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Lætitia, femme délaissée

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Sept heures trente, dans la chambre du couple marié, la femme se réveille doucement... Lætitia pose son regard sur son mari et un pincement au cœur lui rappelle la soirée d’hier, ou plutôt la nuit.
Elle se lève et sort de sa chambre. Sa première attention est d’aller se débarbouiller dans la salle de bain. Épuisée à la fin du dîner, elle avait préféré remettre au lendemain son démaquillage. Mais après cette nuit d’activité sexuelle débridée, son gros chignon n’est plus qu’un paquet de cheveux emmêlés et son maquillage a légèrement coulé. Lorsqu’elle va entrer dans la salle de bains, la porte de la chambre d’amis est dans son champ de vision.
Elle se rappelle de cet instant où elle est sortie des toilettes. Le moment où elle a vu cette lumière qui l’a poussée à aller voir si tout allait bien. Ce moment où sa vie a dérapé.
Prise d’une pulsion qui l’effraie autant qu’elle l’excite, elle change de direction. C’est presque toutes seules que ses jambes se rendent devant cette porte entrouverte. Son cerveau est comme déconnecté et elle pousse la porte pour rentrer dans cette chambre éclairée par la faible lumière de cette douce matinée de ce mois d’avril.
Elle regarde Daniel dormir. Elle le trouve très beau malgré son âge. Il approche de la soixantaine alors qu’elle va avoir la trentaine. Mais cette grosse différence d’âge n’a pas empêché de passer un merveilleux moment. Une union sexuelle littéralement parfaite qu’elle n’oubliera jamais. Elle sait que s’il se réveille, il lui fera l’amour avec passion. Elle tend sa main gauche pour le réveiller, mais sur son annulaire, elle voit son alliance. Cette vision la détruit presque intérieurement. Elle perd alors cette envie, cette volonté, qu’elle avait de le réveiller et elle quitte la chambre.

Dans sa salle de bain, elle se démaquille et décide de rester au naturel pour cette journée. Elle défait ensuite son chignon et coiffe comme il faut sa magnifique et longue chevelure noire, lisse et soyeuse. Elle n’a pas la force de s’habiller et elle reste en petite nuisette sexy. Juste une robe de chambre en soie argentée la recouvre pour ne pas se balader presque nue dans sa maison. Elle descend et se rend à la cuisine pour boire un petit café.
Huit heures douze, Damien se réveille et voit qu’il est seul dans son lit. Il est toujours habillé comme hier, n’ayant pas pris la peine de se changer. Il se rappelle avoir surpris sa femme en train de se faire embrasser ou lécher le cou par Daniel... Ses souvenirs ne sont pas très clairs, mais il se rappelle, de sa volonté de saouler son collègue par vengeance, et de son échec, car c’est lui qui n’a pas tenu l’alcool. Le pire, c’est que lorsqu’il a voulu renvoyer son collègue chez lui, sa femme a refusé, prétextant que c’était trop dangereux de conduire avec un taux d’alcool élevé.
Elle a préparé la chambre d’amis et il est resté quelques minutes avec son collègue sans rien dire... l’air un peu con, puis tout le monde est parti se coucher. Il s’est endormi d’un seul coup, encore habillé.
Quelque chose l’a réveillé. Sa femme l’a appelé ? Non, elle a crié. Il était seul dans leur chambre et, un peu dans les vapes, il s’est levé pour voir ce qu’il se passait.
Comme sa femme, il vit de la lumière dans la chambre d’amis et c’est de cette façon qu’il découvrît Lætitia et Daniel encastrés en levrette. Il les a regardés baiser sans réagir, sans réfléchir, jusqu’à la fin de leur copulation. Il se revoit rester donc simple spectateur comme s’il était devant un film porno, avec sous ses yeux, un superbe cul et une chatte bien défoncée par une grosse bite !
Il a repris en partie ses esprits en même temps que ce salaud vidait ses burnes dans le ventre de sa femme et il est reparti, tel un zombie, s’écrouler une nouvelle fois dans son lit pour s’endormir aussi rapidement que la première fois.

Damien a affreusement mal à la tête vu la cuite de la veille. Il vient de se remémorer les événements de la soirée et de la nuit et il se demande à présent où est sa femme. Peut-être de nouveau avec Daniel.

En fait, il s’en fout. Il se lève, sort dans le couloir et zieute la chambre d’amis pour voir son collègue qui dort toujours. Il descend et se retrouve dans la cuisine et il voit sa femme. Ils se regardent, mais n’échangent pas un seul mot.
Huit heures trente-trois. Daniel émerge... Lui aussi a un mal de crane, mais plus léger que Damien. Il s’assoit sur le bord du lit et se frotte la tête dans ses mains. Il se lève et fait face à la lumière du jour. Devant la fenêtre, il se remémore sa partie de jambes en l’air très érotique avec Lætitia. Il ferme les yeux et se demande si ce n’était pas qu’un simple rêve. Après tout, il était un peu bourré.
Mais non, il le sait quand il sent son sexe bandé dans son slip. Son gros et long bâton est dur, mais une douleur est présente tout le long de son pénis qui porte encore les marques de ce rapport sexuel effréné et de cette chatte étroite qui comprimait merveilleusement sa queue. Il se rappelle à quel point c’était sublime.
Il se laisse tomber sur le lit et sa main caresse son ventre avant de sortir son sexe de sa prison. Les va-et-vient de sa main commencent et Daniel n’a en tête qu’une seule femme.
Il voit son corps pulpeux, ses gros nichons qui se balancent, un fessier rebondi, un chignon noir, une seule paire d’yeux bleu azur, une petite chatte douce et si étroite : il pense à Lætitia !
— huumm... Oui... Que ce fut bon... Sa petite langue... Sa petite bouche... Elle suce bien... Elle est belle... Et ses seins... ils sont gros... Ronds... Fermes... Doux... Et ses fesses... Bien bombées... Et sa petite chatte... Toute trempée... Toute serrée... Toute douce... comme du satin... J’ai fait l’amour à Lætitia... J’ai fait jouir Lætitia... Ce n’est pas une de ces petites salopes que je tringle en soirée... Non... Elle... Elle est superbe... Je ne peux pas la laisser filer... Elle mérite un homme... Un vrai... Avec une grosse queue comme la mienne... Hummmm... Elle mérite que je lui fasse l’amour avec passion... Tous les jours... Jusqu’à ma mort... Hummmm... C’est moi qui aurais dû être son mari... Pas l’autre con... Argh... Argh... Argh... »

Trois énormes jets de sperme sont éjectés du gland saillant de Daniel. Il était fou d’excitation, à tel point qu’il n’a même pas remarqué qu’il parlait tout seul. Il se redresse, essuie le sperme sur son ventre avec un mouchoir et il range son sexe.
— Arrête tes bêtises Daniel... Tu as cinquante-cinq ans voyons. Elle en a à peine trente. Tu ne peux pas l’avoir... Putain, j’ai fait cocu un collègue, ça ne me ressemble pas. Même si cet homme est un petit merdeux...

Huit heures quarante-cinq, Daniel est habillé et il descend rejoindre les hôtes de cette belle maison. Il voit Lætitia en premier et il ne sait comment réagir. Elle est bloquée devant lui. C’est lui qui brise la glace au bout d’une longue minute très gênante où il ne peut s’empêcher de la contempler de haut en bas. Il retient difficilement cette pulsion qui le pousserait à l’embrasser comme un fou avant de la prendre sur l’évier.
— Vous avez bien dormi ? — Oui... Et vous... — Oui... Où est Damien ? — Dehors... — Je vais aller le saluer.

Ils sont tous les deux gênés et sont passés du tutoiement de la dernière fois au vouvoiement, comme s’ils n’avaient pas eux d’orgasmes ensemble, leurs sexes emboîtés l’un dans l’autre...
Daniel sort de la maison et se retrouve en face de son collègue. Ce dernier le regarde de haut.
— Bonjour Damien.— Tu penses avoir gagné, mais c’est moi qui vais avoir la gloire, la richesse. C’est moi qui vais devenir le patron.— Je te demande pardon ? J’ai gagné de quoi ?— Tu as accepté ce dîner pour baiser ma femme ! Espèce de salaud ! Mais tringle-la mille fois, tu ne m’arriveras jamais à la cheville !— Mais tu es complètement taré mon pauvre. Arrête de délirer. Ta place, si je l’avais voulue, je l’aurais eue.— Mais pas ma femme.— ... Tu as raison. Je n’ai jamais pu garder une femme. Et une comme ça, encore moins.— Alors tu es bien jaloux.— Absolument pas. J’étais content pour toi avant de me rendre compte que tu es un sale petit con qui ne respecte pas sa femme. Ne me considère pas comme ton rival, je ne veux pas ta femme et je ne ferais rien pour te la prendre.— Ah, Ouiii, hier soir et cette nuit, tu n’as rien fait peut-être ?

Daniel commence à se sentir mal. Il commence à se demander si Damien n’est pas au courant de l’infidélité de sa femme.
— Où veux-tu en venir ?— Quand je suis revenue avec la bouteille, je vous ai vus.— Ah, d’accord. Écoute, c’est vrai qu’il y a eu un petit rapprochement, mais ça s’est arrêté là. Elle est mariée et je ne serais pas allé plus loin.— Ah bon. Parce qu’elle n’était plus mariée quand tu la baisais en levrette dans la chambre d’amis ?— Tu es au courant de ça aussi ?— Eh oui. J’ai tout vu. La prochaine fois que tu viens sauter la femme d’un collègue chez lui, évite de la faire crier de plaisir ! J’étais bourré, mais pas sourd !— OK... Bon, puisque tu sais tout... J’avoue que j’ai ramoné avec joie la petite chatte étroite et douce de ta moitié pendant une bonne heure. Et j’ai joui en envoyant de belles giclées de foutre dans son vagin brûlant.Tu veux que je sois honnête ? Me taper ta femme est la meilleure chose qui ne m’est jamais arrivée. Et tu sais quoi, se faire tringler par ma grosse queue est sûrement la meilleure chose qui LUI est arrivée. Je ne suis pas venu ici pour te faire cocu. Mais c’est arrivé. J’étais bourré et j’ai même cru, un instant, que c’était un rêve... Si j’étais un salaud, je reviendrais déglinguer ta petite femme tous les jours, dans tous les sens, toutes les positions, et dans toutes les pièces de ta maison. Mais je n’en suis pas un. J’ai même honte de moi alors que tu es un grand con qui ne mérite pas cette femme. Mais je vais te le dire clairement ! j’espère qu’elle va te quitter et qu’elle trouvera un homme qui la rendra heureuse ! Car Lætitia le mérite !
— Tes intentions de départ et tes impressions de maintenant, je m’en fous. Tu as honte, mais je suis sûre que tu es content de ta nuit.— Je ne vais pas être hypocrite ! Oui ! Je suis content d’avoir baisé ta femme. Pas pour t’énerver, mais parce qu’elle est exceptionnelle. J’en ai limé des chattes, mais jamais d’aussi douce, d’aussi chaude, d’aussi humide. J’en ai bouffé des nibards, mais jamais d’aussi gros, rond et parfait comme les siens. J’en ai caressé des culs, mais jamais d’aussi joliment rebondis. Je n’ai jamais pris autant de plaisir à faire déborder une chatte de mon jus d’homme. Alors oui, je garderais un souvenir magique de cette nuit.— Je suis content pour toi. Mais la nuit est finie.— J’ai compris, je vais m’en aller. Je vais dire au revoir à Lætitia.— Je pense que tu lui as assez rentré dedans.— Comme tu veux. On se voit lundi...

Damien finit par rentrer chez lui sous le regard surpris de son épouse qui le voit tout seul.
— Où est Daniel ?— Il est rentré chez lui.— Sans me dire au revoir ?— Si, il te salue. Dit-il en partant dans une autre pièce.

********************************************************************
Cela fait maintenant quelques semaines que le dîner s’est déroulé. Ce jour où Lætitia a connu un homme charmeur, prévenant et gentil qui s’est intéressé à elle. Ce jour où elle a rencontré le genre d’homme qu’elle aurait voulu comme mari. Ce jour où elle a compris qu’elle ne voulait plus de cette vie avec Damien qui ne la respectait pas, ne la considérait pas, qui, en fin de compte, ne l’aimait pas.
Cette nuit où elle a trompé son mari, mais n’a jamais ressenti de remords de l’avoir fait. Pour une fois, un homme ne l’a pas baisée vulgairement, il lui a fait l’amour tendrement puis passionnément.
De son côté, Damien fait comme s’il n’était pas au courant de ce qu’il considère comme une erreur passagère de sa femme et que ce qu’il a vu est entièrement de la faute de Daniel qui a abusé de la faiblesse de sa femme sous l’effet de l’alcool.
Pour lui, seul son travail demeure plus important et pour éviter tout problème, il ne lui dira pas qu’il l’a vue coucher avec Daniel lors de cette fameuse nuit.

Ils ne se sont quasiment pas adressé la parole depuis. Tous les deux ne se comportent plus comme un couple marié et aimant et cela dure déjà depuis quelques années. Pour être exact, ça a commencé très peu de temps après leur mariage. Lætitia en a vraiment pris conscience ce soir-là et cette nuit où elle a découvert une véritable jouissance sexuelle et ses premiers orgasmes.
Quant à Damien, il n’a jamais vraiment été attaché à son mariage, son travail étant encore et toujours sa seule passion. Alors, savoir que tout est détruit ne lui fait pas grand-chose.
Mais pour Lætitia, cela lui fait mal. Elle se rend compte qu’elle a perdu presque une dizaine d’années de sa vie. Elle a rencontré Damien lors d’une fête organisée par une de ses amies. Elle avait vingt-deux ans et lui en avait vingt-quatre. Ils se sont mutuellement plu et ils ont même fini par baiser dans les toilettes. Une simple baise qui ne présageait déjà rien de bon, mais voilà qu’ils se sont revus à une autre fête quelques semaines plus tard. Après avoir fini une nouvelle fois au lit, ils décidèrent de commencer une relation. La règle étant de prendre son temps.
Et un an et demi plus tard, ils se fiançaient pour se marier quelques mois plus tard. Juste deux ans après leur rencontre. Puis s’en sont suivis cinq ans de mariage qui n’ont jamais été formidables. La trentaine arrive dans quelques mois et cette partie de sa jeunesse qu’elle vient de perdre la chagrine.
Au boulot, plus rien n’est comme avant et cela arrange Damien. Son collègue qui doit le former pour qu’il reprenne la concession ne lui parle plus de sa vie privée. Plus aucune question ni allusion. Le sujet de la femme de Damien n’a même plus jamais été évoqué.
Daniel, lui, se sent bizarre et n’arrive pas à oublier cette femme somptueuse, sensuelle, qui se donne entièrement quand on lui fait l’amour et qui jouit sans retenue. Mais il a cocufié un homme, un collègue. Cela n’a jamais été son genre, il n’est pas un briseur de couple.

A sa décharge, cet homme est un vrai con qui ne mérite pas sa femme d’autant qu’il ne la respecte pas. Il n’en a même rien à faire d’elle, ce qui le met hors de lui.
Comment peut-on traiter de la sorte une merveille comme Lætitia ? Outre son physique qui est époustouflant, il y a tout le reste qui est tout aussi exceptionnel. Elle est intelligente, cultivée, ouverte d’esprit, drôle, douce, généreuse, gentille, débrouillarde. Parler avec elle est un véritable plaisir intellectuel. Il n’est vraiment pas amoureux d’elle, mais il estime vraiment que c’est une femme parfaite et si... désirable.
Il a couché avec elle une fois et il pourrait y retourner pour le refaire, car il sait qu’elle l’accueillerait avec joie, mais il n’en a pas vraiment envie. Il espère juste qu’elle quittera Damien et rencontrera un homme qui la rendra heureuse. Il n’a pas la prétention de penser que ce pourrait être lui, à presque soixante ans, il n’a plus l’âge de ces choses-là.
Un jour comme un autre, Daniel est au comptoir. Il travaille comme il a l’habitude de le faire quand une personne ouvre la porte. Il entend le bruit, mais finit de terminer ce qu’il faisait avant de lever la tête. Il a la surprise de voir Lætitia s’avancer vers lui.
Il est submergé par cette même émotion qu’il a ressentie lorsqu’il l’a vue la première fois et qu’il voit son opulente poitrine remuer sous son chemisier. Ce qui lui fait directement repenser au moment où il malaxait tendrement ses gros seins, en les mangeant délicatement... en suçant ses longs tétons érigés.
— Bonjour Daniel...— Bonjour Lætitia. Vous vous portez bien ?— Oui, et vous ?— Oui... ça va...

Ils sont encore gênés et restent au vouvoiement. Mais Daniel a une folle envie de redécouvrir l’orgasme avec elle.
— Vous souhaitez voir Damien ?— Non, je voulais vous voir.— Moi ?— Oui. Je voulais vous remercier pour cette soirée où vous avez accepté de rester coucher chez moi. Pour deux raisons. La première c’est que cela faisait très longtemps qu’un homme ne m’avait pas donné de plaisir, ne s’était pas occupé si parfaitement de moi.— Oh, ce n’est rien... répond-il un peu gêné.— Et la seconde, c’est que grâce à vous, je vais devenir maman.

Le cerveau de Daniel cesse de fonctionner un bon moment puis il réalise qu’il l’a mise enceinte. Il va avoir un enfant !
— Je voulais vous demander... Pouvez-vous reconnaître cet enfant ? Mon... Damien ne veut pas d’enfant et il serait un père horrible. Je veux que mon bébé ait un vrai papa.— Oui... c’est d’accord. Répond-il sous une impulsion de Fierté, de bonheur mélangé d’appréhension.

Comme si cette situation n’était pas assez gênante, Damien arrive dans le hall pour voir sa femme avec son collègue. Il se dit que la dernière fois qu’il les a vus ensemble, ils étaient moins habillés et ne formaient qu’un seul corps, relié par leurs parties intimes.
— Lætitia ? Pourquoi tu es là ?— Je suis venu dire à Daniel que je porte son enfant. Le jour où il est venu dîner, j’ai couché avec lui. (Bien évidemment, au contraire de son amant, elle ignore qu’il les a vus faire l’amour ensemble). Je ne m’excuserais pas, car je sais bien que tu t’en fous complètement de moi et de mes actes et qu’en aucun cas, ça ne te fera du mal. Comme tu ne t’es jamais excusé du mal que tu m’as fait psychologiquement depuis des années. Donc... je demande le divorce.— ... (Daniel est en face de cette scène surréaliste et ne sait absolument pas quoi faire)— Je suis d’accord avec ce que tu viens de dire. Nous allons divorcer. Je te souhaite une bonne continuation avec ta progéniture. Dit-il en s’en allant.— Il n’a vraiment pas de cœur... dit-elle.— Je ne m’attendais pas à cela... Tu comptes faire quoi maintenant ?— Je ne sais pas...— Je t’invite à venir habiter chez moi.— Je... Je ne veux pas me mettre en couple avec toi, même si notre dernière relation sexuelle était merveilleuse.— Et fructueuse ! Je ne te demande pas de te mettre en couple. Mais avec ta grossesse et la naissance de notre enfant, tu auras besoin d’aide. Alors tu peux venir habiter chez moi en attendant de trouver un logement et on se débrouillera après pour l’éducation du petit.— D’accord, je trouve que c’est une bonne idée et je suis heureuse que tu prennes ça aussi bien.

Le soir, il aide Lætitia à prendre le principal de ses affaires pour les emmener chez lui. Il a deux chambres d’amis. Une pour elle qu’il aménagera à son goût et l’autre pour son enfant. Ils installent les affaires, discutent un peu. La situation est bizarre pour tous les deux.
Daniel aimerait beaucoup vivre un conte de fées où il finirait avec cette femme qui va le rendre père, mais il sait que ce s’est impossible vu son âge. Quant à Lætitia, elle ne veut pas de relation amoureuse avec lui, mais elle ne dira pas non à des parties de jambes en l’air avec Daniel.
Après le repas, ils partent se coucher. Lætitia accompagne Daniel jusqu’à sa chambre. Ils ont une nouvelle fois ce regard, cette tension. Ce moment, à ce dîner, où Daniel a embrassé Lætitia qui a répondu à son baiser avant de détourner la tête lorsque Damien était revenu dans le salon. La suite était inéluctable et un peu plus tard, dans la chambre d’amis, elle s’est donnée entièrement à lui, sans réserve et sans hésitation.
Rien que d’y penser, elle est en chaleur et mouille sa culotte.
— J’aimerais bien rester avec toi cette nuit. Murmure-t-elle.— Tu veux dire, dormir... ou faire l’amour ?— Les deux si cela ne te dérange pas. De temps en temps même si on ne se met pas vraiment ensemble.— C’est que de dormir chacun de son côté et d’avoir des regrets.

Répond Daniel en souriant et en l’entraînant dans sa chambre.
Quelques minutes plus tard, Lætitia est à quatre pattes sur le lit devant Daniel pour avaler son gros sexe. L’homme qui pourrait être son père lui caresse les cheveux. Cette si belle chevelure noire, lisse et soyeuse qui caresse son joli dos. Quelle grâce elle a quand elle remue sa tête lors de la fellation, quand elle fait tourner sa petite langue autour de ce gland gonflé de désir. Sa main caresse et presse ses testicules, son pieu raide et dur... Il lui caresse aussi sa poitrine ferme, très grosse, aux tétons saillants. Une poitrine qu’on ne peut trouver qu’au paradis.
— Je suis fou de tes seins, ils sont magnifiques. Les plus beaux de cette terre.— ça fait bien longtemps que j’attendais qu’on me le dise...

Elle place son sexe entre ses seins, le comprime et commence des va-et-vient. Elle a très peu réalisé cette pratique et jamais avec un sexe de ce calibre. Elle fait de lents mouvements avec ses gros seins en sentant les palpitations du gros bâton dans le creux de sa poitrine. Elle regarde le gland se rapprocher puis disparaître dans ses seins. Une vision qu’elle trouve très excitante et qui fait frémir sa chatte de plus en plus humide. Pour Daniel, c’est un massage merveilleux, très érotique et une goutte de pré-sperme pointe sur le bout de son gland que Lætitia s’empresse de prélever du bout de sa petite langue rose.
De peur de jouir trop vite, Daniel retire son pénis de cette vallée brûlante et passe derrière Lætitia qui est restée à quatre pattes sur le lit.
Un cunni de quelques minutes suffit pour faire jouir la jeune femme au moment où il titille bien son clitoris. L’orgasme lui fait cambrer son joli fessier et elle pose sa tête sur le matelas en gémissant de plaisir. Elle reste dans cette position et pousse un cri lorsqu’il enfonce en douceur dans son vagin son long et épais sexe. Il lui fait l’amour à un bon rythme. Douceur avec rapidité, sensualité avec profondeur. Lætitia couine d’une voix aiguë qui excite Daniel. Il voit sa tête dans le lit, ses mains agrippant fortement aux draps.
— Oh ouii ! Ouii ! C’est booonnnn Daniellll ! Ouii, plus fort ! Oh ouiiiiiii... comme ça... bien à fond... encore... encore...

Il accélère le mouvement. Il sent son gros gland cogner contre le col de l’utérus, ses couilles épaisses frappent son clitoris, les parois de son vagin palpitent autour de son gros sexe qui remue effrontément à l’intérieur. Lætitia a l’impression que sa chatte se fait défoncer et elle adore cela. Ses gémissements résonnent au même titre que les chairs qui claquent l’une contre l’autre. Elle serre ses dents pour ne pas hurler et bave sur son menton lorsque le point du non-retour est atteint. Il la sent jouir et il résiste pour ne pas l’accompagner dans sa jouissance.
Il glisse sous elle pour se retrouver en cuillère. Il lève sa jambe et continue de limer sa chatte. Lætitia vient tout juste de subir un bel orgasme et elle est toujours en transe avec son vagin qui se contracte spasmodiquement sur sa superbe queue. Elle tourne la tête en gémissant pour embrasser passionnément le père de son futur bébé.
Ce dernier fait aller et venir son sexe dans celui de Lætitia en variant la façon de la pénétrer. Des coups secs et rapides qui font tressauter ses gros nichons, des lents mouvements bien profonds. Lætitia est aux anges et veut continuer de jouir sous les coups de bites de son amant. Elle veut aussi de nouveau goutter au sperme, à son jus de couilles qui l’a fécondée, cette crème bien chaude dans ses gros testicules qui frappe et excite son clitoris à chaque va-et-vient.
— Oh oui ! Oui ! Oui ! Pelote ma poitrine ! Oui ! Oui ! Baise-moi encore ! Oui ! Oui ! Ohhh Daniel !

Il s’exécute et lui chope un de ses gros seins pour s’en occuper avec passion. Il le malaxe, le pétrit, admire sa fermeté, sa lourdeur, sa douceur, sa rondeur, son gros et long téton tout dur qu’il pince et roule entre ses doigts. Il est fou de cette si belle grosse paire de seins.
Il se retire et c’est Lætitia qui va s’empaler sur son gros sexe. Cela rappelle de bons souvenirs aux deux amants. Lors de la toute première pénétration... Cette fois-ci, Lætitia n’est pas penchée à califourchon, mais se tient droite sur un Daniel complètement allongé et elle guide son sexe vers sa chatte dégoulinante de cyprine. Elle descend ses hanches afin de sentir ce gros et long pénis posséder chaque recoin de sa petite chatte avide de sexe jusqu’à sentir son gros gland s’écraser délicatement contre son col.
En faisant avec son cul de doux mouvements en cercle ou alors des petits sauts, elle fait tendrement l’amour à Daniel et remonte ses mains dans ses cheveux noirs pour les remonter. De cette manière, il la trouve incroyablement sexy et voit le plaisir que ressent cette furie qui profite le plus qu’elle peut de sa queue qui ne faiblit pas.
Elle ondule et se déhanche avec beaucoup de sensualité et Daniel est époustouflé de voir une telle beauté se démener pour lui donner du plaisir. Il pose ses mains sur ses hanches pour accompagner son mouvement avant de les remonter pour jouer encore une fois avec ses gros seins.
Lætitia est vraiment très excitée et elle sent l’excitation de Daniel qui monte, tout comme la sienne. Mais elle veut l’entendre gémir.

Lors de leur premier et seul rapport, il n’y avait que les gémissements, car les yeux de Lætitia n’ont jamais été ouverts pour voir son amant la prendre. Cette fois-ci, elle le regarde droit dans les yeux et lui parle.
— Han... Han... Bon Dieu ! Elle est grosse ta queue... Han... Tu bandes dur... Hahn... Hann...— Oh oui, tu m’excites Lætitia...— Hann... Dis-le-moi encore... Hann... Hann...— Tu m’excites Lætitia... Tu es la plus belle femme du monde... Je n’ai jamais autant pris mon pied au pieu !— Hann... Oh oui... Tu bandes bien et je la sens merveilleusement ta grosse queue... Je mouille et je suis trempée pour toi... Pour que tu me baises longtemps, sans arrêt... toute la nuit. J’adore ta grosse bite expérimentée... Aaaahhhh... Hann... OOOooohhhh, OUIIIiiiiiiiii.— Ouiiiiii, continue... j’aime ta petite chatte et ta manière de bouger... Tu es bonne Lætitia... Tu es belle... Tu es sexy... Tu es faite pour l’amour...

Ces quelques paroles touchent Lætitia en plein cœur, et résonnent dans son vagin dégoulinant. Elle lâche ses cheveux qu’elle maintenait pour que son amant voie tout le plaisir qu’elle prend sur son sexe et elle pose ses mains sur le torse de Daniel. Elle se fait féline et accélère les mouvements de son bassin.
— Han ! Han ! Han ! Han ! Aaahh ouiiiii ? Tu aimes me baiser vieux cochon ? Han ! Han ! Han !— Oh oui ! Je suis né pour te faire jouir ! Aaarghh.— Han ! Han ! Tu as dû baiser un paquet de filles. Han ! Han ! Han ! Je suis meilleure qu’elle ? Han ! Han ! Han !— Oh oui ! Les autres m’ont juste permis de me perfectionner pour toi !— Ah ! Ah ! AH ! AH ! AH ! OUIIIIIII.

En répondant à Lætitia, Daniel a glissé sa main entre les cuisses de son amante pour s’occuper de son bourgeon. La position l’empêche d’avoir une bonne prise, mais il parvient néanmoins à la faire jouir et de nouveau crier sous la puissance d’un nouvel orgasme.
Lætitia reprend lentement ses esprits et elle sent la queue de Daniel toujours dans son vagin, car il n’a toujours pas joui.
Elle se dégage de Daniel pour se positionner une nouvelle fois à quatre pattes et lui présenter son cul. Elle écarte ses fesses avec ses deux mains et lui dit.
— Comment tu trouves mon cul ? Il te plaît ? Ça te donne des idées...

Daniel est surpris, mais imagine ce qu’elle sous-entend. Il se positionne derrière elle. Comme pour la première levrette, elle a posé sa tête sur le matelas.
Daniel a une vue imprenable sur son petit trou qui palpite et son excitation est si forte qu’il lui fourrerait bien immédiatement sa massue dedans pour lui défoncer son petit trou du cul.
Mais c’est un gentleman et il ne sait même pas si elle s’est déjà fait enculer.
Il lui caresse l’anus, récupère la mouille de son amante pour enduire son gland ainsi que sa rosette qui frémit sous son doigt avant de l’enfoncer délicatement, de le tourner dedans, avant de le remplacer par son gros pouce quelques secondes plus tard.
Il s’apprête à demander à Lætitia si elle est chaude pour cette sodomie, mais elle gémit.
— Oh oui, vas-y ! prends-moi par là ! Tout mon corps est à toi.

Il place alors son gland à l’entrée de son anus et force doucement pour le pousser dans cette étroite gaine bien souvent interdite. Quelques contractions de ses sphincters sous la poussée de son gland, puis elle se détend en écartant encore plus ses fesses et son gland est avalé d’un seul coup par son petit trou du cul.
Daniel continue de pousser tout doucement sa bite, car il ne veut pas lui faire mal, vu son très gros calibre (20 centimètres de long et presque 4 de diamètre).
Mais il est fort surpris de voir son gros pénis glisser d’un seul coup et entièrement dans son conduit anal, sans rencontrer la moindre résistance.
— OOOOooohhh ! La vache ! T’as quand même une grosse queue, Daniel !— Putaiiiinnn ! Ça rentre tout seul ! Ça glisse comme dans du beurre. T’as un cul de salope Lætitia !— Argh ! Argh ! Argh ! Oui, fut un temps, Damien m’enculait tous les jours pour se sentir puissant et me montrer qu’il était le maître. Argh ! Argh ! Argh !— C’est vraiment un super con celui-là.— Argh ! Argh ! Toi... montre-moi comment on fait du bien à un petit cul...— Oh oui ma belle.

Il commence à l’enculer à un bon rythme. Dans un premier temps, la belle trentenaire serre ses dents et s’agrippe au drap qu’elle va mordre en grognant. Mais Daniel est véritablement un très bon amant et il baise son cul suivant la tonalité de ses gémissements. Lætitia se détend naturellement et prend de plus en plus de plaisir à se faire pénétrer par-derrière. Il attrape sa longue chevelure noire soyeuse et bien humide par sa transpiration et lui la tire avec respect et non pas comme un mal propre.
Elle se prête au jeu et se redresse en continuant de gémir de plus en plus fort. Il y a encore de l’érotisme et de la sensualité dans leur copulation ponctuée d’une pointe de bestialité qui excite beaucoup Lætitia.
— Han ! Ah ! Aaarghh ! Oui ! Oui ! c’est bon ! Argh ! Argh !— Oh oui ! Tu aimes ma grosse bite dans ton petit cul Lætitia ?— Oh oui Daniel ! C’est divin ! Argh ! Argh ! Argh ! Putain !je jouis ! je jouis du cul ! Ooohhhhhhh...

Daniel sent qu’il ne va plus pouvoir se retenir, car Lætitia, dans sa jouissance, comprime frénétiquement sa queue prisonnière dans son trou du cul. Il se retire de ses fesses en lâchant ses cheveux pour plonger rapidement dans sa petite chatte dégoulinant de jus.
Elle repose sa tête sur le matelas et une de ses mains vient caresser la bite qui la pénètre, essayant de lui toucher les couilles.
— Han ! Han ! Daniellll ! Je veux ton sperme ! Ooooohhh... Han ! Han ! Donne-moi-le ! AAAhh... han ! Je veux que tu inondes ma chatte de ton foutre brûlant ! Han ! Han ! Han ! Oh la vache ! Tes couilles sont grosses ! Han ! Han ! Han ! Tu dois avoir des litres de sperme à me donner !— Oh oui, Lætitia, je vais te donner tout mon sperme ! Argh, ça vient ! Prépare-toi ! Madame va être servie ! Le plat préféré de ta minette est en approche !— Oh oui ! Ton jus ! Je le veux... je le veux... je le veux... Il n’est qu’à moi...— Mes couilles te sont entièrement dédiées. Plus une goutte sera pour une autre femme... Aaaahhhh, prends ça ! Et ça ! Ça ! Ça ! Ça ! Ça ! Ça !

Il noie son vagin de son sperme qui l’a déjà fécondée. Sept gros jets au total tapissent l’utérus de Lætitia comme s’il voulait donner un petit frère ou une petite sœur au bébé qui pousse dans son ventre. La jeune femme s’écroule sur le lit, le corps encore traversé de répliques de son orgasme anal qui s’est prolongé dans sa chatte dès qu’elle a été remplie par la superbe bite de son amant. Leur baise a duré moins d’une heure et a été jouissive et intense.
Daniel qui n’a jamais été aussi excité ne débande même pas. Lætitia qui émerge s’en aperçoit et attrape sa queue trempée par leurs jus mêlés.
— Ooooohhh, tu vas quand même pas me faire encore l’amour ?— Oh que si ! Ma belle et merveilleuse femme. Tant que ma bite restera dans cet état-là !

Il la pousse sur son dos, relève ses genoux et écarte ses cuisses pour la reprendre en missionnaire.
Il l’écrase de tout son poids et se met à la pilonner, son torse comprimant ses très gros seins. Son sexe baigne dans son propre sperme, mais il s’en fout, il continue ses mouvements, labourant les parois de sa petite chatte de ses gros coups de bite épaisse. La jeune femme est agrippée à lui et mordille son épaule pour éviter de crier, mais elle finit par gémir et hurler lorsque Daniel, une nouvelle fois, la fait jouir comme une folle, puis une dernière fois avant qu’il n’assèche définitivement ses couilles en gémissant de concert avec elle. Leurs corps se désunissent, mais ils restent enlacés et tombent dans un sommeil profond et réparateur.
Finalement, Damien est devenu le patron de la concession, et c’est tout ce qui compte pour lui. Lætitia nage dans le bonheur, car elle est baisée comme une reine et va devenir mère. Daniel n’a aucun regret. Il va devenir père et il veut élever cet enfant au côté de Lætitia, cette magnifique femme qui le fait bander dès qu’il voit ses gros seins et son cul superbe ou qui le regarde avec du désir dans ses beaux yeux bleus. Il n’aura plus cette impression de ne pas avoir réussi sa vie privée. Une bonne fin en soi.
FIN
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