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Thomas et son père

Chapitre 8

Gay
Thomas et son père 8
Papa et moi avons rendez-vous chez Philippe, le frère incestueux de feue ma mère, et son épouse Lydie qui est une très belle femme, mais un peu coincée côté sexe.
Philippe a les traits tirés, il paraît triste, voire dépressif, mais son visage s’éclaircit tout à coup en nous voyant, en particulier... en voyant mon père.
Lydie porte un jeans qui lui moule bien les formes, surtout ses belles fesses. Elle me dit à voix basse, que j’ai changé, que je suis plus beau qu’avant. Il faut dire que la dernière fois que l’on s’était vus, j’avais encore plein de boutons d’acné sur le visage.
Je regarde sa poitrine à la dérobée à travers son chemisier un peu transparent et légèrement décolleté. Ses seins ne sont pas volumineux, mais semblent bien fermes.
Alors que les deux hommes papotent à voix basse dans le salon, moi j’aide Lydie dans la cuisine.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’ose lui dire :
— Lydie, je te trouve resplendissante, tu es vraiment magnifique ! — Merci, tu es gentil toi au moins ...
Elle rosit un peu des joues quand mon regard croise le sien quelques secondes.Je comprends qu’elle reçoit peu de compliments de la part de son mari. Aussi, je n’insiste pas dans cette voie. Un peu confus l’un comme l’autre, nous revenons à notre tâche et préparons le plateau pour l’apéritif.
Philippe passe alors devant la porte de la cuisine et annonce d’une voix tremblante qu’ils vont au garage, "pour montrer à Jacques sa nouvelle voiture" ajoute-t-il. Les deux gars s’éclipsent, alors que Lydie et moi regagnons le salon avec nos plateaux.
Elle et moi échangeons des banalités en grignotant des petits biscuits, Lydie ose à peine me regarder, mais quand elle le fait, je décèle dans ses yeux une petite flamme qui se rallume. Inutile de nous parler, elle perçoit l’admiration que j’ai pour elle. Après un regard plus appuyé que les précédents, elle baisse les yeux en rougissant.
Pour faire diversion et dissiper son trouble, elle bégaie :
— Que font-ils ? ... Ils ne reviennent plus du garage ... je vais aller voir ce qu’ils font.— Je viens avec toi !
Elle se lève et, en deux enjambées, je suis sur ses talons. Elle s’avance dans le couloir sur la pointe des pieds et j’en fais autant en la suivant de près. Lydie entrouvre la porte donnant sur le garage et passe la tête, une petite seconde avant que j’en fasse autant en me penchant au-dessus d’elle. Elle se recule vivement, et ce faisant, me bouscule un peu. Elle est choquée par ce qu’elle vient de voir :
Philippe adossé à la portière de la voiture, le pantalon sur les chevilles et mon père, un genou au sol, en train de pomper son beauf avec énergie. Personnellement, je m’attendais à quelque chose comme ça, vu la façon dont ils se regardaient tout à l’heure !
Lydie se retourne vers moi avec la mine confuse, elle est gênée que j’aie pu voir un tel spectacle. Elle baisse les yeux pour ne pas me regarder. Elle a les bras ballants, complètement dépitée. Elle connaît les mœurs de son mari, mais voir mon père en train de lui tailler une pipe, la désole profondément.
C’est le moment que je choisis pour la réconforter dans mes bras. Elle s’abandonne et pose sa tête sur mon épaule. Je lui caresse le dos, puis la nuque tout en déposant de petites bises sur son front. Elle lève la tête vers moi et me fixe intensément, j’en profite pour lui écarter une mèche de cheveux et lui biser tendrement la joue, puis le cou.
Elle m’enlace et se serre fort contre moi. Nos jambes s’entremêlent. Je ressens des petites pressions de son pubis sur ma cuisse. Je la serre davantage et ses seins s’écrasent sur mon torse. Le contact intime de nos corps nous trouble tous les deux.
Nos souffles sont courts et les battements de nos cœurs s’accélèrent. J’avance légèrement ma cuisse entre ses jambes et un long frisson lui monte des pieds à la tête. A nouveau, nous nous regardons avec intensité pour un dialogue silencieux de nos âmes. Je me penche et mes lèvres effleurent les siennes. Lydie exhale un long soupir, comme s’il s’agissait d’une délivrance, mais malheureusement, se ressaisit brusquement.
Trop confuse, elle préfère se détacher lentement de moi. Je ne sais pas si son trouble est lié à la rencontre de nos lèvres ou si c’est dû au contact de mon membre en érection sur sa hanche. Elle est émue à souhait, rouge de confusion, elle a le souffle trop coupé pour parler.
Très discrètement, nous regagnons le salon, je nous sers un verre et lui tends le sien qu’elle prend d’une main tremblante. Sans oser me regarder dans les yeux !Je m’assieds alors près d’elle et lui prends la main. Elle a une petite crispation des doigts, mais les laisse entre les miens et ne cherche pas à s’échapper.
Je tente de la décontracter en lui proposant de trinquer. Elle me sourit, puis fronce les sourcils pour me demander :
— Tu as vu comme moi ? — Ben, oui et alors ! — Ca ne te fait rien de voir ton père faire ça ? — Non, ce n’est pas grave, si papa a en envie, je ne vais pas m’y opposer. Il est tellement solitaire depuis que ... — Tout comme moi ! Je suis délaissée depuis que ...
Elle dit ça d’un air désespéré, le regrettant immédiatement.
Les mots sortent de ma bouche instinctivement :
— Comment peut-on délaisser une aussi belle femme que toi !— Mon mari ne me touche plus, ne me regarde même plus. Je ne suis plus qu’un objet à ses yeux !
Je comprends que tonton Philippe la délaisse depuis le décès de maman. Lui aussi doit se sentir coupable de ce qui est arrivé à sa sœur, car elle venait le retrouver ce jour-là !
Je porte la main de Lydie à mes lèvres et y dépose de tendres petites bises. Elle me laisse faire durant de longues minutes, puis retire brusquement ses doigts en entendant son mari revenir, accompagné de mon père.
Les gars ne semblent nullement gênés de leur escapade dans le garage. Je remarque que papa exhale une haleine de sperme. Il vient de sucer à fond son beau-frère, ce coquin !
Je suis un peu déçu de leur retour, j’étais bien avec Lydie. Cette dernière est un peu renfrognée envers son mari, mais lui semble ne pas y attacher d’importance.
Petit à petit, l’atmosphère se détend et nous finissons par passer à table en riant.
Je suis assis près de Lydie, face à Philippe alors que mon père est assis à côté de lui. Je remarque que mon oncle garde curieusement une main sous la table. Je fais négligemment glisser ma serviette au sol et me penche pour la ramasser. Je vois que tonton a sa main sur la cuisse de papa et la caresse délicatement.
Avant de ramasser ma serviette, j’effleure l’intérieur du mollet de ma voisine. Lydie resserre brièvement les pieds et m’emprisonne la main avant de la libérer. Elle a agi par réflexe, mais n’a pas protesté pour mon inconvenance. En me réinstallant, je glisse légèrement ma chaise pour être un peu plus près d’elle.
A chaque fois que je repose la serviette sur ma jambe, j’effleure du bout du doigt le haut de sa cuisse. Elle ne me repousse pas et ça m’encourage à poursuivre ses caresses furtives. À un moment, elle se lève et revient de la cuisine avec un plat qu’elle pose sur la table. J’ai alors un panorama fantastique sur son décolleté, je réprime la pulsion de glisser ma main sur sa poitrine. Toutefois, quand elle reprend place, c’est elle qui s’est rapprochée de moi au point que nos jambes sont désormais en contact franc.
Mes caresses sur sa cuisse sont plus faciles, je sens ses doigts rejoindre les miens sous la table. Je suis terriblement excité par la situation, je bande à fond de vivre enfin ce phantasme, car je me suis souvent branlé en pensant à elle.
Nous sommes en fait deux duos à respirer rapidement. Papa est rouge de confusion et la main baladeuse de Philippe n’y est pas étrangère. Lydie finit par me lâcher la main et nous continuons le repas avec plus de convenance et contenance.
Pour desservir, je me porte évidemment volontaire pour aider la maîtresse de maison. Dans la cuisine, elle pose les assiettes sur un meuble et attend, en me tournant le dos. Je m’approche, écarte sa chevelure, lui tiens les épaules, puis me colle à elle pour lui mordiller la nuque. Elle geint et tremble sur ses jambes quand je m’attaque au creux de son cou. Je me serre un peu plus contre elle en la tenant par les hanches. Mon érection repart de plus belle et elle ne peut l’ignorer. Elle ne le souhaite pas d’ailleurs, car maintenant, c’est elle qui vient à ma rencontre, ses fesses roulant de gauche à droite sur mon sexe.
J’imprime de délicats basculements du bassin et elle gémit de plus en plus en se cambrant davantage. Elle écarte même un peu les jambes quand je tente d’y glisser la main. Comme je regrette qu’elle soit en pantalon et non en jupe, j’aurais pu facilement accéder à son intimité !
De trois doigts à plat, j’appuie sur sa chatte. Elle se redresse sur la pointe des pieds et tremble de tout son corps quand je lui presse la vulve par petits à-coups.J’aimerais tant lui faire l’amour ! Là, tout de suite !
C’est elle qui met fin à ce moment torride. Elle me souffle :
— Non, arrête Thomas, s’il te plaît ! Pas ici ! Pas maintenant !
Elle a raison, je dois me calmer. Ce que je retiens, c’est le ‘pas maintenant’. J’espère renouveler l’expérience au plus tôt. Elle aussi visiblement !Je sais qu’elle est sevrée d’affection et de sexe avec son mari. Alors que moi je souhaite lui donner toute la tendresse dont elle a besoin. Car oui, je me porterais aisément volontaire pour être son amant !
Je lui demande discrètement qu’elle me donne son numéro de portable, afin de pouvoir communiquer plus facilement, mais elle semble rechigner à le faire. Je n’insiste pas, mais reste un peu déçu par ce refus. Je cherche à l’embrasser, mais elle me fait une bise furtive sur la joue, se recoiffe sommairement et va rejoindre les hommes. Je bande encore un peu quand je les retrouve au salon.
Pendant le reste de la soirée, je lui lance de nombreux regards, mais elle fait mine de ne pas le remarquer. Quand elle va-et-vient de la cuisine au salon, je ne peux m’empêcher d’admirer son admirable silhouette.
Alors que nous sommes sur le point de partir, Lydie me glisse discrètement un petit papier dans le creux de la main. Je ne le regarde pas et l’empoche pour éviter de trahir un geste qu’elle a voulu cacher à son mari.
Dès qu’il m’est possible de lire le papier, j’y découvre un numéro de téléphone que je m’empresse d’enregistrer dans mes contacts, puis immédiatement lui envoie un SMS :
— Lydie ! Tu me manques déjà !’
Elle me répond quelques secondes plus tard : ’...’Je m’interroge sur la signification de ces trois points de suspension.
— ‘Tu es si belle ! ‘—‘...’— ‘Tu as la peau si douce !’—‘...’— ‘Je veux te donner de l’amour !’
Pas de réponse !
Mon père est intrigué par mon activité sur le téléphone et, pour faire diversion, je lui demande comment ça s’est passé avec son beau-frère. Il reste évasif ...J’ajoute :
— Tu sais que tu peux tout me dire. Quand vous êtes revenus du garage, ton haleine empestait le sperme et d’autre part, j’ai vu qu’il caressait ta cuisse sous la table, tout à l’heure.
Avant de me répondre, papa se gare sur le bas coté de la route et en me regardant droit dans les yeux, me dit :
— Alors que Lydie et toi étiez dans la cuisine, et nous au salon, je lui ai demandé si je pouvais lui toucher le sexe. Il a écarté les jambes pour marquer son approbation et m’a attirée à lui pour m’embrasser. Je lui ai malaxé la bite à travers le pantalon durant notre baiser. Comme il bandait dur, il a proposé d’aller au garage pour continuer. Sur place, j’avais trop envie de le sucer et il s’est laissé facilement convaincre quand j’ai baissé son pantalon ! — Tu t’es régalé ? — Oui, j’ai adoré avoir sa bite dans ma gorge. Je m’y suis pris tellement bien pour le pomper qu’il a juté un gros flot de jus et moi, j’ai tout avalé. Es-tu jaloux de lui ? — Pas du tout mon chéri ! Je suis très content que vous vous retrouviez enfin, n’est-ce pas ce que voulait maman ?— Si bien sûr, mais là, ça prend une dimension différente, je me sens comme soulagé d’un fardeau, surtout si tu es consentant ! Mais toi, dis donc, tu ne serais pas amoureux de ta tante ? J’ai bien remarqué la façon dont tu la regardais.— Je la trouve très sexy depuis toujours ! Et c’est vrai, on s’est un peu chauffé en cachette elle et moi ! J’aimerais pouvoir l’aimer !— Ça m’étonne d’elle, mais Philippe m’a avoué qu’il la délaisse depuis longtemps et que leur couple s’étiole. Alors, fonce fiston ! Rends-la heureuse, elle le mérite...— Merci mon chéri... Vous comptez vous revoir prochainement Philippe et toi ? — On s’est promis de passer un moment ensemble, samedi probablement.— Je m’éclipserai et vous laisserai tous les deux, rassure-toi.

J’ajoute en lui déposant une bise sur les lèvres :
— Rentrons vite ! J’ai trop envie de faire l’amour.— Et moi donc !
Une fois arrivés à la maison, je dis à mon père :
— Je vais aller me changer et je te rejoins dans le lit.
Je fais simple pour me préparer. À savoir : Des bas blancs et les jarretières associées, une culotte et une nuisette en satin rose, une paire de mules, une perruque, mais pas de maquillage, car je suis trop pressée. Quand j’entre dans sa chambre, il m’attend, totalement nu, allongé à plat ventre sur le lit et me dit :
— Martine, j’aimerais bien que ... — J’ai compris mon chéri !
Il me tend le lubrifiant et s’installe à quatre pattes sur le lit.Lui tartiner l’anus m’excite beaucoup et je me mets à bander instantanément. Je me positionne derrière lui et pointe mon gland dans son sillon. Il geint déjà alors que je n’ai pas encore franchi son œillet.
Quand je m’enfonce dans ses profondeurs, il se met à râler de plaisir. Je lui souffle à l’oreille :
— Tu vas t’imaginer que c’est Philippe qui te prend le cul ! — Moui...— Je n’ai pas bien compris, voudrais-tu qu’il te défonce ?— Ouii ! Je suis à lui ! Qu’il fasse ce qu’il veut de moi !— Tu aimes avoir sa bite dans le cul, pas vrai ? — Humpf !!— Il va te déchirer le fion !
Je m’allonge sur lui pour lui donner ce qu’il désire ! Toute l’énergie sexuelle que j’ai accumulée avec Lydie ce soir se libère en quelque chose de bestial dans ce coït. Je ne suis pas son fils pour l’enculer avec cette sauvagerie, je suis à la fois son épouse dominatrice et son futur amant de beau-frère. Il couine de plaisir à chacun de mes brutaux coups de boutoir. Il geint des "Oh oui Philippe, c’est bon ! Encore plus fort !" ou bien "Vas-y Martine, bourre-moi !"
Avec frénésie, je le branle, lui presse les couilles, lui pince les tétons, lui griffe le dos, lui enfonce la tête dans l’oreiller tout en me déchaînant dans son cul.
C’est dans un râle que j’explose en lui, avant de me pencher sur son dos pour lécher sa transpiration. Malgré mon éjaculation, je reste bandé, fiché en lui et lui donne de nouveaux coups de reins qui le font gémir de plaisir jusqu’à ce qu’il se libère en se branlant fiévreusement.
Les premiers mots qui sortent de sa bouche après son extase sont :
— C’était génial Thomas (et non Martine)! Je te remercie infiniment pour ce moment !— Pour moi aussi papa, c’était génial, j’espère que Philippe te fera couiner comme tu viens de le faire.— J’ai hâte de le savoir !
Papa et moi avons ensuite parlé longtemps à propos de Philippe, de Lydie, et surtout de nous deux.
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