Il est plus d’une heure du matin, je viens de remplir Marie de ma semence et elle est actuellement occupée à me nettoyer le sexe de sa langue, tandis qu’à nos côté Maëlle, Julie et Léa sont à genoux sur le canapé, postérieur relevé, anus ouvert et détendu prêt à se faire saillir par la belle queue de Loïs, qui se donne à coeur joie d’alterner entre ses trois amantes. Moi qui avait prévu de partir en chasse de petites fesses chaudes et accueillantes, je n’ai pas besoin de partir bien loin, j’en ai trois magnifiques paires à disposition à quelques mètres. C’est donc le sexe tout propre, luisant de salive et ainsi lubrifié que je m’approche de Julie, la saisie par les hanches, approche mon gland de sa petite rose et m’y insère doucement. Loïs est déjà passé par là, ma verge aux propositions bien plus modeste que la sienne entre et glisse sans soucis dans cette grotte bouillante et humide. Je débute ma sailli par quelques allers-retours délicats dans l’anus de Julie, tout en lui caressant ses deux belles fesses, sa courbure de reins, ses hanches, son dos, sa nuque, son cou, ses épaules, ses seins… Des seins énormes!! Bien fermes, bien lourd, avec de gros tétons et de larges aréoles. Elle fait bien du 100/110 E ou F la petite bougresse… (Petite est le mot juste, Julie est un petit brin de femme qui ne dépasse pas le mètre soixante, bien en chair, avec des formes et des courbes très marquées, dans un style un peu Punk, les cheveux colorés en bleu, des piercings un peu partout et le corps tatoué dans sa quasi intégralité.) Des seins, je passe aux tétons, des douces caresses, je passe au titillement et au pincement, puis, je me saisi à pleine main de cette énorme poitrine que je palpe, malaxe, avant de m’y agripper pour pilonner sa propriétaire par l’arrière. Il faut croire que ça lui fait de l’effet car elle se met à crier de tout son saoul, hurlant toute sorte d’obscénités et de paroles d’encouragement à mon égard afin que je la pilonne, la maltraite, la défonce, l’encule bien profond, la remplisse, la fasse jouir, la domine et la soumette (pour reprendre ses termes). Il semble que la petite Julie soit une sacrée cochonne, très coquine, très chaude, bien soumise et un peu SM sur les bords. Et même si j’ai très envie de lui faire plaisir et assouvir chacun de ses désirs, je décide de la torturer un peu, ralentissant mes mouvements jusqu’à m’arrêter et sortir complément de son fondement pour aller prendre possession de celui de Léa, juste à côté. Cette fois pas de chichis, nous avons tous deux suffisamment donnés dans la douceur et les préliminaires lors de notre moment d’échanges dans la piscine en début de soirée, pour que je passe de nouveau par cette étape. Je m’insère donc directement et profondément entre ses fesses jusqu’à les sentir appuyer contre mon pubis et mes bourses, mes mains lui saisissant le cou pour faire remonter sa tête jusqu’à la mienne, sa bouche jusqu’à mes lèvres afin qu’elles en prennent possession et que nos langues se mélangent. Pour se tenir, Léa n’a d’autre solution que de m’attraper violemment par la nuque, en y plantant ses ongles histoire d’être bien certaine que nos bouches ne se décollent pas; ce qui me permet de mon côté de lâcher mon étreinte et, tout en maintenant une main sur son cou, d’aller avec l’autre saisir la chaînette en argent qui relie toujours ses 2 seins et tirer dessus jusqu’à la faire gémir, de douleur ou de plaisir, nul ne le saura… Ce traitement est des plus efficaces, la douce Léa ne met que quelques minutes à jouir puissamment, bientôt rejointe par Maëlle, succombant au plaisir sur le sexe de Loïs. Quant à moi, je dois me faire violence pour ne pas éjaculer et décide de sortir de Léa sans attendre. Repues et exténuées, Léa et Maëlle rejoignent Marie à sa séance de repos, sur un divan, tandis que Loïs et moi nous dirigeons de concert vers Julie, occupée à se masturber à nos côtés, bien décidés tous deux à la combler comme il se doit! Je m’approche d’elle, la soulève et la fait assoir sur moi, mon sexe comblant entre ses fesses l’espace vide qu’il y avait laissé peu de temps auparavant. Loïs se cale alors entre nos jambes et glisse son pénis dans le sexe dégoulinant de mouille de Julie. Ainsi prise en double pénétration, notre petite coquine n’a d’autre choix que se laisser guider par nos mouvements, de plus en plus amples et intenses, que nous réussissons, Loïs et moi-même, à synchroniser à la perfection pour le plus grand plaisir de madame. Pour varier les plaisirs, et parce qu’il n’y a pas de raison que nous ne profitions pas pleinement de cette superbe créature nymphomane, nous inversons régulièrement nos places dans le sexe et l’anus de Julie, faisant également quelques visites entre ses seins et au fond de sa bouche, la tournant, la retournant, la plaçant sur le coté, sur l’autre côté, à califourchon sur l’un, à cheval sur l’autre, nous tentons même de la prendre debout, sans trop de succès… Finalement, je me rallonge sur le canapé, Julie vient s’assoir à califourchon sur moi, collant sa poitrine à la mienne afin de bien s’ouvrir pour que Loïs puisse glisser sa queue contre la mienne et étirer au maximum ses lèvres dans une bonne double vaginale. Je ne sais pas, à ce moment, comment je peux encore me retenir de jouir tant mes testicules sont remplies et commencent à être douloureuses, des petites gouttes de liquide séminal s’échappant régulièrement de mon pénis. Pourtant, je tiens bon! Et heureusement que j’ai un super self-contrôle, voici que la belle nous somme de la prendre en double anal!! Sans surprise, il ne suffit que de quelques petits efforts pour insérer nos deux queues au sein cette Ô combien bonne grotte des plaisirs, Julie ayant visiblement l’habitude de se genre de traitement. Enfin la demoiselle semble totalement comblée, s’abonnant au plaisir et à la jouissance pendant que mon complice et moi nous en donnant à coeur joie dans cette double pénétration, ne ménageant ni nos efforts ni notre amante commune. Finalement, mon compère prend l’initiative de retourner au fin fond de la chatte de Julie, afin d’y déverser sa semence, me laissant tout le plaisir de lui remplir le cul (répondant ainsi à sa demande et pouvant, enfin, exprimer ma jouissance et tout lâcher). Comblé et éreinté, notre trio infernal rejoint les filles affalées sur un divan à proximité pour une séance de repos bien mérité. Je m’aperçois au passage que la salle s’est bien vidée au cours de notre belle partie, et que tu es là, dans l’encadrement de la porte, portant un grand plateau rempli de coupes de Champagne et de nombreux amuses bouches. Tu te poses dans un beau fauteuil noir à nos côtés et nous tends à chacun de quoi nous rafraîchir et grignoter, avant de me faire comprendre que la suite de notre nuit se passera ailleurs. Dans l’intimité de notre couple, ou as-tu l’intention que nous allions dans une autre partie du domaine?
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