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Tina une nouvelle épreuve de Son Maitre

Chapitre 1

SM / Fétichisme
En cette fin d’été, enfin un week-end où je suis seule, où je peux me libérer pour être avec mon Maître. Un week-end complet en prenant en compte le trajet.Partie tôt de chez moi, vêtue très stricte, tailleur sombre, chemisier en soie blanc très fin et clair, jupe droite au-dessus du genou, veste croisée tenue par 2 boutons, avec comme sous-vêtements un soutien-gorge à balconnet blanc, un shorty blanc et des bas autofixants noirs.
Quelques heures de train, j’arrive enfin chez mon Maître. Une petite ville adossée à la montagne. Temps beau, une douce chaleur de fin d’été. Je sors de la gare plantée devant, mon regard circulaire cherche des yeux mon Maître. Quelques voyageurs attardés sur le trottoir. Certains pressés filent sans un regard; d’autres, plus attentifs, me dévisagent, me toisent. Un sentiment de gêne m’envahit en sentant ces regards inquisiteurs, parfois énigmatiques, parfois un sourire complaisant, tentant leurs chances pour voir si je réponds à leurs sourires.
La gare se vide, le parking presque désert, un moment d’angoisse, de peur. L’angoisse pétrifiante quand, après un long moment d’attente, mon portable sonne. Un texto vient d’arriver. Impatiente, fébrile, j’ai du mal à déverrouiller mon téléphone. Enfin libérée, un sourire aux lèvres, un message de mon Maître : "Bonjour Tina, je ne t’avais pas prévenue, mais tu es seule, tu vas aller à l’hôtel de la gare, une chambre est retenue, je te recontacte".
Troublée, impatiente, mais aussi angoissée, je regarde autour de moi, mais où est cet hôtel ? Un nouveau moment d’affolement. Pourquoi mon Maître me laisse-t-il seule ?Les jambes tremblantes, le ventre noué, je retrouve mes sensations de jeune fille attendant son premier rendez-vous. Puis, reprenant confiance, je regarde sur mon téléphone, l’hôtel est à 3 rues de la gare. 10 minutes de marche.
Mes talons claquent sur le trottoir, ma jupe serrée m’oblige à faire de petits pas. J’imagine le regard des hommes sur mes fesses tendues, bien moulées dans le tissu. Enfin, j’arrive à l’hôtel et là, une panique. Sous quel nom mon Maître a-t-il réservé cette chambre ?
De nouveau angoissée, paniquée, j’entre, essayant d’être la plus calme possible. Une jeune femme à la réception, vêtue d’un tailleur noir et d’un chemisier blanc, tenue des réceptionnistes. Un visage fin, les cheveux blonds, retenus par une petite queue-de-cheval, des yeux bleus troublants, des lèvres fines, de petits seins qui semblent fermes, c’est tout ce que je peux voir, car elle est derrière son comptoir.
Je m’approche : "Bonjour, vous devez avoir une chambre réservée pour moi". Son regard sur moi me dévisage : "à quel nom" ? Une hésitation, à nouveau son regard sur moi me transperce, je sens le rouge monter à mes joues, je dois répondre. Je baisse les yeux et d’un souffle, je dis : "Tina".
Elle me dévisage, un sourire aux lèvres; a-t-elle compris ce que je suis et ce que je fais ici ? Je ne sais pas, je ne sais plus où me mettre, je trouve le temps très long. J’entends : "oui j’ai une réservation pour toi, chambre 12, c’est au premier à droite dans le couloir."
Le toi me surprend. Sans m’offusquer, une onde d’angoisse me traverse le corps. Sait-elle qui je suis, ce que je suis ? Une familiarité qui me surprend également.Tout en me souriant, troublée, je prends la clé de ses mains, nos doigts se frôlent et un frisson me parcourt. Honteuse, je prends la direction de l’ascenseur, quand derrière moi, j’entends : "Tina, attends, j’ai un message pour toi". Le fait d’être appelée Tina dans ce hall me procure un trouble, mélange de honte et de fierté. Je reviens vers elle, son regard toujours posé sur moi, elle me tend une enveloppe. "Bon séjour", me dit-elle avec un sourire troublant.
Enfin dans la chambre, je me calme, respire doucement pour reprendre mes esprits, visite la chambre, puis je m’assois sur le lit et ouvre l’enveloppe :
— Bonjour Tina, une petite mise en condition. Je ne t’ai pas prévenue, mais tu as commencé à visiter la ville, tu vas pouvoir la découvrir plus en détail avec moi. A 19h précise, je veux que tu sois devant l’hôtel, vêtue de ton tailleur, je sais que tu mettras les sous-vêtements et les chaussures que j’aime. A tout à l’heure. Et c’est signé, Maître Olivier.
Je me laisse tomber sur le lit. Allongée sur le dos, le regard au plafond, je me refais l’historique de cette venue ici. Il est rare que nous puissions nous retrouver avec mon Maître, chaque rencontre est forte d’émotions, de plaisirs, d’angoisse. Il y a une dizaine de jours que je sais que je pourrais me libérer tout le week-end. Mon Maître, prévenu, il a tout de suite réglé les détails du voyage. En revanche, je n’ai aucune information. Ce qu’il m’a préparé pour ce week-end, il ne m’en a rien dit, juste : "tu vas découvrir ce que nous imaginons depuis plusieurs mois". Mais nous avons imaginé tant de choses, qu’un week-end serait trop court.
Rêvassant, allongée sur le lit, je ne vois pas le temps passer. Quand je regarde l’heure, il ne me reste que 20 minutes pour me préparer. Affolement, une douche rapide, un léger maquillage, je m’habille.
Des bas fumés, un porte-jarretelles noir, pas de culotte ni string, le chemisier, en soie blanc fin, les 3 derniers boutons ouverts laissant voir la naissance des seins, ma jupe serrée à la taille, je me regarde dans la glace, me réajuste. Les chaussures, des escarpins à lanières, laissant mes pieds presque nus, les lanières serrant la cheville, talons de 10 centimètres. J’ai du mal à me tenir droite n’ayant pas trop l’habitude de marcher avec des talons aussi hauts. Quelques pas pour me familiariser avec.
Je descends et arrive dans le hall. La réceptionniste, toujours là, me dévisage, me sourit, et me dit : "ces chaussures mettent tes fesses bien en valeur". Troublée, le regard baissé, je réponds dans un souffle : "merci" et file vers la porte.
Une fois sur le trottoir, une chaleur en moi, je regarde la rue déserte, je regarde l’heure. Pile 19h.Immobile sur le trottoir, quelques minutes passent ; le cœur de plus en plus battant, je suis honteuse d’être là, sur ce trottoir, mais aussi fière de pouvoir rejoindre mon Maître.Le supplice devient terrible; n’osant bouger pour ne pas être provocante; mais aussi le port de ces chaussures, la cambrure de mes reins commencent à me gêner. Des regards parfois insistants que je n’ose croiser, un souffle court, le cœur battant dans ma poitrine, je décide de marcher un peu. Ma démarche imposée par les chaussures devient provocante, me forçant à me déhancher. Des pas très petits pour essayer de garder un aspect digne, sans provocation. Et cette chaleur qui monte en moi, mélange d’excitation, mais aussi de peur de honte.
Je fais quelques pas sur le trottoir; impatiente, angoissée, scrutant la rue avec insistance, à la recherche d’un regard connu, de celui que j’attends, celui que j’aime, d’un amour fou, mais qui n’a rien à voir avec un amour classique comme dans un couple ordinaire.
Prise dans mes réflexions, sans m’en rendre compte, je suis presque au milieu de la rue loin de l’hôtel. Un doute me vient, si je l’avais manqué.Mais brusquement, la réalité refait surface, une voiture s’arrête à ma hauteur, un bref moment d’espoir, mais en regardant le chauffeur, ce n’est pas mon Maître. Une brusque montée d’adrénaline, et je me vois là, dans cette tenue, accostée par un homme. Tout de suite vient à mon esprit cette idée angoissante troublante. Je me dis en moi même : je suis en train de faire la pute...
L’homme me dit quelques mots, mais je ne l’entends pas ; sourde, paniquée, je ne sais plus que faire, perdue, affolée, je ne peux même pas courir. Quand d’un coup, j’entends "Tina". Tout de suite, je reconnais la voix de mon Maître, un sourire forcé, je réponds au chauffeur "Désolée", et je tourne les talons pour aller vers mon Maître.Il me sourit tendrement, je m’approche, et comme pour tout couple, il me prend dans ses bras. " Tu es de plus en plus attirante." Et me soufflant dans l’oreille : "tu es bandante..."Flattée, je fonds dans ses bras, j’aime ces quelques moments de tendresse.Il me repousse un peu; sa main, ses doigts sur mon cou, glisse sur ma peau, ouvre légèrement les pans de mon chemisier, effleure mes seins qui déjà se dressent, pointes tendues au travers de la soie.
Puis, mon Maître me prend par la main : "viens, on va manger, sinon je te viole sur place ..." A suivre
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