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Tiraillé entre ma bonne et ma mauvaise conscience

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
J’ouvris les yeux doucement, redoutant de voir la suite de ces images. Karine se tenait près de moi, en la voyant me sourire, je ne pus m’empêcher de la revoir avec la queue du proviseur dans la bouche.
MA BONNE CONSCIENCE : « Heureusement que toi tu n’as rien à te reprocher, tu es vraiment le bon élève de la classe ».
MA MAUVAISE CONSCIENCE : « Lui ! Blanc comme neige ? Laisse-moi rire ! Et le soir de tes 18 ans quand tante Agathe vint te trouver dans ta chambre ? Ah, tu ne t’en rappelles pas ? Regarde donc, ça va te rafraichir la mémoire ».
La caméra zooma encore une fois et se dirigea vers la maison de mon enfance. Elle entra dans la salle à manger où étaient réunies de nombreuses personnes. Un gros gâteau d’anniversaire trônait au milieu de la table. Et moi j’étais là, prêt à souffler mes 18 bougies, jour mémorable le passage du statut de mineur à celui de majeur. Devant moi toute la famille proche. Mes parents bien sûr, mes grands-parents, ma sœur, cousins, cousines, tante Françoise avec mon oncle et tante Agathe, seule, car veuve depuis deux ans. Une fois les bougies soufflées, les convives se partagèrent les parts et ils levèrent leurs verres à ma santé.
Et voilà, j’étais majeur. Un cap de passé vers la vie active en étant un peu plus libre. Peu à peu, les convives se retirèrent, il ne resta plus que mes parents, ma sœur et tante Agathe qui habitait trop loin pour repartir le soir même. Elle devait prendre le train le lendemain en fin de matinée. Durant la nuit, un impressionnant orage éclata. Il se mit à pleuvoir des cordes et les nombreux éclairs illuminaient ma chambre malgré les volets fermés. Je n’étais pas vraiment peureux, mais cet orage-là était particulièrement violent et je n’en menais pas large.Au moment où un violent éclair éclairait ma chambre, j’avais eu l’impression d’apercevoir une forme qui se dirigeait vers moi. Quelques secondes plus tard, une voix tremblante s’adressait à moi :
— Christopher, tu dors ? J’ai une peur bleue des orages, est-ce que ça ne te dérangerait pas si je restais un peu près de toi, j’ai tellement la frousse ?
C’était ma tante Agathe qui se tenait près de mon lit, grâce à la clarté des éclairs, je pus me rendre compte qu’elle était simplement vêtue d’une petite nuisette qui s’arrêtait à mi-cuisses. Elle ne devait pas avoir de soutien-gorge, car ses gros seins qui tombaient un peu se balancèrent quand elle me parla.
— Eh, oui bien sûr, répondis-je en m’écartant pour lui laisser un peu de place.
Elle se glissa doucement entre les draps et se coucha près de moi. Je sentais son corps trembler, elle sursautait à chaque fois que la foudre claquait. Pour lui laisser plus de place, je me mis sur le côté. Progressivement, elle s’approcha et se colla tout contre moi. Je sentais son corps trembler, ses seins étaient appuyés contre mon dos. Son bras droit vint se poser sur mon bras et sa main se mit à monter et descendre doucement le long du mien en me flattant.
Cette légère caresse affectueuse eut pour effet de me provoquer une formidable érection. Je fis mon possible pour que ma tante ne se rende compte de rien en me tournant légèrement plus sur le côté. Qu’allait-elle penser de son neveu si elle s’apercevait que rien qu’en touchant son bras, il bandait comme un âne ? L’orage était de plus en plus puissant. Ma tante se serra encore plus contre moi, elle passa même sa jambe par-dessus les miennes pour se rapprocher un peu plus. Sa main descendit encore un peu et se mit à passer sur mes petits tétons et mon ventre. Je sentais à travers mon maillot de corps la pointe de ses seins en érection. Ce devait être la peur qui se manifestait de cette façon. Soudain, la foudre tomba tout près de la maison, ma tante sursauta un grand coup et se jeta sur moi. Sa main s’agrippa à ma queue qui n’en demandait pas tant. La main resta immobile quelques instants puis elle se mit à monter et descendre lentement sur mon gourdin dressé à travers mon boxer.
La jambe qui était passée sur les miennes s’appuya fortement et me força à pivoter de l’autre côté.
En me tournant, je me suis retrouvé face à tante Agathe qui se colla contre moi. Elle chercha ma bouche, quand elle la trouva, sa langue se glissa à l’intérieur pour s’enrouler autour de la mienne. Sa main passa sous mon boxer et continua son va-et-vient, je pris le risque de passer mes doigts sur le gros téton qui était couché sur mon épaule. Tante Agathe changea de place en glissant doucement sa tête vers mon ventre. Quand la bouche gourmande avala ma queue, je ne pus me retenir très longtemps, de longues giclées de sperme se déversèrent au fond de la gorge de ma suceuse.
Toujours sans dire un mot, ma tante se redressa et me fit comprendre que je devais lui rendre la pareille. Elle se coucha sur le dos et se présenta devant moi les cuisses grandes ouvertes. C’était mon baptême du feu, j’allais bouffer ma première chatte. Celle-ci était bien poilue et était toute trempée. Quand ma langue entra dans cette grotte humide à souhait, sa propriétaire se pâma de bonheur. Comprenant que je ne savais pas trop comment m’y prendre, mon initiatrice me guida en me tenant la tête fermement entre ses mains.
Elle me fit prendre entre les lèvres son petit bouton d’amour qui pointait comme une petite bite, ce devait être un endroit très sensible, car en deux minutes, elle serra d’un coup les jambes et cria son plaisir sans retenue. Heureusement que l’orage couvrait ses plaintes. Subitement, ma tante me releva et me dit d’une voix que je ne reconnus pas :
— Allez viens maintenant, prends-moi, je n’en peux plus d’attendre. Viens profiter de ton cadeau d’anniversaire mon neveu adoré. Il n’est pas emballé, mais tu peux en profiter tout de suite.
Elle se rallongea, les cuisses écartées, tout en me tendant les bras. Je me mis entre ses cuisses et j’enfonçais ma queue d’un coup dans sa chatte inondée. Quel plaisir de sentir cette chaleur humide autour de mon gland, je me mis à ramoner comme un fou. Ma tante calma un peu mes ardeurs en plaçant ses jambes sur mes fesses.
— Ne t’affole pas mon garçon, tu as bien le temps, si tu continues comme ça, tu vas encore envoyer la purée avant d’en avoir un peu profité.
Ma queue s’enfonçait jusqu’aux couilles dans ce puits d’amour, ma tante se tortillait sous mes coups de boutoir en gémissant doucement. Elle me serrait dans ses bras, puis elle passa ses deux mains tout le long de mon dos jusque sur mes fesses comme si elle cajolait un petit enfant. Sentant venir le moment de l’extase, j’accélérais le mouvement jusqu’à ce que je gicle au fond du réceptacle en lâchant un cri de plaisir. Quel pied j’avais pris, je n’aurais jamais imaginé pareille chose ! Je n’étais pas le seul à avoir pris mon pied, ma tante restait immobile sous le poids de mon corps, les yeux mi-clos, semblant savourer cet instant délicat.
Il me vint une petite idée, me penchant vers l’oreille de ma tante, je lui dis à voix basse :
— Chère tata, puisque tu m’as dit de profiter de mon cadeau d’anniversaire, j’aimerai bien en profiter encore un peu, est-ce que je peux t’enculer ? — Hummmm, répondit-elle, je n’osais pas te le proposer.
Joignant le geste à la parole, elle se tourna et me mit sous le nez son gros cul, sa rosette brune béait et n’attendait qu’une visite.
— Trempe tes doigts dans ma cramouille et utilise le jus pour lubrifier mon petit trou, il y a tellement longtemps qu’il n’a pas reçu de visite qu’il doit être bien sec le pauvre.
De sa chatte béante s’écoulait un liquide épais, mélange de mouille et de sperme, liquide idéal pour lubrifier ce petit trou du cul délaissé depuis plusieurs années. Je plongeais deux doigts dans la moule gluante et récoltais une bonne dose de lubrifiant naturel que j’introduisis dans la rosette. Après deux ou trois passages, le petit trou luisait de mille feux, il était apte à recevoir mon hommage.
De ma main, je dirigeais mon ogive vers sa cible, grâce à cette bonne lubrification, la pénétration se fit sans grande difficulté malgré l’étroitesse du passage. Ma tante ronronnait de plaisir et exprimait sa joie en feulant telle une lionne sous les assauts de son mâle. Cette sensation était différente de celle ressentie en limant la moule de ma maîtresse, mais le sentiment de domination que me procurait cette enculade m’excitait au plus haut point. Je ne mis pas longtemps à atteindre encore une fois la jouissance, je vidais mes ultimes cartouches dans ce cul si accueillant en même temps que la foudre tombait pas très loin de la maison. J’avais évacué mon trop-plein de jouissance accumulé depuis ces dernières heures en criant également au même moment.
C’est ainsi que le jour de mes 18 ans et pendant une nuit d’orage, je fus dépucelé par ma tante Agathe.
Les images se brouillèrent et j’ouvris de nouveau les yeux, j’étais toujours dans cette maudite chambre d’hôpital. Bizarrement depuis ce jour, mes voix ne se manifestèrent plus. Mais après ce que j’avais vu au début de cette aventure, je n’ai pas officialisé ma relation avec Karine, quand je m’approchais d’elle, je ne pouvais m’empêcher de la revoir avec la queue du proviseur dans la bouche et ça me coupait tous mes moyens.
Au moins, cette aventure m’avait appris une chose : c’est que derrière chaque bonne âme peut se cacher plus ou moins profondément une personne totalement différente de ce qu’elle semble être.
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