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Toi et moi

Chapitre unique

Erotique
Nous nous connaissons si peu, nous ne parlons pas vraiment. Pourtant, nous savons tout de nos corps, de rencontre en rencontre dans ces hôtels impersonnels, nous nous sommes apprivoisés.
Je referme la porte derrière moi, car je suis toujours la dernière à arriver. Tu regardes ta montre, je suis encore en retard, tu me fais signe de m’approcher. La tête basse, je te rejoins. De ton index, tu soulèves mon menton, tu m’embrasses légèrement sur les lèvres. Ta main gauche se pose sur ma hanche, la droite se dirige sur mon décolleté, je souris sous tes lèvres. Cela fait un moment que nous ne nous sommes pas vus, je ressens déjà les prémices du plaisir que tu vas me faire vivre.
As-tu décidé d’être doux aujourd’hui ? Ce n’est pas toujours le cas... je me rappelle de la fois où tu m’avais attachée sur le banc de lit. Tes mains avaient rougi mon derrière puis caressé mon entrejambe pour récupérer ma liqueur entre tes doigts, tu les avais portés à ton nez pour respirer mon odeur intime avant de les lécher avec gourmandise.
Cette image tourne dans ma tête alors que ta main trouve mon sein sous la dentelle de mon soutien-gorge. J’ai mis mon ensemble pin-up, celui que tu aimes tant, quand tu t’en rends compte, tu te recules un peu, t’agenouilles pour remonter ma jupe corolle et viens déposer un baiser sur mon mont de Vénus couvert de satin. Tes mains s’égarent sur les attaches de mon porte-jarretelles pour les détacher, tu fais glisser ma culotte haute qui cache mes rondeurs. Comme toujours, j’ai ce moment d’appréhension, je veux cacher mon petit ventre de mes mains, mais une pichenette de ta part me remet à ma place. Tu rattaches mon porte-jarretelles, je souris, aujourd’hui je ne quitterai pas mes stilletos.
Tu me prends la main et me diriges vers le lit, tu me retires mon petit pull en coton, mon soutien-gorge – tu en profites pour flatter mes tétons déjà durs – et enfin ma jupe. Tu me pousses doucement, je suis sur le dos, les jambes ancrées au sol. Tu te retournes, prends la chaise derrière toi et viens l’installer devant moi.
— Écarte les jambes.
Je m’exécute.
— Encore plus grand.
Je t’obéis. Tu rapproches la chaise et t’y assois, te penches, me humes, un doigt se promène sur mes lèvres intimes. Je tente de me soulever légèrement.
— TSS ! TSS !
Ce rappel à l’ordre me dissuade. Je repose ma tête sur le lit. Je sens alors un léger souffle sur mon clitoris, puis une langue humide tout le long de ma chatte. Elle s’arrête sur mon bourgeon et commence son envoûtante danse, je suis excitée, je commence à bouger mes cuisses, mais tes mains autoritaires les agrippent et les immobilisent. Ce que tu peux être dirigiste ... ! Mais avouons-le, j’adore ça ! Tu te repais de moi, je sais que je suis de plus en plus mouillée, mon orgasme approche et tu le ressens. Tu t’arrêtes et je pousse un petit cri de frustration.
Tu te lèves, défais ton pantalon. De là où je suis, je vois ta glorieuse érection. Tu procures à ton engin quelques rudes caresses avant de t’installer entre mes jambes, tu les soulèves et les places autour de ta taille. Ton pénis se rapproche de mon antre chaud, tu le glisses en moi lentement, jusqu’au fond, tu instilles de grands mouvements. Tu es patient, c’est une longue cavalcade qui commence. Dès que tu me sens au bord, tu te stoppes, me regardes dans les yeux. Je suis en ton pouvoir, tu le sais. À certains moments, tu accélères l’allure pour la calmer aussitôt. Je n’en peux plus... Je suis épuisée...
Tu me tues... Toi aussi, tu commences à montrer des signes de faiblesse, je vois des gouttes de sueur s’écouler de ton front et cette moue si typique qui annonce ton apothéose. Dans un dernier effort, tu redoubles de passion, je suis ballottée par tes coups de reins puissants, mes talons te labourent le dos. Je viens ! J’éclate en mille morceaux et je sens ton sexe tressauter en moi et ta semence se répandre.
Épuisé, tu t’affales sur moi, j’aime ta lourdeur. Tu m’embrasses tendrement, me serres dans tes bras. Tu t’écartes de moi juste le temps de me retirer mes talons hauts, de les embrasser et de les jeter hors du lit.
— Au revoir mes beautés ! À la prochaine !
Tu me fais rire. Tu te recolles à moi, en cuillère. Demain matin, nous nous quitterons après un petit-déjeuner crapuleux. Mais je sais que la nuit est encore jeune...
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