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La Tiny house

Chapitre 2

Le chantier

Hétéro
Ce matin, tu me rejoins sur la terrasse pour le petit-déjeuner. J’aime ton attitude toute guillerette, toute souriante, on dirait que ton visage ne sait rien exprimer d’autre que le rire. Tu t’assois devant moi, tu me souris et nous partageons notre petit-déjeuner. Nous nous rendons bientôt sur le chantier de la tiny house. Tu es toujours habillée de ton tee-shirt délavé et ce matin d’un short vert foncé à ta taille.
Je te montre ce que je pense que nous allons réaliser durant ces deux jours ensemble. Nous allons poser des câbles électriques et peut-être quelques tuyaux d’eau. Et, par-dessus, le parement en lambris de pin habillera les murs. Les réseaux se retrouveront cachés et leurs extrémités aboutiront dans des trous où seront placés les prises électriques ou les robinets.
La Tiny house est bien exiguë. D’autant que partout sont amoncelés des réserves de matériaux, des outils, la table à plans. Ce qui fait que lorsque nous nous croisons, les espaces entre nous sont plutôt réduits. Parfois, je mets mes mains sur tes hanches pour maintenir un écartement suffisant entre nous. Pas que je n’aurais pas aimé te frôler, mais je n’aurais pas pris le risque de te froisser.
La pose des lames de lambris commence à se roder. Deux mains pour tenir la planche, une main pour tenir la gaine électrique et une pour la cloueuse pneumatique. Nos bras se croisent et se mélangent, la plupart du temps dans un balai harmonieux. Mais parfois, des nœuds se forment, obligeant à des contorsions insoupçonnables pour atteindre les buts. Les distances de respect mutuel s’effacent insensiblement et nos corps se touchent de plus en plus souvent. Les contacts s’intensifient et se prolongent. Nos habits se frottent de plus en plus intimement. Nos yeux se croisent, nos bouches se rapprochent, nos lèvres se touchent. Nos langues se livrent au doux duel humide. Je sens que déjà, tu mènes la danse.
Pendant que nos langues poursuivent leur tendre échange, tes mains caressent mon dos, doucement, tranquillement, s’aventurent vers mes fesses et pendant que l’une glisse rapidement dans mon short, l’autre remonte le long de ma colonne vertébrale. J’en fais autant et mes mains te serrent contre moi. Nos corps se moulent l’un contre l’autre. Je sens tes seins à travers les tissus des tee-shirts et j’aime beaucoup les sentir libres. J’emprisonne ta cuisse entre les miennes, je sens ton pubis qui cherche le contact. Nos corps dansent l’un contre l’autre. Mon sexe commence à durcir contre ton ventre. Tu glisses une de tes mains entre nous pour l’attraper et tu le caresses.
Je n’ai pas le temps de t’explorer à mon tour, tu es déjà à genoux, tu baisses mon short et tu prends mon sexe dans ta bouche. C’est merveilleusement bon. Je te regarde, tu me regardes et tu me fais un clin d’œil. Tu continues à me branler, me sucer, me lécher. Tu as vraiment l’air d’aimer. C’est toi qui imposes ton rythme. Parfois plus lentement, parfois plus intensément. Je me laisse aller à mon plaisir. Sans que je puisse réagir, tout à coup, tu te relèves, tu me déshabilles totalement, tu m’assois sur un tas de bois, tu te replaces entre mes jambes et tu continues ta douce étreinte. J’en profite pour ôter ton tee-shirt et dévoiler ta poitrine. Tes seins sont aussi beaux que je les avais imaginés, je veux les sentir dans mes mains. La peau est tellement soyeuse, ils sont doux et souples dans le creux de mes mains. Je ne peux plus m’en détacher.
Je suis tellement bien, je sens le désir monter dans mon corps. Tu dois le savoir et tu t’arrêtes. Sans me lâcher, tu te lèves. Toujours assis sur mon banc improvisé, je mets mes mains sur tes hanches, j’attrape ton short et je le glisse le long de tes jambes. Je suis fasciné par ton entrejambe. Je ne quitte plus des yeux ton triangle roux bien régulier, bien découpé sur le fond de ta peau blanche semée de taches de rousseur. Je tends ma main vers ta petite fente, mais tu me repousses. Tu m’enjambes et tu viens t’asseoir sur moi, tes jambes autour de mon dos. Tu frottes tes lèvres sur mon sexe en enfonçant ton regard tout au fond de mes yeux. Ton ventre, tes seins sont collés contre moi. Tu glisses ta main, tu attrapes mon sexe et tu l’introduis tout au fond de toi. Tu restes quelques instants sans bouger, puis tu remontes lentement jusqu’à ce que mon gland agace le bord de ta vulve et tu t’excites ainsi pendant plusieurs secondes.
Tu te laisses à nouveau tomber sur moi, et tu débutes les va-et-vient. Je profite des mouvements pour attraper tes seins et les porte à ma bouche pour téter les mamelons durcis ou lécher la peau laiteuse. Tu ralentis le rythme et je sens que tes muscles commencent à fatiguer. Tu veux changer de position.
Tu te mets à genoux, les coudes au sol. Je me place derrière toi, je contemple tes fesses et ton dos. Le reste se fait tout seul, je me retrouve naturellement dans toi. J’essaie d’imposer mon rythme, mais je n’y arrive pas. Même dans cette position, c’est toi qui fais ce que tu veux de moi. C’est toi qui viens à la rencontre de mon bassin à la vitesse que tes sensations exigent. Tu contractes les muscles de ton vagin. Tes jolies fesses vont d’avant en arrière, de droite à gauche, tu te cambres. Je me laisse faire et permets à mes mains de caresser toutes les parties de ton corps à leur portée. A nouveau, je sens que le point de non-retour va arriver. Tu me libères et tu m’allonges sur le dos. Tu trouves quelques planches que tu glisses sous ma tête en guise d’oreiller et tu t’accroupis sur moi. Je regarde la beauté de ta fente qui m’engloutit. Tu montes et tu descends, ton sexe brillant que je ne peux quitter des yeux. Le spectacle est tellement excitant.
Je suis au bord de la jouissance. Restant empalée, tu t’allonges sur moi. Tu m’embrasses. Je serre ton corps contre le mien. Tu reprends tes mouvements d’amour. Je te sens partout. Tes seins contre ma poitrine, ta tête dans mon cou, les muscles de tes parois chaudes et humides qui massent mon sexe, tes jambes enroulées contre les miennes. Tu te raidis et tu gémis dans le creux de mon épaule, je jouis.
Nous restons collés l’un à l’autre sans bouger, sans parler, juste à profiter de ce qui vient de nous arriver. Combien de temps, je ne sais pas ! Lorsque nous reprenons nos esprits, nous nous regardons et nous échangeons un sourire. Tu as embrassé ma bouche, tu t’es relevée, tu m’as donné la main pour me relever. Tu t’es habillée et tu t’es remise au travail..... Je t’ai regardée comme hébété. Tu m’as fait l’amour, je n’ai fait que profiter de ce que tu m’as donné. Je ne suis même pas sûr que tu aies joui. Il me faut quelques minutes et ton petit sourire coquin pour que je te rejoigne. Je crois que je vais te concocter une petite surprise pour tout à l’heure.
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