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La Tiny house

Chapitre 1

Vendredi soir

Erotique
Tu es arrivée dans ton van, tu t’es garée sur le terrain, tu as ouvert la portière et tu es descendue. Je ne sais pas pourquoi, je suis tombé sous le charme immédiatement.
Mais revenons aux débuts de l’histoire : j’ai 50 ans, je suis séparé, mes enfants se sont éparpillés. Mon métier commence à m’ennuyer sérieusement, j’habite tout seul dans ma grande maison.
Une idée folle me vient, construire ma Tiny house. Une petite maison qui me permettra de changer de métier et de lieu de vie lorsque l’ennui se fera sentir. Pour la description exacte de la chose en question, je vous laisse demander des images à un moteur de recherche, elles seront sûrement plus jolies que mes explications. Mais en gros, c’est un vrai petit chalet en bois posé sur une remorque qu’on peut déplacer sans avoir besoin de permis poids lourd ou de convoi exceptionnel. Parmi les caractéristiques habituelles, la chambre se situe dans une mezzanine, au-dessus de la cuisine et de la pièce d’eau.
Tous les jours de week-end et de vacances, je travaille sur mon chantier. Au début, c’est surtout un travail de charpente. Les murs en ossature bois, les contreventements puis la toiture. En fin de soirée, je participe activement au forum de constructeurs et d’auto constructeurs. Et les échanges entre les participants permettent d’améliorer et de partager les idées et les solutions. Grâce à un blog que j’alimente régulièrement, les passionnés de la communauté de Tiny House peuvent suivre les lentes évolutions de la construction de la mienne. Et je réponds souvent aux questions. De temps en temps, des internautes demandent à visiter des chantiers en cours pour apprendre et participer.
C’est comme ça que j’ai compris que tu étais intéressée par la création des réseaux. Dérouler les câbles électriques du tableau de répartition aux prises de courant, alimenter les points d’eau en amenant la plomberie, connecter et raccorder le tout. En messages privés, nous avons organisé un week-end pour partager nos connaissances.
Et voilà comment je t’observe quitter ton van et je te regarde t’approcher de moi. Tu portes un bermuda en grosse toile de jean beige qui fait au moins dix tailles de trop pour toi et qu’heureusement, une ceinture bien serrée empêche de s’effondrer à tes pieds. Ton tee-shirt rouge est un ancien cadeau publicitaire qui a dû être tant de fois lavé qu’on ne décrypte plus les graphies. Tes cheveux roux ondulés entourent un joli visage blanc tout souriant. Tes yeux verts me transpercent. Tu me fais la bise. Après quelques mots de bienvenue, en guise d’introduction à ton séjour, je te fais faire rapidement le tour du chantier de la Tiny House. Puis nous rentrons dans ma maison.
Tu déballes ton sac à dos sur la table du salon. Tu es légèrement penchée en avant. Je regarde ton tee-shirt qui se balance. Je devine qu’il suit les mouvements de tes seins. Et il suit tellement bien que je suis sûr que tu ne portes pas de soutien-gorge. Je surveille tes tétons qui pointent quand tu te redresses. Plus je fixe le tissu hors d’âge, plus je devine tes rondeurs qui le déforment à chaque geste de ton corps. Inconsciemment, je mesure tes seins, je modélise leur forme, j’estime leur poids. Je les cerne tellement que c’est ta poitrine totalement dénudée que je crois voir flotter entre tes bras affairés. Tu sors des linges et des objets de ton sac pour les poser sur la table ou sur le canapé et mes yeux sont aimantés sur le ballottement de tes courbes sensuelles. Parfois tes cheveux viennent cacher le lieu de ma fascination, et d’un geste de la tête, tu les replaces sur ton dos.
J’espère parfois apercevoir quelque chose par le col, mais ton tee-shirt ne m’en dévoile jamais assez. Je me contente d’apercevoir parfois une petite tranche de ton ventre par le bâillement du bas du vêtement. Mais tu te tournes vers moi, et tu me ramènes à la raison. J’espère que tu ne devines pas où était mon imagination. Ton horrible tee-shirt est revenu et tu pars profiter du bon bain que je t’ai fait couler.
Le temps que tu reviennes me paraît interminable. Mon esprit s’occupe un peu en t’inventant dans la baignoire. Tu es nue, allongée. Ta peau blanche se cache derrière quelques îlots de mousse. Tu fermes les yeux et tu te laisses flotter. Tu sens tes mains glisser sur ton corps comme pour en reprendre conscience. Puis tu te lèves et tu savonnes ton joli corps. J’aimerais que ma main soit à la place de la tienne qui étale la mousse. Tu te rinces et tu vides la baignoire. Je te vois réapparaître les cheveux mouillés. Ton nouveau tee-shirt n’est pas plus brillant que l’autre, mais, un peu serré, il moule parfaitement ces seins que j’ai l’impression de déjà si bien connaître. Tu as troqué ton bermuda par un leggings noir qui moule tes jambes et ton bassin. Mes yeux se portent instinctivement vers ton triangle privé. Une légère voussure me fait imaginer que tu n’es pas totalement rasée ou épilée et que peut-être une mignonne petite toison, flamboyante comme tes cheveux, y est cachée.
Lors du dîner, nous parlons des espoirs de bonheur que peut apporter une vie un peu moins contraignante. Nous évoquons aussi les défis de l’autonomie, autant sur le plan énergétique qu’affective. La vie dans la solitude a des avantages, mais n’est pas toujours facile.
Après quelques heures à refaire le monde, je t’accompagne à ton van. Tu vis sans aucun confort de base. En fait, pour tout aménagement, tu as posé des portes de placard sur des caisses en bois et tu y as étendu un matelas quasiment vide. Seul un plafonnier à la lumière faiblarde t’apporte un petit éclairage bien fragile.
Je te souhaite une excellente nuit. Le bisou amical que tu me fais me semble s’être posé bien près de mes lèvres.
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