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Tombés du ciel

Chapitre 2

Hétéro
Alicia se réveilla seule dans le lit. Elle remit le maillot de Roger, il était confortable et rassurant. Elle écouta, mais n’entendit rien de particulier. Elle repensa au comportement de Roger. D’un côté, il était doux et prévenant avec elle et les enfants, de l’autre, il y avait quelque chose de sauvage lorsqu’il entrait dans le domaine du sexe. Elle se leva, le séjour était vide. Elle prit le temps de regarder la pièce, la décoration. Il y avait quelques photos, ses neveux sur la plupart et les parents de ceux-ci également. Quelques photos de jeunesse de Roger, dans son équipe de rugby, à l’armée. Il y avait aussi la photo d’une femme, un cadre un peu caché dans un coin. Elle était jeune, moins de trente ans sûrement. Vu les vêtements et la coiffure, ça sentait bon les années 90. C’était probablement la première compagne de Roger. Elle reposa le cadre, mais ne trouva rien de bien intéressant. Ses enfants l’appelèrent, elle alla s’occuper d’eux.
Roger revint chez lui et trouva la petite famille tombée du ciel. Cette image lui plut, il resta un moment à la contempler.
— Ah, Roger, tu veux un café ? J’en ai fait pour moi déjà.— Merci, je veux bien.
Il s’assit et Alicia le servit. Hala et Salil commencèrent à s’agiter, ils avaient besoin de se défouler. Alicia leur demanda de sortir profiter du soleil matinal. Ils rouspétèrent un peu, mais quand Roger leur dit qu’il y avait une balle à côté de la niche de Kosmos, ils sautèrent sur l’occasion pour aller jouer avec lui.
— Roger, j’ai vu que tu n’avais plus grand-chose dans ton frigo. Il faudrait faire des courses... Mais c’est dimanche aujourd’hui. Demain, ça sera possible ?— Oui, en plus c’est jour de marché au village. J’y serai pour vendre mes fromages.— Tu aurais besoin de quelque chose en particulier ? Tu veux que j’achète quoi ?— Je te ferai une liste, tu ajouteras ce qu’il faut pour toi et les enfants. Tu diras aux commerçants de mettre ça sur ma note.— Mais...— Alicia, comme tu l’as dit, c’est moi qui décide. Et je décide de ne rien vous faire payer.
Alicia ne dit rien, le ton du fermier était sans appel. Elle rangea la table, passa près de lui. Il leva la main plusieurs fois, il était tenté de caresser son cul. Alicia le vit et s’arrêta. Elle le regarda et attendit :
— Vas-y, je vois que tu en as envie. Je n’ai pas changé d’avis depuis hier. Tu peux faire ce que tu veux de moi.
Roger passa la main sous le maillot et la remonta. Il tomba sur la culotte d’Alicia :
— Ah, t’as remis une culotte ?— Oui, enlève-la si elle te gêne.
Après une brève hésitation, Roger fit tomber le slip au sol. Il empoigna le cul d’Alicia et le malaxa. Il insinua ensuite ses doigts le long de la vulve de la jeune femme. Elle écarta les cuisses pour lui faciliter le passage. Elle frémit devant la dextérité du fermier, son sexe se mouilla de lui-même et elle gémit doucement :
— T’es une putain de salope, toi. Tu mouilles au quart de tour. Fais voir un peu dans quel état tu es.
Roger la tourna vers lui, Alicia releva son haut. On voyait clairement la cyprine briller tout autour du sexe de la jeune femme. Le quinquagénaire fourra de nouveau ses doigts sur la vulve d’Alicia. Il joua un peu avec ses lèvres et son clitoris puis porta ses doigts à sa bouche.
— Dis donc, t’as bon goût toi. Assois-toi sur la table devant moi.
Alicia obéit, elle écarta les jambes pour offrir son sexe à l’agriculteur. De dehors, on entendait, sans les voir, les enfants jouer avec Kosmos. Roger se pencha et renifla longuement la chatte d’Alicia.
— Quel parfum ! Une bonne petite moule bien juteuse et bien fraiche. Alors ma petite poufiasse. T’aimerais que Roger te lèche la cramouille ?— Oui, Roger lèche-moi, se surprit-elle à espérer.— C’est pas comme ça qu’on demande quand on est une bonne chienne.— Roger, s’il te plaît, lèche ta salope, lèche ta chienne.— Voilà.
Il se pencha en avant et plaqua sa bouche sur le sexe d’Alicia. Ça lui évitait de trop dire de grossièretés. Mais les gargouillis qu’il produisait en mangeant le sexe d’Alicia n’étaient pas moins obscènes. Alicia ne s’attendait pas à ce genre de chose. Elle pensait qu’elle allait endurer ses assauts, pas recevoir un cunnilingus de sa part. Surtout que l’homme avait l’expérience de la chose, elle sentit rapidement son plaisir aller crescendo.Roger dégustait avec plaisir sa friandise favorite. Il avait toujours aimé bouffer les chattes, il aimait le goût de la cyprine et il aimait bien faire jouir les femmes comme ça. Roger fourra un doigt dans le vagin de la jeune femme. Elle couina d’autant plus, elle aimait vraiment ça. Roger s’acharna sur le clitoris de la blonde tout en la pénétrant de son doigt. Alicia finit par jouir, en retenant tant que possible ses gémissements, Roger la finissant simplement de son doigt :
— Vas-y, jouis pour Roger petite chienne. Je veux ta mouille partout sur ma main.— Aaah, aaah, oui, je suis une salope, une salope.— Non, t’es ma salope à moi. Rien qu’à moi.— Oui, ta salope. Aaaaah.
N’y tenant plus, Alicia referma vivement ses cuisses sur la main de Roger. Elle haletait et soufflait. Elle était rouge de honte et de plaisir. Le fermier retira sa main et se lécha les doigts comme on léchait une glace. Alicia descendit de la table, une petite flaque était visible là où elle était assise.
— Nettoie et ne remets pas ton slip. Je reviens.
Alicia était encore tremblante de sa jouissance. Elle regarda Roger aller vers sa chambre. Elle finit de ranger et nettoyer pendant son absence. Elle était confuse d’avoir autant joui à cause de lui. Elle était censée lui permettre de profiter d’elle, pas de prendre plaisir avec lui. Mais sous ses manières brusques, il prenait le temps de donner du plaisir à son amante du moment. Il fallait pouvoir passer outre sa façon de parler ou aimer ça.Roger revint dans le séjour avec deux combinaisons et une paire de bottes en caoutchouc.
— Tiens, prend ça. Les bottes, ça devrait aller, de toute façon, j’ai pas plus petit. Pour la combinaison, regarde celle qui te va le mieux.— C’est pour quoi faire ?— C’était pour mes prétendantes.— D’accord, mais...— Surprise, mais ça devrait te plaire et aux enfants aussi.— Bon, merci.— Euh, juste, est-ce que tu peux ne rien mettre en dessous ?— Mais...— C’est juste pour te savoir à poil tout près de moi.
Alicia s’en alla dans la chambre et se changea comme demandé par Roger. Les bottes avaient une pointure de trop, mais avec deux paires de chaussettes, ça allait. La combinaison verte était à la bonne taille par contre. Elle ressortit, mais ne vit personne. Dehors, elle entendit Roger appeler Hala et Salil. Elle sortit à son tour.
— Eh, maman, tu es fermière aussi, rigola Salil.— Oui mon chéri. Alors Roger, tu veux nous faire faire quoi ?— Venez.
Ils le suivirent dans la chèvrerie. Parmi les divers enclos, il y en avait accueillant des chevreaux. Les trois citadins s’attendrirent devant ces petits tout mignons.
— Vous voulez leur donner le biberon ?— Oh, on peut faire ça ? s’enthousiasma Hala.— Oui ma puce. Je vous montre et vous pourrez faire après.
Le fermier alla prendre du lait frais et des biberons. Il entra dans l’enclos et montra comment faire. Il tendit ensuite le biberon à Alicia qui eut un peu de mal à contrôler le petit affamé. Roger fit approcher les enfants, avec son aide, Hala parvint à nourrir un chevreau. Mais pour Salil, c’était trop difficile. Il était déçu et au bord des larmes, tant il était frustré.
— Bon, Alicia, Hala, donnez bien à tous les chevreaux. Sal, viens avec moi, je vais te montrer un truc.
Salil le suivit, encore envieux de sa mère et de sa sœur. Mais ce fut pour lui une bonne surprise. Il put monter avec Roger sur un engin. Le fermier s’en servit pour ramener de la paille fraiche dans la chèvrerie. Le gamin était tout heureux de pouvoir faire semblant de le conduire. Alicia et Hala avaient fini de donner les biberons. Elles se proposèrent de changer la paille après une démonstration de Roger. C’était un peu compliqué pour Hala. Alicia s’attela courageusement à la tâche et Roger emmena les enfants avec lui.
Le fermier alla dans son laboratoire où il préparait le fromage. Il fit mettre une blouse en papier et une charlotte aux enfants qui prirent ça comme un déguisement. Roger avait préparé un caillé, il fallait maintenant le mouler. Avec une louche, il montra la manœuvre aux enfants. Hala fut la première à le faire. Elle tirait la langue tant elle se concentrait pour ne pas en mettre à côté. Salil eut besoin de l’aide de Roger pour manipuler la grande louche. Ils travaillèrent ainsi jusqu’à ce que tous les moules soient remplis. Roger les entreposa puis déclara qu’il était temps d’aller déjeuner. Ils retrouvèrent Alicia qui finissait son travail, elle était essoufflée, mais satisfaite du résultat. Roger vit que c’était loin d’être parfait, mais il la félicita tout de même. De quelques coups de fourche bien placés, il fignola le travail et ils purent retourner à la maison.
— Hal, Sal laissez vos chaussures devant la porte et entrez, c’est ouvert.— Et lavez-vous les mains aussi. Hal, tu vérifies que Sal utilise bien du savon.— Oui, maman.
Alicia voulut les suivre, mais Roger la retint.
— Nous, on passe pas par là. Les bottes et la combinaison rentrent pas dans la maison. Viens.
Roger fit le tour de sa maison, il entra par une porte sur le côté. Alicia se retrouva dans une sorte de vestiaire, plusieurs patères permettaient d’accrocher des combinaisons ou des parkas.
— Tu enlèves les bottes et tu les mets là. La combi, tu l’accroches où y a de la place.— Euh, d’accord, mais je suis toute nue dessous.— Ah mince, j’avais oublié...
Il retira vite ses vêtements de travail et se retrouva en caleçon. Il attrapa un t-shirt et un short qui traînaient là et sortit du vestiaire. Il revint avec une robe assez moulante et sans sous-vêtement. Alicia se dit que Roger commençait à profiter pleinement d’elle, mais il restait toujours frileux de lui demander quoique ce fut. Elle baissa le zip de sa combinaison et en écarta les pans. Elle improvisa un strip-tease dans ce lieu et cet accoutrement insolites. Alicia fit glisser la combinaison de ses épaules et l’arrêta au niveau des coudes. Roger ne pouvait voir que le haut des seins, mais déjà, il se touchait le sexe par-dessus son short. Alicia se tourna et descendit un peu plus le vêtement de travail. Elle fredonnait en même temps pour pouvoir se déhancher en rythme. Roger découvrit son dos bien dessiné. Elle sortit ses bras des manches et se retourna de nouveau vers l’agriculteur.
Roger fut déçu, car elle cachait ses seins de ses mains, mais cela le rendit impatient de voir la suite. Alicia joua avec ses nerfs en faisant bouger ses mains rapidement. Il ne pouvait qu’entrapercevoir furtivement les tétons de la jeune femme. Puis elle mit fin au supplice et les dévoila complètement, Roger n’y tenant plus, avait sorti sa bite pour se branler devant ce spectacle. Alicia posa les mains sur ses hanches et baissa la combinaison en dandinant des fesses. Le vêtement tomba au sol et Alicia se tourna encore une fois. Elle montra ses fesses à Roger, posa ses mains sur ses genoux et agita son popotin sous le nez de l’agriculteur. Il s’astiquait plus vite, il avait envie de lui gicler sur le cul. Il sentait le moment approcher, Alicia semblait l’attendre aussi. Mais Kosmos aboya, leur rappelant qu’ils n’étaient pas seuls. Ils entendirent les enfants demander s’ils pouvaient regarder la télé en attendant. Roger débanda rapidement :
— Ils peuvent ou pas ?— Euh, oui, un peu, répondit Alicia surprise.— Votre maman est d’accord ! cria Roger. Hal, tu y arriveras ?— Euh, attend Roger ! C’est le bouton vert ?— Oui.— Ah c’est bon ! Merci.
Roger rangea son attirail sous les yeux étonnés de sa locataire.
— Quoi ?— Euh, tu as préféré répondre aux enfants plutôt que de finir ce qu’on avait commencé ?— Les enfants, c’est le plus important.— Merci, Roger.— Habille-toi, mais euh...— Je reste nue sous ma robe, c’est ça ?— Oui, s’il te plaît...— Mmmm, ça va, elle assez longue pour qu’ils ne se rendent compte de rien.
Roger la laissa et Alicia enfila sa robe. Elle aurait quand même bien aimé qu’il finisse, tout ça l’avait chauffée. Elle rejoignit ses enfants qui étaient focalisés sur l’écran. Ils déjeunèrent tous les quatre, les enfants s’émerveillant encore de ces vacances surprises qui commençaient parfaitement.A la fin du repas, Roger annonça qu’il comptait faire une sieste. Salil en faisait une aussi d’habitude. Hala n’en faisait plus, mais elle piquait du nez dans son assiette. Alicia la convainquit non sans mal de s’accorder un temps calme dans son lit. Elle ne serait pas obligée de dormir, mais devait se reposer un peu. Le subterfuge marcha bien puisqu’à peine couchée, les yeux de la gamine se fermèrent immédiatement. Salil s’endormit vite également. Alicia avait bien travaillé aussi, elle éprouvait le besoin de se reposer. Elle hésitait entre somnoler sur le canapé et aller dans la chambre.
— Je vais me coucher. Tu peux venir aussi, mais j’ai vraiment besoin de me reposer. OK ?— Euh, d’accord.
L’invitation était particulière, mais Roger avait, semblait-il, envie de l’avoir près de lui. Et Alicia avait bien aimé dormir contre ce gros nounours. Ils dormirent une petite heure puis Roger se réveilla le premier. Il allait se lever doucement quand Alicia s’éveilla aussi. Roger avait la main sur la fesse de la jeune femme. Il la caressa un peu faisant remonter la robe. Sa fesse se découvrit et il la pétrit fermement. Alicia roula sur le ventre et Roger joua avec les deux lobes fessiers. Il les écartait, les serrait, les faisait monter ou descendre. Il fit entrer un doigt dans le vagin de la jeune femme. Il le fit tourner dans tous les sens, le sexe d’Alicia s’humidifia rapidement. Il ressortit son index et le lécha puis il ficha son majeur dans la chatte chaude. Avec son index, il commença à titiller et masser l’anus de la jeune danseuse. Celui-ci se contracta puis se relâcha. Alicia avait été surprise, mais elle avait promis de tout lui laisser faire. Ça voulait dire ça aussi.
Elle ne l’avait fait qu’avec Samir quelquefois. Elle avait assez aimé pour lui permettre d’y retourner de temps en temps. Elle se détendit et se laissa faire docilement. Elle remonta même son cul pour que l’angle soit plus agréable pour Roger et pour elle.
Le fermier avait testé sa réaction. La contraction initiale l’avait échaudé, mais ensuite le relâchement et ce cul qui montait pour mieux s’offrir... Il se dit qu’il pouvait y aller, elle l’y autorisait. Il savait bien qu’il pouvait faire ce qu’il voulait, mais il gardait une certaine prudence. Roger planta son doigt lubrifié dans le cul d’Alicia. Elle grimaça et gémit un peu.
— Ah ouais, petite chienne. Tu t’es déjà fait enculer, on dirait. Pas vrai ?— Oui.— Et t’as aimé ?— Euh, oui.— T’a pas l’air sûre. Alors petite salope, t’as aimé ou pas ?— Oui, j’ai aimé.— Et tu veux que je t’encule, non ?— Oui, encule-moi. Encule ta petite chienne.— C’est bien ça, t’es une bonne petite pétasse.
Roger laboura les orifices d’Alicia de ses doigts un bon moment. Au début, Alicia avait été gênée par la pénétration anale, mais comme son cul et son sexe étaient sollicités, elle sentait la jouissance approcher à grands pas. Roger sortit sa queue tendue de son caleçon. Il récolta un peu du jus de la jeune femme et s’en enduisit le gland. Il y ajouta une bonne dose de salive. Une fois bien lubrifié, il se présenta à l’entrée du cul de la petite blonde.
— Ecarte tes fesses. Ouais, comme ça, pose tes mains dessus et écarte bien. Ouais, il est beau ton petit trou déjà ouvert. Il attend sa dose, il sait que sa maîtresse va aimer ça comme la salope qu’elle est.— Oui, Roger, je vais aimer ça. Je suis ta chienne en chaleur, encule-moi.
Roger prit son sexe en main et poussa le gland dans le cul d’Alicia.
— Aaaah, ouuuucch, geignit-elle.— Ouais, c’est bon, c’est serré ça.
Roger profita un peu de cet orifice puis il poussa de nouveau. Alicia avait eu le temps de s’habituer quand le reste de la queue du gaillard entra dans son fondement. Elle grimaça, mais Roger avait bien pris le temps de lui assouplir le trou et il avait l’air de s’être bien lubrifié le braquemart. Une fois au fond du cul d’Alicia, Roger savoura encore le moment. Puis il commença à la pilonner, d’abord doucement puis sans trop de ménagement. Elle avait laissé tomber le fait d’écarter ses fesses et avait enfoui son visage dans un oreiller. Elle criait tout ce qu’elle pouvait. Elle criait pour évacuer une certaine douleur, mais surtout elle criait son plaisir. Roger l’avait approchée tellement près de l’orgasme en lui doigtant la chatte et le cul qu’elle était prête à exploser. Et ces coups furieux qu’elle recevait dans le cul lui déclenchaient des ondes qui se propageaient à son vagin et son clitoris. Elle craqua et jouit comme une folle.
Roger qui était toujours à lui sortir son flot d’insanités habituel eut soudain la queue serrée et broyée par le sphincter de la jeune femme. Après un dernier coup, il se répandit dans ses entrailles en poussant de nombreux grognements.
* * *


Ils partirent tous les quatre pour une balade. L’aide des enfants et surtout d’Alicia avait permis à Roger de se libérer du temps. Il décida de les emmener à la chapelle. Alicia s’était changée pour revêtir quelque chose de plus adapté. Les enfants montaient rapidement, entraînés par Kosmos qui profitait de temps libre lui aussi. Arrivés là-haut, Alicia regarda attentivement la vallée, la chapelle, tout l’environnement. Elle avait les larmes aux yeux, cela se voyait qu’elle avait de nombreux souvenirs qui remontaient à la surface.
— T’es triste ? demanda Salil.— Non, mon chéri. Je suis heureuse qu’on soit tous là. Il manque que votre papa.
Hala sembla avoir un pincement au cœur. Elle essuya discrètement quelques larmes et se serra contre sa mère. Salil était un peu plus détaché, mais profita d’un câlin familial. Roger les regarda tout en se faisant discret. Il fut temps ensuite de rentrer, Roger les fit descendre par un sentier moins emprunté et plus sauvage. Hala et Salil marchaient devant avec Kosmos, ils n’avaient qu’à suivre le chien, il connaissait la route. Roger et Alicia marchaient un peu plus loin derrière. Le fermier se racla la gorge et finit par parler de ce qui le tracassait :
— Alicia, c’était quoi ta vie avant ?— Avant quoi ?— Avant d’arriver ici.— Ma mère a accouché sous X. Malheureusement, je suis passée entre les mailles du filet de l’adoption. Bébé et gamine j’ai traîné de nombreux problèmes de santé. Je suis passée de familles d’accueil en orphelinat. Je n’ai pas trop à me plaindre, je suis toujours plutôt bien tombée. Vers seize ans, j’ai rencontré Samir, on a tout de suite flashé, c’était une évidence pour nous. Lui, on l’avait trouvé dans la rue quand il avait huit ans. A l’ASE, ils pensaient qu’il était avec des migrants et qu’il s’est perdu ou échappé. Tout de suite, nous avons pensé à fonder une famille puisque nous n’en avions pas. Nos tuteurs légaux nous demandaient de patienter, de faire des études et tout. On les a écoutés au début, Samir suivait une formation de cuisinier, il était déjà apprenti dans un bistrot. Moi, je ne savais pas trop ce que je voulais faire. J’avais réussi à toujours faire de la danse dans des associations. Je pensais alors devenir prof de danse. Mais les formations n’étaient pas gratuites. Et puis Hala est arrivée, ma petite lune d’amour. En attendant mieux, j’ai fait de l’intérim avant d’accoucher. On ne roulait pas sur l’or, mais ça allait. Après sa naissance, j’ai voulu reprendre, mais je ne trouvai rien. Finalement, j’ai trouvé un job de serveuse à La Jonquera. Uniquement serveuse, dans un bar normal. C’était loin, mais Samir était là. Après j’ai répondu à un casting pour faire gogo danseuse. Ce n’était pas ce dont je rêvais, mais je pouvais danser. Je me suis toujours refusé à me foutre à poil. Je restais en petite tenue. Ensuite, Salil a pointé le bout de son nez, ma petite épée, mon fils. Samir était tellement fier d’avoir un fils. Salil, c’était son trésor. Il s’est fait renverser un samedi soir en rentrant du boulot. Un mec qui aurait mieux fait de rester dormir chez ses amis plutôt que de reprendre le volant, bourré.
Alicia sécha ses larmes, elle fit une pause puis termina son histoire :
— J’étais détruite. Au procès, j’ai eu un peu d’argent, ça m’a permis de passer mon congé maternité puis quelques semaines encore. Je cherchais de nouveau du travail, mais ne trouvais rien. Je ne savais rien faire d’après les employeurs. J’ai quitté mon ancien appart pour arriver dans mon studio actuel. Heureusement que j’ai eu une voisine formidable. Elle a vu dans quelle détresse j’étais. Elle s’est toujours portée volontaire pour surveiller mes enfants dès que j’en avais besoin. Elle m’a réconforté de nombreuses fois. J’ai dû me résoudre à retourner à La Jonquera. Bien vite, j’ai compris que pour gagner assez d’argent il me fallait me foutre à poil. Alors je l’ai fait. J’ai découvert la pole-dance grâce à une collègue. Et je dois dire que je suis plutôt douée. Ça m’a permis de bien travailler et pas seulement là-bas, aussi autour de Perpignan dans des boîtes. Je ne travaillais pas tout le temps, mais ça me permettait d’amasser suffisamment de sous pour faire vivre ma famille. Et puis, lors d’un numéro, je suis tombée sur le dos. Ça a bousillé ma saison et les choses se sont enchaînées de mal en pis...— Je vois. Tu es très courageuse quand même. Tu es très forte mentalement.— Pfff, je ne tiens que pour eux. Ils ne seraient pas là, je me serais jeté sous un train depuis longtemps.— T’es encore jeune.— Mais vieille en un sens. Tu connais beaucoup de gens qui sont passés par tout ce que j’ai vécu ? Même à ton âge, ça court pas les rues.
Roger ne savait plus quoi dire. Alicia se tourna un peu vers lui :
— Et toi alors ? C’est quoi ton histoire ?— Bah, mes parents faisaient déjà dans la chèvre, alors j’ai repris la suite. Ne crois pas qu’on m’a forcé ou que je regrette. J’aime ce que je fais. Vers vingt ans, j’ai rencontré ma première vraie compagne, Bérénice. J’étais déjà sorti avec des filles et tout, mais ça ne durait jamais bien longtemps... A voir ta tête, je sais à quoi tu penses. Oui, j’avais déjà ce penchant pour le vocabulaire cru.— C’est un euphémisme.— Oui, bon, bref. Et puis j’ai rencontré Bérénice. J’ai pas mal bataillé pour l’approcher. Elle avait entendu parler de moi en de mauvais termes. Quand j’ai pu enfin l’inviter, elle a été sur ses gardes, mais comme dans la vie normale, je suis plutôt prévenant.— T’es charmant même, attentionné et tout.— Donc, elle a bien voulu me revoir. De fil en aiguille, on en est arrivé à ce que je puisse envisager une première relation sexuelle avec elle. Ça s’est moyennement passé.— T’as dit des horreurs.— Non, justement, je me suis retenu, ça m’a un peu bloqué. Elle n’a pas pris un pied d’enfer. Moi non plus d’ailleurs. On a recommencé plusieurs fois comme ça. Mais nous étions tous les deux insatisfaits. Bérénice a voulu percer l’abcès. J’ai dû lui dire pour moi. Elle a alors bien voulu que je me comporte sans entrave. Pour moi, ça a été magique. Pour elle, ce fut une révélation. Elle adorait entendre des grossièretés, elle m’en sortait aussi quelques-unes de bien salées, même si certains mots restèrent interdits ensuite. Elle venait de la vallée donc vivre ici ne la dérangeait pas. Mais une ombre ternit rapidement notre bonheur. Nous n’arrivions pas à avoir d’enfants. On a fait des examens et a priori nous étions tous les deux stériles. J’étais malheureux, car pour moi, c’était un indispensable à mon bonheur.— Vous n’avez pas songé à adopter ?— Mmm, Bérénice me l’a proposé de nombreuses fois. Mais moi, je voulais un enfant issu du ventre de ma compagne. Je me suis borné stupidement, espérant je ne savais quel miracle médical. J’ai fini par dire des choses pires que ce que je peux faire pendant le sexe. Alors elle est partie, me laissant comme un con, ce que j’étais. Depuis, j’ai eu de temps en temps des histoires, mais bien trop brèves pour construire quelque chose. Si je me retenais de parler, elles étaient insatisfaites, et moi aussi. Et si je parlais, elles étaient choquées. Quelques-unes comprirent que ce n’était que des mots, mais elles ne le supportèrent jamais plus de quelques semaines. Tu as vu l’émission, depuis plus rien.— Tu aurais été un bon papa, je suis sûre...— Ma sœur et Bérénice m’ont tanné avec ça, mais j’étais trop con. Quand elle est partie, ma sœur m’a fait la gueule pendant longtemps. Elle aimait beaucoup sa belle-sœur.
Ils restèrent pensifs un moment puis ils entendirent les enfants les appeler. Ils pressèrent le pas et les découvrirent au bord d’un ruisseau.
— On peut se baigner maman ?— Non Hala, vous n’avez pas de maillot de bain et il est tard.— Et puis ici, c’est un peu dangereux. On va descendre encore un peu, il y a un endroit où on pourra venir demain si vous voulez. Là, vous pourrez tremper les pieds si maman veut bien.— Je déciderai quand on y sera. Salil, Hala, ne courez pas !— Kosmos ! Doucement !
Le chien ralentit et les enfants se calèrent sur son rythme. Plus loin, ils découvrirent en effet un endroit plus adapté à la baignade, le courant était moins rapide. Cela faisait comme une grande baignoire ou une petite piscine. Salil et Hala enlèvent leurs chaussures et trempèrent les pieds. Alicia dut se fâcher pour qu’ils ne se mouillent pas plus. Ils y restèrent un moment puis il fallut repartir. L’heure avançait, les chèvres attendaient sûrement leur traite. Arrivés en vue de la ferme, on les entendait déjà.
— Alicia, Hala et Salil peuvent rester un peu seuls ?— Oui, on a l’habitude, répondit Hala.— On est très sages tu sais, Roger.— Pourquoi ?— Je vais avoir besoin d’aide pour que ça aille plus vite. Elles vont être impatientes. A cette heure-ci, j’ai presque fini normalement.— Oui, pas de problème. Je suis pas loin donc ça va. Je peux t’aider Roger.
Hala et Salil s’assirent sur le canapé et Alicia alluma la télé. Roger et elle prirent le petit couloir puis la porte en face de celle de la chambre des enfants. Dans le vestiaire, ils commencèrent à se changer. Roger regarda Alicia :
— Euh...— Toute nue encore ?— Oui.— Dis donc, tu aimes vraiment ça, de me savoir à poil là-dessus.— J’aime bien que la nana avec qui je suis soit comme ça et que les gens autour ne le sachent pas.— Je vois.
Alicia se déshabilla devant lui. Roger n’en perdit pas une miette. Une fois prêts, ils allèrent à la salle de traite. Alicia demanda un peu d’aide au départ puis elle se débrouilla toute seule. Roger l’observait toujours du coin de l’œil :
— Alicia, ça va ?— Oui, oui, allez biquette, laisse-moi faire. Ah voilà.— Non, je parle de ton cul. Je ne t’ai pas déchiré ou fait trop mal ?— Oh ça, non ça va. J’ai eu un peu mal au départ, mais ensuite j’ai bien aimé. C’est bizarre toutes les précautions que tu prends alors que je t’ai dit que tu pouvais faire ce que tu voulais avec moi.— D’abord, j’ai pas envie de te casser ou de t’abîmer quelque chose, et même sans ça, je veux continuer à me regarder dans une glace et me dire que je ne suis pas un salopard.— Ah, merci... Dis, c’est bon le lait de chèvre frais comme ça ? Ça a besoin d’être pasteurisé ou je sais pas quoi ?— Non, mais il faut le consommer rapidement. Après, il faut soit le stériliser soit en faire du fromage. Si tu veux quand on a fini, je te fais goûter.— Je veux bien. Je peux aller voir rapidement Hal et Sal ?— Oui, oui. Tu reviens après ?— Oui.
Alicia s’absenta et revint quelques minutes plus tard.
— Ça va ?— Pfff, oui. J’ai toqué à la fenêtre, mais ils étaient tellement absorbés par la télé qu’ils ont mis du temps à réagir. Même ton chien a fait la sourde oreille.— Ah ben bravo. Allez, on a presque fini, c’est les dernières.
Quand ils eurent fini, Roger emmena Alicia dans une pièce près de son laboratoire. Il y avait là plusieurs cuves en inox. Roger prit un récipient de la même matière et le posa sous un robinet d’une des cuves. Il l’ouvrit et un liquide blanc s’en échappa. Roger referma puis alla mettre le récipient sur une table. Il prit un gobelet blanc et le plongea dans le lait.
— Tiens.
Alicia le prit et sentit le parfum se dégager du lait. C’était fort, très parfumé et un peu tiède encore. Elle le goûta du bout des lèvres.
— Wouha ! C’est hyper-bon.
Elle en reprit une bonne rasade. Roger la regarda d’un œil amusé. Alicia tendit son verre :
— Je peux en ravoir s’il te plaît.— Bien sûr. On en garde un peu pour tes gamins quand même ?— Oui, oui.
Alicia vida d’un trait son nouveau verre. Dans son empressement, du lait déborda et coula sur son menton et dans son cou. Il y avait là quelque chose de tentant pour Roger et il se pencha un peu. Alicia le vit et tendit son cou. L’agriculteur posa sa bouche sur le cou gracile. Il lécha avidement le lait qui avait coulé. Roger suivit le filet de liquide plus bas, mais fut arrêté par la combinaison. Il baissa la fermeture et Alicia ouvrit en grand le vêtement de travail. Roger lapa les dernières gouttes sur le haut de la poitrine d’Alicia. Il était un peu frustré de ne pas avoir pu descendre plus bas. Il reprit le gobelet, le remplit et en versa sur les seins d’Alicia. Le quinquagénaire revint téter goulûment les mamelles de la jeune femme. Celle-ci avait l’impression de se faire aspirer les mamelons par une machine. Mais elle aimait ça, c’était fort, mais non brutal, puissant, mais non douloureux. Roger remit deux fois du lait puis se redressa.
Il ouvrit son bleu de travail et sortit sa queue déjà bien dure. Il versa quelques gouttes de lait de chèvre dessus. Alicia comprit tout de suite ce qu’il voulait, elle s’agenouilla et lécha le membre enduit de lait.
— Ça c’est ma petite salope préférée. Elle lèche et elle suce comme il faut. Tiens, je t’en remets. Suce, suce, petite pute, vas-y. Suce-moi bien à fond.
Alicia arrêta de léchouiller le mat pour l’emboucher réellement, elle le pompa rapidement. Roger faisait goutter le lait sur sa queue de temps en temps pour qu’il y en ait toujours un peu. Il accompagnait la fellation d’Alicia d’un flot d’injures.
— Ah salope, salope, petite chienne avec ta bouche de suceuse. C’est un bon garage à bite ça. Vas-y, vas-y, fais-moi gicler dans le gobelet. Tu boirais tout ensuite, hein petite chienne.— Oui, je boirai tout, le lait et ton foutre. Vas-y, crache tout dedans.— Aaah, aahhh, ouiiii.
Alicia branla la queue de Roger au-dessus du verre en plastique. Il en avait une bonne réserve encore. Avant qu’elle ne vide son verre, Roger lui fit nettoyer son gland à coup de langue.
— Vas-y, bois, maintenant.
Alicia regarda le mélange particulier. Elle porta le gobelet à ses lèvres puis avala en une longue rasade. Elle avait l’impression de boire un yaourt liquide au parfum bizarre, pas mauvais en soi, mais étrange. Elle tendit le verre à l’agriculteur qui le regarda avec satisfaction. Il redressa Alicia et plongea sa main dans sa combinaison. Il posa ses doigts sur le sexe d’Alicia. Il était trempé comme il s’y attendait. Il fit jouer ses doigts sur sa vulve et son clitoris. Alicia poussa de petits gémissements, ses jambes se dérobèrent un peu sous elle. Roger la rattrapa et la colla contre lui. Alicia était toute à son plaisir, la tête en arrière, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Roger joignit ses lèvres aux siennes et l’embrassa profondément. Ce fut un baiser assez doux, assez tendre, Alicia fondit complètement. Les doigts de Roger sur sa chatte lui faisaient déjà beaucoup de bien, ce baiser-là fit atteindre l’orgasme.
Elle se liquéfia, elle ne tomba pas au sol que parce que l’agriculteur avait son bras gauche dans son dos. La main droite s’activa sur le clitoris jusqu’au dernier moment.
— Aaaah, Roger. Aaaah, oui, oui, aaaah, chuchota-t-elle dans sa jouissance.
Après un instant, Roger la remit sur pieds. Il se rhabilla tout en admirant sa partenaire. Alicia réussit à renfiler la combinaison puis demanda à Roger :
— Roger, merci. Tu n’es pas obligé de me faire jouir.— Tu as dit que je faisais ce que je voulais. Alors...— Oui, mais je ne pensais pas que...— En fait, j’aime bien voir ma compagne, ma partenaire du moment jouir. Sinon, j’ai toujours l’impression de pas avoir bien fait mon travail. Ça m’arrive quand même, dans une baise rapide, de ne penser qu’à moi.
Roger ramena du lait pour les enfants. Ceux-ci jetèrent à peine un œil à leur mère qui filait directement dans la salle de bain. Le fermier leur demanda d’approcher, il leur montra ce qu’il rapportait. Il leur fit goûter, Salil adora, Hala un peu moins. Elle préférait le lait "normal". Alicia revint et fit prendre une douche aux enfants. Roger prépara le repas et ils dinèrent.Le reste de la soirée se passa un peu comme la veille : bisou et histoire aux enfants, dernière vérification à la chèvrerie puis douche pour Roger. Alicia avait allumé sur un film en l’attendant. Elle lui donna la zappette, mais il laissa la chaîne et passèrent la soirée à regarder la télé. Au moment du coucher, ils allèrent dans la chambre. Alicia se mit nue et Roger fit de même. Ils se glissèrent sous la couette. Alicia attendit les assauts de Roger, mais ils ne vinrent pas.
— Rien ce soir ?— Non, trois fois dans la journée, je fatigue moi, ma poulette.— D’accord. Bonne nuit alors.— Bonne nuit.
Alicia s’emmitoufla sous la couette, mais elle ne cessa de bouger.
— Tu veux te coller à moi ?— Tu veux bien ? J’aime bien dormir tout contre toi. Tu es... Tu es tellement grand que j’ai l’impression de dormir contre mon père.— Vraiment ?— Oui.
Roger se leva brusquement et jeta le maillot de rugby à Alicia. Il prit ses affaires et commença à s’habiller.
— Habille-toi. Un père et sa fille dorment pas l’un contre l’autre tous nus.
Alicia renfila le maillot et une culotte. Elle n’était pas très sûre de savoir où voulait en venir Roger. Il se recoucha près d’elle.
— Allez, ma fille. Viens contre papa pour dormir.
Roger tendait son bras vers elle pour l’inviter à venir. Elle se blottit contre lui :
— Merci papa.— Bonne nuit ma chérie.— Bonne nuit papounet.
Ils dirent "papa" et "fille" avec un second degré évident, mais un plaisir certain de l’entendre. Alicia sombra rapidement dans le sommeil, Roger la regarda dormir avant de fermer les yeux aussi.
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