Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 74 J'aime
  • 3 Commentaires

Thomas et son père

Chapitre 7

Gay
Thomas et son père 7
Après un long câlin et de nombreux baisers, je constate que le sexe de papa reprend vigueur. Je glisse à son oreille :
— Jacques, tu n’as pas envie d’honorer ta petite femme ?— Mais bien sûr ma chérie !
Je suis culottée d’appeler mon amant de père par son prénom, je ne le fais jamais.Ça ne le choque pas le moins du monde. Tant mieux !
Il éteint la lampe de chevet et je l’attends, allongée sur le dos, jambes écartées. Je l’aide à trouver mon anus et il enfonce sa grosse queue sans difficulté. J’aime quand il me prend dans cette position, dite du missionnaire, j’ai plus le sentiment d’être une femme, même si son pubis m’écrase les testicules.
Il me fait l’amour divinement en me susurrant des mots doux entre deux baisers. A plusieurs reprises, il cite le prénom de ma mère en m’appelant Martine.Je suis sa femme perdue, c’est bien ce que je voulais au fond, plus ou moins consciemment.
J’enserre son torse pour le presser contre le mien. Je suis sa femme désirante de contact charnel. Je lui dis à l’oreille :
— Oh, Jacques, mon chéri, comme c’est bon ce que tu fais.— Oh Martine, Martine !
De prononcer mon nouveau nom semble le stimuler davantage. Il modifie sa cadence, va plus vite et plus profond, et, en grognant, il déchaîne sa passion pour me féconder.
— Oh mon chéri, comme c’était bon ! Reste en moi encore un peu...— Je t’aime tant Martine !
— Moi aussi Jacques, je suis si heureuse, embrasse-moi !
Après qu’il m’ait essuyé l’anus, papa s’allonge près de moi, pose sa tête sur mon épaule et m’enlace pour que je lui fasse un câlin, presque maternel. En lui caressant ses cheveux trempés par la transpiration, je lui dis :
— Tu sais ? Je suis contente que tu m’aies dévoilé un désir secret, tout à l’heure.— C’était une première pour moi ... Suis-je devenu gay ?— Quelle importance ça peut avoir, si ça te fait plaisir.— Mais quand même ! Je ne suis pas normal.— C’est quoi la normalité ? Au contraire, en aimant les deux sexes, tu pourras apprécier plus de choses. Je t’encourage même à faire beaucoup de rencontres pour t’épanouir. Te rends-tu compte comme tu as changé ces derniers temps ? Tu es plus rayonnant, plus vivant, tu redeviens toi-même.— Merci ma chérie, tu n’es pas étrangère à ce changement. Même si notre relation est malsaine,
Il poursuit :
— Comme toi, j’ai été malheureux de devoir nous séparer pour m’affirmer en tant que ‘ père ‘. Je me sentais coupable de t’aimer. J’imaginais des tas de scénarios pour te retrouver.
Et puis j’ai craqué ! Je voulais te surprendre en disposant cette boîte de vêtements sur ton lit et qu’il y ait ce petit jeu de rôle au salon ...
— Et moi j’ai adoré ça aussi, ça met du piment. J’ai beaucoup aimé quand tu m’as donné la fessée.— Tu aimes avoir mal ? me demande-t-il un peu gêné.— Je ne le savais pas, mais oui, je dois être un peu maso. Plus tu me frappais fort, plus j’aimais ça.
Depuis un moment, sa main a glissé sur mon sexe, pour le caresser tout d’abord, puis pour l’enserrer maintenant qu’il est tendu. Petit à petit, il glisse sa tête vers mon bas-ventre et ses lèvres s’enroulent sur mon gland.
Je ne parle plus et savoure la pipe qu’il me fait. Il est extrêmement habile avec sa bouche et c’est si bon que je me contorsionne dans tous les sens en geignant. Il fait courir une main sur mon torse et m’attrape un téton qu’il pince assez fort. Quand il attaque le deuxième téton, je ne peux résister et explose dans sa bouche. Le gourmand mange tout et lèche même le surplus sur ma hampe.
— Tu me suces divinement mon chéri !— Merci ma chérie ! Je reconnais que j’aime bien ça.— Alors il ne faudra pas t’en priver ... — Promis !
...
Au réveil, il n’est plus dans le lit. Je passe aux toilettes et le rejoins dans la cuisine. Je n’ai conservé que ma culotte en dentelle pour dormir cette nuit. Nous faisons que nous croiser et il a un regard un peu gêné en me voyant. Je me contente de lui faire une bise sur la joue alors qu’il va prendre sa douche.Trop d’idées tournent dans ma tête. Veut-il encore s’éloigner de moi pour jouer le rôle de père ? Ou bien est-ce qu’il a honte que je l’aie enculé hier soir ?
Je délaisse mon bol de chocolat pour le rejoindre dans la salle de bain. La cabine semi-transparente laisse apparaître son corps musclé. Il me tourne le dos et se savonne le ventre. Quand il s’occupe de ses fesses, je suis prise d’une envie folle ! En moins de cinq secondes, je l’ai rejoint dans la cabine.
Il a un sursaut en me découvrant, la bite tendue, mais je ne lui laisse pas le temps de réagir. Je me saisis du savon et en oins sa raie, puis son œillet. Il me laisse le doigter et s’abandonne à ma caresse. De l’autre main, je lui saisis la queue et remarque qu’elle prend vite de la vigueur.
Je me glisse derrière lui, l’enlace et reprends son sexe d’une main, tout en pointant mon gland sur sa rondelle.Il me laisse le masturber, puis progressivement, cherche à s’empaler sur moi. J’ajuste la position et m’enfonce en lui sans trop de problèmes. Il se penche et se cambre pour que je puisse mieux le pénétrer. Papa prend appui sur le mur carrelé d’une main et de l’autre, se masturbe alors que j’entame mes mouvements de bassin pour le pistonner.
Comme son fourreau est agréable ! Je vais et viens en lui et ça le fait râler de plaisir. J’accentue le rythme et il entre en transe. Il se contracte et expédie une grosse quantité de foutre sur la paroi de la cabine. Je m’agrippe à ses hanches et continue à le labourer à grands coups, avant de me répandre en lui. Mon sperme coule abondamment entre ses jambes quand je me retire. Je nous rince avec la douche et lui dépose une bise sur les lèvres.
— As-tu aimé, mon chéri, que je te prenne ainsi ? — Il faut que je m’y habitue !— Avoue que tu as aimé.— Oui... c’était bien !— Tu sais mon chéri, il faut parler, délier ta langue, ne pas avoir honte...
Les rôles semblent inversés. C’est moi qui donne des conseils de vie à mon père. Je pense réellement ce que je lui ai dit, il faut qu’il se lâche. Je sais qu’il me cache des choses, j’ai vu les vidéos coquines de son ordinateur.
Papa ferme le robinet, se retourne, me prend le visage et dépose une bise sur mes lèvres avant de m’enlacer et dire :
— Tu sais, tout cela est trop nouveau pour moi. J’ai sucé ta bite, tu m’as enculé pour la première fois de ma vie, et moi... j’ai enculé mon fils comme si c’était ma femme.— Oh Jacques ! Je comprends ton trouble, mais tu as pu renouer avec le plaisir ! — Tu as raison ma chérie !
Nos corps trempés se lient et se pressent l’un contre l’autre pour une étreinte passionnée dans cet espace restreint qu’est une cabine de douche....
Pour me vêtir, j’hésite. Me veut-il en fille ou en garçon ? Je lui demande son avis et il me conduit dans la chambre conjugale et me désigne l’armoire, j’ouvre la partie réservée aux vêtements de maman, choisis une robe à fleurs et lui demande :
— Celle-ci te plaît ?— Oui, c’est parfait.— Veux-tu me laisser m’habiller mon amour ? Je te rejoins au salon dès que je suis prête.— Bien ma chérie.
Je suis heureuse qu’il ait préféré que je sois en femme. Ce faisant, il assume que nous ayons une nouvelle vie à deux. Fini le rôle Père/Fils, du moins je l’espère !
Quant à moi, je me complais d’être sa femme, d’être ma mère disparue. Mais je tiens à accentuer son désir pour moi, en ressemblant le plus possible à maman.
J’ai mis de beaux dessous, des bas autofixants, des souliers à talons et, bien entendu, ma perruque. Mais je dois passer un peu trop de temps à me maquiller, car il m’appelle :
— Martine ? Tu viens ?— Je finis et j’arrive, mon chéri !
Ses yeux brillent quand je lui apparais. Les miens aussi, car il n’est vêtu que son string léopard.Il m’invite à m’asseoir près de lui. Il prend la mine grave et me dit :
— Je veux me libérer l’esprit et t’avouer des choses.— Je t’écoute mon amour.— Je vais te montrer des choses qui pourraient te choquer, es-tu prête à cela ?— Rien de ce qui peut te libérer ne peut me choquer.
Je remarque seulement maintenant que son ordinateur est branché au téléviseur.Quand il envoie les films du répertoire SECRET, j’ai une bouffée de chaleur. J’en connais le contenu par cœur, mais qu’il me le dévoile si rapidement me perturbe.Il souhaite aller vite dans sa libération et me fait une confiance totale, ce que j’apprécie infiniment.
Je me loge au creux de son épaule pour cacher mon trouble. D’une main douce, je lui caresse le sexe à travers son slip.
Je feins la surprise en voyant ma mère sucer son frère ou quand elle sodomise mon père.Je m’abstiens de tout commentaire et ne fais que biser la joue de mon père entre deux séquences.
Avec détermination, papa me montre TOUT ! Après la dernière vidéo, il me dit :
— Voilà, tu sais tout ! Ton oncle et ta mère étaient très liés, comme tu l’as vu.— Ce n’est pas grave Jacques ! Apparemment, tu étais au courant, elle ne te le cachait pas.— Non, elle me l’avait dit depuis longtemps. Sauf que le jour de son accident, elle voulait aller le rejoindre pour faire l’amour avec lui ! J’aurais dû l’en empêcher !— Tu ne dois rien te reprocher, c’était un accident stupide, c’est le hasard qui a mal fait les choses ... Mais toi, ne devrais-tu pas reprendre contact avec Philippe ? Il me semble que maman attendait quelque chose de vous deux.— Je ... Je ne sais pas si je dois ...— Tu n’aurais pas envie de faire l’amour avec lui ? Maman semblait le désirer...— Je crois que ... Si... bien sûr. J’y pense souvent. Il y a quelque chose qui m’attire en lui.— Alors, appelle-le tout de suite et invitons-les à la maison pour renouer le contact.— Bonne idée !— Et puis... Avec Philippe, vous vous arrangerez un rendez-vous, moi j’irai faire un tour ce jour-là.— Ca ne te dérangerait pas ? — Je te l’ai dit, je ferai ce qu’il faut pour toi. Il est bel homme et dispose d’une belle bite, je te l’accorde ! Je comprends que tu aies envie de lui ! — Tu es géniale, autant que ta mère... Avance-moi le téléphone ma chérie.
Je trottine sur mes talons jusqu’au combiné tout en ajoutant un léger déhanchement. Je sais qu’il regarde mon cul bien serré dans ma robe.Je le rejoins vite et constate son regard admiratif et pensif qui me va droit à la culotte.Je lui demande :
— A quoi penses-tu mon chéri ? — A toi, tu es exceptionnelle !
Il compose le numéro et tombe sur Lydie. Cette dernière demande de nos nouvelles et retourne l’invitation. Rendez-vous chez eux, demain !
Alors qu’il parlait, je me suis mise entre ses jambes pour lui téter le gland.Dès qu’il a eu reposé le téléphone, je me suis empalée sur son chibre en m’asseyant sur son pubis et mon homme m’a honorée !Putain ! Comme j’aime être sa femme !
Diffuse en direct !
Regarder son live