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Tom l'Irlandais

Chapitre 1

Gay
Pour ma toute première histoire ici, j’aimerais vous raconter ma rencontre avec Tom, un Irlandais rencontré sur Internet il y a presque 10 ans jour pour jour. Il s’agit ici d’autofiction : je vous laisse ainsi toute latitude pour y projeter ce que vous souhaitez.

Il était tard. Nous étions au mois de janvier, dans le cœur de l’hiver, et la solitude et le besoin de chaleur humaine se faisaient plus que jamais ressentir, oppressante et omniprésente.
Je l’avais rencontré sur un tchat populaire d’Internet, ce genre d’endroit virtuel où vont un nombre de profils incalculable : les gens paumés, les charognards, les hommes se faisant passer pour une femme et inversement (plus rare quand même...), les gens pris d’un soudain accès de solitude, ceux croyant encore en un coup du destin, les couples à la recherche d’un. e troisième partenaire, les personnes seules à la recherche d’un groupe. Moi je vous l’ai dit, je recherchai un soupçon d’attention, un ersatz de chaleur.
Je vis la barre de notifications rouge clignoter, m’indiquant qu’un certain Tom34 m’avait envoyé un message. Ce qui était assez improbable puisque le type était irlandais ! Mon anglais n’était pas fabuleux, mais rapidement, je compris que mes bases, et un certain champ lexical que je maîtrisais inconsciemment me suffiraient pour ce premier contact. Car instantanément, un feeling doux et intense s’était tissé entre nous, anéantissant les centaines de kilomètres, les routes et la mer qui nous séparaient. Je ne lui ai jamais demandé comment il était arrivé sur ce tchat français, ni comment il était tombé sur mon profil, certain que le terme (si c’en était un...) "bogoss" ne pouvait rien signifier pour lui. Mais il était au bout de mes doigts et rapidement, j’avais envie de m’offrir à lui, de connaître ses plus intimes fantasmes, d’être la perle rare qu’il recherchait pour leur donner vie.
Mais surtout de prendre un billet pour Dublin pour ressentir cette sensualité extrême, être serré dans ses bras lorsqu’il m’accueillerait à l’aéroport, respirer son parfum et ressentir son trouble alors que, cachée par notre accolade, ma main serait posée sur son entrejambe pour déjà malaxer et rencontrer sa matraque. Tant de possibilités découlaient de ce feeling incroyable : mais il fallait garder la tête froide un instant pour toutes les étaler mentalement et voir quel serait le chemin le plus riche.
Le type m’avoua qu’il venait de sortir de prison, et étrangement, je me fichai de savoir pourquoi. Il m’avait l’air si pétri de tendresse que j’aurais voulu l’enlacer, lui souhaiter un bon retour parmi nous, l’aider à savourer sa liberté retrouvée. Il semblait ne pas éprouver de remords, ou du moins aucune rancune, voilà, aucune colère non digérée, mais était simplement désireux de revenir dans le monde et d’en croquer les fruits juteux - à savoir mon cul.
Les présentations expédiées, car finalement on se fichait de l’apparence de l’autre, ce qui transparaissait à travers nos échanges et la spontanéité traduisaient un feeling rare et précieux qui fait l’économie de détails physiques sans importances. Et puis il faut dire que notre conversation glissa vite vers nos envies sexuelles, et surtout les siennes, car privé pendant un petit moment de peaux, de fluides, de pénétrations. Pour que vous l’imaginiez tout de même : il se décrivait comme un homme viril, brun aux cheveux rasés courts, une gueule de star hollywoodienne des années 70 mélangée au sex-appeal de Brad Pitt ; un corps costaud et solide, malgré un banal mètre soixante-quinze. Sur sa photo de profil, on pouvait voir un sourire charmeur, et une cicatrice étrangement sexy plutôt qu’alarmante sur sa pommette gauche. Des lèvres dessinées au couteau. Une mâchoire féroce, animale, forte. Il me plaisait terriblement.
Assis dans mon canapé, le pc sur les cuisses, mon sexe ne tarda pas à s’allonger le long de mon short, pour devenir douloureusement dur, alors que Tom m’avouait être en manque...Facilement concevable.
Nos échanges commencèrent à esquisser un scénario de nos fantasmes. De par son âge, la cinquantaine, et le mien, tout juste 20 ans - et une inexplicable envie de me soumettre à ses moindres désirs qui prenait délicieusement forme - je décidai de l’appeler "Daddy" (Papa), ce à quoi il réagit violemment. Pas une violence méchante ou mauvaise, non, une violence positive : il appréciait visiblement fortement que je sois son petit garçon, "my sweet boy", et cela me rendait fébrile, comme si un shoot d’adrénaline venait de se diffuser dans mon corps entier, provoquant de délicieux tremblements dans mon corps : je savais qu’inconsciemment quelque chose se jouait, le fantasme fiévreux de l’inceste, du petit garçon et de son papa musculeux... Je bouillonnais !
Certain de prendre la juste voie, j’en jouais, et il adorait ce jeu séduisant. Je lui avouai vouloir venir chez lui pour les vacances, que je serai sage et respectueux, et surtout très trèèèèès reconnaissant pour le gîte et le foyer : j’ajoutai, pour le titiller : "à savoir que ma bouche pourrait recevoir à n’importe quel moment ton gros paquet, que mes lèvres affamées et ma langue souple et experte sauront te dire merci mieux que des mots". Silence. La retranscription écrite de grognements de désir et de pulsions animales, Tom persuadé que ce ne pouvait être réel, un jeune homme français s’offrant à lui comme un véritable esclave sexuel après une petite dizaine de minutes de discussion...
Et pourtant il tenta le coup : il me proposa, suivant ce que lui soufflait son sexe bandé, de me prendre un billet aller-retour pour Dublin, de venir passer la semaine prochaine chez lui. Étant un peu tête brûlée, et surtout voulant découvrir l’Irlande depuis des lustres, je lui envoyai une photo bien significative pour seule et unique réponse : un gros plan de ma bouche, la langue baveuse et pendue sur mon plus joli godemichet, en insérant le mot "YES" dans ma bouche. Lui, n’en pouvant visiblement plus, m’envoya en retour une photo de son sexe, si imposant, si beau et massif, si tentant, qui venait visiblement de jouir sur son écran d’ordinateur où était affichée la photo de ma bouche...
Quinze minutes plus tard, je recevais dans ma boîte mail mes billets d’avion. Le départ était fixé au surlendemain.
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