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Thomas Coste 4 - Pilar

Chapitre unique

SM / Fétichisme
J’ai la tête un peu embrumée par le rendez-vous professionnel tardif d’hier soir, et surtout par les trop nombreux verres qui ont suivi la conclusion d’un important contrat publicitaire. J’ai bien fais de prendre un cachet d’ibuprofène avant de me coucher, le mal de tête est un peu plus supportable ce matin.J’arriverai à l’agence quand j’arriverai mais, dans l’immédiat, il me faut une tasse de café bien serré et un grand bol d’air frais. Pendant que la machine verse le nectar noir dans ma tasse, j’enfile rapidement un vieux t-shirt. L’air est frais le matin en ce début d’automne et je n’ai pas le courage de l’affronter complétement à poil.Je sors sur la terrasse et m’accoude à la barrière pour admirer les quelques bancs de brume qui nappent la campagne environnante et les premiers rayons du soleil qui passent à peine au-dessus des peupliers des voisins. La journée va être belle.
Alors que je déguste ma première gorgée brûlante en savourant l’instant présent, je remarque du coin de l’œil une silhouette debout sur un des balcons de la maison voisine qui, normalement, est inhabitée à cette saison. Une jolie brune, nue comme un verre, boit son café en fumant une cigarette. Elle ne m’a pas remarqué et je salue mon initiative d’avoir mis un vêtement assez ample pour masquer mes attributs. Je n’ai pas le temps de détailler son corps avant qu’elle rentre et referme la fenêtre derrière elle, mais sa silhouette est parfaite, si parfaite que je me rappellerais forcement si je l’avais déjà croisée. Qui peut-elle être ? Je termine ma tasse et file sous la douche. Il est temps que je me reprenne en main et que j’affronte cette journée qui est, heureusement, la dernière de la semaine.
Ayant expédié les affaires les plus urgentes, je décide de rentrer plus tôt et d’envoyer quelques courriels depuis ma terrasse. Confortablement installé, torse nu au soleil de la fin de l’après-midi, un bruit de voiture sur du gravier me fait lever les yeux de mon écran. Ma voisine inconnue sort d’un joli petit cabriolet allemand. M’apercevant, elle me fait un rapide signe de la main accompagné d’un charmant sourire dévoilant des dents éclatantes. Vêtue d’une jupe et d’un blouson en cuir, elle se dirige vers la grande demeure les bras chargés de sacs courses.
Quelques minutes plus tard, je l’aperçois en train de ranger ses achats dans sa cuisine. Elle est à nouveau complétement nue, la demoiselle ne doit pas trop aimer les vêtements. Je profite de ma position légèrement en surplomb pour satisfaire mes tendances voyeuristes et l’examiner plus en détails : Peau mate, bronzée avec de jolie traces de maillot. De longs cheveux bruns attachés en une natte sophistiquée. Des petites fesses rebondies surmontant des jambes fines et musclées. Une poitrine au galbe parfait, aux tétons charnus. Un visage doux avec de grands yeux et une bouche parfaitement dessinée. Je me rends compte que mon cœur bat la chamade dans ma poitrine et que je suis littéralement hypnotisé par la belle inconnue.
Je la perds de vue quelques instants alors qu’elle quitte sa cuisine. Elle sort alors de sa maison, toujours aussi nue, et descend les quelques marches menant à sa voiture. Après avoir récupéré quelque chose sur le siège passager, elle appuie ses fesses contre la portière et allume une cigarette. Sachant certainement que je ne rate rien du spectacle qu’elle m’offre, elle me jette un petit regard avant de retourner calmement chez elle. C’en est trop, mon cœur va éclater… et ma braguette aussi !
Je passe la soirée sur mon canapé, à regarder un mauvais film que je ne vois même pas, obsédé par ma délicieuse et impudique voisine. Je finis par m’endormir devant l’écran.
Le lendemain matin, de retour sur ma terrasse, je cherche à entrevoir la jeune demoiselle. Sans succès. Le soleil commence à cogner et je décide de m’installer, un boxer pour seul vêtement, dans mon living au rez-de-chaussée plutôt qu’à mon bureau pour travailler quelques heures sur un projet que je dois présenter prochainement.Musique douce pour accompagner ma réflexion, mes doigts volent sur le clavier. Rapidement le flyer prend forme et j’en imprime une épreuve afin de mieux me rendre compte du rendu final.Alors que je reviens de l’imprimante, une petite voix me fais sursauter :
— Salut !
Je lève les yeux pour découvrir ma jolie voisine dans l’encadrement de la porte vitrée donnant accès au jardin. Elle porte un ensemble de lin blanc, pantalon et veste de tailleur assortis, petit haut et sandales compensées. Elle est éblouissante.
— Désolée de vous déranger mais je dois aller faire une présentation et je ne retrouve plus mon câble HDMI. Pourriez-vous me dépanner ? J’ai sonné mais votre carillon doit être cassée.
Elle a une voix douce mais énergique, rendue encore plus charmante par un petit accent que je n’arrive pas immédiatement à cerner. Debout en sous-vêtement dans mon salon, je n’arrive à prononcer que quelques mots tant ma bouche est sèche. Qu’est-ce qui m’arrive bon sang ?
Je fouille dans le sac de mon portable qui est posé à côté du canapé et lui tend l’objet souhaité.
— J’espère que ça ira. Je n’ai que celui-là.— Oh oui merci, ce sera parfait. Je vous le rapporte très vite.
Elle me gratifie d’un sourire à réveiller un mort et s’en va prestement. J’entends sa voiture accélérer dans l’allée voisine et filer à toute vitesse sur la route. Je reste sur le pas de la porte de mon jardin quelques instants avant de retourner à mon projet.
Vers quatorze heures, mon projet finalisé, je referme mon portable et le dépose sur la table du salon à côté de mon dossier de présentation au client. Il fait très chaud cet après-midi et je décide d’aller piquer une tête dans la piscine pour profiter d’une des dernières belles journées de la saison. Comme je sais ma voisine absente, je retire vite fait mon boxer et plonge dans l’eau qui est un peu plus froide que prévu.Je fais quelques bassins, heureux d’avoir pu garder cette maison et cette piscine après le départ de mon ex-femme, et d’aller m’étendre sur un transat pour sécher au soleil. Je mets mes écouteurs et lance ma playlist du moment. Déconnecté du monde alentour, je me perds dans mes pensées jusqu’à ce qu’une ombre sur mon visage me ramène à la réalité.Ma voisine se tient debout à côté de mon transat, me tendant mon câble HDMI en souriant. Je retire mes écouteurs.
— Merci encore, vous m’avez sauvé la vie !
Putain, avec la musique je ne l’ai pas entendu rentrer et maintenant je suis là, la queue à l’air devant elle ! J’essaie de me ressaisir et de masquer mon anatomie en m’asseyant sur le bord du siège en plastique.
— Quelle chance vous avez de pouvoir profiter de votre piscine, ajoute-t-elle. Mon oncle et ma tante, qui possèdent le grand domaine à côté, ne remplisse jamais la leur car ils ne viennent que trop rarement.— Si vous voulez en profiter à l’occasion ne vous gênez pas, faites comme chez vous, dis-je en espérant qu’elle s’en retourne chez elle mettant une fin rapide à cette situation embarrassante.— C’est vrai ? Vous êtes adorable ! s’emballe-t-elle en retirant ses sandales.
Je la regarde se déshabiller au bord du bassin en essayant de masquer au mieux mon sexe se réveillant à la vue de ce corps sensuel. Après avoir soigneusement déposé ses affaires sur le transat à côté du miens, la demoiselle plonge la tête la première en m’éclaboussant au passage. Elle ressort à l’autre extrémité du bassin après avoir nagé sous l’eau sur toute la longueur.
— Ça fait un bien fou ! Vous ne venez pas ? me lance-t-elle en plaquant ses cheveux en arrière.— Pas tout de suite non. Je vais aller vous chercher une serviette pour que vous ne preniez pas froid.— Ça peut attendre, je ne suis pas frileuse. Venez donc, ne vous gênez pas, moi-aussi je vous ai observé, vous n’avez pas à rougir. Et puis moi aussi je suis nue alors…
Ne sachant pas comment contrer ses arguments, je décide de me lever et de descendre les quelques marches descendant dans le bassin. Alors que je mets les pieds dans l’eau fraiche, l’inconnue me rejoint en nageant et se retrouve bientôt à quelques mètres de moi.
— Je m’appelle Pilar, me dit-elle alors que je m’avance, de l’eau jusqu’à la taille.— Tom, enchanté. Vous venez d’où avec ce petit accent ?— Du Venezuela. Je suis ici pour faire un stage dans un grand restaurant de Bordeaux. Je possède un restaurant de cuisine française à Caracas.
Alors que je termine de me mouiller, la voilà qui plonge sous l’eau, me dévoilant furtivement son adorable petit trou. Je plonge derrière elle et la rejoint au bout du bassin.
— Et vous restez longtemps ?— Je ne sais pas encore. Je souhaiterais faire un autre stage après le premier, dans un domaine viticole, pour apprendre les secrets des merveilleux nectars locaux. C’est pour ça que j’ai été me présenter aujourd’hui. Merci encore pour le câble.— Avec plaisir. Ça m’aura permis de faire votre connaissance.— Je vais aller chercher cette serviette, je vois que vous avec froid, dis-je en la voyant frissonner.— Je ne peux pas le cacher, me répond-elle, espiègle, en faisant sortir ses seins aux pointes durcies de l’eau.
Je reviens quelques minutes plus tard alors que Pilar sort du bassin. Elle me tourne le dos afin que je l’enveloppe dans la grande serviette-éponge.
— Merci.
J’en ai profité pour remettre mon boxer et je l’invite à me suivre à l’intérieur de la maison pour se réchauffer un peu.
— Je vous sers quelque chose à boire ? Café ? Thé ? Autre chose ?— Volontiers un café, noir, me répond-elle en nouant la serviette autour de sa taille.
Tandis que je nous tire deux cafés, elle vagabonde dans le séjour en examinant la décoration. Je contemple sa sublime poitrine que ses longs cheveux mouillés viennent un peu masquer, ses seins m’attirent. Leurs aréoles bien rondes, surmontées de tétons arrogants, me font saliver et je m’imagine en traine de les lécher, de les sucer, de les mordiller. Sentant ma queue bander contre le plan de travail de la cuisine, je me force à penser à autre chose et à dégonfler avant d’apporter nos tasses sur la table.Pilar s’est assise et regarde le dossier que j’ai finalisé plus tôt dans la journée.
— C’est vous qui avez fait ça ? demande-t-elle en désignant la maquette du flyer placée dans une fourre transparente.— Oui, je travaille dans une agence de publicité. Je dois présenter ce projet au client lundi.— EDEN Club, j’en ai déjà entendu parler. C’est un club un peu… spécial non ? J’adorerais essayer mais je n’en ai jamais eu l’occasion.
Le gérant de l’EDEN Club est un ami de longue date et je lui fais des petits travaux de temps en temps, en freelance. Le club est en réalité un endroit où se retrouvent tous les libertins de la région et d’ailleurs. Il comprend une boite de nuit, des espaces de détente et d’autres attractions que je n’ai pas encore toutes essayées, même si j’y suis aller plus d’une fois, toujours en charmante compagnie.Je reste discret sur mes expériences antérieures alors que la jeune femme lit le prospectus à haute voix :
— OBEY, soirée soumission. Réservée aux couples, accès à l’ensemble des salles. C’est dans deux semaines seulement, énonce-t-elle en levant les yeux vers moi. Vous y êtes déjà allé ?— Une fois ou deux, mens-je. Il y a longtemps.— C’est réservé aux couples… vous m’y accompagnez ?
Je me perds dans ses grands yeux sombres m’implorant.
— Pourquoi pas. Mais la soirée est à thème.— J’ai vu, dit-elle, toute excitée. Je m’occupe de ça !
Nous nous asseyons pour savourer nos cafés en parlant de tout et de rien. Je bois ses paroles. Son regard pétillant m’électrise et j’ai envie de dévorer sa bouche aux lèvres brillantes. La fin de l’après-midi arrive trop vite et Pilar retourne chez elle, ne m’abandonnant que quelques effluves d’un parfum discret sur la serviette-éponge.
Aucun signe de Pilar les jours suivants. Je me dis qu’elle a abandonné son idée d’excursion en club libertin. Je ne sais pas si je suis déçu ou soulagé.Quelques jours avant la soirée prévue, alors que je rentre du travail, Pilar m’interpelle depuis un des balcons de sa maison :
— Hey voisin ! ça vous dirait de goûter à ma cuisine ? Et puis j’ai une petite surprise !— Salut ! Le temps de me changer et j’arrive !
Une douche rapide, enfiler un jean et un t-shirt, et hop ! Je sonne à la porte de la maison voisine.

La voix de Pilar m’invite à entrer. Le hall est vaste et haut de plafond, meublé avec goût, même si je préfère le moderne. Je rejoins mon hôte à la cuisine où elle coupe avec dextérité des légumes en dés réguliers.
— Servez-vous un verre de vin blanc. Je termine ça et je suis à vous.
Je me sers un verre de Chardonnay et m’installe sur un tabouret de bar.
— C’est une recette que je test, me dit-elle avec son adorable accent. Vous serez en quelque sorte mon cobaye.
Pour une fois, la jeune femme est habillée. Elle porte une petite robe d’été qui dévoile ses jambes bronzées. Elle est nu-pieds et ses cheveux sont retenus en une queue de cheval assez lâche. Deux créoles en or pendent à ses oreilles et je remarque un petit brillant à la gauche de son nez.Après s’être lavé les mains, Pilar s’installe en face de moi et allume une cigarette avant de boire une petite gorgée de vin. Elle porte très peu de maquillage. Elle n’en a pas besoin pour être rayonnante.Nous parlons de tout et de rien jusqu’au repas, cette femme me fait réellement tourner la tête.Elle a dressé une table pour nous deux dans une pièce attenante à la cuisine. Nappe en tissu, vaisselle hors de prix, tout comme le vin qui décante dans une carafe en cristal. Je m’installe à table pendant que Pilar apporte le premier plat et que je comprends qu’il s’agit en fait d’un menu complet et pas simplement d’une recette à tester.
— Bon appétit, dit-elle en déposant les assiettes et en prenant place de l’autre côté de la petite table.
Présentés avec goût et une touche de féminité, trois champignons servis avec un onctueux beurre blanc citronné et décorés de quelques fleurs d’oxalis, ouvrent ce repas.
— A notre soirée ! déclare la jeune femme en levant son verre.
Je lui réponds en levant mon verre à mon tour, ne sachant pas si elle parle de cette soirée ou de notre prochaine escapade à l’EDEN Club.Le repas se poursuit avec des fruits de mer et des coquillages, suivi d’un filet de lieu jaune, d’un filet de canard au miel de tilleul et, pour terminer, de fruits cuits au barbecue. Je me régale et ça se voit. Nous finissons nos verres de Bordeaux Grand cru en allant nous installer sur une grande banquette en cuir blanc située devant une grande baie vitrée qui permet d’admirer la nuit tombant sur la campagne environnante.
— Je t’avais parlé d’une surprise, dit Pilar en me tutoyant. Surement l’effet du vin… ou pas. Ne bouge pas et ferme les yeux.
Je bois une dernière gorgée de vin et m’exécute. Elle revient quelques minutes plus tard et me dit, taquine :
— C’est bon, tu peux ouvrir les yeux !
Pilar se tient devant moi, rayonnante, dans une tenue que, même dans le plus osé de mes fantasmes, je n’aurais rêvé de la voir porter. Pas farouche la demoiselle !
— Tadaaaa ! Surprise !
Son buste est harnaché dans un ensemble de lanières de cuir noir et de chainettes laissant sa poitrine libre. Les bouts de ses seins sont reliés l’un à l’autre par une chaine à pinces. Un collier de chien autour de son cou est fixé au reste par des anneaux métalliques. Comme ses poignets, ses hanches et le haut de ses cuisses sont également ceints de cuir.Son sexe à la toison rase taillée avec soin est libre, tout comme ses fesses. Pour couronner le tout, la jeune femme est chaussée de longues bottes à talon en cuir noir remontant jusqu’à mi-cuisses. Elle a tiré ses cheveux en arrière et resserré sa queue de cheval, ce qui lui donne un air sévère, encore accentué par un maquillage sombre. Elle a troqué ses créoles pour deux pointes en acier semblant traverser ses lobes d’oreilles.Je reste sans voix lorsqu’elle me tend un petit sachet en papier.
— Tiens, c’est pour toi. Va l’essayer, je ne sais pas si la taille va jouer. Tu es plus grand que les mannequins de la boutique.
Ayant trouvé une petite pièce où me changer, je déballe le paquet et découvre un autre harnais de cuir noir.Heureusement que la surprise est accompagnée d’une notice car j’aurais pu me blesser en ne sachant comment enfiler cet objet. Une fois nu, j’enfile le tout en suivant bien les indications du petit bout de papier et, pour terminer, je glisse mon pénis et mes testicules dans un anneau pendant au niveau de mon bas-ventre. Deux bracelets en cuir semblables à ceux de Pilar et un collier de chien complètent ma tenue.Assez inconfortable dans cet accoutrement, je décide de tout de même faire bonne figure devant mon hôte lorsque je retourne vers elle au salon.
— Ouaaahhh superbe, s’exclame-t-elle alors que je rentre dans la pièce en faisant gonfler mes muscles. J’ai encore un accessoire, ajoute-t-elle en fouillant dans un autre sachet pour en sortir une longe de cuir tressé munie d’un mousqueton.
Je me penche en avant pour qu’elle puisse venir l’accrocher à mon collier et, se faisant, j’ai une vue si magnifique sur ses adorables seins que je dois me retenir de les embrasser.
— Je vois que ma surprise te plait, me dit-elle en se reculant pour admirer son œuvre.
En effet, je bande comme un taureau en rut. La vue de Pilar dans cette tenue et la proximité de son corps me mettent dans tous mes états.
— J’ai loué une voiture avec chauffeur pour nous emmener au club vendredi, m’apprend-elle. Mais avant je te propose de fixer quelques règles qui rendront l’expérience encore meilleures.
Je l’écoute avec attention énumérer les consignes qu’elle a déjà fixé :
— Premièrement, tu seras mon objet silencieux pour cette nuit-là. Tu devras m’obéir sans discuter et faire absolument tout ce que je te dirai, c’est le thème de la soirée.
J’acquiesce puis la laisse continuer.
— Deuxièmement, je ne te toucherai pas et tu ne me toucheras pas. Quoi qu’il se passe. Et pour finir, tu ne jouiras dans personne et personne ne jouira en moi.
Satisfaite par ma souscription inconditionnelle à ses règles, elle s’approche de moi et, se mettant sur la pointe des pieds et collant sa poitrine contre mon torse, dépose délicatement un baiser sur mes lèvres.
— Je dois me lever tôt demain, tu refermes derrière toi en partant ? A vendredi !
Je la suis du regard alors qu’elle qui la pièce et monte le grand escalier en direction de sa chambre. Je suis au comble de l’excitation et je dois attendre de me calmer, une fois de retour chez moi, pour pouvoir libérer mes parties intimes coincées dans l’anneau.Je suis obligé de me branler, en pensant à Pilar, pour pouvoir enfin m’endormir.
Vendredi soir, j’ai opté pour le port d’un costume de soirée pour dissimuler le fait que je porte mon harnais. J’attends Pilar au pied du porche de sa demeure. Derrière moi, le moteur de la berline de luxe ronronne dans la nuit et seule la lumière de ses phares éclaire la façade.Pilar apparaît sur le perron, vêtue d’un long manteau sombre et de ses bottes montantes en cuir.Je la devine nue, ceinte de cuir et de métal sous ce vêtement et l’anneau commence à enserrer la base de mon sexe alors que celui-ci gonfle déjà de désir pour cette femme qui m’est interdite.
— Salut, me lance-t-elle en jouant avec la longe en cuir qu’elle tient dans ses mains. Tu es superbe dans cette tenue, et je suis sûre que dans l’autre aussi, chuchote-t-elle en montant dans la voiture pendant que le chauffeur lui tient la portière ouverte.
Je la suis et bientôt nous roulons à vive allure en direction du club. Elle allume une cigarette et exhale la fumée par la fenêtre légèrement baissée. Par les pans entre ouverts de son manteau, je distingue furtivement le haut de ses bottes, les lanières enserrant ses cuisses et la base des lèvres de son sexe. Me voyant émoustillé, elle écarte un peu plus le tissu pour me dévoiler sa chatte surmontée de sa sombre toison et me sourit.
— N’oublie pas les règles, me murmure-t-elle en regardant d’un air satisfait mon pantalon se soulever au niveau de mon entre-jambe.
Une trentaine de minutes plus tard, le chauffeur nous dépose devant l’entrée de l’EDEN Club.Pilar à mon bras, je tends mon carton VIP au videur qui garde l’entrée de ce temple de l’échangisme.
Nous allons nous préparer dans un grand vestiaire et, une fois débarrassés de nos vêtements devenus inutiles, ma complice de débauche accroche la longe à mon collier en prenant bien soin de ne pas toucher ma peau avec sa main.
— Il faut que je pisse avant que nous rentrions dans le Club, dis-je en voulant me diriger vers les WC tous proches.— T-t-t, fit la jeune femme en claquant sa langue contre son palais. Trop tard, maintenant tu es à moi et tu ne peux plus rien dire. Par contre, moi aussi j’ai envie.
Elle m’oblige à la suivre en me tirant par la longe et bientôt je me retrouve en sa compagnie dans une cabine, elle assise sur le siège des WC et moi debout juste devant son nez.Le bruit de son urine dans la cuvette met ma vessie au supplice mais je tiens bon. Elle passe rapidement un feuillet de papier sur son sexe pour s’essuyer et nous sortons en suivant le son des basses provenant de la partie night-club du complexe.
Une dizaine de personnes en tenues sexy ou complétement nues s’agitent au rythme de la musique électronique tandis que d’autres sont installées aux diverses tables réparties dans l’immense salle. Au travers des flashes des projecteurs et des lasers, je distingue plusieurs groupes de personnes se livrant à des activités diverses et variées mais toutes pour adultes avertis.
Pilar nous entraîne sur la piste de danse et m’oblige à rester en périphérie alors qu’elle ondule en cadence au milieu d’autres convives. Je ne suis pas seul dans cette situation. Plusieurs autres « esclaves », hommes et femmes, restent comme moi plantés là à regarder leurs « maîtres » s’éclater.
Bien vite, un couple s’approche de Pilar et l’encadrent, l’homme devant et sa femme derrière, pour se coller à elle et la caresser alors qu’elle se déhanche sur la musique. Je suis obligé de les regarder faire ce que je rêve de faire à ce petit corps de femme depuis que je l’ai aperçu pour la première fois :
La femme, collée dans le dos de Pilar, tiens la queue tendue de son mari et la frotte contre la chatte et le bas ventre de ma voisine. L’homme lui lèche à pleine bouche les petits seins dont je rêve, tout en massant les fesses de sa femme. Pilar se laisse faire et je distingue sa seule main libre, l’autre tenant ma longe, s’affairer autour des couilles de l’homme. Je remarque tout à coup que chacun des deux tient également une laisse au bout de laquelle se trouve un homme et une femme, immobiles à mes côtés. Sont-ce réellement un mari et sa femme ou alors deux inconnus se rencontrant pour la première fois sur le corps de la jeune vénézuélienne que j’accompagne ?
Je suis tiré de mes pensées alors que le couple, suivi de leurs captifs, se dirigent vers une alcôve. Pilar leur emboite le pas en m’attirant à sa suite. Tous trois s’installent sur la banquette de tissu alors que nous, leurs prisonniers, restons debout devant la table. Alors que le serveur apporte une bouteille de champagne dans son seau de glace, j’en profite pour détailler le couple :
Lui, la soixantaine mais encore bien fait. Tempes grises et calvitie naissante. Un corps svelte qui se ramollit un peu. Son sexe, rasé et à nouveau au repos, pendouille sur le bord du siège. Sa captive est plus jeune que lui. Elle a les cheveux bruns, courts, coupés au carré. Des seins bien ronds surmontant un ventre plat enserré dans un corset de latex rouge. Une chatte rasée et des fesses un peu trop plates à mon goût. La femme elle, est également plus jeune que l’homme. Une belle poitrine aux seins en poire un peu pendants. Un sexe à la toison fournie du même blond que ses cheveux qui sont retenus en chignon. Son prisonnier est métis. Certainement trop jeune pour être son mari. Il a un corps athlétique à la pilosité fournie. Sa queue de bonne taille ne parvient pas à complétement masquer ses couilles, de bonne taille elles aussi, qui pendent entre ses cuisses musclées.
Ma maîtresse du soir chuchote quelque chose à l’oreille de l’homme en lui effleurant la queue du bout des doigts et celui-ci fait de même à la blonde qui sourit en réponse. Les trois échangent alors leurs laisses, la femme se retrouve bientôt en possession de ma longe tandis que Pilar détient le jeune poilu.
Pendant que la petite brune se glisse sous la table pour sucer l’homme, la blonde prend ma queue à pleines mains pour la soupeser et jette un regard approbateur en direction de Pilar. Jouant à me décalotter et à lécher mon méat du bout de sa langue, la femme observe Pilar gober les grosses couilles velues de son nouvel esclave avant de me sucer d’une bouche experte. Sur la banquette, la brunette est assise sur la queue de l’homme qui empoigne ses seins à pleines mains en la faisant sauter sur sa bite tendue.
D’une traction sur ma longe, la blonde me force à m’agenouiller et à bouffer sa chatte dissimulée par une véritable forêt vierge. Alors que je suce avec application son clitoris et la fais gémir, je regarde Pilar enfouir son visage entre les fesses du jeune homme et lui déguster le cul tout en le masturbant d’une main. Je me prends à imaginer la sensation que cela me procurerais que de sentir la langue de cette magnifique femme s’enfoncer dans le trou de mon cul pendant qu’elle me branlerait. J’arrête bien vite ces pensées pour ne pas lâcher mon jus sur le parquet de la salle. La blonde coule dans ma bouche alors qu’elle jouit sous mes coups de langue.
Une fois ses tremblements de plaisirs calmés, je me redresse et m’enfonce en elle. Elle soupire de plaisir alors que mon énorme queue la laboure dans de lents va-et-vient. Je lève ses jambes et les place sur mes épaules pour la pénétrer encore plus profondément. Elle crie de plaisir à présent, à l’unisson avec la brunette qui se fait prendre en levrette penchée sur le dossier des fauteuils.
Je vois Pilar, allongée sur la banquette, se faire ramoner en missionnaire par le jeune métis et gémir de plaisir à chaque fois que sa grosse verge la défonce. L’homme s’affaire toujours derrière la brunette mais soudaine, dans un long râle, il se retire et se tourne en direction du visage de la jeune Latina tout proche pour décharger son foutre sur ses cheveux et dans sa bouche ouverte de plaisir. Excité par cette vision, le jeune homme déconne à son tour pour éjaculer sur le ventre et les seins de Pilar qui se cambre de satisfaction.
Décidant de rejoindre les autres dans cette pratique, la blonde me force à sortir de sa chatte et bientôt la voilà à branler ma queue pleine de son jus au-dessus de la chatte de ma comparse couchée les jambes écartées sur le canapé de l’alcôve.
La vue de son sexe, encore dilaté par une autre bite que la mienne, et de son corps strié des coulures de sperme des deux autres, m’amène très vite à gicler mon jus sur ses lèvres et sur sa mignonne petite toison.
Alors que je me tends de plaisir et que mon foutre jaillit par à-coups, je la vois plonger son regard au fond du mien et frissonner à chaque jet brûlant atterrissant sur son corps.Je suis vidé, dans tous les sens du terme, et je prends bien garde à ce que nos peaux ne se touchent pas lorsque je me relève.
Pendant que la brunette essuie les bites de l’homme et du captif sur ses seins, la blonde continue de masser ma queue en train de ramollir. Pilar, sans me quitter des yeux, se caresse et étale ma semence sur les poils de sa chatte. Je la vois enduire son majeur de foutre et le passer entre ses lèvres avant de le porter à sa bouche et de le sucer comme s’il s’agissait de ma queue. La femme doit penser que c’est elle qui me fait de l’effet lorsque je regonfle dans sa main.Sans laisser le temps à la blonde de repartir de plus belle, Pilar se lève et récupère ma longe. Elle, le corps recouvert de liquide blanchâtre, et moi, la queue tendue, nous dirigeons en direction des vestiaires.
Je ne débande pas alors qu’elle se lave en se savonnant langoureusement sous mes yeux.
— Pisse, m’ordonne-t-elle en s’accroupissant devant moi dans la douche. Pisse sur moi.
Bien que ma vessie soit prête à exploser, je suis tellement dur que cela ne vient pas immédiatement. Finalement un mince jet coule de plus en plus fort pour atterrir directement sur le visage de la jeune femme qui ouvre la bouche en grand pour boire mon urine. D’une main, je dirige le jet, tantôt sur ses seins, tantôt dans ses cheveux. Je remarque qu’elle aussi est en train de pisser, nos deux urines se mélangeant sur le carrelage avant de s’écouler par la grille de la douche.Comme j’aimerais laper ce jus doré qui jaillit d’elle, le recueillir directement au sortir de sa chatte et le sentir couler sur ma langue. Je me remets à bander alors que le flot se tarit. Pilar se redresse et se rince, visiblement satisfaite de voir mon sexe dressé devant elle.
— Tu ne peux pas rester dans cet état toute la nuit, me lance-t-elle en tirant sur ma longe.
Je la suis et nous traversons un vaste hall plein de convives pour arriver dans une pièce sombre.Dans la pénombre je distingue plusieurs hommes faisant face à un mur percé de trous dans lesquels ils ont introduit leurs sexes. Mon accompagnatrice fixe ma longe à un anneau fixé dans la paroi et m’ordonne de glisser à mon tour ma queue tendue dans un des trous juste devant moi. Je m’exécute et reste donc là, le front appuyé contre la mince cloison, tandis que Pilar s’éloigne en direction d’une porte à ma droite.
Aveugle, je sens une bouche chaude et humide s’enrouler autour de mon gland et l’aspirer lentement. La bouche inconnue m’avale ensuite et je me sens buter sur le fond d’une gorge qui ne peut pas avaler plus mon énorme verge gonflée de désir. Pensant à Pilar, je ne peux pas résister plus de quelques minutes aux aller-retours de cette bouche autour de mon membre et j’explose entre les lèvres brûlantes qui captent et avalent, je le sens, la totalité de mon foutre. Je souhaiterais tant que ce soit des lèvres vénézuéliennes de l’autre côté du mur… si seulement.
Je reste là, obéissant aux règles fixées par Pilar, en attendant son retour. Je la vois enfin revenir, accompagnée d’une superbe asiatique vêtue d’un kimono se soie rouge orné d’idéogrammes dorés. Je remarque que Pilar la tient également en laisse et, après m’avoir décroché du mur, nous nous dirigeons vers le hammam tout proche.L’air chaud et humide sentant l’eucalyptus me saisit au nez alors que nous pénétrons dans la pièce. Plusieurs personnes, uniquement des hommes, sont installés ça-et-là et transpirent en silence. Pilar s’assied parterre au pied de la première rangée de marches et écarte ses jambes. Sans avoir besoin de tirer sur sa laisse, la jeune asiatique, qui a laissé sa toge à l’extérieur, se met à quatre pattes et glisse son visage entre les cuisses de la Latina, dressant sa croupe devant moi.
— Bouffe-lui le cul, m’intime Pilar.
Je m’agenouille moi aussi sur le sol trempé et écarte les fesses de la femme pour dévoiler un petit anus rose et tout serré. Je fais tourner le bout de ma langue sur cette adorable rondelle jusqu’à ce qu’elle se détende un peu puis, forçant un peu le passage, j’y introduis doucement ma langue aussi loin que je le peux. Ce faisant, je glisse deux doigts dans la chatte détrempée de désir de la jeune femme.La bouche collée au cul de l’asiatique, je remarque que les hommes présents se sont rapprochés de nous et que tous sont en train de se branler en nous regardant. Cela a l’air de plaire à Pilar qui se tord sous l’action de la langue qui fouille son sexe.
— Encule-la, me lance-t-elle dans un long gémissement.
Des hommes se sont encore rapprochés et ma jolie voisine en suce plusieurs à tour de rôle. Je place ma queue aux portes du cul de la jeune femme, dont le petit trou s’est bien ouvert sous l’action de mes coups de langue, et me glisse en elle sous le regard approbateur de Pilar entourée de sexes dressés. L’asiatique hurle alors que je la défonce. Je m’apprête à me retirer, pensant lui faire mal, mais je la sens reculer pour me replacer au fond d’elle. J’y retourne donc de plus belle. J’entends mon accompagnatrice jouir dans la bouche de la jeune femme dont le petit corps frêle est secoué par mes coups de pilon.Revenue de ses émotions, Pilar se place debout à côté de moi, me tenant toujours par la longe, et me donne des ordres :
— Baise-la plus profond. Ecarte ses fesses que je te voie la défoncer. Retire-toi, montre-moi son cul bien ouvert. Remet-toi bien au fond. Plus fort. Plus vite. N’oublie pas les règles. Jouis.
J’ai juste le temps de m’extraire du cul que je jouis en inondant les fesses tendues devant moi, mon jus laiteux coulant dans sa raie, sur les lèvres de sa chatte, et retombant en grosses gouttes sur le sol entre ses jambes écartées.
Pilar et moi nous éloignons pour aller nous asseoir un peu plus loin, laissant la jeune asiatique à la merci des hommes présents. Ceux-ci ne se font pas prier pour accomplir leur basse besogne.Bientôt, les verges se relaient dans sa bouche et dans son cul. En une règle tacite, un à un, les pervers viennent l’enculer et lui remplir le cul de leur sperme. L’anus de la jeune femme déborde bientôt de leur semence coulant en cascade le long de ses jambes. Pilar et moi ne perdons rien de ce spectacle et, lorsque le dernier pervers se vide les couilles et sort du hammam surchauffé, nous nous approchons de la pauvre victime au cul ruisselant.En me frôlant presque, Pilar me susurre à l’oreille :
— J’aimerais tant que tu trempes ta queue là-dedans pour que je puisse venir y lécher leur sperme encore chaud…— Les règles, l’interrompe-je en exagérant l’expression de déception sur mon visage.— Les règles, me confirme-t-elle en trempant un doigt dans le trou dilaté de la jeune asiatique toujours immobile les fesses en l’air.
Pilar joint alors l’extrémité des doigts de sa main droite et, comme s’il s’agissait d’un plug anal géant, l’enfonce dans le cul dressé sans autres préliminaires en faisant déborder le jus qui s’y trouve.
— On va dire que c’est ta bite alors, dit-elle en ressortant sa main pour soigneusement la lécher.
Je reste là, dur à nouveau, à la regarder se délecter des semences d’inconnus qu’elle a récoltées dans l’anus d’une autre inconnue. Et j’aime ça.
Deux heures plus tard, nous sommes, Pilar et moi, allongés dans deux canapés se faisant face, à enquiller un nombre déraisonnable de shots d’alcool.Un peu plus tôt, nous avons fait la connaissance d’un couple de femmes qui sont en train de nous sucer, la « maîtresse » entre les cuisses de ma complice et la « captive » sur mon chibre. Défoncé par l’alcool, les couilles asséchées par cette nuit de débauche, je ne pourrai certainement pas jouir. Mais qu’importe, je savoure la bouche chaude qui me pompe en regardant l’autre femme s’affairer sur la chatte de ma voisine.
Au petit matin, complétement bourrés, nous retrouvons notre voiture et nous installons sur la banquette de cuir clair. Pilar se penche vers moi pour décrocher la longe toujours pendue à mon cou.
— Je te libère, me dit-elle dans un chuchotement sensuel.
Elle sent l’alcool, le sperme, la cyprine, la transpiration et, malgré tout, je la trouve toujours aussi attirante. Libérée des règles qu’elle a elle-même instaurées, la jeune femme s’allonge et pose sa tête sur mes genoux. Je caresse ses cheveux, doucement, et elle dort déjà alors que nous sortons du parking du club.J’ai dû m’assoupir également car le bruit des graviers de l’allée de Pilar me fait sursauter. Je la réveille doucement en lui caressant la joue. Elle ouvre les yeux et me regarde avec un petit sourire tendre. Tandis que la berline s’éloigne, j’accompagne mon adorable voisine jusqu’à la grande porte de sa demeure et m’apprête à lui souhaiter une bonne nuit quand je la sens me retenir par le bras.
— Reste avec moi, dit-elle doucement. Tu sais, en début de soirée j’aurais seulement désiré que tu me baises comme une chienne. Maintenant j’ai envie de te faire l’amour.
Je m’approche d’elle et la prends dans mes bras. Nos lèvres se touchent, s’entrouvrent, et nos langues s’enlacent dans un tourbillon de chaleur étourdissant. Je la porte jusque dans son salon et nous enlevons enfin nos harnachements que nous laissons tomber sur le parquet ciré. Nous sommes totalement nus et elle se colle à moi pour m’embrasser de plus belle. Plaquant mes mains sur ses fesses, je l’attire tout contre moi pour sentir chaque courbe de son corps contre le mien.
Elle me pousse doucement en direction du canapé sans interrompre ses baisers. Je tombe à la renverse. Pilar reste un bref instant debout à me regarder puis s’approche pour m’enfourcher. Je sens les lèvres brûlantes de son sexe contre mon gland battant puis, sa vulve s’ouvre et je pénètre en elle, lentement, en savourant cette sensation extraordinaire.
Elle ferme les yeux alors qu’elle s’empale sur ma queue dressée. Son sexe est chaud et humide, ruisselant de son jus. Je place mes mains sur ses hanches alors qu’elle absorbe ma bite dans toute sa longueur. Je sens enfin le fond de son vagin. Nous restons un instant sans bouger puis, elle se penche en avant, pose ses deux mains sur mon torse, et commence un délicat mouvement de rotation autour de mon membre gonflé de désir.
Mes mains se crispent sur son cul pour me maintenir au fond d’elle alors qu’elle balance son bassin d’avant en arrière en accélérant. Au bout de quelques minutes merveilleuses, je la sens se tendre alors qu’elle jouit sur moi. Pilar est secouée de soubresauts, ses ongles se plantent dans ma poitrine, et son jus inonde abondamment son intimité et ma queue.
Elle se couche sur moi, en me gardant en elle et les battements de son cœur me transpercent la poitrine tandis que sa langue cherche la mienne. Elle se laisse glisser le long de moi, m’embrassant dans le cou, sur le torse, sur le ventre. Arrivée vers mon sexe tendu et plein de sa cyprine, elle le prend à deux mains et le lèche comme s’il s’agissait d’un gigantesque cône glacé. La jeune femme me caresse et me branle un instant puis, m’enfourchant à nouveau, me remet en elle. Je plaque mes mains sur ses jolis petits seins pour jouer avec eux pendant qu’elle sautille sur moi en gémissant de plaisir.
Je la regarde engloutir complétement ma bite, chose assez rare vu sa taille, et je sens ses fesses claquer contre mes couilles à chaque fois qu’elle s’assied sur moi. Pilar se cambre alors qu’elle crie en jouissant une nouvelle fois. Pendant qu’elle est emportée par l’extase, elle laisse échapper de petits jets d’urine à la vue desquels je durcis encore plus tant cela m’excite de la mettre dans cet état-là.
Je veux me relever pour la prendre à mon tour mais elle me repousse contre les coussins du canapé. Pilar se relève, sortant délicatement ma queue de son sexe en s’aidant de sa main, et se retourne, toujours à califourchon sur moi. J’admire ses jolies petites fesses alors que, me tenant toujours d’une main ferme, elle se penche en avant en me dévoilant un anus parfait à l’entrée duquel elle place mon gland gonflé. J’écarquille les yeux en la voyant s’enculer avec ma bite, comme si je n’étais qu’un gode géant.
Précautionneusement, à son rythme, je disparais entre ses fesses. Son petit trou se dilate et m’avale sans effort. Une fois ma queue profondément en elle, Pilar se redresse légèrement en prenant appui de ses mains sur mes cuisses et, dans un mouvement de va-et-vient toujours plus rapide, se laisse défoncer. J’écarte ses fesses pour mieux profiter du spectacle et n’en crois pas mes yeux tant il est incroyable que cette adorable petite femme puisse être aussi vicieuse et perverse. Ange et démon réunis en une seule et même superbe jeune femme.
Pilar se renverse sur moi et se met à caresser frénétiquement son clitoris pendant que je caresse ses seins. J’entends son souffle saccadé et ses petits gémissements tandis qu’elle se branle en me gardant tout au fond de son anus et qu’elle est submergée par un nouvel orgasme. Nous restons immobiles, couchés l’un sur l’autre, avant qu’elle se lève et aille s’allonger sur le second canapé.
— Viens, me supplie-t-elle. Je veux voir ton visage quand tu jouiras au fond de moi.
Je m’approche et me place entre ses jambes dressées. Me ravisant, je lui tends ma main pour l’aider à se relever et la porte dans mes bras. Elle m’enlace de ses bras autour de mon cou et enroule ses jambes autour de ma taille. Me guidant de la main, je me place contre son petit trou tout dilaté et y pénètre.Elle soupire en me sentant m’enfoncer au plus profond de son cul et nous nous embrassons langoureusement alors que je la fais sauter sur moi, mes mains placées sous ses fesses. Je sens ses tétons durcis par le plaisir frotter contre ma poitrine. Son anus s’ouvre encore alors qu’elle m’embrasse de plus belle.
— Jouis… jouis mon chéri, me dit-elle dans un souffle.
Je la repose délicatement sur le canapé, mon sexe toujours enfoncé en elle. Elle garde ses jambes autour de ma taille pendant que je reprends mes coups de reins. Elle hurle en me sentant exploser au fond de son cul. Je reste immobile alors que je jouis par saccades et c’est elle qui reprend les mouvements de son bassin pendant que je l’inonde. Son anus plein de sperme remue autour de ma queue alors que je lâche une dernière décharge.Ruisselant de transpiration je regarde ma queue, toute collée de semence fraiche, glisser hors du cul explosé de Pilar qui déborde de mon jus.
La jeune femme se relève légèrement et m’invite à m’asseoir à côté d’elle. Elle caresse délicatement, machinalement, mon sexe flétri et collant. Je pose ma main sur le bas de son ventre et je fais délicatement rouler son petit bouton intime entre mon pouce et mon index.
— Tu sais, je crois que je suis tombée amoureuse de toi, dit-elle d’une voix douce sans me regarder. Ça ne veut pas dire que je souhaite passer ma vie ou même vivre avec toi, je ne suis pas la femme d’un seul homme, mais je me sens tellement bien avec toi que je n’ai pas envie d’être uniquement ton coup d’un soir.
La tête me tourne en entendant ses confessions. Je ne réponds rien alors qu’elle poursuit.
— J’ai enfin découvert quelqu’un qui me comprend et qui me suis dans mes désirs. Tu peux baiser d’autres femmes, de mon côté crois-moi je ne vais pas me gêner mais, au fond de moi, tu resteras mon point d’ancrage, mon roc inébranlable, vers lequel je reviendrai toujours.
Pour l’assurer de la réciprocité de mes sentiments, je me tourne vers elle et attire son visage vers le mien pour l’embrasser comme jamais je n’ai embrassé aucune femme. Je sens une larme couler sur sa joue, que j’essuie le plus délicatement possible sans briser le contact de nos lèvres. Nous restons là, silencieux, en nous caressant mutuellement, jusqu’à ce que la fatigue nous emporte.
Lorsque je me réveille, Pilar est recroquevillée sur le canapé.Je souris en la voyant dormir en suçant son pouce. Je caresse délicatement la peau satinée de ses fesses et la recouvre précautionneusement avec un plaid avant de quitter la belle maison de maître et de retourner chez moi, la tête pleine de souvenir et les yeux pleins d’étoiles.
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