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Tombés du ciel

Chapitre 8

Avec plusieurs femmes
Le petit réveil de Roger sonna doucement et ils ouvrirent tous trois un œil fatigué.
— Ah, non, encore un peu, se lamenta Alicia.
Elle se tourna et rabattit le drap sur elle. Bérénice ne bougea pas beaucoup plus, mais préféra ronronner contre Roger. Celui-ci serait bien resté avec les deux femmes, mais ses chèvres n’allaient pas attendre. Il s’extirpa de sa couche et récupéra son t-shirt et son caleçon avant de sortir sans bruit. Dans le couloir, il les enfila rapidement puis alla se préparer un petit-déjeuner. Il se faisait un café quand il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir et se fermer. Qui se levait si vite après lui ? Alicia ou Bérénice ? Il ne savait laquelle lui ferait le plus plaisir. Il se pencha et attendit que l’une des femmes débouche du couloir. Ce fut Bérénice qui sortit de là.
— Bonjour. Déjà levée ?— Bonjour Roger. Oui.
La femme s’approcha de lui, par habitude ou par envie inconsciente, elle tendit ses lèvres vers celles de Roger. Elle stoppa soudainement, se rendant compte de ce qu’elle allait faire.
— Euh, pardon, l’habitude.— Ce n’est rien, répondit-il.— T’as l’air déçu...— Un peu. Après, tu n’étais venue que pour faire plaisir à Alicia...— A moi aussi. Les gestes que j’ai eus hier pour la réconforter m’ont beaucoup apportée. Je ne savais pas que donner autant d’attention faisait autant de bien.— Oui, je le ressens tous les jours depuis qu’ils sont là.— Oui, ils sont mignons. C’est étrange d’entendre, maman" et "mamie" tout à coup."— C’est sûr. Je suppose que je l’ai moins ressenti que toi, car moi, c’est arrivé au fur et à mesure de la semaine. Mais, je le répète, toi tu n’étais venue que pour Alicia, et toi si tu veux. Mais nous avons dépassé le rôle qu’elle nous avait demandé de jouer pour elle.— Et ça t’a gêné ?
Roger ne put répondre immédiatement. Avouer à son ex-amante ce qu’il avait ressenti et ce qu’il éprouvait ce matin n’était pas évident. Bérénice semblait suspendue à sa réponse comme un naufragé à sa bouée.
— Non, j’ai aimé en fait. J’ai aimé te retrouver à mes côtés. Ça m’a fait tout drôle hier soir, tous les trois sur le canapé. Tous les deux, main dans la main.— Et ce matin ?
— Je suis toujours sur un nuage, je crois.— Tu crois ?— C’est un peu confus... Mais et toi alors ?— Je me suis sentie emportée dans un tourbillon de bien-être. Je me suis laissée mener par une brise de bonheur toute la soirée. J’ai été heureuse de repasser du temps avec toi. Je le suis encore ce matin.
La gêne de Bérénice s’envola, elle se dressa sur la pointe des pieds et tendit de nouveau ses lèvres vers celles de Roger. Avec un plaisir infini, le fermier se pencha vers elle et l’embrassa. Ils échangèrent un long et tendre baiser, loin de la furie de la veille.
— Bonjour papa, bonjour maman.
Roger et Bérénice cessèrent leur baiser, gênés de se faire surprendre par Alicia. Ils virent celle-ci débarquer, échevelée et à moitié endormie comme une adolescente. Elle s’approcha d’eux et leur fit une bise sur la joue avant de s’asseoir à table.
— Bonjour ma grande. Tu as bien dormi ? lui demanda Bérénice.— Oui. Vous n’aviez pas besoin de vous arrêter pour moi.— De quoi tu parles Alicia ?— Que vous vous embrassiez quand je suis arrivée, papa.
Les ex-amants furent assez gênés d’avoir été vus.
— Ça me fait plaisir de vous voir comme ça...
Mais Alicia était inquiète malgré elle. Elle se demandait tout de même si Bérénice voulait encore rester, elle avait joué le rôle de maman et de mamie à merveille. Mais ils avaient été au-delà tous les trois, dans le lit de Roger.
— Heum, Bérénice, tu restes ?— Oui, bien sûr...— Mais euh, tu restes ma maman pour quelques jours ?— Oui, pourquoi tu t’en soucies ?— Bah, avec hier soir, dans la chambre...
Un certain malaise s’installa dans la pièce.
— Avec Roger, on navigue entre ces deux états depuis une semaine, mais pour toi, c’est nouveau...— Alicia, tu ne me donnais que du, papounet", c’est un cran en dessous de "papa", lui rappela Roger."
La jeune femme se raidit soudainement, elle n’avait pas pensé que l’agriculteur puisse être embêté par la situation. Des larmes commençaient à monter, elle avait l’impression que la parenthèse de la veille allait se finir brutalement.
— Alicia, ça va aller. Je ne garde pas de mauvais souvenir de ce que nous avons fait depuis ton arrivée. Et je suis prêt à continuer ainsi jusqu’à ce que tu rentres chez toi, la rassura le fermier.— Ma petite chérie, j’ai découvert des choses avec toi et j’ai redécouvert Roger grâce à toi. Je tiens à te remercier. J’ai envie de poursuivre comme tu le souhaites.— C’est vrai ? Vous restez bien papa et maman ?
Après un regard échangé entre eux, Roger et Bérénice répondirent oui à Alicia. Elle se leva et leur sauta dans les bras. Elle se serra contre eux et ils l’entourèrent pour ce qu’elle considéra comme un câlin familial. Alicia se détacha et parut se rappeler de quelque chose :
— Mais Roger, je t’avais promis moi pour tout le séjour !— Ma puce, ne te sens pas obligée de continuer...
Alicia ne répondit pas, mais rougit fortement.
— T’aurais voulu continuer ? s’étonna Roger.— Euh, avec toi, je me suis rendu compte qu’il y avait autre chose que les relations fleur bleue, les rêves de princesse et tout ça. Que je pouvais avoir d’autres fantasmes et d’autres envies. Et que je pouvais les aimer comme une femme et non une jeune fille.— Oh, eh bien, je ne sais quoi te dire.— Vous pouvez bien continuer, les exhorta Bérénice.— Pardon ?— Oui, Roger. Vous pouvez continuer ainsi. Ça ne me pose pas de problème.— Merci, Bérénice. Mais et toi ?— Et moi quoi, Alicia ?— Tu as énormément aimé ce que nous avons fait ensemble puis tous les trois. Tu n’aurais pas voulu poursuivre ?— Euh, eh bien, oui, j’avoue que oui. Je n’avais plus ressenti de telles jouissances depuis des années. Ça me manquait.— Alors restons comme hier ! s’enthousiasma Alicia.
Elle embrassa sur la bouche Roger puis Bérénice, qui s’embrassèrent aussi.
— Bon, c’est bien beau, mais y a du boulot. Et j’ai toujours pas pris mon café. Pff, il est froid maintenant.— Va t’asseoir, je vais t’en faire un. On va voir si je me rappelle comment tu l’aimes. Et toi ma chérie tu veux quoi ?— Euh, un café assez léger s’il te plaît, maman.— Comme moi, allez c’est parti.
Bérénice s’affaira pendant que Roger et Alicia déposaient du pain, du beurre, de la confiture sur la table.
— Où tu mettais le sucre, déjà ?— En dessous, à gauche.— Ah oui, c’est vrai.
Bérénice ouvrit le placard bas et se pencha en avant pour chercher le sucre. Le maillot de rugby remonta assez pour qu’on devine la naissance de ses fesses.
— T’as pas remis de culotte ? demanda malicieusement Alicia.— Non, je t’ai dit que je n’en portais pas chez moi. Et...— Et tu sais que Roger aime ça. D’ailleurs, je n’ai pas remis la mienne non plus.— C’est vrai ? demanda Bérénice en posant les cafés sur la table.— Bah oui, regarde.
Alicia se leva et souleva son haut, découvrant son sexe épilé. Roger fixa un regard gourmand sur ce met de choix. Il avait encore en mémoire le cunnilingus qu’il avait fait de bon matin cette semaine-là.
— Oh, Roger. Et moi, tu m’oublies déjà, s’offusqua Bérénice.
Elle se leva et se mit comme la jeune femme. Roger ne savait plus où regarder. Les deux sexes lui donnaient envie de les goûter. Leur lécher les doigts lui avait permis de se régaler de leur mouille, mais il n’avait pu aller à la source.
— Je connais ce regard-là. Tu as envie de nous bouffer le minou, s’amusa Bérénice.— On dirait bien. Alors, Roger, lequel veux-tu butiner ? Les deux, peut-être ?— Mmmm, j’ai du travail... Mais, je ne peux résister. Allez, les chiennes, assises devant moi.
Bérénice et Alicia posèrent leurs fesses sur la table en chêne juste devant Roger. Elles écartèrent les cuisses, dévoilant deux chattes déjà humides. Avant de commencer, il fit glisser ses doigts sur ces deux vulves qui attendaient qu’on s’occupe d’elles. Il se redressa et vint embrasser les deux femmes tour à tour. Roger se rassit et plongea sa langue sur le sexe de Bérénice, il ne pouvait proférer ses mots crus coutumiers, mais comme d’habitude, il faisait des bruits d’animal en rut. Au lieu de les gêner, ces onomatopées excitaient plus encore les deux femmes. Elles relevèrent complètement leurs hauts pour se masser les seins. Roger gardait une main sur la chatte d’Alicia, mais celle-ci réclamait plus que ça.
— A moi, à moi. Lèche ma putain de chatte !
Roger changea de sexe et Bérénice râla de dépit. Le fermier laissa deux doigts dans le vagin de son ex-conjointe, mais cela ne la satisfaisait pas vraiment. Elle se tritura les seins plus fort tandis qu’elle enviait sa voisine qui gémissait d’un plaisir évident. Roger se délectait comme un fou de ces deux minettes suintantes de désir pour lui. Elles avaient étrangement le même goût, cela le troublait un peu. Au bout d’un moment, à force de passer de l’une à l’autre, il ne sut plus qui il léchait. Le quinquagénaire sentait de toute façon que ses partenaires n’allaient plus tarder à jouir. Avant de relever la tête, il s’étonna de ne plus les entendre geindre. Il leva les yeux pour les voir s’embrasser langoureusement. Roger fourra deux doigts dans chaque vagin et les bourra de coups rageurs. Il s’approcha d’elles et mêla sa langue aux leurs. Alicia et Bérénice transpiraient abondamment, elles gémissaient comme des folles. En même temps, elles furent prises d’un orgasme extraordinaire.
Elles laissèrent une flaque de cyprine sur la table et s’écroulèrent en arrière. Roger regarda le résultat de ses cunnilingus avec une certaine satisfaction. Il bandait durement, mais il avait vraiment du travail à faire. Il but son café d’un train et termina son bout de pain et s’en alla dans la salle de bain. Après s’être rasé et brossé les dents, il partit dans sa chambre pour s’habiller. En ressortant, il vit les deux femmes toujours allongées sur la table. Elles se bécotaient tout en se caressant la poitrine. Roger fit le tour de la table et s’aperçut que Kosmos était sorti de la chambre des enfants. Celui-ci lapait le jus des deux femelles, sa queue s’agitait joyeusement et son autre queue était sortie de son fourreau. Bérénice et Alicia ne semblaient pas s’être rendu compte de la présence du chien. Roger attrapa Kosmos par le collier et le fit reculer, sa langue râpeuse approchait bien trop des sexes des deux femmes.
— Bon, mesdames. Moi, je pars bosser. Je suis pas en avance. Si l’une de vous, ou les deux, peuvent venir me donner un coup de main...— Oh, oui, pardon, Roger. Nous étions encore toutes tremblantes.
Bérénice se redressa difficilement et vit l’homme et son chien. Elle eut peur et ferma immédiatement ses jambes. Se demandant pourquoi elle avait réagi ainsi, Alicia leva la tête. Elle eut alors la même réaction.
— Tu allais faire quoi là, avec Kosmos ? demanda-t-elle.— Moi rien, mais lui il était bien parti pour vous laper toutes les deux.
Elles regardèrent le chien d’un œil inquiet. Celui-ci haletait et son sexe très rouge était toujours visible. Elles voyaient cette grosse langue pendante, et dire qu’il s’en était fallu de peu pour qu’elle vienne lécher leurs sexes... Roger sortit avec le chien et le laissa dehors. Avant de sortir, Kosmos leur jeta un regard plein de questions. Il ne comprenait pas pourquoi on le sortait et on l’empêchait de venir copuler avec des femelles.Alicia et Bérénice déjeunèrent enfin, ne parlant que peu entre elles. Elles étaient encore chamboulées et fébriles de leur orgasme récent. Puis il fallut s’activer vraiment. Elles passèrent ensemble à la salle de bain puis allèrent se changer. Elles retournèrent dans le séjour et commencèrent à faire du rangement. Mais à deux, elles se rendirent compte qu’elles se gênaient plus qu’autre chose.
— Il faudrait que l’une de nous aille aider Roger, pensa Bérénice.— T’as raison, maman. Vas-y, passe un peu de temps avec papa...— Mais, ma chérie, tu ne veux pas y aller ?— Non, vas-y.— D’accord.— Prends ma combinaison et mes bottes dans le vestiaire.— Oui, oui, je connais.— Et euh, si tu veux lui faire plaisir, ne mets rien dessous.— Rien ?— Rien de rien.
Bérénice ne dit rien, mais vu son petit sourire, Alicia fut convaincue qu’elle allait être nue dans sa combinaison.
* * *


Bérénice enfila le vêtement de travail avec délice, sentir le tissu rêche sur son corps nu la troublait grandement. La femme se dirigea vers la salle de traite, elle se rappela où était l’entrée et trouva Roger en plein travail.
— Je suis venue te donner un coup de main.— Oh, merci.— Je peux faire quoi ?— Mmm, tu te rappelles comment faire ?— Non, pas trop, mais si tu m’aides ça devrait vite me revenir.
Roger se plaça derrière elle et l’aida à manipuler l’appareil de traite. Ils placèrent les ventouses sur les pis de la chèvre devant eux. Bérénice savoura ce rapprochement, les mains de Roger sur les siennes, son souffle dans son cou, son torse contre son dos. Elle retrouvait le côté fort et rassurant de son ex-conjoint. Lorsque Roger se recula pour la laisser faire, elle fut déçue, mais voulut lui montrer que les gestes qu’elle avait faits près de trente ans avant revenaient vite.
— T’as pas perdu la main on dirait...— Euh, oui, ça a l’air. Toi non plus tu n’as pas trop perdu...— Hein, pour les chèvres ?— Non, pour autre chose...— Ah ça, tu sais que j’ai toujours aimé le goût de la mouille. Et puis cette semaine avec Alicia, j’ai pas mal pratiqué.— Elle m’a dit ça. Et je l’ai bien ressenti sur la table.— Merci.— Non, merci à toi. Tu me feras penser à te rendre la pareille.— Cochonne. Faut vraiment travailler, elles n’en peuvent plus d’attendre.— Oui, oui. Alicia m’a dit que tu prétendais que de la savoir nue sous la combinaison te faisait travailler plus vite.— Oh, c’est une petite plaisanterie... Tu l’es toi ?— Peut-être, tu voudrais savoir ?— Oui, oui.— Quand on aura fini.
Roger travailla alors d’arrache-pied, bien aidé par Bérénice qui retrouvait de l’aisance et de la rapidité dans ses gestes. A l’époque, elle n’hésitait pas à donner un coup de main, surtout le week-end, pour passer du temps avec son amant. Maintenant, elle le regardait travailler, lui jetait des coups d’œil par-dessus son épaule. Bérénice était heureuse de se trouver à nouveau proche de lui. Ça lui faisait bizarre, mais c’était plaisant. Tout comme avoir une "fille" présente dans la maison. Une fille qui les avait appelés "papa" et "maman" dans la même phrase. Ce n’était plus seulement leurs rôles de "papa" et "maman" disjoints, mais cela devenait presque un rôle de parents unis.
Roger scrutait aussi Bérénice. Il se faisait les mêmes réflexions qu’elle. Quel dommage qu’il ait été aussi idiot à l’époque ! Il aurait dû entamer les démarches d’adoption comme elle l’avait proposé. Il s’était borné pour manquer toute une vie avec un ou plusieurs enfants en compagnie de cette femme merveilleuse. Il se dit alors qu’il devait profiter pleinement de cette pseudo vie de famille avant que tous ne repartent. Il installait le dernier appareil de sa rangée sur sa dernière chèvre et se retourna pour proposer son aide à Bérénice :
— T’as besoin d’aide, ché... Bérénice ?— Non, ça va... T’as failli dire, chérie" ou je rêve ?"— Euh, ma langue a fourché.— Ce n’est rien. Mais évite, s’il te plaît. Ce n’est pas prévu que je reste ici, ensuite.— Non, c’est vrai.— Mais on peut reprendre nos diminutifs comme avant ?— Béré et Roro ?— Oui.— Ça me va.
Les chèvres finirent de se faire traire et s’en allèrent rejoindre les autres. Ils étaient maintenant seuls dans la salle.
— Alors, tu es nue ou pas ? s’impatienta soudainement Roger.— T’es bien pressé mon Roro. Tu ne changes pas.
Avec un regard coquin, Bérénice fit descendre la fermeture éclair de sa combinaison. Mais elle s’arrêta un peu au-dessus de sa poitrine. Elle leva les yeux vers Roger :
— Alicia m’a dit qu’elle t’avait converti à la chose aussi...— Tu crois que je suis à poil là-dessous ?— Je voudrais bien savoir. Baisse ta fermeture en même temps que moi.
Roger, pris d’une excitation subite, fit comme l’avait demandé Bérénice. Il ouvrit son vêtement au même niveau qu’elle et attendit qu’elle reparte. Alors Bérénice tira sur son zip et le fit glisser jusqu’en bas. Roger put admirer la peau de la femme d’âge mûr. Elle était au moins seins nus, mais le fermier ne pouvait les voir, l’ouverture n’était pas assez grande. Et il voyait le haut de son pubis, mais elle pouvait très bien portée un slip assez bas... De son côté, Bérénice aperçut le torse de Roger, il n’avait visiblement pas de t-shirt. Mais il faisait chaud ce jour-là. Il pouvait très bien avoir son caleçon ou un short. Encore qu’elle ne distinguait pas vraiment de tissu au niveau de la taille...
Tous deux étaient un peu frustrés. Ils ouvrirent alors largement leurs combinaisons, Roger eut la confirmation que Bérénice était bien seins nus, et elle qu’il était torse nu. Cela ne faisait déjà plus de doute, mais ils apprécièrent d’en avoir la confirmation visuelle. Bérénice retira ses bras des manches puis maintint le vêtement au niveau de ses hanches. Elle toisa Roger pour qu’il l’imite. Il le fit sans trop se faire prier. La femme aux cheveux gris fit glisser le vêtement de travail à ses pieds, se dévoilant intégralement nue à son ex-compagnon. Lorsque la combinaison de Roger tomba à terre, Bérénice put l’admirer en tenue d’Adam. Ce coquin bandait déjà, elle se garda bien de faire une remarque, vu qu’elle mouillait aussi.
— Alors, satisfait ?— Oui. Et toi ?— Aussi. Mais, en comparaison d’Alicia tu dois me trouver bien moins attirante...
Roger leva un sourcil étonné et baissa les yeux vers son sexe tendu. Celui-ci parlait pour lui question attirance pour la femme nue. Elle sourit de toutes ses dents, cela lui faisait vraiment plaisir de se sentir désirée. Cela lui manquait de ne plus avoir ce genre de regard se poser sur elle.
— Tu nages toujours ?— Moins qu’avant, mais j’essaye de m’entretenir.— Tu es superbe.— Merci. Approche.
Roger s’avança vers Bérénice qui se mit à genoux devant lui. Elle inspecta le membre sous toutes les coutures puis se mit à lui lécher les couilles et la hampe sur toute la longueur.
— Ma salope, tu restes la meilleure suceuse ! Allez, suce-moi bien à fond, sale chienne.
Bérénice se sentit encouragée à se faire traiter de la sorte. Son précédent compagnon se laissait parfois aller à lui sortir des "cochonne", "coquine", mais pas plus. Elle avait dû souvent se dire ces mots dans sa tête pour augmenter son plaisir ou pour atteindre l’orgasme. Là, elle les entendait de la bouche d’un homme qui pourtant ne la considérait pas comme telle. Elle emboucha le gland violacé de Roger et le pompa ardemment. Son vagin dégoulinait de mouille tellement elle s’excitait sur cette queue et à ces mots.
— Ouais, t’es vraiment une chienne de me sucer comme ça ! Mais quelle chienne quand même ! éructa Roger plein d’admiration.— Slurp, je suis ta chienne, Roger. J’aime quand tu me parles comme ça.— Tais-toi et suce ma petite pute.
Roger se raidit d’un coup, il venait de dire une chose qu’elle ne voulait pas entendre à l’époque. Il se rendit compte qu’il l’avait dit aux deux femmes la veille, mais que Bérénice n’avait pas réagi à ce moment-là. Elle ne réagissait pas plus maintenant.
— Dis-moi tout ce que tu veux, tout ça m’a trop manqué. Je suis ta pute, ta putain, ta putain de salope. Ta chienne en chaleur, ta cochonne, ta chatte brûlante...— Alors, redresse-toi petite pute. J’ai bien envie de te prendre ton garage à bite. Il m’a manqué.— Ta grosse queue m’a manqué aussi, dit-elle en se relevant et en s’appuyant sur les barrières métalliques.
Roger se plaça derrière elle et fit glisser son gland le long de la vulve de la femme. Bérénice couina de plaisir et d’impatience. Elle la voulait à l’intérieur d’elle pas à l’extérieur. Elle chercha à se reculer pour s’empaler elle-même, mais le fermier se déroba.
— C’est moi qui décide quand je te la mets, dit-il en lui claquant légèrement le cul.— Aaah, oui. S’il te plaît, bourre-moi comme il faut le con. Fourre-moi comme une traînée ! le supplia Bérénice.— Tu le mérites grosse salope.
Et Roger se planta violemment dans le vagin de Bérénice. Elle cria tant elle put pour se libérer de l’extrême plaisir qu’elle ressentit. L’homme derrière elle se mit à lui donner de grands coups de reins. Roger s’était agrippé aux hanches de la femme aux cheveux gris pour donner plus de puissance à sa pénétration. Le fourreau de Bérénice lui serrait divinement le pieu tout en restant doux et chaleureux. Qu’est-ce qu’il avait rêvé de ce vagin accueillant durant toutes ces années ! Le seul qui lui était arrivé à la cheville était celui d’Alicia. Bérénice se sentait enfin remplie comme il se devait. Son ex devait être aussi bien monté, mais il n’égalait pas le bien-être que lui avait procuré cette queue formidable. Elle gémissait et criait de plus en plus fort. Elle voulait jouir rapidement, elle n’en pouvait plus. Elle se mit alors à s’astiquer le clitoris pour se faire venir plus vite.
Roger aurait voulu tenir encore un peu plus longtemps, mais il craqua et inonda le vagin de Bérénice d’un flot de sperme abondant. Au premier jet tapant au fond de sa matrice Bérénice explosa également. Elle eut des éclairs dans tout le corps et ses jambes tremblèrent tellement qu’elle eut du mal à rester debout. Elles finirent tout de même par se dérober sous elle. Roger la sentit tomber alors qu’il avait fini de se vider les couilles et qu’il restait dans sa chatte par simple plaisir. Tout penaud de l’avoir laissé tomber, il s’excusa platement en la redressant :
— Pardon, Béré. J’ai pas fait attention que tu allais tomber.— C’est rien Roro. T’es toujours aussi gentil au fond de toi. Malgré tout ce que tu dis...— C’est comme ça.— En tout cas, tu baises toujours aussi bien.— Merci, t’es pas mal non plus, ch... Béré.
Bérénice parut pensive puis un petit sourire en coin se dessina sur ses lèvres.
— Chérie, si tu veux, après tout... Si je peux dire, chéri" aussi."— Oh, euh, bien sûr.
Roger l’embrassa fougueusement et ils se rhabillèrent pour retourner dans la maison. Dans le vestiaire, ils ôtèrent leurs combinaisons. Mais du sperme coulait de la chatte de Bérénice et il n’y avait rien pour s’essuyer. Elle n’avait pas envie de mettre un sous-vêtement propre pour cacher la misère.
— Bouge pas. Je vais aller te chercher de quoi t’essuyer.— Merci... chéri.— De rien chérie, fit-il avec un clin d’œil.
Nue comme un vers, Bérénice se regarda, les cuisses maculées de sperme et de mouille. D’un doigt, elle en récolta une partie et goûta le mélange. Puis on frappa à la porte la faisant sursauter.
— C’est Alicia, je peux entrer ?— Oui, oui, vas-y.
Alicia pénétra dans le vestiaire, trouvant Bérénice ainsi.
— Ah oui, quand il m’a dit que tu avais besoin de quoi t’essuyer, je ne pensais pas que ce serait pour ça.— Pas de commentaire, s’il te plaît.— C’était bien au moins ?— Mmmh, terrible.— J’imagine. Bouge pas, je crois qu’il y a mieux que de l’essuie-tout pour réparer ces dégâts.
Alicia s’accroupit devant Bérénice et lécha ses cuisses et son sexe avec gourmandise. Sa langue était vive et agile. Il ne fallut que peu de temps pour que Bérénice soit plus que présentable. Celle-ci termina par un essuyage plus classique.
* * *


Dans la matinée, Alicia partit avec Hala faire quelques courses. Celles du lundi étaient quasiment épuisées et Bérénice était arrivée chez Roger. Après une petite discussion, il avait été décidé qu’Alicia ne repartirait pas avant le dimanche. Quelques pudiques raisons furent avancées, comme éviter les bouchons de retour de vacances du samedi, mais c’était surtout l’envie de prolonger cette pseudo-famille qui avait dominé. Salil n’avait pas voulu partir, préférant jouer avec le chien et aller avec son papi sur le tracteur. Bérénice restait également pour aider Roger à la ferme.
Alicia était en vue du village où il y avait la boucherie de Patrick, le village le plus proche n’avait pas de commerces. Alicia se gara et elle commença à faire le tour des commerces. Elle débuta par la petite supérette puis alla à la boulangerie et aux primeurs. Elle se dirigea enfin vers la boucherie. C’était la toute fin de matinée, celle-ci n’allait pas tarder à fermer. La jeune femme entra, elle vit Myriam à sa caisse qui attendait les clients.
— Bonjour, Myriam.— Bonjour, Alicia ! Bonjour Hala.— Bonjour Madame.— Tututut, appelle-moi Myriam.— Euh, d’accord Myriam... Tu as encore des bonbons ?— J’en ai toujours ma puce... Viens, je t’en donne un.— Hala ! Qu’est-ce qu’on dit ?— Merci ?— Avant ça ?— S’il te plaît ?— Tiens ma grande et un pour ton frère.— Merci, Myriam.— Alors, tu viens nous passer le bonjour ? Ou tu as besoin de quelque chose ?— Les deux. Patrick n’est pas là ?— Non, il fait un petit marché à quelques kilomètres. Mais, Bruno est là, lui.
Myriam venait de mentionner Bruno avec un sourire entendu. Cela gêna fortement Alicia qui se mit à rougir comme les tomates qu’elle avait achetées aux primeurs. Contre l’avis de la jeune femme, la bouchère appela son employé.
— Bruno ! Viens voir !— J’arrive patronne.
Quelques instants plus tard, la tignasse blonde ébouriffée du jeune homme fit son apparition. En apercevant la jolie blonde, il se figea, la bouche ouverte. Les paroles qu’il allait prononcer restèrent coincées dans sa gorge.
— Bah dis bonjour ! Ou tu vas gober les mouches ! le taquina Myriam.— Euh, bonjour Alicia. Bonjour Hala.— Bonjour Monsieur.— Bonjour Bruno. Comment vas-tu ?— Bien, merci.
Hala regarda l’homme avec attention.
— Dis, c’est toi qui as fait le steak haché en forme de cœur pour maman et qui lui as donné des fleurs ?— Hal !
Alicia ne savait plus où se mettre, la spontanéité des enfants était parfois gênante. Myriam s’amusa beaucoup de la tête des deux jeunes gens.
— Hi hi hi, oui ma puce. C’est lui aussi qui t’avait fait les steaks en Mickey.— Ah... Merci, il était super bon... Du coup, c’est toi l’amoureux de maman, alors ?
La gêne monta d’un cran entre eux. Bruno ne savait plus où se mettre, mais il était touché que la petite s’en soit rendu compte et qu’elle ne semble rien y voir de mal. Et sa mère ne réfutait nullement cette appellation. Alicia donna à Myriam la liste que lui avait confiée Roger, elle y jeta un coup d’œil avant de la transmettre à Bruno. Elle se chargea des tranches de jambon tandis que lui préparait la viande. Myriam revint vers sa cliente et lui demanda :
— Vous ne vous êtes pas trompés en faisant la liste ? C’est plutôt pour trois adultes et deux enfants tout ça.
Bruno, tout occuper à choisir un beau morceau, n’avait pas encore fait le compte des pièces à couper. Il regarda la liste et vit que sa patronne avait raison. Il y avait un adulte de plus ! Il s’en inquiéta, ça pouvait être un homme, le jalousant un peu par avance.
— C’est mamie ! expliqua Hala.— T’as une mamie maintenant ?— Oui, mamie Bérénice !— Béré !?
Bruno s’était détendu en apprenant que c’était une "mamie" qui était là. Il s’affaira plus sereinement. Myriam était choquée de cette surprise. Elle attira Alicia dans un coin :
— Mamie Bérénice ? C’est quoi cette histoire ? Oh, merde, j’avais raison ? C’est ta...— Non, non. Ce n’est pas elle. Mais hier, elle m’a vu au marché et ensuite elle est allée te parler.— Oui, oui, elle était fâchée contre moi.— Après, ça allait mieux. Avec ce que tu avais dit, elle a jugé utile de me parler plus directement. Je suis donc allé la voir chez elle. On a d’abord parlé de ma présence chez Roger, de ma vie et de la sienne avant d’en arriver à la question fatidique. J’ai été très déçue qu’elle me dise ne pas être ma mère. Tu avais raison finalement, nous avons beaucoup de choses en commun. Nous nous sommes tout de suite très bien entendues. J’ai un peu craqué à parler de mon passé et avec cette histoire. Elle m’a réconfortée longuement et admirablement. C’était tellement maternel, tellement comme je me l’imaginais... Elle aussi, elle a beaucoup aimé ce moment. Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui ai demandé si elle voulait bien faire ma maman de substitution pour quelques jours...— Et elle a accepté ?— Oui, je pense aussi qu’elle avait envie de voir Roger.— Euh, et lui, il a dû...— Il a été très surpris. Il a fallu dire certaines choses...— Mince alors... Ils vont... à nouveau ?— Je n’en sais rien, même si cela les a remplis de joie de se retrouver.— Patou, il va être sur le cul quand je vais lui raconter ça...— Heu, soyez un peu discrets pour l’instant...— Oui, oui.
Myriam n’en revenait pas.
— C’est prêt, patronne.— Heu, merci Bruno. Je vais fermer, à plus tard.— Très bien. A tout à l’heure. Au revoir Hala, au revoir Alicia.— Au revoir Bruno.— Au revoir l’amoureux de maman !
Hala ricana gentiment de sa blague devant les deux adultes rougissant. Myriam baissait déjà le rideau de fer et avait fermé la porte vitrée. Bruno s’enfuit par-derrière. Les deux femmes papotèrent un instant avant de passer par l’arrière-boutique pour sortir. Une fois dehors, elles virent que Bruno était encore là. Il était à côté de sa moto et mettait son casque.
— Wahou, maman, maman, une moto ! Trop cool !— Oui, Hala c’est bien. Allez, n’embête pas Bruno.— Non, non, ça va.— Je peux faire un tour s’il te plaît ?— Euh, non... Ma chérie tu es trop petite...— Mais, tu dis toujours que je suis une grande fille...— Oui, mais là...— Viens avec moi, tu vas voir pourquoi tu es trop petite.
Bruno prit Hala sous les bras et la posa sur la selle passagère. La petite fille était toute fière, mais le jeune homme lui fit remarquer qu’elle ne touchait pas les cale-pieds. Donc elle ne pouvait faire de tour de moto. Hala fut assez triste, elle bouda un peu avant que son visage ne s’éclaire d’un coup :
— Mais maman, toi tu pourrais faire un tour ! Vu que t’es presque pas montée sur l’âne !— Euh, non, non, je ne vais pas embêter Bruno.— Si, si, je suis sûre que ça lui ferait plaisir aussi, hein Bruno ? les poussa Myriam.— Mais, Bruno n’a sûrement pas de casque pour moi de toute façon...— Euh, si j’en ai un. Ça me plairait bien de faire un tour si tu veux.
Alicia s’étonna de le trouver plus à l’aise. Etait-ce le casque qui le rassurait ? En tout cas, elle était très tentée. Elle se décida en croisant le regard doux de Bruno. Celui-ci parut très heureux et lui proposa de faire une balade en fin de journée. Alicia lui demanda de passer la prendre chez Roger si c’était possible. Il n’y avait pas de problème pour Bruno, il pouvait mettre le casque et le blouson dans son top case. Il grimpa sur son gros trail et partit. Alicia le suivit du regard un moment avant de revenir sur terre.
De retour chez Roger, Alicia trouva Salil sur les genoux de Bérénice. Ses joues étaient encore humides de larmes et il serrait bien fort son doudou contre lui. Sa tête était posée sur la poitrine de Bérénice qui lui caressait doucement les cheveux. Il avait un beau bleu au genou droit. A leurs pieds, Kosmos était couché et geignait faiblement. Bérénice expliqua qu’ils étaient en train de faire les fous dans la cour en attendant leur retour quand Kosmos avait, par mégarde, coupé la route de Salil. Celui-ci était tombé et s’était mis à pleurer. Mais à part ce bleu, il n’avait rien de grave sinon le besoin d’un gros câlin.
— Tu veux que maman te fasse un câlin ?— Non, ça va, j’ai mamie.— Oh... Eh bien, euh, je vais ranger les courses alors.
Alicia était décontenancée par la réponse de son fils. Hala se posa sur le canapé et alluma la télé. Soudain intéressé par ce qu’il s’y passait, Salil ne pensa plus à son bobo et rejoignit sa sœur. Kosmos se rassit et parut plus joyeux de voir que le garçon marchait et ne pleurait plus. Bérénice vint aider Alicia à ranger et à préparer le repas. Roger arriva à ce moment-là. La jeune femme dut leur dire pour les révélations faites à Myriam. Roger et Bérénice s’en inquiétèrent un peu, mais n’en voulurent ni à Hala ni à Alicia. Elle leur avoua aussi la balade prévue avec Bruno en fin de journée. Elle en était presque à demander la permission de sortir.
— Mais je rentre dîner avec vous, hein. Promis.— Tu fais ce que tu veux ma grande, lui rappela Roger.
Ils déjeunèrent puis il fallut décider quoi faire pour l’après-midi. Salil et Hala souhaitaient retourner à la baignade. Les adultes n’y voyaient pas d’inconvénient.
— Super, mamie, elle va se baigner aussi ?— On verra Hala, lui répondit Bérénice.
Il fallut coucher ces petits diables pour la sieste. Malgré eux, ils en avaient besoin aussi. Puis les adultes allèrent dans la chambre de Roger. Avant de se coucher, Bérénice s’aperçut qu’elle n’avait pas pris de maillot de bain. Alicia se proposa de lui en prêter un vu qu’elles faisaient à peu près la même taille et la même corpulence. Les femmes commencèrent à fouiller dans leurs affaires respectives. Devant l’évidente impossibilité de trouver du calme, Roger s’éclipsa et alla s’installer dans le canapé.Bérénice et Alicia s’échangeaient des affaires et les essayaient avec plaisir. La jeune femme se rendit compte que Bérénice avait des dessous beaucoup plus "femme" que les siens. De la dentelle, du tulle, d’autres matières et des coupes aguichantes. Elle, de son côté, en restait souvent aux culottes en coton et aux soutiens-gorge basiques. D’une part, elle n’avait pas les moyens de se payer de la lingerie si jolie et elle n’avait personne à qui en faire profiter.
— Mais, moi je le fais pour moi en premier. C’est très agréable, de temps en temps, de se faire belle, de se plaire.— Sûrement... Bon, les maillots de bain. On était là pour ça. Alors j’en ai trois...
Alicia les étala sur le lit, Bérénice choisit le noir et l’enfila. La couleur sobre convenait mieux à son âge se dit-elle. Mais le bas dévoilait trop ses fesses à son goût.
— Euh, ça ne va pas. Je ne vais pas mettre ça.— Ça te va bien. Tu as les fesses bien fermes donc c’est super.— Oui, mais à mon âge.— D’abord il n’y a que nous et puis t’es bien foutue encore, profite !— Je voudrais bien tester les autres...— Bah, ils sont pas mieux que celui-là, ou même pire si tu veux. C’est la mode en même temps.— Et toi, tu mets quoi ?— Hmmm, je vais prendre le rose.
Alicia l’enfila et Bérénice découvrit qu’en effet, il était encore plus incendiaire que le noir. Elles renfilèrent des robes légères par-dessus. Elles allaient pour se coucher quand elles virent l’heure. Il était déjà presque temps de partir.
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