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  • Concours Au service d'Erika

TimeDreamer au service d'Erika

Chapitre 1

Divers
Quand Erika se réveilla ce 27 septembre, elle se sentit particulièrement bien. Normal, puisque c’était son anniversaire, un jour pas comme les autres. Le jour où elle disposait d’un pouvoir quasiment divin, celui de transformer un des membres du forum XStory en esclave consentant.
Enfin, consentant est un bien grand mot. Dans la réalité, le membre choisi voyait son libre arbitre disparaître le temps de 24h, durant lesquelles toutes les volontés d’Erika étaient réalisées.
Depuis une bonne semaine, Erika préparait avec attention SA journée. Pendant 2 jours, elle avait passé en revue les différents membres. Il lui restait 7 personnes dans sa short-list. L’éternel Lioubov, StormX, Thea, ce diable de Matt Demon, Phildomi, la version 2.0 de rorschach. Et puis, un petit nouveau au nom intéressant, TimeDreamer. Était-ce un réalisateur de rêves ? Le seul moyen de le savoir avait été de le sélectionner.
Entre deux périodes de travail intense, Erika avait eu le temps de se pomponner. Ces derniers temps, elle s’était laissée aller. Une épilation maison plus tard, tout était lisse, propre et doux. Elle se regarda dans le miroir. Grande, mince, mais avec des formes comme il le fallait, Erika se distinguait par deux points.
Le premier était son fessier, sublime, en goutte d’eau, capable de réveiller les ardeurs d’un eunuque.
Le second était, non pas sa poitrine 90C en poire, mais son regard, bleu cobalt. Des yeux dont la couleur intense venait en contradiction avec la chevelure noir profond. Quand on voyait ses yeux, il était difficile de s’en détacher, même pour son fessier !
Erika était prête.

Premier service, être réveillé par une langue profonde
TimeDreamer n’avait rien compris. Comment avait-il pu se retrouver dans un lit inconnu, avec une femme qu’il ne connaissait pas ? Sans compter le besoin irrésistible de mettre la langue dans cette vulve inconnue, afin de lécher de tout son saoul. Ce qu’il fit aussitôt !
Quand Erika se réveilla ce 27 septembre, elle était au bord de la jouissance. Une langue entrait dans son vagin, léchait son clitoris saillant, montait et descendait le long du périnée. Elle écarta un peu plus les jambes afin de mieux apprécier les prouesses de l’expérimenté lécheur.
« J’ai bien choisi », se dit-elle. Au même moment, TimeDreamer introduisit deux doigts dans la vulve détrempée, déclenchant le premier orgasme de la journée d’Erika.
Comme aucun ordre contraire n’était intervenu, TimeDreamer continua à lécher la belle, l’emmenant au septième ciel une deuxième fois. Il était devenu une vraie machine à donner du plaisir. Et, même si sa langue lui faisait mal, il continuait son job.
Comme chacun sait, le clitoris avec ses 8000 terminaisons nerveuses est une vraie usine à plaisir. Mais au quatrième orgasme consécutif, Erika commença à ressentir une douleur de part et d’autre de son os pubien, le long des racines du clitoris. Mais, sous l’emprise du plaisir, elle n’eut pas le temps d’arrêter son lécheur.
La langue de TimeDreamer ne faisait que s’agiter sur un clitoris devenu très sensible. Chaque passage de l’organe masculin déconnectait un peu plus Erika de la réalité. C’est ainsi qu’un cinquième orgasme matinal la terrassa, crispant l’intérieur de son ventre dans une souffrance jouissive.
« Mince, faudra que le… »
Erika n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’un sixième orgasme se déclencha dans son bas-ventre, balayant toute pensée cohérente. Heureusement pour elle, dans son délire, elle rua tellement qu’elle fit tomber son lécheur à terre.
Dans sa hâte de remonter sur le lit pour reprendre son activité, TimeDreamer dérapa quelque peu sur le sol devenu glissant. Ce court instant permit à Erika de glapir un stop retentissant. TimeDreamer tomba alors lourdement sur le sol, tel un pantin désarticulé.
« Ouf, je l’ai échappé bel. C’est qu’il lèche bien cet idiot ! Trop même. »

Deuxième service, l’esclave de madame
Ce mardi 27 septembre, Erika se sentait l’âme d’une maîtresse. Sous la douche, elle chantait allègrement. Son esclave de la journée avait reçu l’ordre de ranger la chambre. Et il s’acquittait de sa tâche de toute son âme servile. Or, il faut bien l’avouer, Erika n’étant pas très rangée et la chambre était dans un sale état. TD ne chômait pas. Intérieurement, il râlait comme un putois tout en se rendant compte qu’il souriait béatement. À ne rien comprendre. En plus, c’est comme s’il savait exactement où ranger les affaires.
C’est alors il tomba sur un objet qui ressemblait fort à un œuf. Comme il avait reçu l’ordre de tout ranger, il prit l’objet pour aller le mettre dans son rangement naturel.
Erika fut surprise de voir entrer TD dans la salle de bain. Et ce fut pire quand il ouvrit la douche, la renversa sur le sol, ouvrit ses jambes pour enfourner de force l’œuf dans son vagin. Même à sec, l’œuf glissa au sein de son antre intime. Évidemment, à peine l’œuf fut-il entré qu’il se mit en marche, TD ayant amené la télécommande.
Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. La plupart du temps, l’œuf était fourré dans son vagin. TD ayant reçu l’ordre de ranger, il avait appliqué à la lettre les recommandations de sa maîtresse.
Cette dernière était déjà lancée sur le chemin de la jouissance. L’œuf vibrait de toutes ses forces, heurtant délicieusement les parois de son antre vaginal. Excitée, elle décida de prendre une nouvelle fois son pied. À vrai dire, la décision ne venait pas de sa conscience, mais de son ventre où déferlait, par vague, le plaisir.
Il n’était pas encore midi et Erika avait déjà à son actif un certain nombre de jouissances. Quand son regard croisa le miroir, elle se rendit compte de deux choses. La première, c’est que cela se voyait. La seconde, c’est que TD, toujours assis sur elle, souriait benoîtement…

Troisième service, massage
Depuis l’épisode de la salle de bain, TD sentait que le regard d’Erika était franchement inamical. Encore quelque chose qu’il ne comprenait pas. Il se sentait irrésistiblement obligé d’accéder à toutes les requêtes, formulées à haute voix ou pas, de sa maîtresse (quelle drôle d’idée lui traversait la tête. Erika, sa maîtresse ?). Mais à chaque fois, elle semblait finalement mécontente de ce qu’il faisait.
Erika, de son côté, commençait à sérieusement penser que la journée tournait au fiasco. Que TD ne faisait pas un bon esclave. Loubiov, par exemple, elle émettait un souhait à haute voix et ce dernier exécutait. Rien de plus. Par contre avec TD, tous les souhaits qu’elle exprimait en son for intérieur, se voyaient réalisés. Et comme ceux-ci avaient souvent une connotation sexuelle, salope qu’elle était, cela finissait dans la luxure et la jouissance.
Erika ne comptait plus les orgasmes qui l’avaient terrassée depuis son réveil. Plus de 10, c’est sûr. Le dernier, c’était suite à un massage qui avait dérapé. Elle se remémora comment TS lui avait écarté les fesses pour lui lécher le trou du cul, enfonçant sa langue dans ses entrailles. Cette sensation l’avait électrisée littéralement. C’est qu’il savait y faire. Comme elle avait pensé que ce serait bon de savoir si son esclave se débrouillait mieux avec les doigts, ces deniers ont vite remplacé la langue.
Jusqu’au moment où, TD montant sur la table de massage, introduisit sa queue dans l’anus de sa maîtresse. Laquelle hurla ! Car bien que préparé, son cul fut écartelé par le diamètre peu courant de la bite à TD. Elle ne pensait pas qu’il en avait une si grosse et si longue. Alors qu’elle allait demander à son esclave de se retirer à toute vitesse, TD entama son premier va-et-vient. Qui déclencha dans son ventre un tel fourmillement, qu’elle oublia illico toute velléité de retrait. Il lui fallait cette bite dans le cul, et vite.
Souhait silencieux que TD s’empressa d’exaucer. Alternant les coups de boutoir et la vitesse, il entreprit de lui casser le cul. Allongée sur le ventre, Erika subissait la domination du mâle dont elle était la maîtresse. Ce paradoxe accentua son trouble. Avait-elle une âme de soumisse ? En attendant, TD limait l’anus de sa maîtresse du jour. Sans relâche et avec méthode, il s’employait à propulser Erika au septième ciel, encore une fois.
TD semblait infatigable. Si Erika avait déjà joui trois fois d’affilée avec son cul, ce qui ne lui jamais été arrivé, ce n’était pas le cas de son esclave. Et le frottement continu de la bite dans le conduit anal commençait à sérieusement lui faire mal. « S’il pouvait jouir ! » pensa-t-elle.
Les mouvements s’accélérèrent encore plus, si cela était possible. Dans un coup de reins plus puissant que les autres, TD jouit alors au fond des entrailles de la femme étendue sous lui. Le sperme, entraîné par les va-et-vient désormais plus lents, remonta suffisamment dans le sphincter, ce qui l’apaisa.
Erika sentant que TD ne faiblissait pas, lança son fessier à l’encontre de son enculeur. Et comme elle pensait « encore », ce dernier continua son œuvre. Encore et encore, jusqu’à qu’elle rendit grâce dans un râle étouffé.
D’avoir songé à cet enculage avait rendu toute chose Erika. Et elle comprit pourquoi TD était de nouveau en érection face à elle !

Quatrième service,
Fatiguée par les nombreux ébats, Erika avait enfermé TD dans la salle de bain. Elle avait besoin de repos. Après le repas et une longue sieste, elle était sortie pour une petite soirée entre copines.
Durant la soirée, elle repensa aux nombreux orgasmes qui l’avaient terrassée. Et s’ils avaient été puissants, elle regretta de ne pas avoir été prise par le vagin. Si elle écourtait le repas, elle avait encore le temps de rentrer et se faire ramoner par TD. Une fois la décision prise, elle salua ses amies désappointées et interloquées.
Quand elle arriva chez elle, TD se tenait derrière la porte, la queue au garde à vous.
Erika se décida à goûter le morceau de chair qui allait la combler. Dans l’entrée, elle se mit à genou devant son esclave et entreprit de le pomper. Une bonne grosse et longue dans la bouche, c’était agréable pour une salope comme elle. Mais comme ce qui l’intéressait, c’était de se faire prendre en levrette et qu’il ne restait pas beaucoup de temps avant minuit, elle retira la queue.
Erika se mit à genou sur le canapé. TD se plaça derrière elle, la saisit aux hanches et entra en elle. La vulve dégoulinait tellement Erika était excitée. S’ensuivit un rodéo digne des plus grands films porno gonzo.
Toutes les positions du Kamasutra n’y passèrent pas, par manque de temps et d’énergie. Mais si tout débuta par la levrette traditionnelle, TD mit son imagination au service d’Erika. La brouette japonaise, la belle à deux têtes, l’étreinte du panda, la couleuvre réunionnaise, l’approche du tigre ou encore le marteau piqueur y passèrent durant le temps qui restait. Elle ne comptait plus le nombre de fois où l’orgasme l’avait prise. Elle savait juste qu’elle avait atteint cet état de nirvana proche de la félicité absolue, quand le plaisir submerge une personne par vagues continues.
Jusqu’au moment où, TD installa Erika sur une chaise pour la position acrobatique de la chaise magique.
Alors que la chaise ne reposait plus que sur 2 pieds, assise sur le dossier, le dos d’Erika se plaquait sur le torse de TD qui se trouvait derrière elle. À chaque mouvement, la chaise balançait dangereusement, surtout que l’homme y allait de bon cœur.
C’est au moment où un nouvel orgasme prit possession de son corps, que la chaise cassa. Erika tomba par terre et sa tête heurta violemment le sol.

Quand Erika se réveilla ce 27 septembre, elle se sentit particulièrement bien. Normal, puisque c’était son anniversaire, un jour pas comme les autres. Le jour où elle disposait d’un pouvoir quasiment divin, celui de transformer un des membres du forum XStory en esclave consentant.
Erika sentit que quelque chose clochait. Le 27, c’était hier. Aujourd’hui, c’était le 28. Alors pourquoi TD était en train de lui bouffer la chatte comme la veille ? Elle glissa dans la même série d’orgasmes. Qui finit de la même façon, par la chute de son bon lécheur sur le sol, tel un pantin désarticulé.
Mais c’est quand l’œuf vibrant força son anus que Erika se demanda quel était ce plan foireux.
Et si le 27 septembre était un jour sans fin… ?
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