheval encadrant un visage aux traits fins. Un nez un peu retroussé et une bouche souriante aux lèvres charnues. Impossible de distinguer la couleur de ses yeux, mais son regard est avantageusement souligné par un maquillage sobre, mais magnifiquement réalisé. Un t-shirt sans manches et un short en jean mettent en valeur la peau bronzée de ses bras et de ses cuisses. La miss n’a pas dû avoir chaud dans cette tenue, comme le confirment ses tétons pointant sous son débardeur.
— Vous voulez que je ferme les fenêtres, demande-je en espérant qu’elle ne fasse pas le rapprochement entre ma proposition et la pointe saillante de ses seins.— Volontiers, merci. Je n’aurais jamais pensé rentrer si tard et je n’ai pas emporté de vêtements chauds.
Alors que les vitres remontent, la jeune femme fouille dans son sac à dos et en sort une bouteille d’eau.
— Vous en voulez ?— Non, merci.
Je n’ose lui avouer que, malgré ma bouche sèche, ma vessie risque d’exploser si j’avale la moindre goutte. Je me retiens depuis mon départ du bureau, pensant à tort me retrouver très vite chez moi, mais à présent chaque cahot sur la chaussée devient un vrai supplice. Je décide d’engager la conversation pour penser à autre chose.
— Vous faites quoi dans la vie ?
— Je viens de commencer ma dernière année d’études pour devenir infirmière, me répond-elle en souriant, visiblement ravie que je m’intéresse à elle.— Et vous habitez à Saint-Claude ? Ça vous fait un sacré chemin chaque jour !— Avant j’étudiais dans l’Est et je m’y suis pris un peu tard pour trouver un appart’ plus proche du CHU... voilà pourquoi. Merci encore pour votre gentillesse.
Le bruit de l’eau dans la bouteille alors qu’elle la porte à sa bouche et boit une longue gorgée a définitivement raison de la résistance de ma vessie.
— Excusez-moi, mais il faut que je m’arrête quelques minutes pour... enfin, pour soulager un besoin pressant, dis-je en repérant un endroit pour me garer devant un vieux hangar abandonné.— Pas de souci, j’en profiterai pour fumer une cigarette si ça ne vous dérange pas. Je vous fais déjà faire un sacré détour, je ne voudrais pas vous retarder encore plus.
J’arrête mon véhicule dans un crissement de gravier et me dirige vers l’arrière-bâtiment en essayant de ne pas trébucher dans l’obscurité alors que Michelle sort de son côté pour fumer. Trouvant un lieu propice, assez éloigné de la voiture et de la lumière des phares, je déboutonne mon jean et pousse un long soupir de soulagement alors que le jet d’urine percute le mur en briques du vieil entrepôt.
Perdu dans mes pensées, je n’entends pas les pas se rapprochant derrière moi. L’odeur de la fumée de cigarette me sort de ma torpeur, juste au moment où une main se pose sur le dos de la mienne et y glisse de manière à la remplacer pour tenir mon sexe. Je sens les seins de Michelle appuyés contre mon dos alors que, du bout des doigts, elle commence un lent va-et-vient le long de ma queue d’où jaillit toujours un torrent de pisse.
J’entends son mégot tomber sur le sol en gravier et son pied l’écraser comme sa seconde main glisse sur ma hanche et plonge au fond de ma braguette pour en extraire mes couilles et les masser. Le flot d’urine se tarissant enfin, je me retrouve enserré, de dos, entre les bras de la jeune femme qui me branle maintenant de ses mains souillées par ma pisse. Relâchant son étreinte, elle me permet de me retourner et de lui faire face. Reculant de deux pas, elle contemple mon sexe gonflé, dressé vers le ciel nocturne et semble satisfaite de ce qu’elle voit.
— Tu m’as donné envie, dit-elle en baissant son short après s’être essuyé les mains sur son t-shirt.
Le cœur battant la chamade, je reste planté devant elle, la bite à l’air, alors qu’elle s’accroupit, son short et sa petite culotte sur les chevilles.
— Approche.
Je m’exécute tandis que j’entends sa pisse ruisseler sur le sol. Elle défait promptement ma ceinture et abaisse mon pantalon sur mes cuisses. Sachant ce qui va se passer, je ferme les yeux et bascule légèrement ma tête en arrière alors que ses lèvres chaudes entourent ma queue dressée. Je sens sa langue passer sous ma verge et ses dents se refermer délicatement à la base de mon gland. Peu à peu, les aller-retour se font plus rapides et la succion plus forte. D’une main, elle empoigne la base de mon sexe et mes testicules qu’elle lèche et aspire avidement. Dans l’obscurité, je distingue son autre main se glissant entre ses cuisses sous le jet de liquide chaud dont l’odeur me parvient aux narines, ce qui m’excite encore plus.Arrêtant subitement de me sucer, la jeune femme lève la tête vers moi et lance dans un murmure :
— Je veux que tu me baises, mais pas ici. Je veux voir ta queue me défoncer, viens.
Michelle se relève, laissant son short et sa culotte sur le sol derrière elle, et m’entraîne en direction du SUV garé au bord de la route. Debout dans le faisceau des phares, la jeune femme retire son t-shirt et se retrouve entièrement nue devant moi, mis à part ses chaussettes et ses baskets. Elle plonge son regard émeraude au fond du mien tandis que je reste hypnotisé par ses petits seins ronds aux larges aréoles.
Un véhicule passe en trombe sur la route, mais cela n’a pas l’air de la déranger outre mesure. Je retire mon pantalon et me rapproche d’elle. Pendant qu’elle déboutonne ma chemise, je sens la douceur de la peau de son ventre contre mon sexe battant au rythme de mon cœur. L’odeur de ses cheveux, mélange de parfum bon marché et de tabac, m’envoûte alors que mes mains s’appuient sur ses fesses et la plaquent contre moi. Je sens ses genoux fléchir, son ventre glisser le long de moi, ses seins aux tétons dressés frôler le haut de mes cuisses, avant que sa bouche ne se referme une nouvelle fois sur ma queue, l’engloutissant aux deux tiers. Je sens le bout de mon gland taper au fond de sa gorge alors que Michelle laisse échapper des flots de salive qui ruissellent le long de ma bite, jusqu’à mes couilles et retombent en longs filaments brillants sur ses petits seins.
Je ne remarque même plus les véhicules passant à intervalles plus ou moins réguliers sur la route alors que, tenant à présent sa tête à deux mains, je lui baise la bouche à la vue de tous.
— Baise-moi maintenant. Je veux te sentir au fond de ma chatte, dit-elle en se relevant et en m’entraînant vers le capot de la voiture.
Michelle s’allonge le dos sur le capot encore tiède de mon SUV et écarte ses cuisses, dévoilant un sexe aux lèvres luisantes et orné d’une fine toison de poils sombres. Je pose ma bite durcie et gonflée de désir contre sa chatte qui me semble si petite que je pense, un bref instant, ne jamais pouvoir m’y frayer un passage. Me voyant hésiter, la jeune femme m’empoigne et, d’un petit coup de reins, glisse mon gland en elle. Stimulé par la chaleur humide et par son entrain, je m’enfonce dans son vagin étroit. Je la sens frissonner alors que je la pénètre de plus en plus fort et bientôt elle se met à gémir au rythme saccadé de mes coups de pilon. Je sens ses jambes se croiser sur mes fesses, me forçant à la baiser encore plus profondément puis, soudainement, tout son corps se crispe et est secoué de petit tremblement alors qu’elle jouit en laissant échapper un long râle de plaisir.Haletante, la jeune femme laisse ressortir mon sexe trempé de sa chatte et me dit :
— A moi de te baiser maintenant. Allonge-toi.
Je me couche le dos sur le sol caillouteux en me disant que la douleur des pierres contre mon dos et mes fesses devrait m’aider à ne pas exploser tout de suite. Sans perdre de temps, Michelle s’accroupit au-dessus de moi et guide ma queue en elle. Tandis qu’elle s’applique sur moi, je pose mes deux mains sur ses seins et les malaxe avant de saisir ses tétons entre mes doigts et de les pincer, ce qui lui fait pousser un petit cri. J’admire ma bite s’enfoncer dans sa petite chatte, nos toisons se mélangeant à chaque fois que je suis au plus profond d’elle. A un moment, elle stoppe ses va-et-vient et reste figée sur ma tige. Je me demande la raison de ce soudain arrêt lorsque je sens un liquide brûlant inonder mon bas-ventre et couler entre mes cuisses et sur mes couilles.
— Mais... tu me pisses dessus ma cochonne !— Surprise ! s’exclame-t-elle en riant.
Comme elle s’apprête à se retirer de moi une fois son pipi terminé, j’empoigne ses hanches à pleines mains pour rester enfoncé au plus profond de son con et fais jaillir à mon tour un flot de pisses chaudes en elle. J’ai l’impression que son corps se relâche et qu’elle savoure la sensation du liquide chaud la remplissant et débordant de son sexe sur le mien. Une fois ma vessie totalement vide, Michelle se relève et se retourne sur moi, si bien que je me retrouve la tête entre ses cuisses pleines de mon urine et de la sienne. Lorsque, à quatre pattes, elle se penche pour me sucer, je sens les poils de son sexe frôler mes lèvres et j’écarte ses fesses pour savourer la vue de son petit trou et d’ouvrir la bouche pour déguster sa chatte. L’odeur forte et doucereuse de son con après une longue journée d’étude et le goût salé de nos urines me font tourner la tête alors que j’aspire ses lèvres.
La pointe de ma langue s’insinue dans son intimité et récolte son jus épais et sucré, la faisant trembler et gémir alors qu’elle me pompe. Au comble de l’excitation, Michelle frotte son entrejambe sur mon visage, si bien que mon nez se retrouve tour à tour entre ses lèvres béantes et à la porte de son cul. La sentant proche de l’explosion, je passe la pointe de ma langue en alternance sur ses lèvres et son anus, m’attardant sur le petit bout de peau entre son vagin et son cul, et forçant imperceptiblement l’entrée de celui-ci. Après moins de trente secondes d’acharnement sur ces points sensibles, je sens la jeune femme littéralement éjaculer dans ma bouche, se redresser sur moi et hurler dans la nuit.
— Putain ouiiiiii !
Ce faisant, ma langue se retrouve au fond de son anus qui se dilate et se contracte au fur et à mesure que Michelle est secouée par les vagues de jouissance de ce nouvel orgasme.Revenue de ses émotions et après m’avoir presque étouffé entre ses fesses, elle se relève et nous nous enlaçons pour un long baiser. Son haleine sent la cigarette mentholée, mais sa salive a le goût de nos activités nocturnes, mélange de pisse et de sexes. Pendant que nos langues s’enroulent et se déroulent avidement, elle caresse ma queue d’une main et griffe mon dos de l’autre. Après plusieurs minutes, nos lèvres se séparent et je lui murmure dans le cou :
— Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme...— Je sais, m’interrompt-elle en continuant de me branler. Je veux que tu jouisses au fond de mon cul.
Me tenant toujours par la bite, elle m’entraîne à nouveau vers le capot de la voiture et se penche en avant, me dévoilant son anus entrouvert.
— Défonce-moi le cul, sauvagement. Baise-moi comme la chienne que je suis et remplis-moi de ton sperme.
Excité par ce langage vulgaire, je me glisse derrière elle et, sans aucun préliminaire, force ma bite entre ses cuisses et la défonce pour répondre à ses désirs. Ma grosse queue est à l’étroit dans son cul et je dois cracher plusieurs fois entre ses fesses pour le lubrifier. Finalement, je peux aller et venir librement dans son trou parfaitement dilaté, mais, la taille de mon sexe face à l’étroitesse de son trou produit des petits bruits triviaux qui nous font rire tous les deux.Sentant mon sexe gonfler encore plus au fond d’elle et la vitesse de mes coups de reins ralentir, Michelle tourne la tête dans ma direction et m’encourage :
— Remplis-moi de ton foutre brûlant. Je veux te sentir inonder mon cul et jouir tout au fond de moi.
Après quelques va-et-vient supplémentaires, n’y tenant plus, je m’enfonce tout au fond d’elle et laisse jaillir ma semence brûlante en poussant un long râle de plaisir qui vient en écho aux gémissements de la jeune femme qui jouit également en me sentant me répandre dans son cul.Après quelques instants, Michelle se retourne et se met à lécher le sperme maculant mon sexe en train de ramollir.
— Tu as vraiment une bite superbe, susurre-t-elle en déposant un baiser délicat sur le bout de mon gland. Et tu sais t’en servir comme il faut.
Estimant son travail de nettoyage satisfaisant, elle s’en va récupérer ses habits disséminés autour du vieux hangar et j’en profite pour également me rhabiller. En reprenant ma place derrière le volant, je remarque qu’elle n’a remis que son t-shirt et, alors que nous reprenons notre chemin, je sens mon sexe durcir à nouveau dans mon jean quand je comprends que, les jambes écartées sur le siège à côté de moi, Michelle récolte ma semence dans son cul et s’en lèche les doigts en me jetant un regard satisfait, puant le vice à l’état pur.Dix minutes plus tard, suivant les indications de la jeune femme, je gare le SUV devant un petit immeuble de trois étages dont toutes les fenêtres sont éteintes, sauf une.
— Ah, ma colloc’, sans nouvelles, n’arrive sûrement pas à dormir, plaisante-t-elle en sortant de la voiture sans même avoir remis sa culotte.
Elle laisse la portière ouverte pendant qu’elle allume une cigarette. J’admire encore une fois ce sexe à la douce toison que je viens de souiller quelques minutes plus tôt. Michelle remarque mon regard et écarte légèrement ses jambes pour écarter les lèvres de sa chatte et y passer langoureusement un doigt qu’elle glisse ensuite sur sa bouche avant de se pencher pour m’embrasser.Le goût de son con et la pointe de sa langue se glissant dans ma bouche terminent de raviver ma queue bien vite à l’étroit dans mon jean.
— Merci encore pour la course, me chuchote-t-elle en ressortant de la voiture et en s’éloignant en direction de la porte vitrée de l’entrée de l’immeuble sans même refermer la portière.
Diffuse en direct !
Regarder son live