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Le timide de l’école

Chapitre 3

La présentation

Hétéro
Chapitre 3 : La présentation

Lexi et moi sortons ensemble depuis un peu plus de deux mois maintenant. Nous allons dans la même école depuis des années, mais ce n’est seulement depuis que nous devons travailler tous les deux sur un projet en français que nous avons appris à nous connaître. Deux mois, cela peut paraitre court, mais je suis déjà follement amoureux. C’est une jolie blonde à lunettes, petite et mince, avec une belle petite poitrine. Elle est à croquer.
Nous n’avons toujours pas « baisé » ensemble, cela ne nous a pas cependant empêchés d’explorer notre sexualité. Régulièrement, je lui fais des cunnis, et elle me fait des fellations. C’est une sacrée coquine, elle aime avaler, et parfois, elle me demande même de lui éjaculer au visage. Comme si ce n’était pas assez pervers, nous le faisons parfois à l’école, dans les toilettes, entre les cours. Avec une copine pareille, peu importe que je n’aie jamais pu pénétrer sa chatte avec mon sexe, je suis un homme comblé, et je ferais tout pour qu’elle le soit également.
Nous avons presque fini de préparer notre présentation. Cela nous a demandé plus de boulot que prévu, mais il faut dire que nous avons eu beaucoup de moments de distraction. Comme maintenant, alors que nous sommes en train de répéter ensemble, collés l’un à l’autre dans mon lit, elle décide soudainement de me faire une pipe.
— Désolée, s’excuse-t-elle une fois qu’elle m’a fait éjaculer dans sa bouche. — Il n’y a vraiment pas de quoi être désolée pour ça, fais-je. Laisse-moi te donner du plaisir aussi.— Non, après, lorsqu’on aura fini.— Tu es sûre ?— Oui, certaine.
Le temps nous semble long après ça, aussi bien pour elle que pour moi. Elle brule d’envie, cela se voit. Elle a du mal à se concentrer, elle mouille d’anticipation. Cruel comme je suis, je la taquine un peu. Je crois qu’elle aime ça, je pense que c’est son but depuis le début : se frustrer un peu pour mieux apprécier le moment de délivrance. Une fois notre travail terminé, nous ne perdons pas de temps, je la lèche du mieux que je peux. Remarquant que je suis de nouveau excité, nous nous mettons en position de soixante-neuf. Je m’assure de la faire jouir la première avant de me laisser me vider à mon tour. Ce bien-être, cette complicité sans tabou, c’est ça qui me rend fou d’elle.
C’est le jour des présentations. Motivés et sûrs de nous, nous nous proposons pour passer en premier. Nous cartonnons. D’habitude assez timide en public, nous n’avons pourtant cette fois aucun mal à nous exprimer devant toute la classe. C’est grâce au lien de que nous avons, il renforce notre confiance en nous et nous fait sentir invincible.
Officiellement, le prof doit attendre que tout le monde soit passé avant de nous attribuer une cote, mais il ne fait aucun doute que nous avons largement réussi. La plupart des groupes qui sont passés après nous étaient clairement moins bien préparés ou se défendaient très mal. Les derniers ont encore quelques jours pour se préparer jusqu’au prochain cours. À leurs mines soulagées, je doute du résultat final. S’ils n’étaient pas prêts aujourd’hui, je ne pense pas que quelques jours de plus changeront quoi que ce soit.
Nous décidons de fêter ça chez elle. Depuis tout ce temps, c’est la première fois qu’elle m’invite chez ses parents. Je fais la connaissance de sa mère et de sa petite sœur. Apparemment, elle leur a déjà parlé de moi. Je suis invité à rester pour manger, je téléphone à mes parents pour avoir leur accord. Les présentations faites, elle m’emmène dans son sanctuaire. Je n’étais jamais entré dans la chambre d’une fille auparavant. Elle me fait découvrir son univers. Nous discutons de ses posters, de ses CD de musique, et sa collection de vieux jouets de quand elle était petite fille. En voyant ça, je ne peux pas m’empêcher de la taquiner un peu. Ça va, elle le prend bien, nous en rions. Elle aussi a un peu honte d’avoir gardé toutes ces reliques.
Nous faisons un peu le bilan de notre présentation, histoire de partager le soulagement que ce soit terminé et l’euphorie que cela se soit bien passé. Une chose en entraînant une autre, nous nous embrassons et nous nous caressons. J’ai envie, très envie d’elle, mais je ne me sens pas super à l’aise de faire ça ici. Avec mes parents non loin, c’était déjà gênant, mais alors les siens... Si son père rentre du boulot et nous surprend, on ne retrouvera jamais mon corps.
Elle pose une main sur mon sexe déjà bien dur. Il est donc évident qu’elle veut que ça aille plus loin que de simples baisers. Je n’arrive pas à lui résister, je la laisse faire lorsqu’elle commence à ouvrir mon pantalon pour me sucer. Aaaah, c’est tellement bon une bonne pipe. J’ai tellement de chance d’avoir une copine qui me fait ce genre de choses spontanément, j’aurais pu tomber sur une fille qui n’aime pas ça. Je glisse une main sous sa culotte pour jouer avec son minou. Il est déjà tout trempé, sans surprise. Je lui enfonce deux doigts pour la fouiller et utilise mon pouce sur son clitoris. J’ai envie de la lécher, mais elle me dit qu’elle n’est pas d’humeur pour un soixante-neuf. Je ne comprends pas comment c’est possible, mais soit. J’insiste que je veuille lui faire du bien, nous échangeons alors les rôles. Elle s’installe sur son lit tandis que je viens entre ses jambes écartées. Je lui broute son délicieux sucre d’orge tout en buvant son jus d’amour.
Je suis frustré de ne pas pouvoir me branler en même temps, mes mains sont occupées à la caresser et à la doigter. Elle gémit en fermant les yeux, son corps ondule de plaisir tandis qu’elle se tient fermement aux barreaux de son lit. Sa respiration est de plus en plus courte, je ne suis pas loin de la faire jouir. Je me lance dans la dernière ligne droite lorsqu’elle me demande d’arrêter :
— Non, attends ! Attends !
Je me fige, apeuré :
— Qu’est-ce qui se passe ? J’ai fait quelque chose de mal ? — Non, pas du tout. Je... Je voudrais juste... te sentir en moi. — Comment ça « en toi » ? ne suis-je pas sûr de comprendre. — Je veux dire, en moi... Je voudrais qu’on le fasse pour de vrai. — Faire quoi ? L’amour ?— Oui.
Mon cœur bat à mille à l’heure. J’en ai tellement rêvé que je pensais que ce moment ne viendrait jamais :
— Tu es sûre ? fais-je. — Oui, certaine. J’en ai marre de simplement sentir ta langue et tes doigts. Je n’en peux plus, cela me donne seulement envie de plus. J’ai envie... de baiser. Tu veux bien ?— Oooh... Lexi, mon amour. Oui, j’ai tellement envie toi.— Moi aussi, j’ai envie de toi.
Ces mots sonnent si doux à mes oreilles. J’ai cru pendant si longtemps qu’aucune fille ne voudrait jamais de moi, alors l’entendre ce genre de chose m’excite comme un fou. Je la surplombe pour venir l’embrasser fougueusement, elle me le rend avec la langue. Nous nous caressons, nous nous étreignons, nous nous aimons.
— Prends-moi, Dominique, soupire-t-elle. — Hmm, oui Lexi, je vais te baiser.
Je n’aurais jamais osé employer ce genre de terme si elle ne l’avait pas fait elle-même auparavant. J’attrape ma verge pour le pointer vers son fruit défendu. Je suis si proche de mon but, je n’arrive pas à croire que c’est réel. Elle a l’air nerveuse. Je lui caresse les grandes lèvres avec mon bourgeon. J’hésite, j’ai peur. Elle est si belle, si pure, si innocente. Ai-je le droit de lui voler ça ? Après tout, c’est elle qui le veut, et mon côté pervers refuse l’idée qu’un autre le fasse à ma place. Je la veux, tellement. Je pousse mon bassin en avant et la pénètre enfin, nous gémissons tous les deux. J’atteins une résistance, son hymen. Au moins, j’ai la preuve que je suis vraiment son premier. Je ne suis pas sûr de ce que je dois faire, je force le passage, ce n’est pas comme s’il y avait un autre moyen. Ça y est, je suis passé, je m’enfonce au fond d’elle.
Elle n’est désormais plus vierge, et nous avons perdu tous les deux notre pucelage. À l’expression de son visage, cela n’a pas l’air très agréable. Je m’inquiète :
— Ça va ? fais-je.— Oui, ça va aller. Tu peux y aller maintenant.
Je démarre mon va-et-vient. J’y vais très doucement, autant pour elle par peur de lui faire du mal que pour moi de peur de jouir trop vite. Nos corps presque collés l’un à l’autre, je rentre et ressors d’elle à répétition. Je baise véritablement avec une femme, je suis vraiment dans sa chatte, c’est exquis. C’est chaud, humide, et très serré. Le temps passe et je la sens se détendre. Voyant qu’elle commence à prendre du plaisir, j’augmente légèrement mon rythme. Je continue ainsi pendant une bonne minute pour observer sa réaction. Elle semble aimer ça, j’ose donc aller encore un peu plus vite. Ce qui n’était au début qu’un petit frotti-frotta devient plus sérieux, maintenant. Je ne remue plus en elle que de quelques centimètres, mais de presque tout mon long. Elle passe ses mains sur mes épaules en collant sa joue contre la mienne. Je sens sa respiration saccadée au creux de mon oreille. Elle me veut toujours, c’est fantastique :
— Lexi... Lexi... je t’aime, fais-je, ivre de désir.— Moi aussi... mon amour...
Pouvoir enfin baiser, c’est déjà quelque chose, mais le faire avec la personne qu’on aime, c’est vraiment fabuleux. Je ne m’abandonne pas à mon instinct animal juste parce que je suis en manque, mais parce qu’il est l’expression de l’amour que je ressens pour elle. J’ai ce besoin stupide de lui dire « je t’aime » non pas avec des mots ou des câlins, mais par des coups de queue, comme si c’était la seule façon assez forte pour lui faire faire part de mes sentiments. Le meilleur, c’est de sentir combien cet amour est partagé. Savoir que nous ne sommes pas seuls à aimer quelqu’un, mais que cette personne vous aime en retour, c’est extraordinaire. Elle me rend ce que je lui donne, et réciproquement, nous conduisant ainsi dans une spirale de plaisir.
Elle fait glisser ses mains sur mes fesses, m’invitant à mieux la saillir. Je l’écoute en la pilonnant comme un fou. Je n’ai jamais ressenti ça, c’est un vrai paradis. Et dire que je me croyais capable de me satisfaire de simples caresses buccales. Rien ne peut valoir l’union que nous vivons en ce moment. C’est intense, trop intense. Ce que je craignais au début est en train d’arriver. Si je continue comme ça, je ne vais plus tarder à éjaculer. Je ne veux pas, elle n’a pas encore joui, je tiens à ce qu’elle se souvienne de ce moment toute sa vie. Par instinct, je me retire brusquement avant qu’il ne soit trop tard. Elle me regarde bizarrement, me suppliant de lui dire ce qui se passe :
— Je suis désolé, mais je serais resté une seconde de plus, j’aurais éjaculé, m’expliqué-je. — Ce n’est pas grave, reviens en moi dès que tu te sens prêt.
J’ai de la chance d’avoir une copine si compréhensive.
— Tu n’as pas envie de tester autre chose ?— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Une autre position ?— Heumm, si. Genre quoi ?— Tu... pourrais me monter dessus ?
Elle rougit à l’idée. Elle est trop mignonne. Comme si après ce que nous sommes en train de faire, il y avait encore moyen d’avoir honte.
— D’accord, répond-elle.
J’ai le temps de récupérer un peu le temps qu’elle se place au-dessus de moi. Elle est timide, je trouve ça craquant. Je sens qu’elle lutte intérieurement, une partie d’elle se sent gênée de faire ça, mais une autre plus forte lui en donne le courage. Elle agrippe ma verge et la dirige vers son entrée. Elle le veut en elle, c’est viscéral. Elle se laisse délicatement retomber pour se l’insérer dans son vagin. Elle gémit de bonheur. Je la tiens par les hanches tandis qu’elle commence à me rebondir dessus. Qu’est-ce que c’est beau à regarder : ma copine pleine de désir en train de me chevaucher la bite.
Je réalise que ce n’était peut-être pas une si bonne idée après tout : maintenant qu’elle est maître de notre plaisir à tous les deux, cela va m’être encore plus difficile de me retenir. Elle ferme les yeux, elle rougit, elle n’ose pas me regarder, mais elle continue de s’empaler sur moi. J’admire la beauté de ce corps qui ondule au-dessus de moi. Mes yeux s’arrêtent sur ses seins. Plus que de les voir, j’ai soudain besoin de les toucher. Je les presse en savourant la douceur de sa peau. Ses tétons saillants me rappellent la frustration de ma langue d’être aussi inactive. Je viens les prendre en bouche. Je les suce puis les mordille. Elle prend ma tête entre ses mains pour m’inciter à continuer. Je me régale, je vais de l’un à l’autre pour ne pas faire de jaloux. Alors que j’ai encore faim, elle guide mon visage vers ses lèvres pour forcer un baiser, je le lui rends de façon passionnée :
— Dominique, j’ai envie de jouir, me confie-t-elle.— Vas-y, ma chérie. Pour moi...— Je veux que tu viennes avec moi. Pour notre première fois, je voudrais qu’on jouisse ensemble. — Tu veux que j’éjacule... dans ta chatte ? — Oui... Ne t’en fais pas, je prends la pilule. — D’accord, pour toi, pour nous.— Oui...
Elle me repousse gentiment contre le matelas et me chevauche de plus belle. Elle n’en peut plus, moi non plus, mais je ne sais pas comment m’assurer que nous atteignons l’orgasme ensemble, alors je me retiens. C’est de plus en plus difficile. Son vagin masse mon sexe comme s’il cherchait à me traire.
— Ma chérie, ça va venir, essayé-je de la prévenir. — Oui, moi aussi, vas-y, ne te retiens pas.
Je m’attendais à ce qu’elle calme mes ardeurs et non à ça. Merde, c’est trop tard maintenant, j’ai atteint le point de non-retour, je me sens partir :
— Lexi ! Je vais jouir !— Moi aussi ! Ça vient !
Vraiment ? Je n’ai pas le temps de m’assurer si elle dit vrai ou non que je sens ma bite gicler un premier jet de sperme au fond d’elle.
— Lexiiii !
Je grogne comme un animal tant le plaisir est intense. C’est bien plus fort que tout ce que j’ai connu auparavant. Soudain, je sens sa chatte avoir des soubresauts, elle disait donc vrai, elle est en plein orgasme. C’est incroyable, nous jouissons ensemble, ce que c’est beau. Ma queue pulse tandis qu’elle tremble en recevant ma semence. Elle s’écroule sur moi, la tête dans l’oreiller pour étouffer un cri. Je la pilonne encore quelques fois pour continuer de me vider. Je veux la remplir, lui donner tout ce que j’ai, comme si cela pouvait l’aider à rester plus longtemps dans son nirvana.
Je m’apaise, pas elle, il lui faut plus de temps pour retomber sur terre. Je la caresse et la presse contre moi. Elle est la personne la plus importante du monde, je l’aime à en crever. Nous restons un moment ainsi sans bouger, sans rien dire. Nous profitons simplement de notre bien-être. Je ne sais pas combien de minutes se passent avant qu’elle ne se relève pour me regarder, mon sexe toujours fiché en elle. Elle a des yeux amoureux, comme les miens. Nous n’échangeons toujours pas un mot, seulement un long et langoureux baiser. Nous n’avons pas besoin de demander à l’autre si « il a aimé », c’est tellement évident, nous l’avons vécu ensemble. Nous nous sourions, essoufflés, mais heureux. Ce moment magique restera à jamais gravé dans nos mémoires. C’était fabuleux. Nous avons peut-être pris notre temps, mais cela en valait la peine, tout était parfait.
J’aurais aimé rester dans son lit à faire des câlins, mais le bruit que nous entendons soudain de l’extérieur nous rappelle à la réalité. Sa famille n’est pas loin, nous devons faire attention. Nous nous dépêchons de nous rhabiller avant de nous faire prendre.
Lorsqu’il est l’heure de manger, nous sortons. Je fais ainsi la connaissance de son père une fois à table. Il me met vraiment mal à l’aise, ça n’a pas l’air d’être le genre de type qui plaisante. S’il savait ce que je venais de faire à sa fille... Je me sens honteux, bien qu’un peu excité de savoir qu’elle est juste à côté de moi, pleine de mon sperme, sans que personne ne se doute de rien. La bonne nouvelle, c’est qu’il a l’air de m’apprécier, même si je vois bien dans son regard que je n’ai pas intérêt à faire du mal à sa fille.
C’est épuisé que je rentre chez moi plus tard. La soirée a été pleine d’émotions. Ça me fait mal de devoir me séparer de ma Lexi, mais ce n’est pas comme si je pouvais rester dormir chez elle. Je suis pressé de la revoir à l’école le lendemain. Nos retrouvailles sont un peu spéciales. Nous sommes plus tendres que d’habitude l’un envers l’autre, plus amoureux que jamais. Nos regards étincellent de passion. Nous ne parlons pas vraiment de ce qui s’est passé la veille, mais cela crève les yeux que nous avons encore envie l’un de l’autre. Vivement ce soir ! Enfin, je dis ça, c’est peut-être trop tôt pour remettre le couvert. Je n’ai pas envie qu’elle me prenne pour un gros porc qui ne pense qu’à ça. Même si pour le moment, j’avoue que c’est un peu le cas.
Les cours ne m’ont jamais semblé aussi longs. Je n’en ai rien à faire d’étudier des maths ou les sciences, j’ai envie de passer du temps avec ma chérie. L’après-midi, c’est elle qui craque la première. Elle m’emmène aux toilettes pendant un intercours et je me doute que ce n’est pas pour parler chiffons. Elle me surprend, je ne pensais pas qu’elle serait aussi entreprenante, elle assume ses pulsions bien mieux que moi, c’est assez drôle, sachant qu’elle parait pourtant bien plus timide que moi en général.
À peine la porte fermée, elle ouvre ma braguette et se met à me sucer. Bordel, j’ai bandé toute la journée, c’est tellement bon ! Je pensais qu’elle voulait juste qu’on se soulage vite fait, et qu’elle me ferait rapidement jouir dans sa bouche pour que je puisse prendre soin d’elle après, jusqu’à ce qu’elle arrête sa fellation et se relève. Elle me tourne le dos et se penche sur une paroi de la cabine en baissant sa jupe et sa culotte :
— Dominique, je n’en peux plus, baise-moi s’il te plaît.
Waow ! Quelle coquine ! Non, vraiment, après tout le temps qu’il lui a fallu pour être prête à faire l’amour pour de vrai, je ne pensais pas que je la verrais aussi directe dès le lendemain de la perte de sa virginité. Elle s’offre à moi, comme ça, comme une femelle qui a besoin de se faire saillir. Avant de la connaître, je ne pensais pas que les femmes avaient une vraie libido. Trop heureux de lui obéir, je m’enfonce dans sa chatte et me mets à la limer. Aaah, putain, cette sensation ! Je l’ai connue pour la première fois il y a moins de vingt-quatre heures, mais j’en suis déjà accro. Je joue avec ses seins à travers ses vêtements, elle m’aide à les enlever. Notre étreinte est beaucoup plus animale qu’hier, il faut dire que nous sommes plus pressés. J’imagine que c’est ça qu’on appelle un « quickie », on a juste envie de jouir, ensemble.
Nous changeons de position, elle baisse la planche des toilettes et s’installe dessus les cuisses écartées pour m’inviter à venir, je la prends sans tarder. Moi aussi je préfère comme ça, je peux mieux l’admirer. Elle passe ses mains dans mon dos et m’embrasse fougueusement. Je la bourre, je la saute, je lui défonce le vagin. J’ai peur d’être trop brutal, mais elle m’encourage à continuer. Elle est aussi affamée que moi. Je me régale de la vue de ses seins nus, et me penche pour lui sucer les tétons. Il ne me faut pas longtemps pour sentir mon jus chercher à sortir de mes couilles.
— Lexi, je vais jouir, la préviens-je. — Oui, vas-y, moi aussi.
C’est donc avec son accord que je me laisse aller. J’explose au fond d’elle et la remplis de sperme. Elle s’agrippe à moi tandis qu’elle est prise d’un orgasme. Dieu que c’est bon ! C’est merveilleux ! Je regrette qu’on n’ait pas plus de temps. Nous nous dépêcherons de nous rhabiller pour aller en classe. Nous sommes peut-être des porcs, mais je m’en fous. Comment j’ai fait pour vivre aussi longtemps sans copine ? Je ne veux plus jamais être seul, jamais.
Les jours passent et nous remettons ça régulièrement. Que ce soit chez elle, chez moi, ou dans les chiottes de l’école. Tantôt nous faisons l’amour, tantôt nous baisons. Je suis étonné que nous ne nous sommes jamais fait prendre, nous ne sommes pas vraiment discrets. Une fois, alors qu’elle me chevauchait dans une des cabines des toilettes des filles, quelqu’un est entré. Nous nous sommes figés, terrifiés. J’étais certain que nous étions fichus. Comme si la situation n’était pas assez délicate comme ça, Lexi a eu l’imprudence de remuer du bassin pour essayer de continuer à faire l’amour silencieusement. C’était une grosse erreur, cela l’a fait gémir. L’inconnue a sûrement tout entendu. Heureusement, elle n’a pas cherché à savoir d’où provenait le bruit et s’en est allée après avoir fini sa petite affaire. Elle a quand même dû se douter qu’il se passait quelque chose de pas très net. Nous avons tout de suite repris où nous nous en étions arrêtés.
Elle s’est fait jouir sur ma queue et m’a fait éjaculer dans sa chatte. Ce qu’elle est belle quand elle bondit sur moi, c’est tellement érotique ! J’adore la voir pleine de désir et de luxure. Joueuse, elle a ramassé un peu de sperme qui s’écoulait de son vagin pour en coller contre un mur :
— Qu’est-ce que tu fais ?! m’écrié-je. — Je lance une rumeur. Je veux que tout le monde sache qu’une fille s’est fait sauter dans les chiottes. — Tu es folle ?!
Cela a fonctionné, un scandale a éclaté. Tout le monde s’est mis à spéculer sur les coupables. Bizarrement, nos noms ne sont jamais évoqués. C’est drôle de se dire que personne ne nous croit capables de faire une chose pareille. C’était tordu de sa part, mais j’ai trouvé ça excitant finalement. Il faut décidément se méfier de l’eau qui dort, elle est bien plus perverse que moi. L’ennui dans cette histoire, c’est que nous ne pouvons plus le faire à l’école désormais. Du moins, pas avant que les choses se tassent. Les risques sont trop grands.
Nous expérimentons de nouvelles choses avec le temps. Nous jouons à des petits jeux et testons de nouvelles positions. Nous découvrons ainsi les choses que nous aimons et ce que nous aimons moins. Par chance, nous semblons toujours être plus ou moins sur la même longueur d’onde. C’est fou ce qu’on peut en apprendre sur une personne via le sexe. Sa tendance à être un peu soumise s’est confirmée, j’ai été très surpris de constater qu’elle aime également quand nos ébats sont un peu plus... brutaux. Je l’imaginais plus douce et romantique que ça. Je la prends en levrette dans sa chambre. Elle me parle crument, me suppliant que je la saute « comme une chienne ». Je lui avais déjà donné quelques fessées en remarquant que c’était quelque chose qui l’excite, mais là, c’est la première fois qu’elle me demande carrément de lui tirer les cheveux. Je m’exécute bien qu’ayant peur de lui faire mal ; étrangement, cela décuple notre plaisir à tous les deux.
Il faut que je fasse attention, je pourrais m’y habituer à la dominer ainsi.
Je la lime jusqu’à ce qu’elle en jouisse. J’aurais pu la rejoindre, mais quitte à jouer les salauds, autant le faire jusqu’au bout. Je la retourne violemment sur le dos, m’approche d’elle pour pointer ma queue vers son visage, et tire sa tête vers moi en me branlant furieusement pour me vider. Je grogne en lui giclant dessus. Je suis un gros dégueulasse qui aime voir sa chérie couverte de foutre. Mais là où une autre fille s’en offusquerait, Lexi réagit en ouvrant la bouche et en sortant la langue. Mieux encore, elle me branle d’elle-même pour m’encourager à lui en donner plus. Elle est vraiment incroyable, je l’aime.
En sortant de sa chambre pour m’apprêter à rentrer chez moi, je tombe nez à nez avec sa mère. Elle me demande si elle peut me parler deux minutes en privé. Je peux difficilement refuser. Je la suis jusque dans la cuisine où elle me raconte qu’elle a tout entendu. Je panique, je ne sais plus où me mettre.
— Ecoute, cela ne me dérange pas, c’est de votre âge, me confie-t-elle. Essayez simplement d’être un peu plus discret. La petite sœur de Lexi est dans la chambre juste à côté, elle est trop jeune pour être exposée à ce genre de choses.— Promis Madame. Désolé.— Et n’inquiète pas, je n’en parlerais pas à son père. Je ne pense pas qu’il soit prêt à accepter que sa petite fille soit devenue une femme.
Voilà une raison de plus pour faire attention. Ce mec me fait peur. Il serait capable de me castrer. Il n’empêche que pour une femme qui vient d’apprendre que sa fille aime se faire défoncer comme une salope, la maman de Lexi prend plutôt bien la nouvelle. Au moins, j’ai une alliée. Je rentre chez moi stressé et gêné de m’être fait gauler. Même mes parents ne sont pas au courant que j’ai perdu ma virginité, et je ne pourrais jamais le leur dire. Ils sont ouverts d’esprit, ce n’est pas ça, mais c’est trop délicat de parler de ça. À mon avis, ils s’en doutent quand même. Ils savent que Lexi et moi sommes ensemble, et que nous passons beaucoup trop de temps dans ma chambre.
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