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Tina une nouvelle épreuve de Son Maitre

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Son baiser langoureux, puissant, sa langue dans ma bouche, nos langues unies, je fonds littéralement de désir. Mes sens se réveillent, une chaleur réparatrice monte en moi. Je sens des mains autres que celle de Maîtresse, courir sur mon corps. Maîtresse se dégage de mon corps tout en restant collée à ma bouche.Mon corps libéré, des mains se font plus inquisitrices, fouillent, palpent mes trous, mes seins.
— Messieurs, c’est juste pour toucher, vous avez pu voir la chienne, cette chienne à l’œuvre. Cette chienne, je vais la rendre pute à mon service. Messieurs, j’attends vos offres, vous avez encore le temps de vérifier, mais juste toucher.
Les mains deviennent de plus en plus actives, des doigts forçant ma bouche, mais je ne suce pas comme l’a dit Maîtresse, juste toucher. D’autres m’ouvrent, fouillent ma chatte qui déjà commence à couler.Un doigt fouille mon cul sans ménagement et je me surprends à presque aimer ça. Tous ces attouchements réveillent le désir en moi, une pensée me traverse l’esprit : je suis devenue une véritable salope grâce à Mon Maître, et j’aime ça.
Maîtresse me tire par la laisse, me dégageant du cercle de mâles qui me reluquaient. Sans un mot, elle me fait comprendre que je dois me mettre debout, ce que je fais sans hésiter.Maîtresse me plaque à elle et m’embrasse à nouveau sauvagement, pénétrant ma bouche de sa langue. Cette étreinte me fait fondre de désir, Maîtresse le vérifie d’un doigt dans ma chatte.Honteuse, même pas, je suis une salope brûlante et Maîtresse le fait savoir à tout le monde :
— Elle est brûlante comme de la braise Messieurs.
Maîtresse m’entraîne dans une autre pièce, petite, lumière tamisée, une table, un canapé lit (plus lit que canapé), un vaste fauteuil, un bahut les portes fermées.Maîtresse me place au centre de la pièce non loin du fauteuil et de la table, d’une main, elle caresse mon corps qui réagit tout de suite.
— Belle petite pute, je sais que tu vas être à la hauteur pour faire plaisir à ton Maître et à Moi, bien entendu.
Elle décroche la laisse du collier, me passe un masque pour me plonger dans l’obscurité. Maîtresse me redresse bien droite, cambrée, offerte. Une claque sur mes fesses, puis le silence. Je dois dire qu’à ce moment, je ne sais plus trop qui je suis, plongée dans une excitation folle, mais aussi la peur l’angoisse d’avoir à subir des hommes, et je ne sais pas combien.
Isolée sans la vision, l’attente devient cruelle. Frémissante à chaque bruissement, cherchant à épier le moindre bruit, un mélange détonnant monte en moi. Un mélange de désir, d’angoisse de peur, mais aussi d’envie. La tête vide juste à attendre et épier, sachant que je vais être à la merci des hommes.
Un souffle d’air frais vient me caresser le corps, je comprends qu’une porte vient de s’ouvrir, mais aucun bruit. Très rapidement, je sens une présence, puis une main saisissant un sein puis une autre, et d’autres encore, je ne sais pas combien, me palpant, me fouillant.
Tout d’un coup, une activité autour de moi. J’essaye de compter, mais très vite, je perds toute notion. Fouillée, ouverte, je me mets à gémir de désir, chaude comme une femelle en chaleur.Une poussée me fait basculer sur la table, sans ménagement, des mains me tirent, m’installent de façon à avoir les jambes tendues ouvertes, la tête juste au bord de la table pendante légèrement dans le vide, une table qui a dû être conçue pour que j’ai juste le haut du corps sur le plateau, dégageant ainsi tous mes trous.
Je sens que l’on attache mes chevilles au pied de la table, ainsi que mes poignets ; je suis immobilisée, écartelée, ouverte à tout.Je n’ai pas le temps de réaliser que déjà, je sens un pale me pénétrer la chatte sauvagement, mais glissant facilement en moi tellement je suis chaude et coulante. Un râle de plaisir étouffé par une queue qui m’envahit la bouche.
Muselée, je subis les assauts dans la chatte dans la bouche. Une main saisissant mes cheveux me fait relever la tête et une poussée force ma gorge. Un pale, une queue, une bite me prend dans la gorge. Je suffoque très vite, des soubresauts parcourent mon corps. Des contractions désordonnées de mes muscles secouent tout mon corps ; le pale se dégage, et j’aspire l’air, bouche grande ouverte, sentant ma bave couler sur mon menton.
Le répit est de courte durée, de nouveau la bite s’enfonce dans ma gorge. Des coups violents dans ma chatte, j’ai l’impression que je vais être ouverte, déchirée sous les assauts. A demi étouffée, tétanisée par le manque d’air, par la montée du désir, une chaleur dévorante en moi, je tombe dans une semi-inconscience, sentant le foutre gicler en moi dans ma chatte. Presque en même temps, un jet vient s’écraser sur mon visage, ma bouche, mes lèvres. Une main fait glisser le foutre vers mes lèvres :
— Lèche.
L’ordre claque, mais déjà ma langue tirée lèche les doigts. Pas eu le temps de tout prendre que déjà une autre bite s’enfonce en moi facilement. Grande ouverte, besognée, ma bouche libre des râles des petits cris ne font qu’exciter le mâle qui se vide en moi. Une autre queue se pose sur mes lèvres tandis qu’un pale sans ménagement force et m’ouvre mon trou du cul.
Une douleur me fait crier, ce qui me fait ouvrir grande ma bouche pour laisser échapper ce cri, mais vite étouffé par cette queue qui profite de ma gueule grande ouverte pour me baiser la gorge.Les bites se vident en moi. Je n’ai plus de réaction, comme un pantin, je subis les assauts. Combien je ne sais plus, mes trous ouverts me font mal, ma mâchoire crispée, muscles tétanisés, je subis.Le foutre coule de mon cul, de ma chatte, ma bave mêlée à du sperme coule sur mon menton. Un moment de calme, juste un brouhaha dans la pièce. Sans force, allongée sur cette table, je commence un peu à reprendre conscience. Mes muscles douloureux, mes trous palpitant et douloureux commencent un peu à se refermer. Le calme revient en moi, mon souffle devient plus lent, plus posé.
— Messieurs, le clou de la soirée pour finir en apothéose cette soirée. Cela vous est offert par Monsieur Pierre.
La voix de Maîtresse, que se passe-t-il ? Je suis toujours dans le noir abandonnée sur cette table. Des applaudissements. On me détache, on me met debout, mes jambes ne peuvent me tenir, soutenues par des mains puissantes, on me pousse sur le lit, couchée sur le ventre. On me prend les poignets, on les tire bien au-dessus de ma tête, on écarte mes genoux au sol, puis plus rien.
Juste tenue par les poignets, un souffle chaud me fait sursauter, une langue râpeuse me fouille, je frémis, mais tenue bien immobilisée, je subis cette caresse qui n’a rien d’humain. Une langue longue forte fouille ma raie.
Je sens un mouvement autour de moi puis d’un coup, des pattes, des griffes sur mon dos, des pattes qui enserrent mon basin, et une puissante poussée me baise la chatte ; je comprends que je suis devenue une chienne, une pute à chiens.
Une barre d’acier me besogne. Combien de temps, je ne sais pas, je sombre dans une demi-inconscience. L’étreinte du mâle se relâche. La queue dressée et dure finit par s’échapper de ma chatte béante dilatée.
On me lâche, je reste immobile dans cette position abandonnée de tous. Des applaudissements, un brouhaha de plus en plus fort. Plus personne ne me porte d’intérêt.La pièce se vide petit à petit, toujours allongée, recroquevillée sur moi-même, je n’arrive pas à imaginer ce qui vient de se passer. Je sens une main glisser dans mes cheveux poisseux de sperme de bave, de foutre. La main glisse sur mon cou, et me flatte comme on flatte une bonne chienne.
— Belle chienne, belle salope, belle pute, Ton Maître a de la chance.
La voix de Maîtresse, même si les mots sont humiliants, c’est avec une douceur dans le ton que Maîtresse s’exprime, pleine d’admiration et de compassion.Je sens la laisse s’accrocher à mon collier, le voile se lever sur mes yeux. La douce lumière me fait quand même mal aux yeux, je mets un moment à m’habituer à voir.
— Viens.
Tirée par la laisse, je suis Maîtresse à 4 pattes comme une bonne chienne dressée.
— Il faut que je te rende à Ton Maître, j’aimerais te garder encore, mais qui sait une autre fois peut-être.
Elle me tire dans une salle de bain, me fait mettre debout dans la douche, enlève mes bracelets, mon collier, et commence à me laver. Ses caresses deviennent de plus en plus appuyées et ciblées. J’ouvre ma bouche, le jet de la douche me lavant, mes seins se tendent. D’une main experte, Maîtresse me lave, ne lâche pas le douchette et la dirige vers ma chatte, appuie dessus ... la tiédeur de l’eau, la puissance du jet me font gémir.Maîtresse sans se déshabiller rentre dans la douche, me plaque au mur, jouant du jet, elle me fait gémir, m’embrasse goulûment, ses doigts me fouillant, elle m’arrache un cri de jouissance qui me laisse sans force, elle me laisse glisser au sol, tremblante, frémissante de jouissance.Maîtresse accroche la laisse à mon collier, me tire hors de la douche, me sèche. Elle retire sa robe mouillée et passe un peignoir."Viens’Me tirant par la laisse, elle me ramène dans le salon où j’étais entrée avec Mon Maître.
Maître assis dans un grand fauteuil, le sourire aux lèvres, me regarde. Maîtresse me guide jusqu’à lui et lui tend la laisse.Fin
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