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Le timide de l’école

Chapitre 2

Expérimentations

Hétéro
À l’école, j’ai toujours été le gros stéréotype du loser. Je ne suis pas spécialement intelligent, encore moins spécialement beau, je n’ai pas vraiment d’amis et suis ultra-timide. Cela me paraissait donc impensable que je parvienne à me trouver une petite amie un jour ; pourtant, j’ai rencontré Lexi et nous sortons ensemble depuis peu. C’est une fille géniale, petite et maigre comme moi, c’est une blonde à lunettes. Elle est très intelligente, et surtout aussi coincée que moi. Tellement que ça en est à se demander comment on a réussi à en arriver là. Au début, c’est à peine si on réussissait à se parler, c’est dire. Alors, s’avouer nos sentiments...
Elle est si mignonne, je ne comprends pas comment elle est restée célibataire aussi longtemps. Certes, ce n’est pas une fille « branchée », sans complexe et super bien dans sa peau, mais je trouve justement que son côté introverti lui donne encore plus de charme. Je ne peux pas croire qu’aucun garçon n’ait jamais tenté de lui faire la cour, je ne dois pas être le premier à me rendre compte du trésor qu’elle est. Après, c’est peut-être elle qui les a tous repoussés, mais alors, je ne comprends pas pourquoi elle m’aurait choisi moi parmi tant d’autres. Bref, je me pose trop de questions. Peu importe, l’important, c’est qu’on soit ensemble.
Notre relation évolue lentement, nous prenons notre temps. Nous sommes tous les deux vierges, mais ce n’est pas parce qu’autour de nous, presque toutes nos connaissances baisent comme des lapins que nous devons nous hâter pour rattraper le retard. Nous venons seulement récemment de parler un peu de sexe. Nous avons tous les deux envies de passer à l’acte, mais... elle n’est pas prête, ce que je respecte totalement. Nous avons néanmoins trouvé d’autres façons d’exprimer notre désir charnel, et hier, nous nous sommes masturbés ensemble derrière nos écrans d’ordinateur en chattant sur internet.
Lorsque nous nous revoyons le lendemain matin à l’école, nous n’en parlons pas. Ce n’est pas que nous regrettons, mais faut admettre que c’était assez gênant. Pendant toute la matinée, nous sommes en froid tellement nous avons honte, puis l’après-midi, les choses commencent à s’améliorer. Nous en discutons enfin un peu. Embarrassés, nous en rions. Les jours suivants, je réalise même que cette expérience nous a rapprochés davantage.
Je l’invite à passer une après-midi chez moi, pas pour bosser sur notre projet de français, mais pour jouer à des jeux vidéo, ma grande passion. Évidemment, il y a bien un moment où cela finit en embrassade. Depuis que j’ai vu une photo de sa poitrine, j’ai envie de les voir en vrai. Tandis que je la caresse alors qu’elle est allongée sur mon lit, ma main dévie malencontreusement sur un de ses seins. Surprise, elle a le réflexe de me repousser. Je me sens con, je ne l’ai pas fait exprès, ce geste m’est venu instinctivement.
— Désolé, fais-je, je n’aurais pas dû.— Non, non. Ce n’est rien. C’est juste que... c’est la première fois qu’on me touche comme ça.— Cela ne te dérange ?— Non, rougit-elle, continue.
Ravi, j’en profite. Il n’est pas très gros, mais elle n’est pas plate non plus. Même à travers le tissu de ses vêtements, c’est très agréable au toucher.
— Tu veux... les voir en vrai ? me demande-t-elle.— Pour de vrai ? réponds-je avec un peu trop d’enthousiasme.— Oui...
Évidemment que j’accepte ! Je suis trop heureux, j’ai une trique d’enfer, je vais voir une poitrine en vrai ! Lentement, elle enlève son haut. C’est la première fois que je tiens une fille en soutien-gorge dans mes bras, cela me fait un effet fou. Elle retire délicatement son dernier rempart, dévoilant ses seins nus à mes yeux avides. Je ne crois pas ce que je vois, c’est si beau :
— Je peux... les toucher ? fais-je d’un air stupide.— Oui, vas-y, glousse-t-elle sans se moquer.

Le feu qui brule dans son regard ne saurait mentir : non seulement elle le veut, mais elle se nourrit de mon désir. Je pose ma main sur la peau d’un de ses seins, c’est si doux. Je le presse un peu puis je joue avec. Je passe mes doigts sur et autour du téton. Elle est tendue, mais elle gémit. Je tente ma chance en me penchant sur elle pour prendre son bout rose en bouche. Elle presse ma tête contre elle en respirant bruyamment tandis que je le suce, c’est délicieux. Elle est à moi, rien qu’à moi. Je la caresse fougueusement, son odeur et sa chaleur me montent à la tête. J’ai envie de la saillir comme un mâle :
— Lexi... j’ai trop envie... — Je sais, moi aussi, mais...— Je sais, tu n’es pas prête.— Je suis désolée. — Ce n’est pas grave, je comprends. Mais je vais quand même avoir du mal à me retenir, j’ai besoin de... me masturber. Cela te dérange si... je vais aux toilettes quelques moments ?
Il y a à peine une semaine, je ne me serais jamais imaginé parler de ce genre de choses aussi ouvertement. Je n’aurais peut-être pas dû d’ailleurs, c’est tellement bizarre.
— Non, reste, dit-elle. Continue de m’embrasser. — Lexi... c’est vraiment trop dur. — Je sais, pour moi aussi. Je ne suis pas prête pour qu’on fasse l’amour, mais on peut toujours... se caresser ?— Par caresser, tu veux dire...— Se masturber. Cela te plairait ?— Hmm, oui, j’en ai très envie.
Je me penche pour lui donner un nouveau baiser. Je suis vraiment très excité, le faire par chat, c’est une chose, mais là, en vrai...
Elle attrape ma main qui la pelotait et la dirige lentement vers le bas. Je la laisse faire jusqu’à ce que je réalise qu’elle m’invite à la glisser sous son pantalon, vers son entrejambe... Je comprends seulement maintenant ce qu’elle voulait dire par « se masturber ». Je pensais qu’on le ferait chacun nous-mêmes, pas qu’on se caresserait l’un l’autre. C’est encore mieux que ce que j’espérais, je n’arrive pas à croire que c’est réel.
Je glisse ma main sous sa culotte. Je ne m’étais donc pas trompé, elle ne s’offusque pas. Mes doigts atteignent enfin l’objet de tous mes désirs. Je ne sens aucun poil, elle se serait rasée rien que pour moi ? Je savoure la découverte à l’aveugle de l’extérieur de son minou, le premier que j’ai la chance de toucher. Je trouve les lèvres et son clitoris, ce dernier est tout dur et dressé comme un petit sexe. Cela veut dire qu’elle est excitée ? Je le titille et remarque tout de suite l’effet que cela lui procure. Je comprends vite que c’est un de ses points faibles. Elle gémit de plus en plus fort au fur et à mesure que je le lui titille. Cela me rend si heureux de savoir que c’est moi qui lui donne un tel plaisir.
Ma curiosité me pousse à aller plus loin, je cherche sa fente et y introduis deux doigts. C’est chaud et humide. Je fais du va-et-vient en allant le plus loin que je peux, je sens qu’elle mouille sous mes attouchements, j’en perds la tête. Je suis dans mon lit avec une fille aux seins nus, une main qui joue avec sa chatte, et elle aime ce que je lui fais. Je ne pensais pas ça possible un jour.
Elle a elle-même une main baladeuse qui atteint mon pantalon. Je la sens me palper afin de deviner la taille et la forme de mon sexe. Ce geste spontané de sa part déclenche en moi une foule d’émotions, il prouve que même si elle n’est pas prête à faire l’amour, elle me veut terriblement. Je l’aide en ouvrant la braguette de mon jeans pour en sortir ma bite. Elle y jette un regard envieux en se pinçant les lèvres. C’est la première qu’elle voit une en vrai, et manifestement, cela lui plaît. Je me sens rassuré, je dois avouer que c’était une de mes peurs : qu’elle se moque ! Non pas que j’ai un petit pénis, mais je n’ai aucune idée de ce qu’est la moyenne ni la taille idéale.
Elle l’enserre elle-même de ses doigts et commence à me branler. C’est dingue, complètement dingue, je me fais branler par Lexi ! Ma copine ! C’est bon, bien meilleur que de le faire soi-même.
Nous nous masturbons tous les deux, excités à fond. J’ai déjà envie de gicler, mais je me retiens, je ne veux pas avoir l’air ridicule.
— Dominique... je vais jouir... me confie-t-elle.
Elle a des yeux de petits chats tout mignons. Je continue mes caresses en allant de plus en plus vite. Je n’ai pas lâché son clitoris d’un pouce, dans le sens propre du terme. En conséquence, elle augmente son propre rythme autour de ma bite. Soudain, ses yeux se ferment, elle a du mal à respirer. Je comprends qu’elle est prise d’un orgasme lorsqu’elle commence à trembler sous mes doigts en poussant un gémissement bruyant ; si bruyant que j’ai peur que cela alerte ma mère.
J’admire ma copine, profitant de sa jouissance. J’en suis si fier, c’est moi qui l’ai mise dans cet état, c’est moi qui l’excite. Elle est si belle. Rien qu’à voir ça, je n’arrive plus à me retenir et me mets à éjaculer. Du sperme s’expulse de mon méat tandis qu’elle continue de m’astiquer. Étant au-dessus d’elle, le jet atterrit sur son ventre et ses seins. Elle est surprise, mais pas écœurée. Elle doit avoir trop la tête dans les nuages pour se rendre compte. Moi aussi, car je continue de me vider sur elle, et je suis tellement pervers que cela décuple mon plaisir.
Nos soubresauts respectifs finissent par se calmer. Nous nous regardons, nous nous sourions, puis nous embrassons. Nous sommes un peu gênés, mais c’était tellement bon, et puis nous avions tellement besoin de nous soulager. Je m’excuse de l’avoir « salie » de la sorte. Elle me dit que ce n’est pas grave. Tandis que je vais chercher quelque chose pour qu’elle puisse s’essuyer, elle joue un peu avec en prenant entre ses doigts. C’est la première fois qu’elle voit du vrai sperme d’un garçon, je n’imaginais pas qu’elle serait curieuse. Elle me remercie pour le sopalin et je l’aide à se nettoyer. Nous parlons un peu de ce qui vient de se passer. Nous nous avouons combien nous avons aimé ça et émîmes la possibilité de remettre ça à l’occasion. Nous passons le reste de l’après-midi dans les bras l’un de l’autre, sans dire un mot, juste... heureux. Je suis triste lorsqu’elle rentre chez elle.
Nous n’avons peut-être pas fait l’amour, mais cela reste l’expérience sexuelle la plus torride de mon existence ; du moins jusqu’à présent. Cela nous a appris beaucoup de choses. Que nous n’avons pas à avoir honte de nos désirs et que nous ressentons tous les deux la même chose. Cela me rassure de savoir que je ne suis pas un pervers qui a des envies trop salaces envers une fille trop prude et innocente. Lexi, derrière sa timidité, reste une véritable femme. Nous sommes un vrai couple qui avons envie l’un de l’autre, il nous faut juste un peu de temps pour oser l’exprimer totalement.
Les jours suivants, je remarque combien cela nous a encore plus rapprochés. Nous sommes plus câlins, complices... amoureux. Nous osons plus souvent faire des petites remarques coquines. C’est assez libérateur de pouvoir dire sans honte à une fille l’effet qu’elle vous fait, et surtout de l’entendre vous dire le même genre choses. Les regards pleins de désirs qu’elle me lance à la récré... cela me fait craquer...
Comme elle a autant envie que moi de recommencer, c’est donc assez rapidement que nous trouvons un prétexte pour nous isoler dans ma chambre afin de remettre ça. Cette fois, j’ai pu l’admirer entièrement nue. Elle a une chatte vraiment splendide, cela donne vraiment envie de s’enfoncer dedans. Je l’ai fait jouir avec mes doigts, puis elle m’a fait éjaculer en me branlant à deux mains. Qu’elle me caresse comme ça, c’est déjà divin, mais la savoir impatiente de me voir gicler, puis la voir heureuse de l’avoir fait, c’est encore meilleur. Nous le refaisons souvent, c’est notre substitut au véritable sexe. C’est bon, très satisfaisant, et pourtant, j’ai envie d’explorer plus. C’est pour cette raison qu’un jour, tandis que je la doigte, je lui demande :
— Dis, cela ne te tenterait pas que je te la lèche ?— Tu veux dire... me faire un cunnilingus ?— Oui... — D’accord, répond-elle en rougissant.
Entièrement nue, allongée sur mon lit, je me place devant elle tandis qu’elle écarte les cuisses pour m’inviter à venir. C’est tellement obscène et excitant de la voir s’offrir à moi comme ça. Je m’approche de son antre de plaisir et commence à lui donner des coups de langue. Ses lèvres sont toutes gonflées, elle mouille, je me régale de la boire à la source. Elle frémit lorsque je lui stimule le clitoris du bout de la langue et gémit lorsque j’essaie de le sucer. J’y enfonce deux doigts. Voir sa chatte se faire pénétrer de si près me rend dur comme du béton. Tout son corps ondule sous mes caresses, elle ne doit plus être très loin de l’orgasme. Je veux la faire jouir, être l’homme qui comble ses désirs et qui la rend heureuse. J’augmente mon rythme et utilise mon autre main pour lui peloter un sein. Il ne faut pas longtemps avant qu’elle n’explose en jouissance. Elle passe sa main sur sa bouche pour éviter de faire trop de bruit.
Je lui en suis reconnaissant, si ma famille se rendait compte de ce que nous faisions, nous serions tous les deux morts :
— Ça va, ça t’a plu ? lui demandé-je.— Oui, la vache, c’était génial. — Mieux qu’avec simplement les doigts ?— Oh bah oui alors !— Tant mieux, j’ai beaucoup aimé aussi. Tu goûtes bon...
Nous détournons tous les deux le regard, un peu gêné.
— C’est à ton tour maintenant, me dit-elle. Viens, je vais te sucer pour te remercier.
Waow, sérieux ? Je ne m’attendais pas à ça. Bien sûr, j’en ai souvent rêvé, mais je ne pensais pas qu’elle serait du genre à faire ça un jour. J’en crève d’envie, mais je ne sais pas pourquoi le type bien qui est en moi ne peut pas s’empêcher d’ouvrir sa gueule :
— Tu n’es pas obligée, tu sais. — Qu’est-ce que tu veux dire ?— Que je t’ai fait un cunni parce que j’en avais envie, pas pour que tu me le rendes d’une manière ou d’une autre. Tu n’as pas besoin de faire ça pour me faire plaisir.— Mais j’en ai envie. Cela fait déjà un petit temps que j’y pensais, mais je n’osais pas.
Son aveu me touche. Vu comme ça, comment pourrais-je refuser ? Nous inversons nos places, c’est à mon tour de m’allonger sur le lit. Elle se positionne à quatre pattes entre mes cuisses. Elle commence par me branler, je suis toujours très dur, je n’ai pas débandé depuis tout à l’heure. Je la crois quand elle me dit qu’elle en a envie, elle fixe ma queue comme si c’était une friandise. Elle hésite néanmoins un instant. C’est sa première fois, je comprends. Ma respiration s’arrête lorsque je vois son visage s’approcher de mon gland. Le premier contact de ses lèvres me fait frissonner. Elle fait coulisser ces dernières le long de ma tige, enveloppant ainsi ma queue dans sa gorge chaude et humide. Quelle agréable sensation, je n’ai jamais rien connu de pareil. Elle monte et redescend tout en me branlant d’une main. Bordel, c’est vraiment en train d’arriver, je suis en train de me faire sucer par ma copine. Pourvu que personne ne vienne nous interrompre.
Mes yeux grands ouverts l’admirent à l’œuvre. Même si je ne la côtoie réellement que depuis deux mois, je connais cette fille via mon école depuis des années, la voir mon sexe en bouche est d’un érotisme étourdissant. Elle me fait un bien fou, je suis au paradis.
— Tu aimes ? me demande-t-elle.— J’adore.— Tu veux que je continue ?— Oh oui, alors !
Elle reprend sa fellation. Je ferme les yeux, perdu dans mon plaisir. J’essaie de me retenir, je ne voudrais pas paraitre précoce, mais un de ses coups de langue surprise a raison de moi, et je me sens partir contre ma volonté. Je n’ai pas le temps de la prévenir, je me tords dans tous les sens en sentant mon jus grimper, mais elle ne devine pas ce qui va arriver. Elle m’a toujours au fond de la bouche lorsque je me mets à éjaculer. Je n’arrive pas à prononcer un mot pour m’excuser, juste à pousser un râle de bonheur. Je pensais qu’elle aurait un mouvement de recul et de dégout, au lieu de ça, ses lèvres font d’autant plus ventouse autour de mon sexe. Elle m’aspire tandis que je me vide, je déverse mon sperme dans sa délicieuse bouche avide. Lorsque tout est terminé, j’ai du mal à redescendre sur terre, j’ai le souffle court. Elle me laisse le temps de récupérer avant de me demander si j’ai aimé. La réponse est évidente, mais elle a besoin de me l’entendre dire :
— Oh la vache, oui ! C’était génial ! Mais... le sperme... tu l’as avalé ? fais-je en remarquant qu’elle ne crache rien.— Je... oui... Sur le moment, je ne savais pas trop quoi en faire alors... par réflexe...— Ça va ? Tu ne trouves pas ça trop dégueu ? — Non... ça va. Ce n’est pas spécialement bon, mais pas spécialement mauvais non plus.
Forcément, je me dois de lui poser LA question en entendant ça :
— Tu... serais partante pour le refaire un jour alors ?— Oui, bien sûr. Ça te plairait ?— À mort !
J’ai quand même beaucoup de chance. OK, nous n’avons jamais fait l’amour, mais j’ai quand même une copine qui suce et qui avale. Elle est pleine de surprises, moi qui pensais qu’elle serait sexuellement coincée, elle cache bien son jeu. Un peu comme moi, à vrai dire. Ce n’est pas parce qu’on est timide qu’on n’en a pas moins des désirs pervers. J’ai envie d’en voir plus, de la découvrir plus.
Cela va sans dire, nous recommençons assez vite. Une fois qu’on y a goûté, c’est difficile de revenir en arrière. Les petites masturbations mutuelles, c’est fini, nous sommes passés à des choses plus sérieuses ; c’est une nouvelle étape importante dans notre relation. Du coup, nous testons également la position du soixante-neuf. Moi en dessous en train de lui lécher la chatte, elle au-dessus en train de me sucer la bite ; c’est terriblement obscène. J’adore goûter son jus, il est si bon. Elle semble prendre également beaucoup de plaisir à me pomper. Elle pourrait m’annoncer demain qu’elle ne veut pas de véritable sexe avant le mariage que je pourrais m’en contenter. Je suis entièrement comblé comme ça, et la complicité coquine que nous partageons dans ces moments-là sont extraordinaires. Sans baiser, nous jouissons l’un avec l’autre, l’un pour l’autre, c’est ça qui compte pour moi dans une relation sexuelle.
Elle me fait jouir la première et avale mon sperme, je l’aide ensuite à atteindre le septième ciel à son tour. Je suis si heureux, c’est la meilleure copine du monde.
J’aurais cru que pouvoir satisfaire mes besoins de la sorte m’aiderait à avoir moins souvent envie, mais c’est tout le contraire qui se produit. Plus nous faisons des choses, plus j’ai encore besoin d’en faire. Je suis rassuré de voir qu’elle ressent la même chose que moi, ce n’est donc pas moi qui ne suis pas normal.
Au bahut, entre deux heures de cours, nous trouvons un moyen de nous isoler pour voler quelques baisers. Très vite, je me mets à bander, je lui fais part de mon excitation :
— Hmm, Lexi, je t’aime si fort, j’ai trop envie de toi, là.— Tu es fou ? On est à l’école. — Je sais, ce n’était pas une invitation, j’avais juste envie de te le faire savoir, c’est tout. Je tiendrais bien jusqu’après les cours, si tu veux bien venir chez moi. — Non, attends.— Quoi ?— J’ai une idée, viens.
Elle me tire par le bras pour m’emmener quelque part, je ne comprends pas ce qu’elle a en tête. Elle me conduit jusque devant les toilettes des filles. Elle vérifie qu’il n’y a personne, puis elle me fait entrer.
— Viens, insiste-t-elle.
Elle me fait pénétrer dans une des cabines et ferme la porte derrière elle.
— Tout le monde doit être en classe maintenant, personne ne viendra nous déranger.
Je ne proteste pas, je devine où elle veut en venir. Elle est vraiment sérieuse ? Je ne sais pas quoi en penser. Ma tête me dit que c’est mal et qu’il faut qu’on arrête tout de suite, mais ma queue a trop envie d’aller jusqu’au bout. Bizarrement, c’est cette dernière qui prend le dessus. Elle s’agenouille devant moi et ouvre la braguette de mon pantalon. Elle me branle un instant en constatant mon érection, puis me prend dans la bouche pour me sucer. C’est de la folie ! Je me fais pomper le dard dans les chiottes de l’école ! Et dire que c’est elle qui disait il y a deux minutes que j’étais fou ! Je ne peux pas lui dire non, j’en ai trop envie, j’en profite à mort. Elle a l’air aussi excitée que moi, vu comment elle a passé une main sous sa culotte pour se caresser. Pressé par le temps, je n’essaie pas de me retenir, et me déverse dans sa gorge à la première occasion. Elle me boit avec amour, cela me rend encore plus amoureux.
Je rentre ma queue dans mon pantalon et me rhabille. Elle veut s’en aller, mais je la retiens, pas avant de lui avoir donné ce dont elle a besoin elle aussi.
— On va être en retard, se défend-elle.— Nous le sommes déjà, dis-je pour la convaincre.
Elle se laisse tenter, elle aussi a besoin de la délivrance. Je l’enlace tendrement contre moi, son dos contre mon torse. Par derrière, je caresse son corps en commençant par ses seins. Elle gémit de plaisir. Elle tourne sa tête vers moi pour venir m’embrasser tandis qu’une de mains descend vers son bas-ventre. Je la glisse sous sa culotte pour jouer avec sa chatte. Je la doigte, je la fouille et je la branle. Elle soupire de plus en plus fort, je lui enfonce deux doigts dans la bouche pour étouffer ses râles, elle me les suce instinctivement. Ses jambes deviennent lourdes et peinent à supporter le poids de son corps, elle vibre entre mes bras. Je lui embrasse le cou en augmentant le rythme, ses yeux sont à demi clos, elle est plongée dans un autre univers. Soudain, je sens un jet de mouille plus conséquent tremper mes doigts d’en bas tandis qu’elle me mord ceux d’en haut pour étouffer un gémissement plus long que les autres. Elle jouit, c’est si beau à observer.
Je la soutiens pour ne pas la laisser tomber. Nous échangeons un regard passionné lorsqu’elle reprend ses esprits, puis nous nous embrassons.
Nous retournons en classe tous les deux en même temps. Le prof nous regarde bizarrement, mais accepte nos excuses. Certaines personnes doivent se douter des raisons de nos retards, qu’importe, je trouverais ça limite drôle que cela propage des rumeurs. Le petit Dominique et la timide Lexi qui feraient des choses perverses ensemble à l’école, qui croirait sincèrement ça ? Dans le cas contraire, je trouverais ça excitant. Cela leur apprendrait qu’on n’est pas aussi coincé qu’on en a l’air.
Lexi est manifestement du même avis vu que nous avons recommencé. Parfois, entre les cours, pris d’une envie, nous nous isolons aux toilettes pour nous faire jouir un coup. C’est bon de ne pas avoir ce genre de tabou et de pouvoir laisser libre cours à ses désirs. Peu importe le lieu où, l’heure, dès que nous avons envie, nous le faisons, c’est tout.
Lexi est aussi perverse que moi et est autant désireuse d’expérimenter de nouvelles choses. C’est elle qui, la première, m’a demandé :
— Ça te plairait de te finir sur mon visage pour changer ?
Je n’avais jamais osé le lui demander, j’avais peur qu’elle trouve ça trop dégradant et qu’elle ait une mauvaise opinion de moi si je lui faisais savoir que j’en avais envie. Alors que nous sommes dans ma chambre, proche de l’orgasme, je me branle devant son visage tandis que je suis debout devant elle. J’ai envie de la souiller, de couvrir son joli visage innocent de sperme ; je me sens si sale. Elle semble aussi impatiente que moi, elle m’encourage avec des mots crus :
— Vas-y, ne te retiens pas, j’ai envie de te sentir exploser sur ma figure. Jouis pour moi, je le veux.
Je ne tiens plus, je gicle. Je lui envoie plusieurs copieux jets de foutre. Elle n’a pas besoin de fermer les yeux, elle a ses lunettes en guise de protection. Je suis un pervers qui se vide sur sa copine comme un gros dégueulasse, mais je n’arrive pas à nier que j’aime ça. Une fois terminé, j’admire les filets de mon jus couler sur sa peau.
— Waow, tu es vraiment trop belle comme ça, ça donne envie de prendre une photo.
Merde, je n’aurais pas dû dire ça. Je vais un peu trop loin parfois.
— Oui, vas-y, moi aussi j’ai envie de savoir à quoi je ressemble.
Que... elle est sérieuse ? Ni une, ni deux, je vais chercher mon portable et prends un cliché avant de lui donner une serviette pour se nettoyer. Nous regardons le résultat ensemble, elle me demande ensuite de le lui envoyer par mail en « souvenir ». Décidément, plus que je la découvre, plus elle m’épate. Je me demande combien d’autres fantasmes pervers du même genre elle me cache ainsi.
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