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Thomas et son père

Chapitre 5

Gay
Thomas et son père 5
Je suis encore dans les bras de mon père au réveil, et le contact de nos corps accentue ma bandaison matinale. Je frotte ma jambe contre sa cuisse, ce qui finit par le réveiller. Je me suis endormie avec la tenue que je portais. Guêpière et bas de soie, ce n’est pas idéal pour dormir, mais pour éveiller mon étalon, ça semble efficace.De la cuisse, je frotte son membre qui durcit. Je tends les lèvres vers les siennes pour le bécoter et il fait de même, avant de me repousser gentiment pour se lever.
Il va pour mettre son peignoir, mais je le lui chipe :
— Non ! Reste nu et montre-moi ce que tu caches de si gros sous tes mains.
Je sors cette tirade spontanément et m’en étonne. Mon homme se décontracte, écarte les bras et découvre son engin encore tendu ainsi que ses grosses couilles qui pendent.
— Oh ! Quelles jolies choses ! Ça me fait trop envie !— Encore ! Mais tu es vraiment obsédée.
Il se retourne et je regarde ses fesses onduler alors qu’il s’éloigne. Humm, quel beau cul bien musclé !
Après ma douche, j’ai encore envie de l’allumer, qu’il me désire !
Je file dans sa chambre et pioche dans les affaires de maman, un caraco rose à fines bretelles, un string tout mignon sur lequel j’enfile mon short échancré qui révèle si bien mes fesses. Je m’applique à me maquiller et ajoute une petite dose du parfum de maman.
Quand je lui apparais, il est d’abord surpris, mais ses yeux ne me quittent plus. Il détaille toute la surface de mon corps. Je m’affaire au ménage en passant fréquemment devant lui, mais c’est surtout pour solliciter son désir.
Il me demande :
— Tu aimes vraiment ça, t’habiller en fille ?
— Je le fais pour te plaire, et ... est-ce que ça te plaît ?— C’est vrai que ça te va bien, mais... il te manque quelque chose ...
Il se lève, s’absente quelques minutes et revient, en tenant une paire de souliers à talons, ceux de maman, qu’il me tend en souriant. Je lui souris à mon tour, heureux de cette complicité nouvelle.Je m’assieds sur un fauteuil et chausse les talons hauts... qui me vont parfaitement. En me relevant, j’ai grandi de dix centimètres et je m’habitue très rapidement à déambuler devant lui, en claquant le sol de ces talons aiguille.
Je remarque que sa respiration s’accélère et que sa main est glissée entre ses jambes. Je m’approche, face à lui, sans le regarder, pose un pied sur la table de salon et caresse ma jambe avec langueur. Il souffle de plus en plus, je repose le pied au sol, me retourne et lui expose mes fesses que je découvre un peu plus en les caressant devant lui du bout des doigts.Je passe ensuite mes mains derrière la tête et ondule du bassin en mimant une danse sensuelle.
Enfin ! Il pose la main sur mon postérieur. Je m’immobilise et me cambre pour apprécier sa caresse. Il me saisit alors par les cuisses pour m’attirer à lui. Je m’assieds entre ses jambes écartées, sur son sexe si dur que je ne peux m’empêcher de le rouler dans mon sillon fessier.
Il s’empresse de m’ôter le short et la culotte pour se saisir de ma queue tendue. Je glisse les mains derrière pour ouvrir son pantalon, afin de me saisir de son membre et le pointer sur ma rosette. Il me masturbe lentement, alors que je frotte au même rythme son bout sur mon œillet, j’essaie de m’enfoncer sur lui, mais mon petit trou est serré et la grosse bite de papa s’échappe quand j’appuie trop fort.
Je lui dis :
— J’ai encore envie mon chéri.— Moi aussi, mais pas comme ça ! Allons dans la chambre.— Non, restons ici, je vais réessayer.
Avant cela, je fais volte-face et mouille abondamment son membre, en le suçant avec avidité.Le fait de le sucer me fait bander atrocement et, trop excitée, je décide de faire une nouvelle tentative de pénétration, en lui faisant dos à nouveau et en m’asseyant sur son chibre luisant de salive. Enfin ! Mon anneau s’ouvre pour l’accueillir, totalement.
Cette fois, il ne souhaite pas me sabrer, comme il l’avait fait la veille. Là, il me fait l’amour avec une délicatesse infinie. Je m’adosse sur son torse et tourne la tête vers la sienne. Il m’enlace tendrement en m’embrassant, alors que son sexe fouille mes profondeurs.
C’est si agréable que je frissonne et tremble, je roule mes épaules sur son torse, en geignant de plaisir. Mes contorsions le stimulent, car, rapidement, il se raidit pour me féconder d’abondantes giclées de jus chaud.
Nous restons un long moment, serrés l’un contre l’autre, à nous embrasser goulûment. J’ai envie de garder son membre en moi le plus longtemps possible, mais il me fait me relever et écarter les jambes. Après une caresse de la main sur mes bourses, il s’enhardit et me pénètre l’anus d’un doigt, qui glisse sans problème dans la semence fraîche.
Il me doigte si bien que je me remets à bander. Comme satisfait de mon érection, il se penche et me gobe le sexe pour me faire une gorge profonde.Il continue à me doigter tout en me suçant avec passion.C’est si délicieux que ma sève monte rapidement et il a conscience que je vais éjaculer très prochainement, mais il continue à me pomper avec frénésie.
J’éclate dans sa bouche alors qu’il me sodomise plus profondément avec deux doigts. Quand je me recule, il ouvre la bouche fièrement pour m’en monter le contenu blanchâtre. Je me précipite vers lui, afin de bénéficier de ce nectar dans un long baiser.
A l’issu de cette embrassade passionnée, papa me confie :
— C’est la première fois que je goûte du sperme et ... c’est celui de mon fils.— Tu sais mon chéri ? Il y a peu, mon premier sperme en bouche était ... celui de mon père.— Que va-t-on faire maintenant tous les deux ?— Tout ce que tu veux ... Mais surtout l’amour.— Il faut que je te dise : même si j’aime ces moments totalement fous, je dois aussi me comporter comme un père, et toi ... comme un garçon de ton âge. Tu dois d’abord penser à ton bac ... Et même, aux filles, pas à moi ...— L’un n’empêche pas l’autre... Mais, si c’est que tu souhaites, je ne te harcèlerai plus, c’est promis ! Je serai là, si tu as besoin de moi.— Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? Pourquoi as-tu cet intérêt soudain pour moi ?— L’autre jour, quand je t’ai massé le dos, j’ai eu une sorte de révélation. J’adorais toucher ton corps et me suis mis à rêver et à bander. Plus tard, quand tu t’es endormi sur le canapé, j’ai voulu en profiter pour voir ton zizi, et même le toucher.
(Évidemment, j’occulte le fait de l’avoir déjà vu, incidemment, en le matant quand il se godait le cul).
— Et tu l’as fait ! Je l’ai bien senti, je ne dormais qu’à moitié. Tu as écarté mon peignoir et tu m’as touché la bite.— Et tu ... Tu m’as quand même laissé faire ?— Oui, c’était agréable au début, mais j’ai réalisé que c’était inconvenant, qu’il fallait arrêter tout de suite. Sur le moment, ça m’a beaucoup troublé, je l’avoue !
Après, le démon m’a repris, quand tu portais ce petit short coquin. Je louchais sur tes fesses.A un moment, quand tu t’es penchée, j’ai remarqué que tu portais une culotte de ta mère. C’était pour me provoquer, n’est-ce pas ?
— Ben ... Oui ...— Tu n’es pas obligé de t’habiller en fille pour ça.— J’avoue que ça me plaît, c’est différent ...— Je préfèrerais que tu restes un garçon.— Si tu veux ... Mais tu me feras quand même l’amour ?— Non, il vaut mieux arrêter ça. Ne cherche plus à m’embrasser non plus.
Au fond de moi, ça m’énerve qu’il change d’avis sans arrêt. Je crois toujours que c’est gagné, que nous allons être amants au quotidien. Mais non ! Il en arrive à être rabat-joie et à éteindre mes pulsions par ses remords absurdes.
Les jours suivants, il est plutôt distant. Il veut reprendre son rôle de père et se force à se comporter comme tel.
Toutefois, avec les jours qui passent, sa morosité revient et il recommence ses allusions coupables vis-à-vis de maman. Il se reproche à nouveau de l’avoir laissée partir, le jour de son accident mortel. Il me rabroue quand je tente de le raisonner à ce sujet. Il me repousse quand je veux lui faire un câlin.
J’en ai plus qu’assez de cette situation !
Alors s’installe en moi une forme de mélancolie, voire un début de déprime. J’ai la tête ailleurs et certains profs du bahut m’en font même la remarque. A la maison, je deviens de plus en plus bougon et grognon.
J’en veux à mon père de me délaisser. Même si j’ai conscience qu’il souhaite rétablir de la normalité dans la maison, je n’arrive pas à l’accepter. Je regrette de lui avoir promis de ne plus le harceler.
Il ne me regarde plus avec désir ou envie, mais trop paternellement !Il semble vouloir effacer de sa mémoire nos relations si intimes.
Il me manque ! Surtout sa bite ! J’aimerais tant la sentir en moi, pour qu’il me fourre comme il faut.D’autres jours passent ...
Ce vendredi, en début de soirée, je rentre à la maison d’une humeur très noire et grogne un « salut » à mon père avant de monter dans ma chambre. Quand j’y entre, je suis surpris de découvrir, sur le lit, une jolie boîte en carton ornée d’un gros nœud.
Intrigué, je l’ouvre et découvre une parure, composée de vêtements féminins issus de la garde-robe de maman. Une courte robe noire à bretelles, des sous-vêtements très coquins, des escarpins quasiment neufs, quelques bijoux et même une perruque, le tout soigneusement disposé dans la boîte.Nul doute que papa a changé d’avis.
Enfin, il accepte de franchir un cap. Soit, parce qu’il est peiné de me voir dans cet état et cherche à me faire plaisir ? Soit, il veut officialiser mon nouveau rôle dans notre couple, à savoir : être sa femme, ce que j’espère !J’en suis sincèrement touchée dans les deux cas.
Sans attendre et tremblant d’émotion, je file faire une toilette, avant de me parer de toutes ces jolies choses. J’enfile les bas et découvre l’usage de la jarretière pour les maintenir. Une jolie culotte rouge, un soutien-gorge pigeonnant de la même couleur. Il bâille un peu, même si maman avait une petite poitrine.
Après avoir enfilé la robe, je me sais déjà très attirante. Le summum est quand je pose la perruque. C’est exactement la coiffure qu’aimait avoir ma mère. Je reconnais maman en me voyant dans le miroir.Je prends ensuite un grand soin pour me maquiller, mettre du vernis aux ongles, avant de me parfumer (un peu trop, peut-être ?).Je termine ma longue préparation en chaussant mes escarpins, puis en me parant de quelques bijoux. Outre bagues et bracelets, je suis heureuse de pouvoir porter ce magnifique collier qu’aimait tant maman.
Quand j’arrive au salon, il y fait presque noir, je trouve papa vêtu d’un élégant costume que je ne lui connaissais pas. Il est en train de lancer un disque sur la chaîne, c’est une musique douce et bigrement romantique.
En m’apercevant, il me fait un large sourire, puis s’approche de moi pour me prendre la main, comme il le ferait pour une princesse. Il en profite pour me féliciter de ma tenue, plutôt sexy, il faut le reconnaître.
Il me fait asseoir face à lui et me tend, avec délicatesse, une coupe de champagne. Ce qui me surprend de prime abord, c’est qu’il me vouvoie, comme s’il faisait du charme à une jeune inconnue.
Ce jeu commence à énormément me plaire ...
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