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Tombés du ciel

Chapitre 23

Orgie / Partouze
Sous la douche, Alicia repensa à ce qu’il s’était passé à la rivière. Elle en sourit, ne regrettant aucunement ce qui était arrivé. Mais cela perturbait ses plans. Elle se sentait déchirée, écartelée et ne trouvait pas de solution évidente. Quand elles avaient joui toutes les trois, elles étaient restées alanguies un long moment les unes sur les autres, tout en se caressant du bout des doigts. Bérénice avait fini par rompre le charme de ces instants silencieux. Elle avait demandé à Karima comment elle allait, si elle ne se sentait pas confuse ou si elle ne regrettait pas tout ça. Karima avait réfléchi un moment avant de répondre que tout allait bien. Elle leur avait avoué avoir pas mal repensé à ce qui était arrivé chez elle et qu’elle avait été troublée d’avoir pu ressentir du plaisir sous les doigts d’une femme, elle qui n’avait jamais eu de penchant de ce genre.
La quinquagénaire, ne comprenant pas trop ce qu’elle évoquait, avait demandé quelques éclaircissements. Alicia n’avait jamais parlé de cette soirée chez Karima où Bruno et elles avaient aidé la jeune femme à se débloquer. C’était l’intimité de Karima et elle ne s’était pas senti le droit d’en parler ouvertement à sa "mère". Le moment d’intimité qu’elles venaient de vivre avait été favorable à cette confidence, tout comme la proposition de l’employée de mairie de faire office de confidente, de mère de substitution à Karima. Bérénice avait dit à Karima combien elle avait été chanceuse de pouvoir profiter de ce beau jeune homme, dont elle connaissait les qualités. Karima s’en était étonné et Alicia avait dû lui dire que Bérénice avait couché une fois avec lui avant qu’elle ne sorte officiellement avec Bruno.
— Donc nous avons toutes les trois couché avec Bruno ? Nous sommes à égalité, alors ? avait plaisanté Karima.— On le serait vraiment si tu avais aussi baisé Roger, avait répondu Bérénice en riant.
Alicia et Karima avaient ri de bon cœur à la boutade. Mais Karima avait flairé l’ambivalence de la phrase. Alicia l’avait sentie la regarder étrangement et elle avait dû expliquer, comme à Bruno, qu’elle avait couché avec Roger avant de le considérer comme son père de substitution.
— Ah, je vois. Il est pas mal Roger. Je l’aurais bien croqué aussi si je n’avais pas mon Franck. D’ailleurs, je vous préviens tout de suite les filles. Je n’ai pas l’intention de vous le prêter.
Alicia et Bérénice avaient éclaté de rire même si, à y penser avec plus d’attention, ce Franck avait une certaine prestance. Et de ce que Karima avait pu dévoiler, il savait y faire côté cunnilingus. Alicia avait replongé dans quelques souvenirs libidineux avec Roger et Bruno. Son sexe s’était réveillé et elle l’avait senti s’humidifier. Elle avait celui de Bérénice sous les yeux et celui-ci avait semblé aussi vouloir se réactiver. Avait-elle pensé à sa baise avec son Bruno ou bien plus sagement à ce qu’elle avait fait la veille avec Roger ? Prise d’un doute, Alicia s’était légèrement redressée pour apercevoir les cuisses brillantes de Karima. Elles lui avaient paru luire plus intensément au soleil. Se revoyait-elle dans les bras de Franck ou de Bruno ? S’imaginait-elle tester l’agriculteur ? Puis Karima avait brisé ce silence sensuel :
— Dites, je pense à un truc les filles... Enfin deux. Ce n’était pas votre première fois ensemble, pas vrai ?
Alicia et Bérénice avaient rougi de confusion, mais avaient dû avouer la vérité à la jeune femme. Alicia avait expliqué la même chose qu’à Bruno, laissant supposer que cela ne se reproduisait plus. Karima avait paru songeuse avant de déclarer :
— Ça ne va pas du tout ça, cette histoire.
Alicia avait dû blêmir et elle avait senti Bérénice se crisper.
— Oui, ça ne va pas. Nous ne sommes pas sur le même pied d’égalité. Moi je ne me suis pas fait lécher par Alicia et je n’ai pas goûté à Bérénice.
La strip-teaseuse avait été rassurée et son sang s’était mis à bouillir. Les paroles de Karima signifiaient-elles qu’elle avait l’intention d’inverser le triangle ? Sur-le-champ ? Elle avait rapidement eu sa réponse quand Karima s’était tournée dans l’autre sens. Alicia et Bérénice n’avaient pas réagi de suite et elles s’étaient fait chambrer par Karima.
— Alors les salopes, on hésite ?
Les deux femmes avaient vite changé de position et le trio était reparti dans une nouvelle session de léchage de minou. Karima s’était un peu plus lâchée sur les grossièretés sans pour autant atteindre le niveau de sa "petite sœur" et sa "mère". Elles avaient rapidement joui sous les langues des autres. Alicia avait adoré le jus de Karima et Bérénice avait aimé la dextérité nouvellement acquise de la brunette. Il leur avait fallu de longues minutes pour se remettre de cette deuxième extase et Alicia avait demandé à Karima :
— Dis donc, je ne pensais pas que tu aurais aimé quelques mots crus.— Eh bien, moi non plus. Mais quand je vous ai entendu ou vu avec vos hommes, ça m’a fait de drôles de sensations. J’avais envie de m’y essayer.— Et quel est le verdict ?— Euh, j’aime bien, Bérénice. Par contre, je ne me vois pas aller aussi loin que vous... Dites, vous croyez que je pourrais demander à Franck de m’en dire quelques-unes aussi ?— Heum, oui sûrement. Après tu peux sans doute le tester en pleine action. Genre tu lances "alors je suis ta petite coquine" et tu vois comment il réagit.— Par contre, il faut bien poser des limites. Moi avant, il y a certains mots que je ne supportais pas. Et Roger avait toujours su rester dans les clous, indiqua Bérénice.— Bon, je verrai... Euh, autre chose, on garde tout ça entre nous, d’accord ?— Bien sûr ma grande sœur chérie.— Nos bonshommes n’ont pas besoin de tout savoir, avait répondu Bérénice.— Oui, c’est clair. Ça a été un moment très fort entre nous, entre femmes, entre femmes qui ont eu une vie difficile. Karima, Bérénice, je crois que quoiqu’il arrive, maintenant nous devons nous soutenir, nous aider, nous réconforter les unes les autres. Faire bloc contre tous les chaos de la vie.
Alicia s’était mise à genoux et avait tendu son petit doigt vers les deux femmes. Elles les avaient croisées et Alicia leur avait proposé une sorte de pacte :
— A la vie, à l’amour, à nous trois, envers et contre tout. Les unes pour les autres.— Les unes pour les autres, avaient répété Karima et Bérénice.
Emportées dans leur élan, elles avaient échangé un rapide baiser avant de libérer leurs doigts.
— Wahou, c’est dingue tout ça. Bon, il faudra qu’on se refasse des trucs entre nanas, OK ?— Heu, Karima...— Non, non, Alicia, je veux dire un truc normal : du shopping, un ciné...— Ah, OK, je me suis posé des questions quand même...— Ça veut dire que tu regrettes un peu ? s’était inquiétée Karima.— Pas une seconde. Mais j’ai mon homme.— Moi, aussi, Karima. J’ai adoré. Mais il y a Roger.— Euh, moi aussi, quelle découverte. Mais j’ai Franck. Et je ne sais pas si j’aurais envie de le refaire. En tout cas, je suis heureuse d’avoir une sœur et... une maman ?— Oui, une maman. Mon Dieu... Me voilà avec deux filles maintenant ! s’était faussement lamentée Bérénice.
Elles avaient ri et Alicia s’était plainte de se sentir poisseuse. Karima et Bérénice étaient dans le même état, elles avaient utilisé l’eau froide de la rivière pour un rinçage sommaire. Mais d’un clin d’œil complice, Karima et Alicia avaient aspergé Bérénice. Elle s’était défendue et les trois femmes avaient joué à s’éclabousser d’eau glacée. Mais elles avaient fini par devoir rentrer au bercail, Karima devant retrouver son Franck pour une soirée à trois. Le message qu’il avait laissé sur son téléphone avait été une belle surprise. Apparemment, la journée passée entre père et fille avait permis d’aplanir quelques points et Victoire acceptait qu’elle vienne dîner chez Franck. Il n’était pas question qu’elle y reste "dormir", mais c’était un bon début. Devant la glace de la salle de bain, Alicia finissait de s’essuyer, mais la petite danseuse restait dans l’embarras. Finalement, son regard se fit plus sûr :
— Non, c’est décidé. Il faut que je leur en parle ce soir, décréta-t-elle soudainement.
* * *
Déjà stressée par ce qu’elle savait devoir dire ce soir-là, Alicia reçut un appel de Laura, la maman de Paco, juste après le dîner. En fait, Hala et Salil ne voulurent que souhaiter une bonne nuit à leur maman, papi, mamie et "papou". Alicia fut rassurée, tout avait l’air de très bien se passer, d’autres enfants riaient et jouaient dans l’arrière-plan sonore. La maman de Paco félicita Alicia pour leur bonne éducation et lui demanda, en riant, si elle ne pourrait pas lui filer quelques trucs.
Alicia se voyait souvent submergée, dépassée par les évènements et ne se rendait pas compte qu’elle avait pu se débrouiller correctement avec ses enfants. Alicia raccrocha, un peu bouleversée, mais réconfortée par le bonheur que semblaient éprouver ses enfants. Elle se sentit libérée d’un poids et prête, ou presque, à affronter les défis qu’elle avait devant elle. Alicia s’assit dans le fauteuil et laissa la place sur le canapé à Roger, Bérénice et Bruno. Comme souvent, ils avaient pris tous les trois leur douche et s’apprêtaient à passer une soirée tranquille. Alicia se demanda comment aborder le sujet qui la préoccupait quand Bruno lui demanda :
— Ça ne va pas ma chérie ? Tu as l’air toute soucieuse.— Si ça va, c’est juste que... Je voudrais vous parler.— Ah ? Et de quoi ? demanda Roger qui cherchait la télécommande.— Mon Roro, je crois que nous allons nous passer de télé pour l’instant, lui fit remarquer Bérénice.— Ah ?! Donc, on parle de choses sérieuses ?— Oui, papounet. Euh, bon... Bruno, je ne veux pas partir en vacances avec toi et les enfants pour savoir si nous pouvons vivre ensemble... Je sais que je veux vivre avec toi.— Ouf, j’ai eu peur. Tu es sûre de toi ?— Oui, mais et toi ? demanda-t-elle, inquiète.— Je pensais pouvoir te montrer que je suis prêt à m’investir auprès de tes enfants, de toi. Mais j’ai la certitude depuis quelque temps que je veux vivre avec toi. Par contre, je veux bien partir en vacances avec vous.— Euh, d’accord, d’accord, bien sûr.— Alicia, je suis heureuse pour vous, mais ça n’a pas l’air de te ravir complètement..., s’étonna Bérénice.— En fait, maman, il y a une chose qui m’inquiète. Bruno, tu voudrais vivre où ? Dans une maison par ici ?— Euh, sans doute. On devrait trouver facilement un petit nid dans la vallée...— Oui, je pense, mais...— Mais quoi ?— Euh, voilà, papa, maman, Bruno... C’est dans cette maison que je voudrais vivre.— Alicia ? Ça veut dire quoi, exactement ? s’étonna Roger.— Non, ne t’en fais pas, je ne veux pas te chasser de chez toi. Je voudrais que nous y soyons tous ensemble. Toi aussi, maman.— Mais ma chérie, j’ai mon chez-moi.— Oui, mais tu ramènes de plus en plus d’affaires ici. Tu y passes de plus en plus de temps.— Ce n’est pas faux, dit pensivement Bérénice, un sourire aux lèvres. Peut-être que je devrais m’installer ici.— Ah ! Tu vois ! Et regarde papa comme il a l’air content que tu puisses être là H24... Bruno, je suis désolée de t’imposer cela, mais voilà. Tu accepterais de venir ici ?— J’avais pensé à avoir une petite maison pour nous, mais je te sentais si attachée à cet endroit que je me suis posé la question.— Alors ?— Ecoute, si Roger veut bien de moi chez lui... C’est d’accord.— Papa ! Dis oui, dis oui ! le supplia Alicia.— Euh, je n’avais pas envisagé cela... Mais je ne peux rien te refuser.— Ouiii ! s’écria Alicia.
Elle se leva et sauta sur les genoux de Roger pour l’enlacer et lui déposer une énorme bise sur la joue.
— Par contre, il va falloir voir comme on s’organise. Pour de courts séjours, ça va. Mais en permanence, six personnes...— Ou plus peut-être... Maman.— Alicia ? Tu as d’autres révélations à faire ? s’étrangla Bruno.— Non, je ne suis pas enceinte. Pour l’instant...— Donc je disais pour six, ou plus, une salle de bain, c’est juste. Et puis le grenier n’est pas très confortable, rappela justement Bérénice.— Pour ça, j’ai peut-être une solution, indiqua Roger.
Il s’apprêtait à se lever, mais Alicia resta calée sur ses genoux.
— Attend. Attend, heum, j’ai un point encore que je voudrais voir avec vous...— Ah ? Qu’est-ce que c’est encore, ma fille ?— Bon, euh, papa, maman, écoutez... Voilà, il faut que vous sachiez que Bruno est au courant que j’ai commencé par baiser avec vous avant de me rendre compte que vous étiez avant tout des parents pour moi.
Bérénice et Roger devinrent blancs comme des cachets d’aspirine. Bruno s’empressa de les rassurer :
— Ne vous inquiétez pas. Je n’y vois rien de mal. C’est moi qui ai abordé le sujet avec Alicia. J’avais surpris quelques allusions et j’ai voulu en avoir le cœur net.— Euh, quand même... Je suis gênée, confia Bérénice.— Euh, bon, euh, voilà. Maintenant, c’est notre fille, hein ?— Oui, oui, j’ai bien compris, répondit Bruno.
Roger et Bérénice se détendirent et soufflèrent pour évacuer le stress qui s’était accumulé d’un coup.
— Vous voyez, mon Bruno, il est génial... Mais mon chéri, je voudrais te dire... Euh, laissez-moi tous les trois finir de dire ce que j’ai à dire. D’accord ?
Ils acquiescèrent, ne sachant pas trop où voulait en venir la petite jeune femme.
— Bon, Bruno. Je n’ai pas été complète dans mes explications. Pendant les vacances en aout, bien que j’ai commencé à les voir comme des parents, j’ai baisé avec eux. Et quand je dis avec eux, parfois tous les trois. Je ne trouvais pas ça choquant, nous n’étions pas supposés nous revoir. Et puis, tu sais ce qui a fait que j’ai remis les pieds ici... Et cette fois-là, j’ai baisé encore avec Roger. Quand je suis revenue en octobre, nous avons essayé de vivre normalement. Mais nous avons repris nos ébats, sans nous imposer quoi que ce soit. Je les voyais de plus en plus comme des parents, mais, malgré mes efforts, je les envisageais aussi comme des amants. Eux aussi avaient la même impression que moi. Nous nous sommes rendus à l’évidence tous les trois. Nous ne pouvions être l’un sans l’autre. Et puis, tu es revenu dans ma vie. Te retrouver a été absolument magique pour moi. Mais ça m’a terrifiée aussi. Je venais de trouver une certaine stabilité affective avec eux et notre relation venait tout chambouler.

Alicia avait le cœur qui battait la chamade, bien plus fort que ce qu’elle avait imaginé en se lançant dans son monologue. Elle poursuivit néanmoins :
— J’ai voulu continuer à avoir des relations avec eux, tant que je n’étais pas sûre de moi. Ta venue chez moi m’a donné ces certitudes et je n’ai pas baisé avec eux depuis. Bruno, je t’aime plus que tout au monde. J’aime quand tu me fais l’amour, j’aime quand nous nous baladons, nous rions ensemble. Mais Bruno, ils me manquent terriblement. Je voudrais baiser avec eux encore et encore. Si tu ne veux pas, je ferai comme tu le souhaites. Je te serai absolument fidèle. Je sais que je leur manque aussi, de ce point de vue là. Et, maman, je crois qu’elle ne dirait pas non à retrouver le beau jeune homme qui lui a fait voir mille plaisirs. Tu sais, quand j’ai joué à être Bérénice hier soir avec ma coiffure puis quand tu m’as prise dans l’escalier. Tu as vraiment pris plaisir à faire semblant de baiser Bérénice. Je crois que ça ne te déplairait pas de la visiter à nouveau. Et papa, il serait content de retrouver sa petite salope. Alors, vous en dites quoi ? Papa, maman, Bruno ?— Je vais commencer, je crois, dit calmement Bruno. Je dois bien t’avouer que je commençais à me poser des questions. Il t’est arrivé d’en parler en me disant que ce n’était arrivé qu’une fois, ou à peu près, mais tes phrases étaient trop dans l’instant présent, trop actuelles. Roger a gaffé aussi, tout comme Bérénice, mais moi que toi. Ecoute, c’est vrai que j’ai aimé faire semblant de baiser Bérénice et quand on l’a fait, en novembre, j’ai pris beaucoup de plaisir. Mais c’est spécial ce que tu veux...— Euh, ma chérie, tu... Ce n’est pas banal. D’accord, j’ai bien aimé avoir une relation avec Bruno. J’aime faire l’amour avec toi. Et j’avoue que vous entendre dans l’escalier nous a bien motivés. Mais tout de même...— Ta mère a raison. Tu sais que j’apprécie faire des choses avec toi. Et, comme Béré, j’ai bien aimé vous entendre. Mais je ne me vois pas continuer ainsi.— Papa, maman, je pensais bien que vous nous aviez entendus. Roger, je suis persuadée que tu as aimé entendre ma voix dire ton nom. Que tu as aimé que Bruno dise celui de Bérénice. Et toi maman, ça ne t’a pas plu d’entendre la voix de Bruno t’appeler ? Papa, je sens que tu réagis sous moi. Bruno, mon chéri, ton caleçon a maintenant une belle bosse. Maman, je crois que ta chatte commence à vibrer comme la mienne. Roger, ne me dis pas que quand tu as su que Bruno avait baisé Bérénice, et que tu l’as baisée comme un fou quand elle te l’a avoué, les images d’elle, fourrée par Bruno, ne t’ont pas excité ? Et toi, mon chéri, depuis que tu sais que j’ai baisé avec Roger, tu n’y as jamais songé ? Je suis sûre que si. La première fois que tu m’as tringlée quand tu l’as su, je t’ai senti bien plus excité...
Alicia laissa les images d’ébats sexuels pénétrer au plus profond des esprits des trois autres. Elles les sentaient intéressés, tentés, mais elle était loin d’avoir leur approbation.
— Alors, là, tout de suite, mon chéri ne voudrait pas retrouver la bouche de Bérénice sur sa queue ? Pendant que moi, je poserais mes lèvres sur le membre de Roger ? Roger, je sens que tu bandes un peu plus, ça te plairait... Et Bruno, ta bosse devient plus grosse. Et toi maman, tu ne voudrais pas avoir les mains de Bruno sur tes seins ? Et voir celles de Roger sur les miens ? Tu te rappelles comment tu avais aimé nous surprendre dans la cuisine...
Alicia vit Bérénice serrer les cuisses et les frotter furtivement. La queue de Roger sous ses fesses se fit plus insistante et celle de Bruno avait des envies de liberté. Elle-même commençait à avoir de sérieux picotements dans le bas du ventre. Alors, elle prit les mains de Roger et, lentement, vint les placer sur sa poitrine.
— Mmmmh, oui, mon Roger. Je sens tes doigts trembler d’excitation. Bérénice, mamounette, tu ne veux pas prendre celles de Bruno et les mettre sur tes seins ?— Euh, non, non..., mentit-elle.— Si, tu en as envie... Allez, vas-y, lui aussi rêve de te tripoter à nouveau.
Alicia se voulut la plus persuasive possible, elle se massa les seins à l’aide des mains de Roger qui n’étaient pas très actives, mais ne cherchaient pas à s’enfuir. Elle vit Bruno, les yeux exorbités, qui regardait sa copine et d’autres mains que les siennes sur elle. Bérénice semblait envier Alicia d’être caressée, mais elle ne se décidait pas à attraper les mains de Bruno. Alicia allait lâcher une des mains de Roger pour inciter Bérénice à aller chercher Bruno quand sa mère se lança. D’abord hésitantes, ses mains migrèrent lentement derrière elle. A quelques millimètres des doigts de Bruno, elle stoppa, tremblante et fébrile. Mais l’employée de mairie saisit les mains de Bruno.
Celui-ci restait focalisé sur la poitrine de sa copine, mais Alicia s’aperçut que le souffle du jeune boucher venait de s’accélérer fortement. Bérénice ramena les mains de Bruno devant elle et les déposa sur ses seins. Alicia sentit les doigts de Roger se crisper sur ses seins, elle eut peur qu’il ait une bouffée de jalousie. Mais quand Bérénice se massa la poitrine avec les mains de Bruno, il se mit de lui-même à lui pétrir la poitrine. La quinquagénaire poussa un léger soupir et Alicia comprit que Bruno venait de s’activer. Comme Roger, voir sa compagne être caressée par un autre l’excitait-il notablement ? En tout cas, Alicia appréciait follement de retrouver les mains de Roger sur ses seins. Elle aurait d’ailleurs préféré les avoir directement au contact de sa peau. La strip-teaseuse souffla à sa "mère" :
— Maman, ça ne serait-il pas plus agréable que les mains de Bruno te caressent directement les seins ?— Oooh, euh, oui, oui, répondit Bérénice toute chamboulée.
Alicia pensait simplement glisser les mains de Roger sous son haut, mais Bérénice commença à retirer le sien. Bruno l’aida tout en faisant glisser ses mains sur les flancs de Bérénice. Une fois la poitrine à l’air, elle reprit les mains de Bruno pour les redéposer sur ses seins. Le jeune home entama alors une douce palpation qui fit gémir Bérénice. Alicia sentit les mains de Roger quitter ses seins, elle eut peur un instant qu’il veuille arrêter. Mais elle fut rassurée quand elles attrapèrent son haut pour lui retirer. Alicia l’aida à l’enlever et lui remit les mains sur la poitrine. Elle soupira, elle aussi, tant la caresse des mains de l’agriculteur était agréable.
— Aaah, oui, c’est bon, hein ? demanda-t-elle sans vraiment espérer de réponse.
Elle n’en obtint pas, sans doute étaient-ils tous les trois un peu gênés d’avouer aux autres qu’ils appréciaient. Les seins de Bérénice pointaient fièrement et il semblait à Alicia entrevoir une trace translucide entre ses cuisses. Derrière elle, le caleçon de Bruno affichait un beau chapiteau et, sous ses fesses, la queue de Roger avait vraiment besoin de plus d’espace. Mais c’était si bon de la sentir contre elle, de tortiller légèrement du bassin pour la masser. Elle aurait aimé voir Bérénice faire la même chose sur Bruno. Surtout que la femme aux cheveux gris regardait autant les seins d’Alicia que sa culotte. Etait-elle déjà tentée par sentir la queue de Bruno contre sa chatte ? Alicia se décida à lui proposer de faire comme elle :
— Mmmmh, oui, maman, c’est bon de sentir la queue de Roger contre mon cul. Maman, je suis sûre que tu as envie de sentir celle de mon chéri. Tu n’aimerais pas te tortiller sur sa bite, qu’elle se frotte contre ta chatte en feu ? Une salope comme toi, comme moi, on aime ça...— Non, non, je n’oserai pas, dit Bérénice.
Mais ses yeux dévièrent plusieurs fois vers la bosse de Bruno.
— Allez, assieds-toi sur lui, regarde comme papa aime quand je tortille du cul.
Alicia joignit le geste à la parole et Roger grogna faiblement de plaisir. La petite blonde eut l’impression de voir Bruno tirer un peu en arrière Bérénice pour l’inciter à venir sur lui. Mais Bérénice se déplaça sur les genoux de Bruno et plus particulièrement sur la bite de celui-ci. Elle se dandina tout de suite et poussa un long gémissement avant de s’allonger sur le torse du jeune homme. Bruno empoigna plus fermement ses seins et les massa plus intensément.La quinquagénaire s’était assise plus directement et avec les cuisses plus écartées qu’Alicia ; le sexe de Bruno devait être pile sur la chatte de celle-ci. Alicia se sentit tirée vers l’arrière, Roger aussi voulait sa part de plaisir. Lorsque sa culotte trempée vint se placer juste sur la queue de Roger, Alicia en eut des frissons dans tout le ventre. Comme Bérénice, elle dut s’allonger sur le torse de son "père" et ondula du bassin sur le pieu de Roger.
— Aaaah, oui, c’est si bon. Nous sommes de belles salopes et vous, deux beaux cochons...
Ils ne répondirent pas, mais intensifièrent leurs caresses mutuelles. Alicia sentit la joue de Roger tout contre la sienne et eut une envie folle de l’embrasser. Elle se tordit un peu le cou, mais réussit à venir coller ses lèvres à celles du fermier. D’abord hésitant ou réticent, Roger alla vite fouiller la bouche de la jeune femme avec sa langue. Alicia ne pouvait plus voir Bruno et Bérénice, mais, rapidement, elle perçut des bruits similaires à ceux qu’elle faisait avec Roger. Elle se détacha de lui et en eut la confirmation, Bruno et Bérénice se roulaient une pelle bien baveuse et langoureuse. Cela l’excita beaucoup de voir son copain embrasser une autre femme. Et Roger sembla aimer cela tout autant qu’elle.
Alicia se rendit compte qu’une des mains de Bruno était à l’intérieur de la cuisse de Bérénice. Il n’était plus très loin de la culotte de la quinquagénaire, mais pas encore dessus. D’ailleurs, si Bérénice avait remplacé la main de Bruno sur son sein abandonné, l’autre était à la lisière de son caleçon, prête à s’engouffrer dessous. Alicia se dit qu’elle aussi aimerait bien aller tâter directement la bête et qu’il lui faudrait peut-être doucement influencer Roger pour qu’il vienne fouiller dans sa culotte.
Mais au moment où elle commença à remonter le long de la cuisse de Roger, l’agriculteur lâcha son sein droit pour aller caresser sa cuisse. La jeune femme en frémit d’avance et lança sa main à l’intérieur du caleçon de Roger. En se faufilant le long de l’aine de Roger, elle atteignit facilement le pieu du fermier. Elle remonta légèrement ses fesses sur le ventre de Roger et put caresser le membre dur et chaud. Roger glissa ses doigts sous l’élastique de la culotte de la jeune femme. Il passa rapidement sur le pubis imberbe et trouva un sexe trempé de désir. Il se mit à le caresser, alternant entre le clitoris et les grandes lèvres d’Alicia. Ils poussèrent tous deux un très long soupir qui attira l’attention de Bérénice et Bruno.
Du coin de l’œil, Alicia les vit pris par la surprise, mais aussi l’excitation. Voir la compagne ou le compagnon dans de si bonnes mains les persuada d’en faire de même. En quelques secondes, ils imitèrent Alicia et Roger. Ils se mirent à se masturber de façon bien plus appuyée qu’elle et son fermier. Ce dernier accentua assez vite ses caresses sur la vulve d’Alicia qui branla plus fermement la queue de Roger. Les quatre se mirent à geindre bien plus intensément et profondément.
— Alors, les mecs, que dites-vous de vos deux belles salopes ? lança Alicia.
Ils ne répondirent toujours pas, mais la passion qu’ils mirent dans leur caresse augmenta d’un cran. Alicia choisit de s’adresser directement à Bérénice.
— Alors, maman, ma cochonne. Il est bien mon Bruno, non ?— Oh, oui, il est parfait...— J’ai bien envie de voir ma traînée de mère aller sucer cette belle queue... Tu en crèves d’envie, non ?— Oooh, ouiiii, je suis une salope de penser à ça...— Et tu veux me voir sucer ton mec en même temps ? Moi j’en meurs d’envie...— Ooooh, nous sommes deux putes de vouloir faire ça.
Pendant leur échange sulfureux, Alicia sentit les doigts de Roger lui fouiller la chatte plus fortement. Et d’après ce qu’elle put voir, Bruno laboura également le con de Bérénice avec plus de brutalité maîtrisée. Ces deux salauds étaient chauffés à blanc à la perspective de recevoir une fellation de la part de la compagne de l’autre et de voir la sienne pomper son voisin de canapé.
— Allez, montrons-leur que nous sommes deux belles putes...
Alicia descendit des genoux de Roger et s’agenouilla entre ses jambes. Bérénice la vit faire et devint rouge comme une pivoine. Mais elle suivit son exemple et se retrouva avec le caleçon déformé de Bruno juste sous le nez. Il parut évident que les deux hommes retinrent leur respiration. Que craignaient-ils ? Qu’elles baissent leurs caleçons ou bien qu’elles ne le fassent pas ? Bérénice attrapa la première le sous-vêtement de Bruno, mais n’osa enclencher la descente.
Alicia tira sur celui de Roger, il souleva ses fesses pour lui faciliter le passage ; une belle bite bien droite et bien dure apparut devant elle. Elle s’étirait de tout son long sur le ventre de Roger. A la droite d’Alicia, Bérénice tira le caleçon beaucoup plus lentement. Mais elle le baissa complètement pour découvrir la queue de Bruno bandant fièrement. Maintenant qu’elle les avait tous les deux sous les yeux, Alicia put les comparer. Roger était un peu plus long, mais Bruno un peu plus large.
Bérénice ne perdit pas de temps et empoigna le membre de Bruno. Elle le branla lentement, mais avec des gestes amples. Alicia fit comme elle et elle s’amusa de voir ces deux hommes estomaqués par la situation. Visiblement, c’était la première fois qu’ils voyaient la queue d’un autre homme en pleine action. Qui plus est entre les mains de sa compagne. Au-delà de leur passion pour les grossièretés, ils n’avaient apparemment pas expérimenté beaucoup d’autres choses. Encore que Roger avait emmené Alicia dans des scénarios de soumission et contrainte qui lui avaient beaucoup plu. Avec un peu de chance, le fermier donnerait de bonnes idées à son chéri.
Mais pour l’heure, la branlette n’était pas suffisante pour satisfaire ses désirs. Alicia se releva et vint emboucher la queue de Roger. Celui-ci grogna et souffla ; Alicia entendit son Bruno émettre le même de genre d’onomatopées. Et les bruits de succion produits par Bérénice lui confirmèrent la mise en route de la fellation à côté d’elle. Alicia ressentit un plaisir fou à retrouver cette chère bite, après des semaines de privation.
— Ah, quelles putes vous faites..., râla Roger.— Ooooh, des chiennes en chaleur, oui, confirma Bruno.
Alicia fut ravie, les deux hommes se lâchaient enfin et participaient maintenant pleinement. Ils commencèrent à deviser ensemble sur l’attitude de "pute" de leurs compagnes. Des mots outranciers fusèrent rapidement, augmentant l’excitation d’Alicia. Et connaissant Bérénice, elle se douta que celle-ci devait aussi y prendre un immense plaisir. Au bout d’un moment, les deux hommes se mirent à souffler plus fort et plus vite. Ils allaient sans doute jouir dans peu de temps. Si Alicia pensait que Bruno pouvait repartir facilement, elle en était beaucoup moins sûre pour Roger. Et puis, elle avait aussi sa petite, grosse, envie à satisfaire.
Elle laissa la queue de Roger avec un slurp retentissant. Cela attira l’attention de Bérénice qui laissa la queue de Bruno et se tourna vers Alicia avec un regard interrogatif. Elle avait un peu de bave au coin de la bouche, ce qui lui donnait un air particulièrement lubrique. Alicia eut une folle envie de lui dévorer la bouche, mais si Roger était habitué à ce genre de partage lesbien entre les deux femmes, Alicia craignit de choquer Bruno. Et puis, elle avait un besoin urgent à satisfaire.
— Mmmmh, j’ai la chatte en feu. Et la culotte trempée. Et toi, maman ?— Hein, euh, oui, moi aussi. Nous sommes deux belles salopes...— Oui, et elles aiment quoi les bonnes salopes ? Se faire brouter le minou... Hein, maman. Avec notre foufoune en feu, il nous faut bien ça, non ?— Ohh, ma chérie. Je, oui, oui, je suis une traînée, j’ai envie de me faire butiner comme une chienne, souffla Bérénice dans un râle.
Alicia se recula légèrement et put admirer le slip en coton de Bérénice. Le pauvre sous-vêtement était trempé et les cuisses de Bérénice dégoulinaient de mouille. La strip-teaseuse se leva et tendit ses mains vers Roger. La petite jeune femme "l’aida" à se relever pour prendre sa place. La queue de l’agriculteur se maintenait à une belle horizontale et brillait de la salive qu’Alicia y avait laissée. Elle se cala bien confortablement dans le canapé et elle toisa Bérénice du regard :
— Alors, ne me dis pas que tu n’as pas envie de te faire bouffer la moule, maman ? Allez, vieille pute, installe-toi...
Se faire appeler ainsi donna des frissons de contentement à la quinquagénaire. Elle eut un sourire avide et lubrique. Elle se redressa et invita Bruno à se mettre également debout. Le jeune homme, comme paralysé par la situation, se laissa complètement faire. Le sexe de Bruno était bien dressé et peut-être même pointait-il vers le plafond un peu plus franchement que celui de Roger. Par contre, il était tout aussi enduit de la salive de Bérénice. Elle lorgna un instant sur ce pieu dressé avant de prendre sa place sur le canapé.Les deux hommes se retrouvèrent un peu bêtes devant elles. Alicia comprit qu’il fallait encore les motiver quelque peu même si leurs regards braqués sur les sous-vêtements humides des deux femmes laissaient penser que leur sang bouillonnait de désir. Ils avaient été relativement passifs, à part leurs mots grossiers, là ils allaient avoir à prendre une part beaucoup plus active :
— Alors mes cochons ? Vos deux petites salopes ont envie d’une bonne léchouille. Vous savez bien les faire et vous aimez ça... J’ai le con en feu, Roger vient donc me calmer avec ta langue.— Moi aussi, j’ai besoin d’être satisfaite. Allez, venez nous manger la moule, vous adorez ça. Allez..., insista langoureusement Bérénice.
Alicia vit que la quinquagénaire n’avait plus besoin de motivation. Elle était même demandeuse de la bouche de Bruno. Celui-ci tomba d’ailleurs à genoux entre les jambes de Bérénice. Les lèvres du boucher se posèrent sur les cuisses de Bérénice et goûtèrent délicieusement au jus qui les maculait. Alicia vit la bite de Roger tressauter. De jalousie ou d’excitation ? Lorsqu’elle le vit fixer sa culotte, elle sut que c’était son désir pour elle qui allait l’emporter ; si elle ajoutait un petit quelque chose de lubrique. Elle se passa le doigt sur la culotte à l’endroit où se trouvaient ses lèvres. Celles-ci furent moulées par le tissu imbibé.
— Alors, tu viens, vieux cochon ? Viens donc goûter à nouveau à la chatte de ta jeune salope...
Un sourire carnassier s’afficha sur les lèvres de Roger, il s’agenouilla lentement et posa directement la bouche sur le slip d’Alicia. Il aspira avec force la cyprine qui trempait la culotte de la jeune femme. Alicia sentit ses lèvres et son clitoris pompés par la bouche avide de Roger. Elle poussa un long râle de plaisir qui attira l’attention de Bérénice et Bruno, Alicia n’entendit plus le léchage bruyant de Bruno sur les cuisses de Bérénice. Mais cela ne dura qu’un court instant.
Un petit cri surpris de Bérénice fit tourner la tête à Alicia. Les fesses de Bérénice étaient soulevées d’une main puissante par Bruno qui, de l’autre, lui arrachait à moitié son slip. Dès qu’il eut libre accès, il fondit sur la vulve de Bérénice comme un prédateur affamé. L’employée de mairie se mit à gémir et geindre immédiatement. Alicia n’eut le temps de l’envier qu’une fraction de seconde. Elle sentit les grandes mains de Roger attraper l’élastique du sous-vêtement et tirer fermement dessus. Elle se laissa faire avec plaisir et ouvrit ses cuisses pour lui faciliter l’accès. Roger ne s’en priva pas et vint dévorer le con de la petite blonde.
Les deux hommes retrouvèrent immédiatement leurs habitudes. Leurs grognements d’animaux emplirent la pièce et enflammèrent les deux femmes. Elles se mirent à se malaxer les seins avec ardeur et rudesse. Elles tiraient, pinçaient leurs tétons sensibles, pétrissaient leurs poitrines gonflées à bloc. Leurs gémissements appuyés s’ajoutèrent aux grommellements des hommes. Bruno et Roger mirent parfois en pause leurs cunnilingus pour proférer de nombreuses insultes et grossièretés à leurs partenaires. Plus elles en recevaient, plus elles gémissaient et mouillaient. Plus les deux hommes pouvaient s’abreuver, plus ils redoublaient d’insultes gratinées. Rapidement, Alicia sentit qu’elle allait jouir. Elle aurait bien voulu avoir un orgasme de cette façon, mais elle avait d’autres projets.
— Allez, salaud, viens me la mettre bien au fond de ma grotte. Je suis ta chienne qui attend son coup de bite.— Ooooh, Alicia comment tu parles... Moi aussi, je veux ta grosse queue dans mon vagin. Bruno, viens me bourrer comme une vieille traînée. Viens me baiser !
Alicia et Bérénice avaient presque supplié les deux hommes. Ceux-ci arrêtèrent leurs cunnilingus et observèrent les deux femmes. Ils se redressèrent et arborèrent une érection de tous les diables. Malgré tout, Alicia eut peur qu’ils refusent de baiser une autre femme que leur compagne, surtout Bruno.
— Alors Bruno, tu en dis quoi ? demanda Roger.— J’en dis qu’on a là deux putes, deux chattes qu’il va falloir bien remplir.— De vraies vides-couilles, non ?— Oui, juste des trous à bites...
Les deux hommes se sourirent puis ils se positionnèrent devant Alicia et Bérénice. Bruno tira la plus vieille et remonta ses jambes à la verticale. Il posa les pieds de Bérénice au niveau de ses épaules puis il se pencha sur elle, la pliant en deux. Il ne tarda pas plus et l’enfila sauvagement d’un puissant coup de reins. Bérénice hurla presque tant le plaisir que lui procura cette pénétration fut grand. Alicia cria aussi fort qu’elle quelques secondes après. Elle venait de recevoir le même châtiment que sa "mère" et en éprouvait tout autant de plaisir.
Les deux hommes, dont le poids reposait sur leurs bras, se mirent à donner de violents coups de bites dans les cons brûlants des deux femmes. Ils se félicitèrent tous les deux d’avoir pris du temps pour lécher ces moules juteuses ; cela leur avait permis de faire baisser la pression dans leurs sexes. Pliées en deux, mais baisées comme il le fallait, Alicia et Bérénice crièrent de plus en plus fort. Leur jouissance était décuplée par tous les mots orduriers que les deux hommes leur adressaient. Ils semblèrent même faire un petit concours de synonymes pour "pute". Roger gagna haut la main, mais Bruno lui apprit quelques nouveautés qu’il se ferait un plaisir de répéter plus tard.
— Baise-moi Roger, baise-moi, je suis ta chienne, ta pute, ton garage à bite, hurla Alicia trempée de sueur.— Fourre-moi, fourre-moi. Je suis une chiennasse, une traînée, une vide-couille pour toi Bruno, ajouta Bérénice avec une voix d’outre-tombe.
Ces dernières grossièretés eurent raison des femmes qui jouirent en même temps. Elles se cambrèrent et repoussèrent Bruno et Roger qui eurent bien du mal à tenir la position. Mais leur musculature résista et ils purent donner encore quelques coups de reins avant de se vider dans les chattes de la jeune et de la vielle avec de grands râles gutturaux. Alicia eut le vagin rempli d’un foutre abondant et épais, à peine Roger se retirait que le surplus dégoulinait déjà de son vagin. Tremblante et avec de multiples courbatures, elle regarda Bérénice. Celle-ci était dans un état second et son vagin laissait échapper pas mal de sperme aussi. Bruno et Roger haletaient et reprenaient leur souffle avec difficulté.
— Alors, j’avais raison, non ? lança une Alicia victorieuse.— Oui, ma chérie. Mon Dieu, Bruno, Alicia a bien de la chance.— Merci. Sacrée baise en tout cas, Bérénice. Ça m’a rappelé de bons souvenirs.— J’imagine. Tu m’avais manqué ma petite Alicia, termina Roger.— Dites, si on vit tous là, on pourra recommencer autant qu’on veut, proposa Alicia.
Après quelques secondes d’hésitation, ils approuvèrent tous les trois l’idée de la jeune femme.
— Par contre, comme tu le disais tout à l’heure, maman. Au quotidien, ça va être chaud, une seule salle de bain et puis la chambre là-haut, c’est un peu austère.— Pour ça, je vous ai dit, j’ai peut-être une solution pour nous loger tous les six. Ou plus dans l’avenir, hein, ma fille, lança Roger.— Oui, mais j’ai un problème avec ça quand même. C’est un truc qui me chagrine malgré tout. J’aimerais bien votre avis et des conseils, chuchota Alicia comme si on l’espionnait.
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