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Thomas, l'habitué du Castle Bar

Chapitre 3

Erotique
Je suis désolé d’avoir mis autant de temps à écrire ce nouveau chapitre, merci pour vos encouragements et vos likes qui me motivent à continuer !

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Thomas se réveilla doucement sans qu’il ne sache trop pourquoi. Emergeant de son brouillard nocturne, il repensa aux évènements de la nuit dernière en se demandant s’il n’avait pas rêvé. Il n’avait en tout cas aucune envie de sortir de sa torpeur. Il profitait des rayons du soleil sur sa peau, les bras nonchalamment pliés sous sa tête, s’étirant en savourant la douceur des draps sur son corps nu. Il aimait cette sensation étrangement érotique, dans son lit défait, son sexe exposé, le drap ne recouvrant qu’une de ses cuisses, l’air frais dressant ses poils par instant... Il était bien. Satisfait.
Il mit un peu de temps à réaliser ce qui l’avait réveillé. Il ne put retenir un sourire en entendant le bruit de la douche, qui lui confirma ce qu’il pensait : Marine était bien dans son appartement.
En effet, Marine s’était réveillée avant lui. Exposée elle aussi, elle avait froid. Quand ses yeux s’étaient ouverts, la pénombre régnait encore. Elle avait fixé longuement le plafond, tentant de mettre ses idées en ordre. Jamais elle ne s’était lâchée comme ça... Jamais elle n’avait pris son pied comme ça.
— Bon, c’était une expérience, faut pas mourir conne, se dit-elle, n’osant pas complètement s’avouer à quel point elle avait adoré cette douce folie qui s’était emparée d’elle.
Pendant qu’elle tentait de rationaliser ce qu’il venait de se passer, elle commençait à bouger doucement pour achever de remettre en mouvement son corps engourdi. Elle sentit alors sur elle les traces diverses laissées par les ébats de la veille... leur sensation étrange, sèche et en même temps un peu humide, collante... et cela l’excita...
D’un geste vif, elle se leva. Il fallait qu’elle se ressaisisse. Quelle idée de fantasmer sur ce qui n’est après tout qu’une saleté, une tâche attendant d’être nettoyée. Une bonne douche lui ferait du bien. Elle se dirigea dans la salle de bain directement attenante à la chambre de Thomas.
Et effectivement, la sensation de la douche brûlante sur son corps ankylosé fut libératrice ! Quel bonheur ! Dos à la douche, l’eau formait ainsi une sorte de cascade le long de sa colonne, ses fesses rebondies jouant dans ce scénario le rôle de la falaise... Elle laissait l’eau couler, comme pour mieux réprimer les souvenirs de la nuit précédente concernant cette région de son corps. Empruntant à Thomas un peu de gel douche, il lui devait quand même bien ça, elle s’en répartit sur les mains et commença à se savonner. Encore un peu perdu dans ses introspections métaphysiques, ses mains avaient leurs propres vies, passant le long de son ventre plat, soulevant ses seins ronds, laissant une trace luisante et moussante un peu partout. Sans vraiment s’en rendre compte, Marine repassait plus que nécessaire sur ses seins, profitant de la douceur du gel douche pour se caresser les seins, alimentant sa torpeur d’une caresse sur ses tétons qui commençaient à se dresser...
— Mais c’est pas vrai, qu’est-ce qui t’arrive ma pauvre fille ? Ressaisis-toi ! se dit-elle en se redressant d’un coup. D’un geste brusque, comme pour rappeler à son corps qui était la patronne, elle se saisit du pommeau. Elle se rinça le torse, puis les cuisses, en frottant de son autre main afin de bien laver leur intérieur. Elle remonta ensuite sur sa vulve. La sensation du jet d’eau lui fit un choc. Sa main ne put s’empêcher de se caresser doucement. Elle avait envie. Elle avait faim. Elle était perdue. Elle était excitée. C’était une évidence... En coupant la douche, elle continua à se caresser en silence, son corps exigeant le plaisir dont clairement elle était déjà en manque.
Et c’est là qu’elle entendit Thomas bouger et s’étirer dans le lit. Si la voix de sa conscience bien élevée protestait toujours dans sa tête, le feu qui la parcourait ne pouvait désormais plus être éteint. Automatiquement, presque mécaniquement, Marine sortit de la douche. Encore mouillée, elle marcha doucement vers le lit, à peine éclairé par les lueurs du jour qui perçaient les volets. Lorsque son regard croisa celui de Thomas, elle s’arrêta. Debout. Des gouttes d’eau coulant sur son corps. Nue. Jambes légèrement écartées, comme une statue qui serait apparue là, à mi-distance entre le lit et la douche.
Thomas était subjugué. Il faut dire qu’elle était particulièrement magnifique. Le reste d’eau qui coulait doucement le long de son corps lui donnait un aspect sauvage. Les gouttes soulignaient ses courbures, l’échancrure de ses seins, la brillance de ses poils pubiens, la fermeté de ses cuisses. L’air frais qui s’accrochait à elle lui donnait la chair de poule, faisait dresser la pointe de ses seins encore raffermis par le froid, magnifiques, dressés, pleins et entiers comme deux magnifiques fruits qu’on aurait envie de croquer. Et surtout, ce qui subjuguait Thomas, encore plus que cette vision déjà divine, c’était son regard. Marine le fixait avec un regard vide, et en même temps plein de feu, hagarde, mais en même temps déterminée, perdue et en même temps certaine de son désir. Un regard de défi. Un regard de luxure.
Dans ce défi, Thomas vit une invitation. Il se souvenait du plaisir que Marine avait pris quand, hier, il la paralysait. Allait-elle mal le prendre ? Ne risquait-il pas de tout gâcher ? Au creux de son ventre, son érection déjà totale et la tension sexuelle palpable dans la pièce le décidèrent :
— Qu’est-ce que tu fais, à attendre, viens, rapproche-toi et suce-moi ! lui dit-il sur un ton autoritaire.
Marine n’hésita même pas. Le ton de sa voix, la perspective de se donner de nouveau à lui suffit à la faire obéir. Elle voulait son membre. Elle voulait sentir son odeur, encore marqué de sa nuit. Elle voulait sentir son goût et sa fermeté dans sa bouche. Elle le désirait tellement que c’était presque douloureux. Jamais dans sa vie, y compris la veille, elle n’avait connu une envie aussi dévastatrice.
Elle monta sur le lit, s’approcha à quatre pattes doucement de lui, le regard rivé sur le sexe de son amant. D’une main, elle caressa ses testicules Et prit son sexe en bouche. Thomas ferma les yeux, savourant le plaisir de cette main fraîche qui le faisait frissonner et de cette bouche humide qui lui faisait tant de bien. Il mit une main sur sa tête et appuya fermement : à partir de maintenant, tu prendras toute ma bite dans ta bouche, lui dit-il crûment. Exécutant son ordre, elle s’étouffa légèrement. En sentant son sexe au fond de sa gorge, le nez dans ses poils pubiens. Elle inspira un grand coup pour profiter de cette odeur tout en avalant le plus possible de son chibre. Thomas était au septième ciel. Rouvrant les yeux, il se rendit compte qu’elle était en train de se caresser. Il lui claqua immédiatement la fesse gauche : tu te toucheras quand je te l’aurai dit.
Marine stoppa immédiatement et comme pour se faire pardonner redoubla de dévotion et d’envie dans la réalisation de sa fellation. Elle mouillait tellement que ses cuisses luisaient. Son désir était douloureux. Thomas se mit alors à lui caresser la fesse de la main gauche, tout en guidant sa tête de la main droite. Elle réagissait à la moindre de ses caresses. Il lui mit d’un coup deux doigts. La paume de sa main prenant appui sur sa fesse, il la pénétrait de ses deux doigts extrêmement vigoureusement.
Marine eut comme un feulement de plaisir, qui lui fit accélérer ses mouvements de tête. Plus il la doigtait fort et vite, plus elle le suçait goulûment. Il lui donna l’ordre de se pincer les tétons tout en continuant à le sucer juste avec sa bouche.
Les gémissements de Marine étaient de plus en plus forts. Elle s’étouffait, elle bavait, elle tremblait en réalisant la fellation la plus incroyable de sa vie.
Thomas rajouta un troisième doigt dans son vagin puis un quatrième. Ils rentrèrent sans aucune difficulté tellement Marine était trempée. Pénétrant toujours aussi vite dans son intimité, Thomas profitait de ses cris de plaisir.
En insérant son pouce dans son anus, il agitait sa main dans un seul mouvement, la pénétrant encore et encore.
Déchaînée, Marine n’en pouvait plus. Thomas, en se sentant venir, lui plaqua la tête contre son sexe et éjacula au fond de sa gorge, les tressautements de son plaisir terminant les mouvements de sa main. Marine sentit alors son orgasme exploser, et s’écroula, épuisée, essoufflée, un sourire de contentement sur ses lèvres brillantes du sperme de son amant...
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