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Tiraillé entre ma bonne et ma mauvaise conscience

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Ces deux personnages fictifs ne peuvent être entendus que par mon subconscient :MA BONNE CONSCIENCE : petite voix douce qui ne me parle que des bonnes chosesMA MAUVAISE CONSCIENCE : grosse voix grave qui ne me parle que des mauvaises choses
Depuis quelques semaines, j’étais le spectateur d’une expérience hallucinante ! J’étais constamment tiraillé entre ma bonne et ma mauvaise conscience. Je vais tout vous expliquer. Tout avait commencé à cause d’un banal accident de la circulation.
Je m’appelle Christopher et je suis professeur d’Histoire Géographie au sein d’un collège en région parisienne. C’est en sortant du collège que j’ai été percuté de plein fouet par un élève qui sortait du collège en trottinette. En tombant, ma tête heurta le trottoir, ce qui m’a provoqué un léger coma. Je me suis réveillé dans un lit d’hôpital, la tête entourée d’un énorme pansement. D’après le médecin, j’étais resté trois heures sans connaissance. En me réveillant, la première personne qui se pencha vers moi fut Karine, ma petite amie. Cette belle fille blonde est professeur de mathématiques dans le même collège. C’est d’ailleurs là que nous nous sommes rencontrés.
— Oh mon chéri, enfin tu te réveilles, j’ai tellement eu peur. Nous devions nous retrouver après les cours, mais j’étais un peu en retard, je m’en excuse, j’espère que ce qui t’est arrivé n’est pas à cause de moi. — Ne t’inquiète pas ma chérie, si tu étais en retard, c’est que tu avais une bonne raison, mais ce n’est pas à cause de toi que j’ai eu ce petit accident.
Une grosse voix venant de l’intérieur de ma tête et qu’apparemment j’étais le seul à entendre me lança la phrase suivante :
MA MAUVAISE CONSCIENCE : « Tu veux vraiment savoir pourquoi elle était en retard cette petite salope ? Eh bien regarde ».
Instantanément devant mes yeux, une image apparut. Un peu comme si une caméra avait filmé la scène. Le zoom se fixa sur un point qui bougeait. C’était Karine qui marchait dans les couloirs du collège. Elle s’arrêta devant la porte du proviseur, elle vérifia la bonne tenue de son soutien-gorge, remonta sa petite culotte avant de frapper à la porte.
Le proviseur vint lui ouvrir, il lui serra la main et l’invita à entrer.
— Bonjour Monsieur le proviseur, vous m’avez fait demander ?
Il s’installa derrière son bureau et consulta un dossier. Levant les yeux vers elle, il lui dit :
— Oui Madame Barthez. Comme vous le savez, c’est la période des évaluations des professeurs et il me manque quelques éléments vous concernant pour donner une note définitive à votre dossier. Que pouvez-vous faire pour que ma note soit en votre faveur ?

J’assistais à la conversation comme si j’avais été assis à côté d’eux. Je vis Karine poser son sac sur le fauteuil, puis elle s’approcha du proviseur. Elle se mit à genoux devant lui et commença à ouvrir sa braguette, elle plongea sa main dans le slip et en sortit un gros sexe violacé. Sa tête se pencha sur le gros champignon et se mit à monter et descendre bien en cadence. Le proviseur tenait fermement les accoudoirs de son fauteuil les yeux fermés savourant l’instant présent.
Après quelques minutes, il releva sa partenaire, la retourna tout en lui appuyant les seins sur le bureau. Il souleva la petite robe, fit descendre le slip rose et s’enfonça sans prévenir dans la petite chatte qui s’offrait à lui. Karine ne put retenir un gloussement de plaisir qui encouragea le proviseur à accélérer sa cadence. Ses grosses fesses s’activaient, soudain il se figea et poussa un grognement digne d’une bête, il resta quelques secondes plaqué contre les fesses de Karine puis il se retira et se rajusta. Reprenant sa place derrière le bureau, il s’adressa à celle qu’il venait de pilonner :
— Après examen de votre dossier, je pense que vous avez mérité 18/20 Madame Barthez. C’est très bien, merci vous pouvez disposer.
Karine s’en retourna non sans l’avoir remercié de lui avoir attribué une aussi bonne note.
Je n’en revenais pas, devais-je croire à cette hallucination ? Je ne pouvais imaginer que la jeune femme que je tenais dans mes bras habituellement se laisse aller à pareille chose. Mais ce n’était que le début de cette mésaventure. La 2e personne qui vint me rendre visite à l’hôpital fut ma mère.
— Alors mon grand garçon, comment vas-tu ? Ah bonjour Karine, je suis bien contente de vous voir, heureusement il a l’air de ne pas avoir trop de bobos notre Christopher, n’est-ce pas ?
Une petite voix que j’étais le seul à entendre s’adressa à moi :
MA BONNE CONSCIENCE : « Elle est en pleine forme ta maman dis donc. Son régime et ses séances de kiné lui font un bien fou, on dirait qu’elle rajeunit ». MA MAUVAISE CONSCIENCE : « Tu ne crois pas si bien dire, regarde donc pourquoi elle est si assidue à ses séances de kiné ».
Tout comme la première fois, les images défilèrent devant mes yeux et la caméra zooma sur ma mère, allongée seins nus sur une table de massage, une serviette de toilette placée sur son intimité était son seul vêtement. Le masseur, un grand black torse nu à la musculature impressionnante était penché sur elle. Il versa sur son ventre de l’huile qu’il commença à étaler sur tout le corps de sa cliente. Il remonta doucement vers la poitrine tout en faisant de larges cercles avec ses deux mains. Il frictionna longuement les seins en passant doucement sur les mamelons, il les pinça légèrement, ce qui provoqua de longs soupirs d’aise à sa cliente.
Se plaçant sur le côté de la table, il versa de l’huile sur les cuisses et commença de longues frictions sur toute la longueur de la jambe. Ses mains énormes s’activaient et remontaient de plus en plus. Sans doute gêné par la serviette, il l’enleva et le sexe de ma mère apparut devant mes yeux ébahis. Les mains montèrent encore jusqu’à venir frôler la toison, ses pouces s’approchèrent lentement de l’entrejambe. Quand ils l’atteignirent, il massa consciencieusement les côtés des grandes lèvres du sexe. Il se recula un peu et écarta les jambes de sa cliente, la vulve de ma mère s’ouvrit comme un coquillage. Le massage se fit plus précis, les grands doigts qui pénétraient la fente s’attardèrent sur le clitoris.
Soudain, ma mère se tourna légèrement, sa main s’agita sur le fin pantalon que portait le masseur, une bosse énorme le déformait, elle s’empara avec avidité d’un sexe énorme qui pointait le bout de son nez. La main qui était à peine assez grande pour en faire le tour se mit à monter et descendre sur le pieu tendu à l’extrême et, comble de l’horreur, ma mère après avoir lubrifié avec sa salive ce monstrueux gourdin le fit entrer dans sa bouche pour lui tailler une pipe d’enfer. Elle se tortillait sous les caresses des gros doigts qui lui branlaient le clito, tout en accélérant ses allers-retours sur l’énorme queue. Soudain, le corps de ma mère se tendit comme un arc en atteignant l’orgasme tandis que le masseur poussait un grognement bestial en éjaculant de gros bouillons de foutre dans la bouche de ma mère qui fut obligée de lâcher son festin pour laisser sortir le trop-plein d’un liquide épais et gluant.
Je faillis défaillir en sentant la main de ma mère se poser sur mon front, cherchant à savoir si j’avais de la température. Je la fixais quelques secondes. Était-ce bien elle que je venais de voir ? Cette femme si exemplaire, si prude et si timide pouvait-elle se laisser aller à de tels débordements ? Pour la deuxième fois, je venais d’assister à un spectacle que j’aurais préféré ne pas avoir vu.
(A suivre...)
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