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Tombés du ciel

Chapitre 3

Hétéro
Alicia se réveilla seule encore une fois. Elle avait bien dormi, bien mieux que depuis longtemps. Elle se leva et se rendit dans le séjour. Elle trouva un petit mot sur la table.
— Alicia. Au dos, j’ai mis la liste de ce dont j’ai besoin. Je te laisse prendre aussi ce qu’il te faut. S’il te manque un truc, on ira faire d’autres courses ailleurs. J’ai fait la traite et mis du foin avant de partir. Peux-tu donner le biberon aux chevreaux ?
Hala et Salil se levèrent un peu plus tard, Alicia les fit déjeuner puis les habilla. Ils allèrent avec elle s’occuper des chevreaux. Pour eux, c’était toujours un jeu. Pour Alicia, ça ressemblait à un travail. Un vrai, plus valorisant que ce qu’elle allait devoir faire en rentrant chez elle. Et tenir ces petits diables poilus l’amusait beaucoup. Ils rentrèrent à la maison et se préparèrent pour aller au marcher.
— On va où ?— Faire des courses, Sal.— Au magasin ?— Non, au marché.— Et Roger, il est où ?— Il est là-bas Hal, il vend ses fromages.
Les enfants furent heureux de retrouver l’homme. La vieille voiture d’Alicia s’ébroua difficilement, mais ils partirent au village. Elle se gara facilement et ils commencèrent les courses. Elle suivait la liste de Roger, elle rajoutait de temps en temps des choses que les enfants aimaient. Elle avait des scrupules à dire à chaque fois :
— Vous pouvez mettre ça sur le compte de Roger ?
La plupart des commerçants répondaient favorablement en ajoutant :
— Ah, c’est vous que Roger héberge ?
Alicia n’eut que des sourires et des mots gentils. Ils passèrent devant Roger, Hala et Salil lui firent une bise et demandèrent à rester avec lui. Ça ne le dérangeait pas et ça permettait à Alicia de finir tranquillement. Quand elle termina par le boucher, celui-ci lui parla un peu plus :
— Ce roublard ne m’avait pas dit qu’il faisait dans l’accueil de touristes.— Vous le connaissez bien ?
— Tu parles ma petite, on fait l’armée ensemble et quelques autres bêtises aussi, dit-il avec un clin d’œil.— En fait, il nous héberge gentiment pour la semaine. C’est un ami.— Dis, ma petite, c’est pas banal d’avoir comme ami un bonhomme de son âge.— Je sais, il fait un peu mon papa de substitution.— Ah !— Dites Monsieur.— Tsss, tssss, Patrick. Et tu me tutoies, t’es gentille.— Patrick, euh, tu connais bien son histoire ? Bérénice et tout ça ?— Tu parles que oui. Je l’ai ramassé à la petite cuillère le pépère. Mais il sait qu’il a fait le con.— Oui, ça a l’air. Mais elle ou lui n’ont jamais essayé de se réconcilier ?— Non, lui, il était trop têtu pour ça. Et elle, elle est partie pour Perpignan quelque temps après. Elle voulait s’éloigner. Elle a bien fait à mon avis, mais elle n’a pas eu trop de chance apparemment. D’après ce que je sais, elle a eu des problèmes. Elle n’est pas tombée sur un bon gars. Du coup, elle est revenue dans la vallée quelques années après. Mais elle a toujours évité Roger depuis.— Bah, peut-être que son mari n’a pas trop envie qu’elle le recroise.— Mmmh, mais je crois qu’elle est seule. Elle a vécu un moment avec un gars du coin. Ils sont plus ensemble maintenant.— Merci Patrick. Vous euh, tu fais que les marchés ou tu as une boutique ?— J’ai une boutique dans un autre village à quelques kilomètres. Passez donc me voir avec Roger. Ma femme sera contente de le voir, ça fait longtemps.— Merci de l’invitation. Je ne manquerai pas de la faire passer à Roger.
Alicia revint avec ses courses vers l’étal de l’agriculteur.
— Ah, te voilà. T’es restée longtemps avec Patou.— Hein, qui ?— Patrick.— Oh. Il est très gentil. Comme il te connaît bien on a un peu discuté tous les deux.— Mouais...— T’es jaloux ma parole, lui chuchota-t-elle à l’oreille.
Roger ne répondit pas, mais grogna un peu.
— Donne-moi les sacs, je les mets dans le fourgon frigorifique.
Roger rangea les courses à l’intérieur. Il entendit Alicia parler, une cliente demandait à être servie. Alicia appela Roger et tenta de faire la commande de la cliente.
— Attends, Alicia. Regarde.
Roger lui montra comment empaqueter les fromages. Il en profita pour détailler les différents affinages qu’il vendait. Alicia écouta attentivement.
— Dis, Roger. Les enfants m’ont dit qu’ils en avaient fait pleins avec toi. Et avec tout le lait que tu tires des chèvres...— En fait, mon fromage part dans différents restaurants étoilés à Paris, Bordeaux, Lyon et en Belgique. J’en vends un peu sur les marchés locaux, surtout l’été avec les touristes et tout ça. Et puis, mon surplus de lait, je le vends à une laiterie aussi. Mais...— Mais quoi ?— J’ai pas beaucoup de temps à moi au final. A deux, je pourrais vendre plus tout en ayant plus de temps libre. On me relance parfois pour arroser la Suisse et d’autres régions. Mais j’ai pas les ressources pour le faire. Tu vois si une des prétendantes avait voulu travailler avec moi, il y avait moyen de nous faire vivre tous les deux...— Tu n’as pas pensé à prendre un jeune agriculteur ?— Si, bien sûr, mais personne ne veut prendre ma suite. Enfin, j’ai encore du temps pour trouver un petit jeune. Je suis pas à la retraite encore. Après, c’est compliqué comme métier. Les jeunes, s’ils se lancent dans le métier, préfèrent faire des céréales souvent. Avoir des vaches ou des chèvres qui font du lait c’est assez contraignant. Et puis ici, il n’est pas toujours possible pour la compagne de trouver un emploi.— Et Bérénice, elle travaillait avec toi ?— Non, elle a toujours été employée de mairie. Et puis de toute façon, quand j’ai commencé, j’avais tout juste de quoi subvenir à mes besoins.
Une touriste allemande se présenta à l’étal et demanda en anglais des informations à Roger. Mais il ne comprit rien de rien. Alicia rigola et se chargea de la renseigner. Elle fit la vente, l’emballage et le rendu monnaie.
— Dis donc, t’as pas utilisé la calculatrice ?— Pfff, pour quelques additions, non. Et puis j’ai toujours été forte en maths à l’école.— T’aurais pu faire des études alors ?— Oui, si j’avais eu des parents pour me pousser et m’encourager. Peut-être. Et puis avec Samir, on voulait travailler tout de suite, vivre une vie de famille. Au fait, Patrick m’a dit qu’il aimerait bien te voir. Il nous a invités à venir le voir, lui et sa femme.— Je sais pas. On verra. Peut-être mercredi ou jeudi, répondit Roger.
C’était un peu une réponse bateau, mais il n’avait pas vraiment envie d’y aller.
— Roger, y a des jeux ici ? On s’ennuie, se plaignit Hala.— Euh, oui, derrière l’église. Il y a une balançoire et un toboggan. Et il y aura sûrement d’autres gamins.— Maman, on peut y aller ? demanda Salil.— Oh, je vous y amène, soupira-t-elle.— Tu voulais rester là ? demanda Roger.— Oui, j’aime bien parler aux gens et tout. Et puis ça te fera une pause. Tu as beaucoup travaillé depuis ce matin.— Au fait, les chevreaux ?— Ils ont eu leur biberon. Hala s’est débrouillé comme un chef.
La fillette gonfla les muscles, ou fit semblant de le faire.
— Eh, moi aussi j’ai aidé ! J’ai donné les biberons à maman ! s’offusqua Salil.— Mais oui, Sal. Tu m’as beaucoup aidé. Allez, Roger vas-y.— Bah, d’accord. Je les emmène.
Alicia resta à servir les clients. Elle papotait, plaisantait. Elle se sentait bien dans ce village, dans ce rôle. Vers midi, Roger revint avec les enfants. Il paraissait un peu gêné.
— Qu’est-ce qui t’arrive Roger ?— Euh, en fait, j’ai croisé le maire.— Bah, et alors ?— Euh, le village propose tous les mercredis un centre de loisirs, une garderie pour les enfants du coin. Il m’a dit que ce mercredi, ils emmenaient les enfants dans le grand village de la communauté de commune, car il y a un cirque. Tu penses, tes garnements ont sauté sur l’occasion pour vouloir à y aller. Comme le maire est un ami de longue date, il m’a dit que si je payais les frais liés aux enfants, ils pouvaient venir, car il lui restait de la place.— Oh, Hala, Salil. C’est pas très bien ça. Il fallait me demander avant et ne pas quémander comme ça. Et j’ai pas les moyens pour des extras.— Euh, en fait, ils n’ont rien demandé. Et j’ai déjà dit au maire que je m’acquitterai de la somme aujourd’hui même.— Mais, Roger !— J’aurais dû te demander ton avis avant, mais comme je voyais que ça leur faisait vraiment plaisir, je me suis laissé avoir par leurs petites bouilles d’anges.— Mmmm, je sais. Ils sont forts à ce jeu. Ecoute, je vais leur dire que ça ne va pas se faire.
Salil et Hala qui n’étaient pas loin entendirent et se mirent à pleurer silencieusement.
— Non, laisse, ça me fait plaisir. Tu voulais leur offrir une parenthèse enchantée, laisse-moi participer aussi.
Alicia rendit les armes et Roger annonça aux gamins que maman était d’accord. Ils sautèrent de joie et serrèrent Roger dans leurs bras. L’agriculteur prit un peu de sous dans sa caisse et alla à la mairie.
— Vous pouvez commencer à ranger en attendant ?— Oui, bien sûr. Hal, Sal. Asseyez-vous et restez tranquilles le temps que je range.
Alicia rangea les fromages restants. Elle replia difficilement l’étal même avec l’aide de Hala. Puis ils attendirent Roger pour finir de démonter le stand. Il était visiblement content du cadeau fait aux gamins. Ils rentrèrent à la ferme dans leurs véhicules respectifs. Ils déjeunèrent tous ensemble puis il fallut aller faire la sieste. Hala et Salil ne voulaient pas en entendre parler, mais Roger leur rappela que s’ils voulaient aller se baigner, il fallait dormir avant. Les enfants obéirent à contrecœur. Mais ils se couchèrent docilement, surtout que Kosmos vint faire la sieste au pied de leurs lits.
* * *


Roger et Alicia se reposèrent assez sagement. A leur réveil, ils parlèrent un peu :
— Dis Roger. Je t’ai senti réticent à voir ton ami.— Oui. J’ai un peu peur des questions gênantes sur notre situation.— Y a rien de gênant. Tu m’héberges et voilà.— Oui, mais Patrick, il sait comment c’est fait chez moi...— On dira que je dors sur le canapé.— Mais Hala et Salil ?— Oh, te tracasse pas de ça on verra bien. Et puis je lui ai dit que tu étais un peu un papa de substitution.— T’as dit ça ?— Oui, bon. C’est pour justifier que tu me loges pour les vacances et tout.— OK, je m’en souviendrai s’il pose des questions.— Mais j’ai dans l’idée que c’est pas vraiment ça qui te fait hésiter à aller le voir. En fait, j’ai l’impression que ça fait un moment que tu l’as pas vu...— Tu m’emmerdes... Oui, ça fait quelque temps que je sors moins. Il s’en est inquiété, mais je lui ai dit que j’avais trop de travail.— Tu ferais mieux de sortir, tu sais. Allez ! On y va ! Ça sera bien !— Non.— Allez, steuplait, steuplait !— Bon d’accord, on ira mercredi...— Youpi !
Et Alicia déposa un gros bisou sur la joue de l’agriculteur. Ils laissèrent passer un moment de calme, ils écoutaient pour voir si les gamins se réveillaient. Puis Alicia se tourna vers Roger :
— Merci, Roger.— De quoi ?— Pour le cirque. Tu ne peux pas savoir à quel point ça me touche.— Oh, ça va, quelques euros. Et ça me fait plaisir.— C’est pas temps les sous que ça pouvait coûter que le fait que tu as pensé à eux spontanément.— Je te dis. Ça me fait plaisir. Je sais bien que tu fais tout ce que tu peux. Ils n’ont pas souvent été gâtés. Alors j’avais envie de leur offrir un séjour magique... Ça me fait penser. J’ai parlé à un des gars du coin qui a des ânes. Il les loue aux touristes pour des balades. Il me doit un service donc il va nous en prêter deux demain. Hala et Salil pourront monter dessus ou les tirer. Je sais que les gamins préfèrent les tours de poney...— Non, c’est rien. C’est super encore une fois. Je pensais te remercier pour le cirque. Là il faut vraiment que je fasse quelque chose.
Alicia se redressa et retira son t-shirt puis son short. Elle était nue dessous.
— Tu es sortie comme ça ?— Oui, mais j’ai oublié de te le dire. Je sais que ça te fait plaisir. Et en parlant de te faire plaisir...
Alicia tira sur le pantalon de Roger et sur son caleçon. La bite du fermier était à moitié dure, la jeune femme prit le membre en main et l’astiqua nonchalamment. Il se dressa vite tout droit entre ses doigts. La jolie blonde se pencha et commença à pomper le quinquagénaire.
— Ah petite salope, ta bouche... T’es une sacrée suceuse tu sais toi. Vas-y, pompe-moi le dard bien à fond.
Roger appuya sur la tête d’Alicia. Sa queue s’enfonça assez loin, presque pour une gorge profonde.
— T’es presque aussi douée que Bérénice, petite pute. Allez, ramène ton cul. J’veux te bouffer la moule.
Roger attira le cul d’Alicia à lui. Ils se retrouvèrent en 69. Il admira la petite chatte épilée et le petit trou plissé.
— C’est encore bien frais tout ça. On dirait une chatte et un cul de pucelle. Mais c’est pas ce que t’es. T’es une putain de salope. Une chienne qui aime se faire mettre, hein ?
Alicia lâcha la queue de Roger pour lui répondre :
— Je suis ta chienne Roger. Ma cramouille et mon cul sont pour toi, tu le sais. Lèche ta petite salope, s’il te plaît.— Ouais, mais suce-moi bordel !
Alicia reprit sa fellation. Roger posa sa bouche sur le sexe de la jeune femme et commença à le lécher, le sucer. Il se servit de sa langue comme d’une petite bite. Alicia gémissait et geignait. Elle avait bien du mal à sucer le dard de Roger. Quand il relâchait la pression sur sa chatte, elle le pompait plus fort et plus vite. Alors c’était lui qui éructait et soufflait. Ils bataillèrent un moment tous les deux, l’homme n’étant pas sûr de gagner à ce jeu. Roger se reprit et planta ses doigts dans la chatte baveuse devant lui. Il laboura le con d’Alicia lui arrachant quelques plaintes de plaisir. Il retourna manger les lèvres et le clitoris d’Alicia et utilisa ses doigts lubrifiés pour masser son petit trou. Alicia ondula du postérieur, elle geignait encore plus. Elle poussa un petit cri quand Roger fit entrer un doigt dans son anus. Il en mit un deuxième faisant ainsi râler Alicia.
Roger la lécha et la pénétra brusquement, il devait se dépêcher, il sentait sa jouissance approcher et il n’avait pas encore assez eu de cyprine à son goût. Alicia poursuivit tant bien que mal sa fellation. Elle sentait son orgasme arriver rapidement. Si elle jouissait, elle ne serait plus capable de le sucer et le faire éjaculer. Mais cette langue sur sa chatte et ces doigts dans son cul étaient terribles, terriblement bons. Elle craqua et jouit sur Roger. Il reçut plusieurs jets de cyprine en plein visage. Il s’en régala délicieusement et lapa le restant de mouille directement à la source. Alicia était KO, Roger se dégagea et la retourna. Il passa au-dessus d’elle et enserra sa queue entre ses seins. Il s’offrit une branlette espagnole du tonnerre :
— Une paire de nichons pareille, je pouvais pas ne pas en profiter. Hein, t’as des nichons de salope, toi ?— Oui, Roger, ils sont tout à toi. Des vrais nichons de chienne. Baise-les Roger et tartine-les de foutre.— Mais j’y compte bien, petite pute.
L’agriculteur se démena encore un peu puis la première giclée sortit de sa queue et atterrit dans le cou d’Alicia. Mais Roger voulait éjaculer sur ces seins magnifiques. Il prit sa bite en main et s’astiqua au-dessus de la poitrine d’Alicia. Il aspergea celle-ci de plusieurs jets et puis il eut envie de lâcher les derniers sur son visage. Il s’avança et recouvrit la face d’Alicia de ce qu’il restait dans ses couilles. Puis il planta sa queue molle dans la bouche de la jeune femme pour qu’elle le nettoie. Alicia ne se fit pas prier, elle était toujours dans l’état d’esprit de lui faire plaisir. Elle avait voulu remercier Roger, mais en avait tiré un sacré plaisir. Elle se releva et fila à la salle de bains. Elle revint quelques instants après pour se rhabiller.
— Mets un maillot de bain. On va à la baignade.— OK.
Ils se préparèrent tous deux avant d’aller chercher les enfants. Ceux-ci furent très motivés pour aller se baigner. Les préparer fut une partie de plaisir. Alicia s’en étonna, elle n’avait jamais réussi à les faire se préparer aussi vite. La petite troupe s’en alla faire cette baignade, Roger les fit passer par le chemin plus sauvage. C’était plus tranquille et plus rapide d’accéder au coin de baignade par là. Ils y arrivèrent et s’installèrent rapidement. Les enfants se mirent en maillot, toute seule pour Hala et avec l’aide de Roger pour Salil. Les enfants entrèrent dans l’eau facilement. Leur maman eut du mal à y entrer jusqu’aux genoux. Roger, un peu plus habitué, s’assit dans la rivière. Il y venait parfois dans des périodes de canicule : l’eau ici était toujours fraîche. Hala et Salil arrosèrent leur mère en rigolant. Roger se joignit à eux, ses grandes mains aspergeant abondamment la jeune femme. Alicia poussa des cris comme l’eau glacée mouillait son corps.
Elle se vengea et arrosa l’agriculteur à son tour. Kosmos les regarda, mais préféra rester lézarder au soleil. Roger et Alicia ressortirent de l’eau, Hala et Salil optant pour construire un barrage avec les galets de la rivière. Ils commencèrent à avoir froid, surtout le petit garçon. Alicia les rappela pour qu’ils goûtent. Durant cette pause bienvenue, le soleil les réchauffa et ils purent repartir jouer, en se limitant au bord de rivière. L’ordre de leur mère ne leur fit pas plaisir, mais c’était ainsi. Roger les rassura en leur disant qu’ils pourraient sans doute revenir un autre jour. Ils s’en accommodèrent et allèrent jouer. Cette fois-là, ils embarquèrent Kosmos avec eux. Roger et Alicia profitèrent du soleil et de la chaleur le reste de l’après-midi. De temps en temps, l’un et l’autre mataient le corps de la personne allongée à côté. Roger détaillait le corps harmonieux et svelte de la jeune femme, ses seins remplissant les bonnets de son bikini.
Lorsqu’elle était sur le ventre, il pouvait voir ses épaules assez carrées pour une femme et surtout ce cul mis en valeur par un bas au style brésilien très échancré. De son côté, Alicia profitait des épaules larges, du torse musclé et poilu de Roger. Son ventre trahissait sans conteste son âge. Mais il y avait là quelque chose de rassurant et de réconfortant. Elle devinait aussi, sous le short de bain, les attributs de l’homme. Ce sexe bien droit, assez long et large, ces couilles souvent bien pleines de foutre. Lorsqu’il se retournait, Alicia détailla son dos large et puissant surmontant une paire de fesses assez ferme. Elle se rappela les photos de jeunesse de l’homme. Il avait été un sacré morceau, mais gardait encore de beaux restes. L’heure avançant, il fallut rentrer, les enfants furent bien plus difficiles à convaincre dans ce sens-là.
Résultat, ils arrivèrent un peu plus tard que la veille. Les chèvres appelaient déjà pour se faire traire. Ils pressèrent le pas sous l’impulsion de Kosmos et de Roger.
— Sal, viens, on va laisser maman et Roger s’occuper des chèvres.— C’est gentil ça, commenta Roger.— On peut regarder la télé ? demanda la fillette.— Je me disais aussi. Allez, ouste et soyez sages, les gronda gentiment leur mère.
Hala et Salil s’installèrent et commencèrent à regarder la télé. Alicia et Roger partirent vite dans le vestiaire pour se changer. Alicia retira sa robe puis enleva son maillot. Elle enfila sa combinaison de façon un peu sexy, histoire d’aguicher son agriculteur. Roger l’admira un instant puis, quand elle remonta le zip, il sortit de sa torpeur. Il enleva son t-shirt et alla pour ôter son short de bain, comme il l’aurait fait avec un pantalon ou un short classique. Mais il hésita, il n’avait pas l’habitude d’être nu dans sa combinaison.
— Si je suis toute nue dessous, tu peux l’être aussi, susurra Alicia.
Cela décida Roger, ça lui plaisait bien de la savoir nue. Et se mettre nu, lui aussi, permettait en théorie de simplement baisser les zips pour pouvoir baiser. Cette hypothèse lui plut, il commença à bander un peu dans sa combinaison. Ils se dépêchèrent de s’occuper des chèvres. Alicia avait pris en assurance et travaillait maintenant en toute autonomie. Ils en arrivèrent vite à la dernière série.Dans la rangée d’Alicia, il y avait encore une place de libre. Elle avait l’appareil en main quand elle s’aperçut qu’il n’y avait pas de pis où le mettre. Par curiosité, elle plaqua la paume de sa main sur la ventouse et sentit tout de suite une aspiration la coller. Elle fut surprise de pouvoir la retirer assez facilement :
— Dis, Roger, c’est pas très fort. Je croyais que les trayeuses étaient plus puissantes que ça.— Oui, celles pour les vaches. J’y mettrais pas la main ou le doigt. Là, c’est pour des chèvres quand même.— Euh, Roger...— Quoi ?
Alicia rougit, mais n’osa pas poser la question qui lui brûlait les lèvres.
— Oh, dis donc, tu te demandes si je n’y ai pas mis ma queue dans mes moments de solitude ?— Euh, oui.— Eh, si je jouis et que ça arrive dans la cuve, j’ai tout le lait qui est foutu.— Oh pardon, je n’y avais pas songé...— Bon, je t’avoue que j’ai essayé une fois que j’avais vidé les cuves pour les nettoyer.— Alors ?— C’est pas agréable. Je préfère ta bouche.— Oh, merci.
Derrière eux, les trayeuses se détachèrent automatiquement des pis des chèvres et celles-ci partirent d’elles-mêmes vers leurs enclos.
— Mmm, par contre, il y a un truc que j’ai bien envie d’essayer.— Tu veux faire quoi ? demanda-t-elle, partagée entre l’inquiétude et l’excitation.— Tu vas voir. Enlève la combi.
Alicia obtempéra. Elle retira le vêtement et remit ses bottes aux pieds. Roger la trouva particulièrement sexy dans cette tenue. Il prit le désinfectant qu’on met sur les pis des chèvres et en badigeonna les seins d’Alicia. Elle comprit qu’il voulait lui mettre la trayeuse sur les nichons, elle se sentit tout émoustillée de tester la machine. Un mélange de peur et d’excitation habitait son corps. Lorsqu’il posa les ventouses, elles glissèrent et tombèrent. Elles étaient faites pour des pis tombants et non des seins dressés. Roger demanda alors à Alicia de se pencher en avant et de s’appuyer sur la barrière devant elle. Alicia fit comme il demandait et regarda ses seins tomber vers le sol de la laiterie. Avant de retenter le coup, Roger prit le temps de palper les fesses, le ventre et les seins de la jeune femme. L’agriculteur reposa les ventouses et cette fois elles se maintinrent en place dans un bruit de succion caractéristique.
Il se dit qu’il devait y avoir une sécurité empêchant de mal utiliser l’engin.Alicia sentait ses tétons aspirés et tirés dans la machine. C’était horrible et divin à la fois. Et Roger, à côté d’elle, lui caressait toujours le corps. Elle le sentit se placer derrière et plonger sa main sur sa chatte.
— T’es encore bien mouillée petite salope. T’as pas le feu cul toi. T’es pire que ça. Allez, je crois que je vais profiter de mon garage à bite.
Alicia entendit le zip de la combinaison de Roger descendre. Le fermier prit sa queue en main et frotta son gland sur la chatte d’Alicia.
— Aaah, aaah, fourre-moi. Mets ta queue dans mon trou. Celui que tu veux !— Alors putain. Tu la veux ? Ça t’excite tant que ça de te faire traire.— Aaaah, aaah, oui. Baise-moi. Encule-moi.— Je vais pas faire attendre une salope dans ton genre. Prends ça.
L’agriculteur planta sa queue dans la chatte d’Alicia. Elle gueula un bon coup quand le braquemart tapa dans le fond de son vagin. Roger s’agrippa aux hanches de la jeune femme et la bourra de coups sauvages. Il savait qu’il fallait faire vite. Si au bout de deux minutes, la machine n’avait pas de lait, alors elle s’arrêtait automatiquement. Alicia avait les seins toujours maltraités par la trayeuse et la chatte bourrée de coups de bite. Elle criait tant elle prenait son pied. Roger ahanait, éructait et lui sortait toujours des énormités. Il donnait de grands coups de reins, le genre qu’il donnait à Bérénice avant, quand il était jeune.Alicia n’en pouvait plus, soudain la trayeuse se détacha dans une dernière tentative d’aspiration. Elle jouit bruyamment, son corps tremblant et son vagin se contractant. Roger sentit sa queue se faire masser, il lâcha tout son foutre dans le vagin brûlant d’Alicia. Tous deux eurent besoin de quelques instants pour se remettre de leurs émotions.
— Oula, quel pied, se félicita-t-il.— Ouh, j’ai mal aux seins.— Oh, désolé. Je n’aurais pas dû te forcer à la faire.— Oh, non, j’en avais envie. Et j’ai aimé aussi. Par contre, faut pas trop le faire sinon j’aurais des pis de chèvres, ah, ah, ah.— Ah, ah, ah. Allez, on se rhabille.
Ils retournèrent vite à la maison pour se changer. Ils passèrent une soirée agréable. Hala et Salil n’en pouvaient plus. Toutes ces activités, ce grand air les épuisaient, mais c’était une bonne fatigue, pleine de souvenirs. Le même cérémonial que les jours précédents se mit en place. Alicia et Roger se retrouvèrent devant la télé. Alicia se blottit contre lui. Elle regarda un peu, mais s’endormit ainsi. Roger attendit la fin de l’émission et décida de la porter au lit. Il la déposa à sa place et lui posa un baiser sur le front :
— Bonne nuit ma puce.— Bonne nuit, papounet, répondit-elle dans son sommeil.
Roger se coucha près d’elle. Instinctivement elle se colla contre lui. Roger se sentit bien, il s’endormit rapidement.
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