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Tombés du ciel

Chapitre 4

Divers
Au matin, Alicia se réveilla la première. Elle s’étonna de se trouver dans le lit avec Roger. Elle ne se rappelait pas être allée se coucher d’elle-même. Elle en conclut que le fermier avait dû l’y mettre lui-même. Elle le regarda un moment, il était encore très tôt. Elle se demanda ce qu’elle pouvait faire pour l’aider. Mais le temps de trouver, un petit réveil sonna doucement sur la table de chevet du côté de Roger. Avant qu’il ne se réveille, Alicia l’arrêta. Mais l’agriculteur commençait déjà à bouger. Alors elle se pencha sur lui et lui déposa un gros bisou sur la joue. Le quinquagénaire sourit :
— Bonjour, ma grande fille, dit-il encore à moitié endormi.— Bonjour papounet, lui dit-elle doucement.
Roger bâilla plusieurs fois, il n’avait clairement pas envie de se lever. Alicia passa sa main dans ses cheveux et sur sa joue. Il avait besoin de se raser, il piquait.
— Tu veux que j’aille te faire un café ?— Mmmm, oui. Sors le pain et le beurre aussi, s’il te plaît.— J’y vais.
Alicia se glissa hors du lit. Elle alla dans la cuisine et prépara le petit-déjeuner de Roger. Elle prenait plaisir à s’occuper de lui, à s’occuper d’un homme. Mais elle était troublée. Elle l’aimait beaucoup, mais plus comme une figure paternelle que comme un amant. Même si dans ce rôle, il se montrait parfaitement habile. Elle avait eu une longue relation avec Samir. Puis elle avait rencontré un homme ou deux. Mais ceux-ci avaient eu tendance à fuir dès qu’ils comprenaient qu’elle avait déjà deux enfants. Elle était prête à en faire un autre, si son partenaire en voulait un de lui. Mais à cet âge, les jeunes pensaient plus volontiers à voyager, débuter une carrière professionnelle, s’amuser. Une plongée directe dans le monde des couches (encore que cette partie était finie désormais), les bobos et les pleurs d’enfants, les soucis scolaires n’étaient pas dans leurs objectifs immédiats de vie.
Elle avait donc eu quelques relations, mais finalement elle avait assez peu d’expérience avec les hommes. Avec Samir, ils avaient bien pratiqué la fellation et le cunnilingus, essayé la sodomie. Mais c’était à peu près tout, certes elle ne regrettait aucune des fois où ils avaient fait l’amour. Ce n’étaient que des souvenirs émouvants et plaisants. Mais avec Roger, elle se découvrait. Elle se rendait compte qu’elle pouvait aussi aimer autre chose. Des choses plus brusques, plus poussées, plus sauvages. Elle se découvrait des fantasmes de femme et non plus de jeune fille en quête du prince charmant.
Roger arriva alors qu’Alicia posait une tasse de café sur la table. Il la remercia et commença à le boire. Elle s’assit près de lui et prit son petit-déjeuner en sa compagnie. Cela faisait des années et des années que Roger n’avait plus mangé ce premier repas de la journée avec quelqu’un. Ses prétendantes ne s’étaient jamais levées avec lui, même si elles se montraient intéressées par lui et par sa vie. Et les précédentes ne l’avaient fait que rarement et en maugréant qu’il les ait réveillées si tôt. Bérénice comprenait bien ça, elle était du même milieu. Alicia, devant lui, s’était levée pour lui faire plaisir sans qu’il ait besoin de demander quoique ce fut, comme l’aurait fait une compagne d’agriculteur. Elle ne rechignait pas à la tâche d’ailleurs. Mais était-ce le plaisir de la découverte, l’insouciance des vacances ? Ou bien aimait-elle vraiment ça ? À côté de ça, Roger pouvait profiter du corps de la jeune femme. Ce pseudo arrangement du début lui paraissait très loin.
Elle se donnait à lui sans restriction et venait même le chercher. Lui pouvait se lâcher dans les grossièretés et elle entrait bien dans ce jeu. Il la baisait avec plaisir et voulait aussi lui en donner. De son point de vue, on était loin d’une relation "tarifée", chacun se donnait à l’autre par plaisir et dans le but d’en donner aussi. Il n’avait d’ailleurs plus baisé si souvent depuis, pffff, vingt ou vingt-cinq ans facilement. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle il avait eu du mal à se lever ce matin. Ça commençait à tirer un peu. Alors certes il jouissait d’elle, en elle, sur elle et la faisait jouir. Mais il ne la voyait pas comme une compagne. Ce "papa de substitution" qu’elle avait trouvé comme prétexte à sa présence ici lui plaisait bien en fait.
Roger se secoua un peu et alla se préparer, il fallait qu’il se bouge, le travail n’allait pas se faire tout seul. Il commença à débarrasser, mais Alicia lui dit de tout laisser, elle s’en occuperait elle-même. Le fermier alla se raser et se brosser les dents. Puis, il s’habilla et se dirigea vers le vestiaire. Alicia, qui essuyait la table, lui dit au passage :
— Roger. Tu voudras que je te rejoigne ensuite ?— Euh, si tu veux. Je voudrais faire du fromage ce matin. Tu pourrais finir la traite peut-être ?— OK. Et toujours toute nue sous la combi ?— Oui, oui. S’il te plaît.
— D’accord, mais toi aussi, hi, hi, hi.— Rhhooo, bon d’accord.
Alicia lui avait fait cette proposition, car elle avait envie de travailler à la laiterie et voulait émoustiller son fermier. C’était ce qu’elle lui avait promis en début de séjour. Elle se devait de continuer ainsi. Il n’avait d’ailleurs pas refusé cette idée. Il avait même accepté de se foutre à poil sous sa combinaison. Roger, tout en enfilant son vêtement, se fit la remarque que la petite Alicia était toujours dans son rôle. Elle n’hésitait pas à le pousser un peu pour qu’il profite d’elle. Il avait donc accepté facilement qu’elle le rejoigne et de se mettre dans la même tenue qu’elle.Roger travailla seul un bon moment. Puis Alicia finit par arriver.
— Alors mon Roger, tu en es où ?— Aux trois quarts. Je te laisse finir ?— Oui, oui. Du coup, tu voudras que je fasse quoi après ?— Bah, le foin, il faudrait en remettre. Avec l’engin, je t’en mettrai dans la chèvrerie. Le reste, tu sauras faire ?— Oui, oui. Je passerai voir de temps en temps si les enfants dorment encore. S’ils se réveillent, j’irai m’occuper d’eux.— OK, tu me diras où tu en es. Je finirai derrière toi.— Très bien. Sinon, mon Roger, je peux vérifier quelque chose ?— Mmm, quoi ?
Sans répondre, Alicia baissa la fermeture de Roger et glissa sa main dans la combinaison. Alicia tâta le sexe du fermier.
— Aaah, tu es à poil là-dessous. C’est bien.— Oui, mais ne va pas croire que tu commandes maintenant.
Roger attrapa le col de sa combinaison et l’attira à lui. Il baissa sèchement la fermeture éclair d’Alicia et tira la combinaison vers le bas. La jeune femme se retrouva à moitié dénudée. Ses seins étaient à l’air libre. On pouvait même voir sa chatte épilée. Roger la toisa puis l’embrassa brutalement. Alicia eut du mal à respirer et à ne pas tomber. Ses bras étaient encore entravés par les manches de son vêtement. Roger cessa de lui dévorer la bouche. Il la vit haletante et fébrile. Il poussa Alicia vers le fond de la salle de traite. Le fermier la colla contre le mur et baissa la combinaison jusqu’aux chevilles d’Alicia. Elle voulut utiliser ses mains pour toucher Roger, mais celui-ci les attrapa et joignit ses poignets ensemble. Il prit une sangle dont il se servait pour tirer les chèvres un peu récalcitrantes en la liant à leurs cornes. Là, il s’en servit pour attacher les poignets d’Alicia dans son dos puis il fixa la sangle à un crochet au mur.
Alicia se sentit prise au piège. La sangle ne lui faisait pas mal, mais elle ne pouvait se libérer sans qu’elle lui meurtrisse les chairs. Roger la regarda, il se demandait si Alicia était prête à se laisser faire. Elle savait que c’était son accord, sa promesse. Mais elle avait surtout envie de se faire dominer. Elle n’y avait jamais goûté, elle voulait savoir ce que cela faisait. Roger s’était laissé emporter. Une fois qu’il eut attaché Alicia, il se demanda s’il n’était pas allé trop loin. Il voulut voir dans les yeux de la jeune femme si elle avait peur, si elle était réticente. L’agriculteur avait bien compris qu’elle se sentait liée par sa promesse. Mais lui ne voulait pas aller trop loin. Comme il lui avait dit, il voulait pouvoir se regarder dans la glace après. Roger put lire dans les yeux clairs d’Alicia de la confiance et le désir de tenter l’expérience. Alors il se sentit pousser des ailes, celles de la domination.
— Alors petite salope, tu pensais pouvoir donner des ordres.— Pardon Roger. Je ne pensais que te faire plaisir.— Je n’en doute pas ma chienne. Pour l’instant, tu te tiens tranquille, j’ai pas fini.
Roger retourna à ses chèvres. Il invectivait de temps en temps Alicia. Quand les deux rangées étaient en train de se faire traire, il revenait vers elle. Roger s’amusait avec les seins de la jeune femme. Il les malaxait brutalement, il pinçait et tirait sur les tétons. Il faisait tourner Alicia et lui claquait les fesses. Ses fessées étaient sonores, elles résonnaient bien dans la salle de traite. Mais il faisait attention à ne pas la frapper trop fort. Elle grimaçait et geignait un peu à chaque claque, mais elle se mordillait les lèvres. Ses yeux et ses lèvres étaient dilatés, ses tétons pointaient et de la cyprine coulait le long de ses cuisses. Alicia était sous le choc, jamais elle n’aurait cru aimer cela. Certes, les fessées et la petite torture sur ses seins n’étaient pas trop douloureuses, mais tout de même. Ses rictus de douleur n’étaient pas simulés, non plus que les symptômes de son plaisir. Elle avait un peu honte d’elle.
Quand il repartait vers les chèvres, elle s’impatientait vite de ne plus sentir ses grandes mains la faire souffrir délicieusement.Quand il eut fini, Roger revint vers elle. Il fit glisser ses doigts, juste le bout, à peine un effleurement, sur tout le corps de la jeune femme. Alicia se tortilla vite sous ce nouveau supplice. Elle aurait dû rire de ces chatouilles, mais l’excitation sexuelle qu’elle avait accumulée depuis le début de la séance lui procura des sensations incroyables. Elle était excitée et émoustillée en même temps que suppliciée. Roger ne s’en tint pas à ça, il reprit d’une main les fessées sur le cul d’Alicia. L’autre, il la passa par-devant pour venir branler furieusement le clitoris de la petite blonde.
— Alors, t’aimes ça petite chienne ? T’aimes te faire branler et fesser par Roger ?— Oui, j’aime aaah aaah ça.— Eh bien ma salope. T’aurais pas envie de jouir par hasard ?— Si, si, aaah aaah. Fais-moi jouir s’il te plaît.— Plus tard, dit-il en retirant brusquement ses mains.
Alicia le fusilla du regard. Roger rit franchement devant sa mine déconfite.
— Bouge pas. Je vais voir si Hala et Salil sont réveillés.— Roger, Hala saura gérer son frère, au besoin. Ils ont l’habitude.— T’inquiète.
Roger partit vers sa maison en éteignant les lumières. Alicia resta seule dans la salle de traite dans le noir et la fraicheur du matin. Tant que Roger venait l’exciter, elle était brûlante de désir. Là, elle commençait à grelotter de froid. Et elle entendait plein de bruits dans tous les sens. Et pour une citadine comme elle, ils étaient loin d’être rassurants. Puis soudainement, après un temps qu’elle ne put déterminer, les lumières se rallumèrent. Roger s’approcha d’elle.
— Ils dorment toujours profondément. Viens par là.
En la détachant, le fermier s’aperçut qu’elle frissonnait de froid.
— T’as froid ? On va dans la chèvrerie, ça ira mieux. Tu veux arrêter ?— Non, je veux encore faire un peu. Mais si j’ai trop froid, on arrête ? Je peux pas me permettre de tomber malade.— Pas de problème. Allez, en avant.
Roger changea les liens d’Alicia. Il passa les poignets de la prisonnière devant elle et les lia avec la sangle. Puis il lui retira complètement sa combinaison. Elle se retrouva intégralement nue, avec seulement ses bottes aux pieds. Roger jeta la combinaison d’Alicia sur son épaule et il la tira derrière lui. Avant de sortir, il vérifia que les lumières de sa maison étaient toujours éteintes. Pas de risques d’être vus, ils sortirent à l’extérieur. Ils se dépêchèrent de rentrer dans la chèvrerie. Il y faisait un peu plus chaud, Alicia cessa de frissonner. Roger l’interrogea du regard, elle fit un petit "oui" d’un hochement de tête. Alors, il l’amena au centre du bâtiment. Il la fit mettre à genoux et attacha la sangle à une barrière. Alicia ne pouvait plus se mettre debout, si elle essayait, elle se retrouvait pliée en deux. Roger commença à vaquer à ses occupations autour d’elle.
Il la fit mettre à quatre pattes pour pouvoir facilement lui claquer le cul ou fourrer un doigt ou deux dans sa chatte.Alicia espérait à chaque passage qu’il allait s’intéresser à elle. Mais il prenait parfois un malin plaisir à passer sans rien lui accorder. À côté de ça, elle n’était pas très rassurée par le comportement d’un des boucs. Celui-ci dardait sa langue vers elle. Ses hormones et ses odeurs intimes devaient exciter un peu l’animal. Elle eut un frisson de dégoût en imaginant celui-ci venir la chevaucher. Elle espéra que Roger n’allait pas avoir cette idée perverse.
— Dégage, Boris ! cria soudain Roger. T’es vraiment un gros pervers toi. T’as tes femelles, tu touches pas à la mienne ! Mais qu’il est con ce bouc !
Alicia souffla de soulagement.
— Eh, je t’ai dit que ta chatte et tout le reste étaient à moi.— Pardon, j’ai eu peur que...— Ah ah ah. Non, j’ai pas envie de passer après un bouc ! Allez, remets-toi en place.
Alicia se remit à quatre pattes, Roger lui claqua les fesses plusieurs fois, il se mit à la branler comme il l’avait fait dans la salle de traite. Mais comme la première fois, il s’arrêta juste avant de la faire jouir.
— Bouge pas. Ah bah, non tu peux pas. Je vais à la maison.
Alicia se trouva de nouveau seule. Le fameux Boris en profita pour s’approcher.
— Dégage Boris. Va donc baiser une chèvre. Putain, dégage !
Le bouc ne se sentant pas accepter se rabattit sur les femelles de son espèce. Roger revint au bout de cinq minutes.
— Hala est levée. Salil dort encore. Je lui ai dit que tu avais presque fini.— Merci, Roger.— Bon, du coup, je vais devoir arrêter de jouer avec toi, petite pute.
Alicia fut déçue, elle allait devoir se rhabiller alors qu’elle aurait eu un besoin vital de jouir. Mais elle entendit la fermeture éclair de Roger descendre.
— Ah oui, baise-moi.— Oh, c’est pas comme ça qu’on demande quand on est une bonne chienne soumise à son maître.
Il frappa assez durement le cul d’Alicia. Cette fois, elle morfla sévèrement, mais elle aima cette douleur intense. Elle tendit le cul vers lui pour se faire fesser encore un peu. Roger avait aimé la soumettre et la faire souffrir. Mais il devait maintenant penser un peu à lui. Il se plaça derrière elle et présenta sa queue devant sa chatte. Il s’aperçut que ses cuisses étaient trempées. Il entra en elle sans aucun souci. Il empoigna ses hanches et commença à la bourrer vigoureusement. Dans l’enclos, Boris dut se sentir motivé, car il entreprit une chèvre. Ça tombait bien puisque les chaleurs commençaient, celle-ci se laissa volontiers monter par Boris. Alicia se trouva gênée et hypnotisée de se faire prendre dans la même position que la chèvre. Elle préféra détourner le regard pour se concentrer sur la queue bien humaine qui la fourrait. Roger aussi se sentit dérangé par la vue de Boris. Il choisit de se focaliser sur le cul qu’il était en train de baiser.
Tout ça l’avait bien excité, il ne tarda pas à jouir en lâchant plusieurs jets puissants dans la chatte de la jeune femme.Alicia sentit le sperme chaud la remplir, cela la libéra et elle jouit à son tour. Elle fut secouée de plusieurs spasmes assez forts. Ses jambes tremblaient, la force s’en alla de ses bras. Elle s’affala en avant en poussant de petits couinements de plaisir. Mais elle se cogna le front sur la barrière en métal à laquelle elle était attachée. Elle posa la joue contre le métal froid et reprit son souffle et ses esprits. Derrière elle, Roger s’était couché sur son dos et tentait de faire redescendre son rythme cardiaque et de maîtriser sa respiration. Il se releva et détacha Alicia. Il rangea son attirail et rendit sa combinaison à la jeune femme.
— Ça va Alicia ?— Oui, oui. Dis donc, j’avais jamais fait ça.— Euh, moi non plus. Enfin pas autant.— T’avais déjà essayé ?— Euh, oui avec Bérénice. Mais on était resté dans la salle de traite, on avait vite craqué et on avait baisé au milieu des chèvres qui se faisaient traire.— Eh ben. Vous aviez peur de rien.— Surtout elle. Bref, c’est du passé. Sinon, je t’ai pas fait trop mal.— Un peu, juste ce qu’il fallait pour que j’apprécie.
Quand elle fut rhabillée, elle remit un peu d’ordre dans ses cheveux.
— Oh ma puce, qu’est-ce qui t’est arrivé ?— Hein quoi ?— Au front, t’as un bleu.— Je me suis cognée contre la barrière à la fin.— Je suis désolé. Ça va ?— Oui, oui. Allez, je vais m’occuper de mes enfants. T’auras besoin d’un coup de main ensuite ?— Euh, non, ça ira. Pas tout de suite en tout cas.
Alicia repartit assez enjouée. Elle arriva dans la maison et trouva Hala qui patientait devant la télé.
— Coucou ma puce.— Bonjour maman.— Salil est levé ?— Oui.— Il est où alors ?— Bouh, cria le garçon en sortant comme un diable de derrière le canapé.— Oh, tu m’as fait peur, coquin. Venez manger mes chéris.
Alicia s’occupa d’eux. Salil remarqua le bobo de sa maman. Elle lui répondit qu’elle s’était cognée en aidant Roger. Elle habilla ensuite les enfants et se prépara aussi. Roger arriva peu après. Il vit le bleu d’Alicia et le regarda de près. Il partit dans la salle de bain et en revint avec une pommade à l’arnica. Il fit asseoir Alicia et appliqua le baume sur le bobo. La jeune femme se laissa faire, toute contente d’être, pour une fois, celle qui recevait cette attention. Les gens des familles dans lesquelles elle avait été l’avaient soignée avec toute l’affection qu’il fallait. Mais ça n’avait jamais remplacé la tendresse qu’elle aurait pu ressentir sous les doigts de son papa ou de sa maman. Là, elle avait l’impression de s’en approcher un peu plus.
— Voilà, fini.— Merci Roger.— Faut faire un bisou.— Quoi Hala ? demanda le fermier.— Maman, elle fait toujours un bisou magique après, expliqua Salil.— T’as raison, Sal.
Roger se pencha et posa ses lèvres sur le front d’Alicia. Elle eut les yeux qui brillèrent :
— Merci, papounet.— De rien ma grande. Bon, les enfants, on va faire un tour avec des ânes aujourd’hui. Mais pour ça, il faut qu’on travaille bien ce matin. Vous venez tous les deux avec moi, on va faire du fromage. Alicia, tu peux t’occuper des chevreaux et changer la paille de leur enclos ? Je t’ai préparé un tas.— Pas de soucis Roger.— Et reste habillée en dessous, on partira dès qu’on aura fini, lui chuchota-t-il à l’oreille.
Alicia rit doucement. Tous les quatre s’attelèrent à leurs tâches. Les enfants se débrouillèrent bien. Roger s’en étonna et Hala lui expliqua qu’ils avaient l’habitude de faire des choses tous seuls. Certes, Karima pouvait les garder ou les surveiller, mais Alicia rechignait à abuser de sa voisine. Alors ils devaient parfois, déjeuner seuls le matin. Hala aidait aussi son frère à s’habiller alors que leur mère dormait encore après être rentrée très tard dans la nuit. Mais dans le petit studio, elle finissait toujours par être réveillée. Et elle les emmenait à l’école avant de rentrer se recoucher. Salil lui expliqua aussi qu’il voulait être plus grand pour que sa maman puisse plus se reposer, il pourrait faire le ménage ou à manger à sa place. Hala, elle savait déjà faire quelques courses en faisant bien attention à ne pas prendre autre chose que ce que lui avait demandé sa mère. Roger eut le cœur pris de tristesse. Les rêves et les occupations des enfants ne devaient pas être ceux-ci.
Ils finirent de saler les fromages puis allèrent chercher Alicia. Elle finissait de changer la paille dans un autre enclos que celui des chevreaux.
— C’est pas celui que je t’ai dit de faire.— Je sais, l’autre je l’ai fait. Mais celui-là, je l’ai trouvé très sale par rapport aux autres...— Bon, fais voir. Ah bah, c’est pas mal. On va pouvoir y aller. Va te changer, on t’attend.— Mais on a pas fait de pique-nique.— Mon ami fournit toujours un panier aux touristes. C’est compris dans le prix et c’est plein de bons produits locaux.
* * *


Ils étaient en marche avec les ânes. Hala et Salil avaient tout de suite voulu monter dessus. Roger et Alicia tenaient les brides des animaux en main. Ceux-ci, pour l’instant, suivaient les marcheurs. Le fermier et la strip-teaseuse étaient encore effroyablement gênés. Lorsqu’ils étaient arrivés chez l’ami du premier, celui-ci s’était exclamé :
— Ah Roger et sa petite famille !
Roger avait vite démenti, expliquant simplement qu’il hébergeait chez lui la jeune femme et ses enfants. Alicia inventa une histoire d’association venant en aide aux familles avec peu de ressources. L’ami de Roger avait levé un sourcil interrogateur, mais n’avait rien dit. Ce fut Salil qui trahit un peu les adultes :
— Maman, elle a dit que Roger, c’est son papounet !— Sal, les gens n’ont pas besoin de savoir, lui rétorqua sa mère.— Mais c’est pas un mensonge ! le défendit Hala.— Oui, Hal, mais il faut que tu comprennes le sens de "vie privée" ma grande, lui expliqua Roger."
L’homme avait bien ri, il leur répondit qu’ils faisaient bien grands-pères avec sa fille et ses petits-enfants.Ils marchaient maintenant avec cette image en tête. C’était assez perturbant qu’une personne extérieure les qualifie comme cela. Ils le faisaient un peu chez Roger, mais c’était plus pour... Pourquoi d’ailleurs ? Ils ne savaient même pas. Sûrement, pensèrent-ils, qu’ils voulaient offrir un peu de ce que n’avait pas l’autre. Ou plus probablement pour eux, toucher du doigt ce qui leur manquait. Ils parlèrent peu entre eux, préférant discuter avec l’enfant qui était sur l’âne qu’ils tiraient.Ils en étaient presque à la pause déjeuner quand Tartine ne voulut plus avancer. Roger l’incita à repartir, Salil le caressa doucement et lui parla gentiment. Il fallut attendre un peu pour que Tartine reparte de lui-même.
— Roger, c’est quoi un grand-père ?— Le grand-père, c’est le papa d’une maman ou d’un papa, la grand-mère, c’est la maman d’une maman ou d’un papa. Tu comprends ?
Salil ne répondit pas, il avait les sourcils froncés et semblait plongé dans une intense réflexion. Châtaigne, l’autre âne avait décidé de s’arrêter un peu plus loin. Vu l’heure, Alicia et Roger décidèrent de pique-niquer là où ils étaient. Alicia dévora tout ce qui avait été préparé, elle n’avait jamais mangé de choses aussi bonnes et pourtant aussi simples. Elle était habituée aux premiers prix dans les magasins. Hala et Salil furent un peu moins enthousiasmes, mais mangèrent quand même avec un bel appétit. Roger les regarda tous les trois, ils avaient de bien meilleures couleurs qu’en arrivant chez lui. Puis, il somnola, allongé dans l’herbe, pendant qu’Alicia et ses enfants profitaient du paysage et de la nature autour d’eux.
— Tiens, c’est pour toi, entendit-il soudainement.
Roger ouvrit un œil et vit Hala au-dessus de lui. La fillette lui tendait un bouquet de fleurs des champs. Roger le prit :
— Merci, ma grande. C’est gentil.— Tu aimes ?— Oui, beaucoup.
Hala eut un sourire éclatant sur les lèvres. Elle se tourna vers sa mère et Salil, puis elle demanda doucement à Roger :
— Dis, Roger. Papounet, c’est comme papa ?— Euh, oui, en quelque sorte, mais c’est pas un vrai papa, c’est juste affectueux, rama-t-il désespérément.— Si maman, elle t’appelle comme ça. Moi je peux t’appeler papi ?— Euh, Hala, tu sais qu’à la fin de la semaine, tu repars chez toi. Tu es juste en vacances ici.— Alors, tu seras juste mon papi des vacances.— Bon, papi des vacances, ça me va.— Super, merci papi.
Elle lui fit un gros câlin et rejoignit les autres. Roger n’eut même pas le temps de la reprendre pour qu’elle dise "papi des vacances". Roger se recoucha et il entendit Alicia appeler Salil plusieurs fois. Roger perçut des petits pas approcher rapidement.
— Roger, c’est vrai que Hala elle a le droit de dire papi ?— Normalement, c’est papi des vacances.— Dis, moi aussi je peux ?— Oui, bonhomme.— Merci, papi. Maman, il veut bien !
Salil bâilla plusieurs fois et se frotta les yeux.
— Viens donc faire la sieste avec moi.— Non, j’ai pas envie.— Viens là, on va regarder les nuages et deviner quelle forme ils ont.— D’accord.
Salil s’allongea contre Roger. Ils jouèrent un peu avec les nuages, mais le petit garçon commença à s’endormir.
— T’as pas ton doudou ?— Non, mais j’ai mon papi.
Et il s’endormit. Roger ne bougeant plus finit par le suivre.Plus loin, Alicia avait réprimandé Hala à cause de ce "papi" qu’elle donnait désormais à Roger.
— Mais toi, tu dis bien papounet ! Et papi, il est d’accord.— Vraiment d’accord ?— Bon, normalement c’est papi des vacances, mais c’est trop long.— Ça serait bien de dire ça quand même, ma puce.
Hala s’intéressa à une sauterelle, puis un scarabée, des fourmis. Elle refit un autre bouquet pour elle-même avant de se décider à le donner à Alicia.
— Merci Hal. Tu es un amour. Qu’est-ce qu’il y a ? Tu as l’air triste.— Dis, on repart quand ?— Samedi, je pense.— Oh, on reste pas plus longtemps ?— Non, on doit rentrer. C’est pour ça que tu es triste ?— Oui, je voulais rester.— Moi aussi je suis un peu triste de partir. Mais c’est normal, ça veut dire aussi qu’on passe de super vacances.— Ah ! Et plus on est triste, plus les vacances sont bien ?— Euh, tu peux le voir comme ça.— Alors ça sera les meilleures vacances de toute ma vie.— Sûrement, pour moi aussi.
Elles remontèrent vers les garçons et s’allongèrent près d’eux. Elles sommeillèrent un peu serrées l’une contre l’autre.A la fin de la sieste, ils repartirent. Hala et Salil voulurent tirer les ânes. Ceux-ci ne firent pas trop de difficultés, même s’il fallait discrètement les remettre dans le droit chemin ou les faire avancer. Salil ne put faire d’un tiers du chemin retour avant de vouloir remonter sur son âne. Hala ne voulut pas remonter, mais proposa à sa mère de grimper dessus.
— Toi aussi, t’en as jamais fait. Allez, et c’est moi qui te guide.
D’abord réticente, Alicia fut tout heureuse, comme une enfant, de monter sur le baudet. Roger fit plusieurs photos d’elle avec son téléphone et les lui envoya. Ils en avaient déjà pas mal fait chacun de leur côté. Ils s’en étaient échangés quelques-unes aussi. Ils avancèrent encore, mais Hala finit par fatiguer. Alicia allait descendre de Châtaigne, mais Roger l’en empêcha. Il fit monter Hala avec son frère puis guida les deux ânes. Ils arrivèrent en vue de la ferme et de la fin du parcours. Roger s’arrêta un instant et prit une photo d’Alicia et de ses enfants sur les ânes. Ils rendirent les montures et repartirent.
Hala et Salil avaient des étoiles plein les yeux. Même Alicia était sous le charme de cette balade. Ils rentrèrent et Roger invita Alicia à rester à l’intérieur. Elle s’était levée très tôt et n’avait pas vraiment dormi. Il s’occupa seul de la traite du soir. Pendant le repas, il vit ses trois locataires piquer du nez dans leurs assiettes. Il ne fut pas très difficile ensuite de coucher les enfants, ils dormaient pratiquement debout. Alicia partit ensuite prendre sa douche pendant que Roger faisait son tour habituel. En rentrant, Alicia lui demanda si elle pouvait allumer la cheminée. Il n’y voyait pas d’inconvénient, il partit se laver et revint alors que la jeune femme était allongée sur le canapé et regardait les flammes. Elle lui laissa de la place et il s’assit près d’elle. Alicia posa ses pieds sur les genoux de Roger. Il alluma la télé et tomba sur un match de foot qu’il se mit à regarder d’un œil.
Il était bien plus attiré par les pieds et les mollets qui étaient posés sur lui. Il les caressa distraitement. Alicia cessa de regarder le feu pour lui jeter un œil malicieux. Elle changea un peu de position et utilisa ses pieds pour venir masser la queue de Roger. Elle était habile et souple, elle parvint rapidement à le faire bander. Dans son caleçon, Roger avait la queue qui ne demandait qu’à sortir. Un mouvement supplémentaire du pied d’Alicia fit sauter le bouton du caleçon et la bite en profita pour s’échapper. Alicia poussa un petit cri de surprise, mais elle reprit vite cette masturbation.
— Mmm, oh, Alicia. T’as de jolis petits petons ma salope. Branle bien ma queue avec.— Ils te plaisent mes pieds ? C’est des pieds de cochonne ?— Oui, ou non, plutôt de petite chatte en chaleur. Car je suis sûre que t’es déjà en train de mouiller ma petite chatte.— Oh, je ne sais pas. Voyons voir.
Alicia souleva le maillot de rugby et découvrit ses fesses à la vue de l’agriculteur. Celles-ci n’étaient pas couvertes par une culotte. Mais dans cette position, avec ses jambes serrées et sur le ventre, il ne pouvait pas trop voir la chatte d’Alicia. Roger se pencha et, de ses deux mains, écarta les fesses de la jeune blonde. Il aperçut enfin ses lèvres vaginales et vit qu’elles étaient humides.
— Ouais, une petite salope avec le feu au cul.— Mon feu ne brûle que pour toi, Roger.
Il sourit et insinua un doigt dans la chatte de la jeune danseuse. Il commença alors à la fourrer tout doucement et reprit le visionnage de son match. Alicia ferma les yeux et continua de branler Roger avec ses pieds. Ils restèrent ainsi jusqu’à la mi-temps. C’était agréable pour Alicia, son corps était réchauffé par la cheminée et par le doigt de Roger qui enflammait son sexe. Roger savourait cette masturbation quelque peu fétichiste tout en doigtant Alicia. Ça faisait un peu macho de mater un match et de se faire branler par une femme, mais c’était foutrement agréable. Les publicités le gavaient, mais il pouvait passer le temps plus intelligemment.
— Viens par là, dit-il à Alicia.
Elle sortit de son état, entre le comateux et la béatitude. Elle rampa vers Roger. Celui-ci lui prit le maillot de rugby et le tira vers le haut :
— A poil petite salope.— Mmmmh, tout de suite. Toi aussi alors ?
Il ne pensait pas le faire, mais c’était une bonne idée, ils se retrouvèrent nus tous les deux. Roger se rassit en face de la télé et attira à lui Alicia. Ils se roulèrent une pelle bien baveuse puis il incita la jeune femme à poser sa tête sur son ventre. La bite de Roger s’agita devant son nez, Alicia se mit alors à jouer avec. Elle déposa de petits baisers sur le gland, donna de petits coups de langue, le prit en bouche pour quelques va-et-vient. Pendant ce temps, Roger l’avait fait se tourner un peu plus sur le côté. Il joua un long moment avec ses seins puis il voulut remettre les doigts dans sa chatte. Il dut se pencher un peu sur la gauche et incita Alicia à bien écarter les cuisses. Par commodité, elle plaça carrément son pied sur le haut du dossier du canapé. Roger eut alors libre accès à ce con suintant de mouille.
Ils s’excitèrent l’un l’autre pendant une bonne partie de la deuxième mi-temps. Roger avait eu dans l’idée de tenir jusqu’à la fin du match, mais il avait trop présumé de ses forces. Il sentait que les dernières quinze minutes, plus les arrêts de jeu, allaient lui être fatales. Il redressa Alicia et l’embrassa de nouveau. Cela lui permit de faire baisser la tension dans son sexe tout en lui permettant de tripoter en continu Alicia pour la maintenir sous pression. Celle-ci aurait bien continué à jouer avec la queue de Roger, mais il en avait décidé autrement, il pouvait faire ce qu’il voulait d’elle après tout. Elle fut surprise, mais ravie de recevoir ce baiser tout en ayant le con fouillé par les doigts de son fermier.
— Viens sur moi petite chienne, lui demanda-t-il.— Tu vas me baiser ?— Oui, t’en as envie ?— Oui, baise-moi Roger.— Non, pas comme ça.— Baise-moi, fourre-moi comme une chienne, comme une salope.— Voilà, là je te reconnais. Allez, viens t’empaler toi-même. Et tourne-toi vers moi, je veux te bouffer les roberts.
Alicia grimpa sur Roger et s’introduisit tout de suite sa queue dans la chatte. Elle se planta le membre jusqu’au fond du vagin en râlant doucement. Roger eut les deux melons en face de lui et commença à les téter, les sucer et les mordiller comme un forcené. Puis il s’arrêta brusquement :
— Dis donc, tu vas te bouger petite salope. Je ne vais pas tout faire. Je t’ai dit de t’empaler toi-même, ça veut dire que si tu veux jouir, tu as intérêt à te bouger ton cul de chienne.
Il claqua les fesses d’Alicia et retourna bouffer ses seins. Alicia se reprit et posa ses pieds sur le canapé de part et d’autre de Roger. Accroupie ainsi, elle put facilement se baiser sur le membre dressé de l’agriculteur. Elle y alla doucement au départ, mais fut vite emportée par le plaisir qu’elle ressentait. Elle accéléra la cadence, son cul venant claquer bruyamment sur les cuisses et les couilles de Roger. Celui-ci eut de plus en plus de mal à se retenir et à profiter des seins de la petite Alicia. Il lui ficha un doigt dans le cul, Alicia gémit profondément. Son plaisir monta d’un cran tout à coup. Elle n’en pouvait plus, elle allait jouir. Mais Roger craqua avant elle et se vida dans son vagin. Alicia se baisa encore un peu alors que des flots de foutre la remplissaient, puis elle prit son pied à son tour. Elle embrassa d’elle-même Roger qui lui rendit son baiser avec plaisir. Elle se coucha sur son torse et l’enlaça. Ils se désemboitèrent et allèrent se laver.
En revenant, Roger vit que le match était fini. Il éteignit la télé, prit ses affaires et celles d’Alicia. Il lui donna comme elle sortait de la salle de bain. Ils passèrent dans la chambre en face et se couchèrent comme d’habitude.
— Merci, Roger pour la balade d’aujourd’hui.— Oh, ça m’a rien coûté, tu sais.— Oui, mais ça a rendu les enfants si heureux.— Et toi aussi, ma grande fille.— Oui, papounet. Dis, c’est vrai ? Ça te gêne pas qu’ils t’appellent papi ?— Non.— T’es sûr, je peux leur demander de ne plus le faire.— Non, ça me fait plaisir aussi.— Merci, pour eux.
Alicia le serra fort puis se cala pour dormir. Roger lui embrassa le front et lui dit :
— Bonne nuit ma toute belle.— Bonne nuit, mon papounet.
Ils s’endormirent assez vite. Serrés dans une étreinte affectueuse rassurante.
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