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Lætitia, femme délaissée

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Les premiers jours de Damien dans sa formation pour reprendre les rênes de la concession se passe plutôt bien. Il montre qu’il possède les qualités requises pour devenir le Patron. Quand il rentre chez lui, sa femme lui fait la tête, ne lui ayant toujours pas pardonné son comportement précédent. Mais il n’y prête pas vraiment attention, préférant porter toute son énergie dans son travail.Une semaine se passe donc et le week-end se déroule comme sur un petit nuage. Tout ce qui lui arrive récemment nourrit son égo surdimensionné, consolidant son idée qu’il est le plus fort, le plus travailleur, le plus méritant, le plus talentueux, etc… Enfin, sauf en amour mais encore une fois, il n’en a que faire de ces banalités. La semaine de travail reprend, et comme à son habitude, il gère le boulot. Lundi, mardi, mercredi… Les jours passent et son cerveau continue d’apprendre à merveille ce que Daniel lui apprend pour devenir le chef. Daniel lui répète souvent qu’il a un grand avenir, et puisque c’est une référence dans ce milieu, il sait de quoi il parle. Le jeudi matin, alors qu’ils font une petite pause, Daniel entame une discussion avec Damien. Ce dernier n’aime pas quand ils parlent d’autre chose que du boulot, préférant rester sur le terrain professionnel. Mais surtout, il se fout complémentent des autres, la seule chose qui l’intéresse c’est de réussir et de s’élever dans son boulot. Il envoie donc un peu balader Daniel par ses réponses et ce dernier l’a bien compris. Il commence à se rendre compte que cet homme est peut-être très fort dans ce milieu, pour ce travail, mais qu’en tant qu’homme respectable, il est loin du compte… Il part sur un sujet auquel Damien ne s’attendait pas…
— Et sinon, ça se passe bien avec ta femme ?— Quoi !? Mais comment vous savez que je suis marié ?— Tu as une alliance. J’imagine que ce n’est pas par coquetterie. Et je t’ai déjà dit que tu pouvais me tutoyer… Bon, ça se passe comment ?— Comme ça doit se passer… Dit-il agacé.— Je n’ai pas cette impression. J’ai été à ta place, je sais ce que ça implique de bosser autant pour en arriver là. Moi je n’en avais rien à faire, je n’avais ni femme ni enfants. Je n’ai pas trouvé la perle rare alors je me suis contenté de baiser sans prise de tête en travaillant à mort pour réussir. Mais toi, tu es marié et c’est un sacré merdier…— Je ne vois pas pourquoi ce serait un merdier. Je bosse un point c’est tout.— Tu t’en occupes de ta femme ? Tu lui fais des surprises ? Tu la baises et tu la fais jouir ? Tu l’amènes au restaurant ?— Tout se passe comme ça doit se passer ! Je ne vois pourquoi ça t’intéresse !— Pourquoi tu t’énerves Damien ? Tu sembles ne pas vouloir admettre ce qui semble pourtant évident.— Je ne m’énerve pas…— Alors raconte-moi. Ça fait combien de temps que vous êtes mariés ?— Ça va bientôt faire six ans.— C’est super ! Comment c’est passé votre dernier anniversaire de mariage ? Cinq ans, ça se fête !— On a rien fait…— Sérieusement ? Et pourquoi ?— Elle avait préparé quelque chose mais je devais bosser plus pour pouvoir réussir.— Tu as sacrifié un anniversaire de mariage pour le boulot ! Je devrais aussi t’apprendre comment te comporter dans la vie de tous les jours et pas qu’ici…— Je n’ai pas de jugement à recevoir de toi !— Si tu le dis… J’imagine que tu n’as pas d’enfant dans tout ça…
— Sûrement pas, je ne vois pas ce que je ferais avec un mioche qui me casserai les couilles. Et toi aussi, tu n’en as pas !— Ça j’en sais rien. Vu le nombre de nanas dont j’ai rempli la chatte, il se pourrait bien que j’en ai une dizaine sans le savoir. Ha ha… Plus sérieusement, j’aurais aimé en avoir, être père, ça doit être formidable. En plus, tu es jeune toi, à trente et un an ! Et ta femme, elle est du même âge ?— Oui, elle a vingt-neuf…— Alors vous devriez avoir un enfant, ou plusieurs. Ça ne lui tente pas un enfant à Madame ?— Si, elle en veut plus que tout… mais c’est hors de question ! Comme cette discussion d’ailleurs. Je n’ai pas envie de parler de ma vie avec toi !— Parfois, tu es vraiment un crétin !— Je te demande pardon !?
 À ce moment, une femme et son enfant rentrent dans la concession. Le regard des deux hommes se portent immédiatement sur eux. Cette belle femme, dans la trentaine, a une longue chevelure blonde descendant au milieu de son dos, avec des mèches recouvrant son œil droit. Elle a des lunettes sur son joli petit nez et ses yeux marron. Elle porte une robe d’été malgré le temps gris de ce jour, qui met en valeur une poitrine dans un bonnet C mais surtout, elle a un énorme fessier rebondi… Quant à son petit garçon qui lui tient la main, il a moins de dix ans.
— On a une cliente. Laisse-moi faire… Bonjour madame !— Bonjour, je viens pour acheter une voiture. J’ai déjà parlé avec quelqu’un au téléphone pour voir la voiture qu’il me faudrait.— Au téléphone, il se peut que ce soit-moi. Comment vous appelez vous ?— Émilie Réveillard. Répond la jeune femme.— Émilie… ça me dit quelque chose, je vais voir ça. Et toi jeune homme, tu t’appelles comment ?— Gaétan… lui répond timidement le jeune petit.— Enchanté mon grand, moi c’est Daniel. Venez donc au comptoir… 
Cette Émilie suit Daniel jusqu’au fameux comptoir où il vérifie les appels et réservations. La femme à ses deux mains posées sur le bois, ce qui fait qu’elle ne tient plus la main de son fils. Ce dernier reste accroché à elle en posant, négligemment, sa main sur une de ses fesses, qui sont à sa hauteur. Voir sa petite main sur l’énorme fesse rebondie et bombé de sa mère est un spectacle assez joli que regarde sans vraiment le vouloir Damien (qui ne peut s’empêcher de lui mater le cul et de se dire que s’il n’avait pas été marié, il se le serait bien tapé, ce cul)
— Émilie Réveillard, oui, c’était bien moi qui vous ai eu au téléphone. J’ai la voiture qu’il vous faut. Elle est derrière. Si vous voulez bien me suivre… Et si le petit le veut, on a des coloriages ici. Il peut rester avec mon collègue.— Oui, ce serait parfait. Répond-elle. — Damien, on te laisse le petit, tu t’en occupes bien pendant que je m’occupe de madame…
 Dégoûté d’être mis de côté, celui-ci il se retrouve avec le mioche. Il les regarde s’en aller tandis que Daniel passe sa main sur le bas du dos de la jeune blonde, il lui semble même que sa main effleure son divin popotin … Il reste là, rageant de voir ce gamin colorier alors que c’est lui qui devrait vendre cette voiture… Cela fait une dizaine de minutes qu’ils sont partis et Damien trouve cela louche.’Avec moi, elle aurait craqué sur cette voiture en deux minutes !’ se dit-il avant de décider d’aller voir ce qu’il se passe, laissant l’enfant seul. Quand il arrive à l’arrière de la concession où se trouve la jolie Mercedes qu’il avait mis de côté, il voit Daniel sur le siège conducteur, mais pas de traces de la blonde. Ah si, elle est là. Quand il se rapproche discrètement, il voit une tête monter et descendre. C’est pas possible ! Il n’y croit pas. Elle suce sa bite ! Daniel a enroulé sa longue chevelure blonde autour de sa poigne et lui fait reluire son sexe.
La mère de famille sexy semble apprécier l’en-cas. Il remarque que son formateur est bien membré, avec une belle queue longue et bien épaisse. Elle déforme même un peu les joues de cette salope de mère. Quand elle retire la bite pour lui lécher le bout du gland en lui caressant les couilles, il peut voir qu’elle mesure dans les vingt centimètres. Des phrases stupides se succèdent dans son esprit : ‘c’est moi qui aurais dû vendre cette voiture à cette femme !’, ‘c’est moi qui aurais dû avoir une grosse bite’, ‘c’est moi qui aurais dû me faire sucer par cette blonde !’. Il ne pense à aucun moment à sa femme, ce qui démontre à quel point il est pathétique. Dans la voiture, la blonde embrasse goulument Daniel et s’empale sur la queue de son vendeur de voiture. Elle remue et se tortille, en gémissant. Les vitres fermées, il ne peut pas entendre mais il le voit à leurs bouches ouvertes et aux expressions de leurs visages. Ces deux-là prennent leurs pieds. Daniel sort ses seins en forme de poire, mous et tombants, et s’en occupe dignement pendant que la jeune femme continue de se démener sur lui. Émilie, embrasse ensuite Daniel, et lui susurre quelque chose. Ce dernier lui mordille le bout des seins en remontant sa robe pour enfin dévoiler son gros cul, mais sublime. Il le caresse, le malaxe, le claque, jusqu’à ce que cette cliente jouisse en s’écrasant sur la queue de Daniel, criant son plaisir, sa tête renversée en arrière, le corps tendu. Ils se séparent et elle sort de la voiture, suivie par son nouvel amant.
 Damien se cache pour ne pas être vu et voit la blonde, robe relevée, placer son ventre sur le capot et soulever son gros cul pour se faire prendre en levrette. Monsieur le vendeur de voiture, qui bande toujours, ne se fait prier et il commence à la pilonner en rythme en lui tenant fermement la taille d’une main tandis que l’autre lui caresse la fesse.
— Oh oui ! Oui ! C’est bon ! Oh oui ! Ouiii ! Plus vite !
Émilie, malgré un premier orgasme, est toujours super excitée et gémit de nouveau de plus en vite. Elle sent qu’elle va de nouveau jouir merveilleusement avec cette grosse bite qui s’occupe si bien de sa chatte en chaleur.Daniel sent qu’il va bientôt venir à son tour…
— Je vais bientôt jouir !!— Han, han… ouiiiii… mais dans ma bouche ! 
Il se retire, elle se retourne, tombe à genoux et elle avale sa queue pour le pomper et faire gicler son sperme dans sa gorge et sur sa petite langue, avant de tout avaler d’une manière sensuelle. Elle le suce encore un peu pour n’en perdre une seule goutte et nettoyer sa queue qui débande.Elle se redresse, essuie avec sa robe ses cuisses trempée par son jus de chatte.
— Comme vendeur… vous êtes super bon ! Je vous prends cette voiture. Rigole-t-elle.— Allons signer le contrat ma belle.
 Une trentaine de minutes plus tard, le contrat est signé dans le bureau. La femme est contente et remercie Daniel avant de partir, en lui parlant discrètement
— Merci, pour la voiture et pour la baise…— Ce fut un réel plaisir de vous conseiller… chère Madame. N’hésitez pas à revenir si vous avez besoin de quoi que ce soit. Répond Daniel.
Daniel rejoint Damien.
— Je pensais t’avoir demandé de rester avec le garçon…— Comment ça ?— Je t’ai vu nous espionner quand j’étais en train de baiser avec notre cliente .— Ce n’était pas mon attention mais je trouvais bizarre que vous mettiez autant de temps. Je sais maintenant comment tu as fait pour réussir aussi bien dans ce milieu.— Ce que tu peux être con parfois. Elle avait dit oui pour la voiture avant de dire oui à ma bite. D’ailleurs c’est elle qui m’a chauffé. Cette superbe femme de trente-trois ans, divorcé, maman d’un garçon en CE2 et prof dans un lycée voulait s’amuser et vu que je ne pouvais rester insensible à son charme, je n’ai pas dit non. Et comme tu as si bien regardé, j’ai parlé avec elle avant de la baiser sur le capot de sa future voiture.— Un vrai gentleman… répond Damien avec un peu de mépris. — Je t’apprendrais pour rendre ta femme heureuse.
****************************************************** Lorsque la fin de journée arrive Damien a la désagréable surprise de trouver une forte averse, alors qu’il doit rentrer chez lui.
— Pourquoi tu fais cette tête ? Tu n’aimes pas la pluie non plus ?— Je viens à pied au travail, et j’en ai pour trente minutes…— C’est pas grave, je te ramène.— Non, je ne préfère pas.— Ne sois pas con et viens ! Tu ne vas pas rester là trois heures à attendre bêtement que la pluie s’arrête.— Je vais appeler ma femme, ça sera mieux.— Si tu veux...
Quelques minutes plus tard, Damien revient du bureau (où il avait passé son appel) d’un air énervé. Daniel semble comprendre pourquoi il tire cette tête.
— Madame a dit quoi ?— Elle a dit non !— Je me demande bien pourquoi. Maintenant, monte dans ma voiture, je te ramène.
Bien obligé d’accepter, il monte donc dans la voiture de Daniel qui le ramène chez lui. Il pleut encore beaucoup et le trajet est pénible pour Damien car son collègue ne dit rien. Autant ça l’énervait quand il se mêlait de sa vie, autant là, il prend ce silence pour de la provocation.Ils arrivent et garent la voiture dans la pente du garage. Daniel sort un parapluie et sort de la voiture pour ouvrir la porte de son collègue. Ce dernier sort et ils se retrouvent ensemble sous le parapluie.
— J’ai l’impression que tu te fous de moi !— Non, je suis juste gentil. Ce serait con de bousiller ton beau costume. Je t’ai ramené pour t’éviter d’être trempé, tu as encore une dizaine de mètres à faire pour rentrer chez toi, et vue comment il pleut, ce serait comme-ci tu étais rentré à pied. Mais si tu préfères y aller seul…— C’est bon, tu peux venir...
Ils traversent le jardin pour arriver à la porte d’entrée. Alors que Damien sort ses clés, sa femme ouvre la porte. Daniel reste bloqué devant tant de beauté. Il ne peut s’empêcher de la regarder de haut en bas. Il est subjugué par les mouvements de sa poitrine dans son chemisier blanc.
— Bonjour ! Dit-elle d’une voix douce et sensuelle.— Heu, bonjour… Excusez-moi, je ne connais pas votre prénom.— (Elle regarde Damien avec un regard qui montre qu’elle n’est pas contente, bien que cela ne la surprend pas). Lætitia, je m’appelle Lætitia.— Enchanté, vous portez un très joli prénom. Moi c’est Daniel. Je ne vais pas vous déranger plus longtemps.— Merci d’avoir ramené mon mari, vous n’étiez pas obligé.— Dit que tu voulais que je rentre à pied ! Sous la pluie ! S’énerve Damien.— J’avoue que l’idée ne m’aurait pas déplu. Répondit Lætitia.— Hou là, ne vous disputez pas pour ça. Dit Daniel, gênée d’être au cœur de cette dispute qui commence à éclater.— Vous avez raison. Pour vous remercier, vous accepteriez de venir dîner à la maison ? Disons demain ? Demande Lætitia devant un Damien qui manque de s’étouffer.— Oh, heu… Oui, bien sûr.— Parfait, on vous attend à vingt heures. Lui dit la jeune femme.— Bon… c’est d’accord, dit-il en regardant Damien avec un petit sourire ironique. A demain.
Lætitia laisse son mari rentrer dans la maison. Et ce dernier est loin de vouloir arrêter la discussion.
— Je peux savoir à quoi tu joues !?— De quoi tu me parles ?— De quoi je te parle ? Tu te fous de ma gueule ! Tu viens d’inviter mon collègue à dîner à la maison !— Bah oui. C’est un geste gentil de la part d’un couple de personnes civilisés et redevable. Je te rappelle que c’est lui qui te forme pour que tu réalises ton rêve et qu’il t’a ramené aujourd’hui.— Il n’aurait pas eu besoin de me ramener si tu avais bougé ton cul !— Après ton comportement de ces derniers jours, je n’allais pas bouger mon cul pour toi, ça c’est sûr ! Maintenant, a demain ! Dit-elle en partant dans leur chambre.
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