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Thomas et son père

Chapitre 3

Gay
Maintenant que je dispose d’une copie de la vidéothèque privée de mon père, j’en profite pour l’explorer davantage pour connaître ses préférences et fantasmes. Je reviendrai plus tard sur les ébats de mes parents contenus dans le répertoire qu’il a nommé : ’SECRET’.
Je constate que papa a téléchargé beaucoup des fichiers, quelques semaines après son veuvage. Il a dû avoir besoin de cela pour compenser un manque d’affection.Les vidéos sont de tous les genres, mais je constate qu’il aime les corps de jeunes femmes et surtout de jeunes hommes, en particulier les fesses. Il y a surtout beaucoup de films d’hommes sodomisés de toutes les manières possibles, par des hommes, femmes, jeunes, vieux, objets...
Je reviens dans le répertoire ‘SECRET’, et visionne quelques films dans l’ordre chronologique, cette fois-ci.
Tout commence à une fête chez mon oncle, celui-ci danse langoureusement avec maman. Ils sont apparemment très chauds tous les deux, vu la façon dont ils se frottent l’un contre l’autre. La scène est prise à partir du canapé où papa est assis, car je remarque ses genoux ouverts en bas de l’image. Sur le côté de l’écran, je vois apparaître Lydie, la femme de mon oncle, qui arrive avec un plateau.
J’entends mon père dire à l’adresse du couple dansant :« Allez-y, recommencez, je filme maintenant ! " Puis à l’adresse de sa belle-sœur :"Viens à côté de moi Lydie, on va les regarder ensemble... »Lydie n’a pas l’air d’apprécier de voir son mari et maman, sa sœur, s’embrasser à pleine bouche ; ni que chacun a la main entre les jambes de l’autre.La femme de mon oncle s’approche et disparaît du champ, elle a dû s’asseoir près de papa.
— Bon sang ! Ça m’excite de les regarder ! Tiens, regarde ! Tu veux toucher ?
La caméra bascule vers la main de Lydie que papa tient pour la poser sur sa braguette extrêmement déformée.
— Mais enfin ! dit Lydie, d’un ton offusqué
— Te gêne pas Lydie, ils ne s’occupent pas de nous, vas-y, tu peux en profiter !
Gros plan sur l’entrejambe de papa qui ajoute :

— J’ouvre ma braguette, ça ira mieux ! dit papa.— Non, mais ça va pas ? Ça ne me plaît pas du tout vos cochonneries, je préfère aller me coucher !
En arrière-plan, maman est agenouillée devant son jeune frère et même si l’image est floue, il n’y a pas d’équivoque quant à savoir ce qu’elle fait. Je reste encore une fois baba du comportement de ma mère.
L’image se recentre sur le couple qui s’approche de la caméra, Tonton Philippe dit :
— Ouah, quelle bite il a ton mari ! Tu ne dois pas t’ennuyer, sœurette !
Maman sourit et se met à quatre pattes devant papa pour gober l’offrande tendue. Son frère se place derrière elle et, au rictus de ma mère, il est sûr qu’il vient de la pénétrer en levrette.L’image bouge dans tous les sens et finit par s’arrêter net....
Ainsi, mon père acceptait de voir sa femme dans les bras d’un autre homme. Il a bien tenté de faire de même avec Lydie, mais apparemment, sans succès.
Dans les vidéos suivantes du répertoire, Maman s’adresse à la caméra, mais essentiellement à destination de tonton Philippe qui doit avoir une copie de ces fichiers.
— Regarde, Philippe, ce que j’ai acheté comme dessous, Jacques adore !
Elle est dans sa guêpière, jambes gainées de bas, culotte sexy, laissant transparaître sa toison. Elle était si belle !Maman se dirige vers papa qui l’attend sur le lit, le chevauche et s’ensuit une cavalcade effrénée sur le membre paternel dressé.
Une autre vidéo montre maman sodomisée par son frère et les gros plans ne manquent pas.
Je constate quand même que c’est elle qui menait papa par le bout du nez ou plutôt par le bout de la queue. Je ne pensais pas ma mère aussi coquine, voire perverse !
Dans une autre :
— Regarde Philippe, comme il bande quand je lui mets mon doigt au cul !
Et plus loin dans la même séquence :
— Je vais lui mettre deux doigts et après, regarde bien comment je vais le préparer pour toi !
Et de montrer le gode ceinture.
Il est clair que maman voulait que son mari se fasse enculer par Philippe. Papa se soumettait complètement aux désirs de sa femme. Est-ce cela qui l’a conduit à s’autosodomiser l’autre jour ?Quand j’y repense, Philippe n’est pratiquement plus venu à la maison depuis les funérailles de maman. Papa doit continuer le fantasme de sa défunte épouse, mais il le fait tout seul en matant des vidéos, il n’ose probablement pas franchir le pas avec son beau-frère.
C’est fou comme découvrir la vie secrète de mon père transforme mon point de vue sur lui.Ses désirs m’interpellent, et je veux l’aider à les accomplir.J’ai envie d’aider mon père car, j’ai surtout... envie de lui ! Je n’avais jamais éprouvé d’attirance pour les mecs, mais pour lui, c’est différent !Je vais tenter le tout pour le tout !
Il me reste une bonne heure avant son retour et toutes ces vidéos m’ont bien excité. Je vais devant le miroir de la chambre parentale, baisse mon pantalon et regarde mes fesses. Elles sont plutôt belles. Comment vais-je pouvoir les lui montrer si c’est ce qu’il aime ?J’ai bien des shorts pour le sport, mais ils ne sont pas très sexy.
Je me décide à prendre un vieux pantalon et, à coups de ciseaux, j’en coupe les jambes. J’essaie, c’est bien, mais pas suffisant !J’en recoupe deux bandes, et là, c’est trop parfait. Les galbes sont bien apparents, mais mon sexe sort sur le côté. Quand je mets mon slip, cela dépasse de part et d’autre que c’en est ridicule !
Il me vient l’idée de fouiller dans les dessous de maman. Je tremble en dépliant et repliant chaque culotte. J’en trouve une, très échancrée, qui me va parfaitement. Au contact de la dentelle, j’ai une érection immédiate qui déforme tout. J’enfile ce nouveau short bien moulant et me dis que je fais un peu salope, mais tant mieux.Il va bientôt arriver, j’hésite encore pour tout annuler et... me décide à rester comme cela.
Quand il entre, au premier regard, il ne fait pas attention à ma tenue. Je porte un tee-shirt très court qui laisse apparaître mon nombril. Il m’observe enfin et me dit :
— C’est quoi ce short ? — Ben, j’ai voulu tailler dans un vieux pantalon, mais je l’ai fait un peu trop court. Pour traîner à la maison, ce n’est pas trop grave ; mais regarde, on voit un peu mes fesses, ça ne te dérange pas, j’espère ?
Je dis cela avec une pointe de perfidie et il me répond :
— Euh, non...Ça ne me dérange pas, au cont...
Il allait ajouter « au contraire », mais n’a pas osé finir sa phrase.
Mon stratagème fonctionne !
La soirée se passe bien et je fais tout pour déambuler devant lui et surtout pour sentir les rayons X qui me perforent la croupe quand je lui tourne le dos. Il ose me dire à un moment :
— Tu as de très belles jambes, Thomas.— Merci, papa, tu es très gentil, on passe à table maintenant ?
Après le repas, il souhaite se rafraîchir un peu. Je profite du fait qu’il soit parti vers la salle d’eau pour créer une ambiance tamisée dans le salon. Quand il revient, il est ceint de son peignoir, je lui propose de regarder un DVD que je prétends n’avoir jamais vu, mais qu’en fait, je sais contenir quelques scènes érotiques avec de jolies femmes. Il est embarrassé par ma proposition, mais finit par accepter sur mon insistance.
Tandis qu’il s’assied sur le canapé et pose les pieds sur la table de salon, je me positionne en chien de fusil, la tête posée sur l’accoudoir du canapé.Tel que je suis installé, mes fesses ne sont qu’à quelques centimètres de sa main.Nous émettons quelques commentaires, très masculins, sur les actrices et, du coin de l’œil, je remarque qu’il observe plus souvent mon cul que ce qu’il y a sur l’écran. Quand arrive une scène un peu chaude, nous restons captivés tous les deux, en silence.Ce n’est pas le film qui m’excite, mais plutôt mes manœuvres de séduction de ce mâle si près de moi.
Avant la scène coquine suivante, je feins de m’assoupir. J’entrouvre un œil et vois que papa a pris un peu de recul pour mieux observer ma croupe. Il s’assure que je dors et pose sa main sur ma hanche pour l’effleurer. Un frisson me parcourt. Papa retire sa main prestement, puis après quelques minutes, retente sa chance. J’arrive à maîtriser ma respiration malgré l’émoi qui me tenaille.
La paume de sa main est posée sur mon bassin, puis glisse le long de ma cuisse, puis remonte très lentement en sens inverse. Progressivement, ses doigts passent sous mon short et frôlent ma fesse offerte. C’est absolument délicieux !Il s’enhardit, caresse, puis presse très délicatement mon globe fessier. Quand un doigt effleure mon sillon, je ne peux empêcher mon corps de réagir. Il retire vivement ma main et reprend sa position.
A ce moment, j’ai envie de lui hurler « Continue, s’il te plaît ! », mais je fais semblant de m’éveiller, me retourne, et pose ma tête sur le haut de sa cuisse. Il est surpris, mais ne me repousse pas. Il me caresse l’épaule délicatement, puis sa main glisse dans mon dos qu’il flatte affectueusement.
— Humm ! J’aime bien ce que tu fais papa. Mets ta main sous mon tee-shirt et caresse-moi le dos s’il te plaît.
Il accepte sans rechigner ; et quand sa main touche le bas de mon dos, un long frisson me parcourt. Il remonte et il me flatte les omoplates et j’en profite pour tourner un peu mon corps vers lui, tout en me cambrant. Sa main glisse plus ou moins volontairement sur mon torse et ses doigts effleurent mes tétons qui se dressent immédiatement. Il s’attarde à les frôler de son doigt. Nos respirations s’accélèrent et surtout... je sens son membre durcir sous mon crâne.
C’est avec plus de passion qu’il s’attarde à caresser mon ventre avant de revenir au bas de mon dos.Je me déhanche le plus possible pour qu’il me touche le derrière. Enfin, il comprend mon invitation et ose y poser la main. Pour l’encourager, je relève un peu plus les fesses... dont il se saisit à pleine main cette fois.Le point de non-retour est franchi, tous les deux savons que ces caresses ne sont plus innocentes.
Je me redresse, quitte mon tee-shirt et ouvre son peignoir sans attendre. Il est là, l’objet de ma convoitise ! Il est beau, fièrement tendu ! Des veines saillantes, un gland bien gonflé qui palpite sous mes yeux envieux.J’approche la main et effleure la hampe. J’emprisonne son membre de mon autre main pour en ressentir la chaleur et la douceur.
Papa me caresse à nouveau le dos en grognant sans conviction :
— Il ne faut pas... Non...
Je réplique :
— Ferme les yeux...
Je me penche et ouvre la bouche au maximum pour gober le bout violet et y faire tourner ma langue. C’est la première fois que je suce une bite !Les sensations sont différentes de mes essais de fellation avec un gode.Ici, c’est chaud, c’est vivant, c’est doux.
Si papa a eu un mouvement de recul quand je l’ai pris en bouche, maintenant il se laisse faire. Un de ses doigts explore la raie de mes fesses et c’est totalement prodigieux comme sensation !Inutile de préciser que je bande depuis longtemps, mais je pense principalement à satisfaire l’homme que je suce. J’emploie toute la science que j’ai vue sur les vidéos de papa, mais aussi avec une grosse part d’innée. Je palpe ses testicules, branle son colosse, lèche toute sa longueur, pompe et suce à tout va.
Je le masturbe à toute vitesse et quand arrivent les spasmes annonciateurs de son orgasme, il cherche à me repousser. Non, pas question ! Je le gobe encore plus et reçois de très nombreux jets chauds dans la gorge. Avec satisfaction, j’avale toute sa semence et lape son membre pour le nettoyer.
Son sperme a glissé dans ma gorge comme du lait. Le goût n’est pas désagréable, mais surtout j’ai accompli un fantasme qui me travaillait depuis un moment, à savoir : lui faire une fellation totale !
Très innocemment, je m’assieds à ma place initiale alors qu’il me dit :
— Je suis désolé, Thomas ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Pardonne-moi.— Mais pourquoi te pardonner ? J’ai aimé faire cela et toi aussi ! Tu as aimé, non ? — Ben, oui ; j’ai aimé, mais ça ne se fait pas ! Tu es mon fils ! — Ça peut rester entre nous. Moi, je suis prêt à recommencer quand tu veux ! — Tu es homo ? — Jusqu’à maintenant, non ! dis-je en lui flattant son sexe encore tendu.
Il me sourit timidement et se lève du canapé pour aller se coucher.
Je ne peux pas aller dormir tout de suite. Vite, je me jette sur mon ordinateur pour découvrir d’autres cachotteries afin de me branler.
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