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Tombés du ciel

Chapitre 29

Hétéro
La présence de Victoire le lundi suivant provoqua quelques murmures étonnés ; pas sur son âge ou son physique très mince, mais pour son aisance à rattraper les autres danseuses du cours. Alicia comprit vite qu’elle n’aurait pas tous les mouvements parfaitement en tête mais que sa technique allait lui permettre d’improviser le moment venu. Et seules Laura et Karima resteraient au-dessus d’elle après les deux dernières séances.
Le dernier cours lui donna raison et termina aussi de l’émoustiller. Voir sa sœur et sa mère, ainsi que Myriam, dans ces lingeries si affriolantes lui faisaient de drôles de sensations. Alicia n’eut pas ce genre d’appétit pour les autres femmes et elle se contenta de les conseiller ou de les rassurer. Même Laura dont elle était pourtant proche ne provoqua rien de spécial en elle. Elles restaient des amies et les autres, des connaissances plus ou moins vagues.
En parlant avec Karima et Bérénice, Alicia comprit qu’elles ressentaient la même chose qu’elle. Et encore, Karima n’avait qu’un regard un peu plus curieux envers Myriam. Mais ce qui frappa Alicia, ce fut la complicité et la connivence de sa sœur avec Victoire. Il lui sembla même que le regard que Karima portait à la jeune fille allait plus loin que ça. Bérénice le sentit aussi et elles s’en inquiétèrent auprès de Karima qui nia ou éluda les questions gênantes.
Ce qu’elle se refusa de dire, c’était que la première séance de masturbation s’était renouvelée malgré leurs résolutions initiales. Cela n’avait tenu qu’une fois, leur laissant un goût de frustration dans la bouche. Elles avaient retenté l’expérience en prenant garde d’éviter tout contact : les choses étaient assez anormales comme cela. Mais le plaisir avait été légèrement moindre et elles avaient toutes les deux eu l’envie de s’embrasser au moment de leur orgasme. Après quelques hésitations et nuits blanches, elles en avaient parlé à cœur ouvert pour se dire qu’elles pouvaient bien s’y cantonner.
Chose qu’elles ne réussirent pas à faire car elles finirent par se caresser l’une l’autre le sexe et jusqu’à la jouissance. Si Karima put goûter aux petites mandarines de Victoire et la jeune fille à ses propres seins ; la maghrébine se refusa à aller brouter le minou de sa partenaire, malgré le fort désir qu’elle en avait. C’était un acte qu’elle voulait laisser à Ugo, si cela devait se produire entre eux. Et, de son côté, Victoire ne semblait pas vouloir lui rendre la pareille non plus. Karima garda son secret pour elle, indiquant seulement que Victoire lui avait demandé quelques "trucs" avant de faire le grand saut. Elle avait été gênée de cacher quelque chose à Alicia et Bérénice mais c’était un secret dont elle n’était pas la seule dépositaire.
Alicia et Bérénice sentirent que Karima n’avait tout dit mais elles ne se permirent pas de la harceler de questions. Elles-mêmes ne lui avaient jamais dévoilé qu’elles couchaient allègrement avec Bruno et Roger selon leurs envies de l’instant, et parfois même à quatre dans des ébats emprunts de passion, de mots grossiers et de plaisirs. La surprise voulue par ces femmes résista plutôt bien ; même si les hommes, pas si cons, qui vivaient avec certaines conspiratrices avaient deviné que la rumeur concernait leurs compagnes. Seules Victoire, Karima et l’autre toute jeune femme, ne vivant pas en couple, purent tenir secret leur participation.
Le 14 février arriva enfin et comme convenu, Victoire se présenta chez Karima pour garder toute la soirée Hala et Salil. Le petit garçon et la petite fille étaient particulièrement ravis de se faire garder par leur "cousine". Comme la Saint-Valentin tombait un mercredi, Alicia était disponible pour cette soirée spéciale. Elles avaient prévu, avec Bérénice, de faire leur show en duo devant leurs hommes et ensuite...
Karima avait pensé garder les enfants de sa sœur mais Franck semblait tenir à ce qu’ils passent cette nuit ensemble. Alors Victoire s’était proposée pour les garder. Et gratuitement, puisqu’elle devait bien ça à Karima avait-elle dit énigmatiquement à Alicia. La danseuse avait été un peu dubitative quant à laisser ses enfants toute une soirée et toute une nuit, même si, les congés d’hiver tombant bien, il n’y avait pas d’école le lendemain. Mais devant le désir qu’elle avait de fêter dignement cette Saint-Valentin et l’envie de ne pas priver Karima de la sienne, Alicia céda à Victoire.
Victoire entra donc chez Karima avec un petit sac contenant quelques affaires pour passer la nuit. Elle arriva bien avant qu’Alicia ne vienne déposer ses enfants, ce qui étonna un peu Karima qui était encore en sous-vêtements :
— Ah, je vois que tu as choisi le string, commenta Victoire.— Oui, en effet.— Et pas un poil non plus. Remarque au final, j’ai fait pareil, j’ai réduit, réduit mais ça ne me plaisait toujours pas avec cette transparence. Alors, zoup ! J’ai tout viré !— C’est ton choix. Excuse-moi mais il faudrait que je finisse.— Oh, oui, bien sûr... Je peux poser mes affaires dans ta chambre ?— Evidemment, Vic.
Karima remonta, suivie de Victoire qui laissa son sac dans la chambre mais n’en ressortit pas, préférant s’assoir sur le lit. Certes, elles n’avaient plus aucun secret anatomique l’une pour l’autre mais cela étonna Karima. Elle se demanda si Victoire n’avait pas besoin de parler, peut-être s’inquiétait-elle de sa future première fois avec Ugo. Et à la regarder de plus près, elle semblait avoir quelque chose à dire sans oser se lancer. Alors Karima, après quelques banalités, le lui demanda. Victoire lui avoua qu’en fait, ils l’avaient déjà fait la veille puisqu’Ugo gardait les plus jeunes chez lui pour laisser ses parents profiter de leur soirée. Visiblement, cette première fois avait été une réussite : la joie de Victoire était évidente.
— Oh, très bien... Je suis contente pour toi.— Merci. Dis, je peux te poser une question ?— Oui.— Généralement, c’est de mieux en mieux ?— Pas forcément... Mais bon, c’est vrai que moi et ma première fois... Toi, tu en penses quoi ?— Oh, je ne sais pas justement. En fait...— Tu as besoin de raconter ?
Oui, elle en avait besoin. Elle expliqua qu’ils avaient été dans un petit restaurant près de chez Ugo. Victoire avait un peu stressé en pensant à sa danse et au fait qu’elle ne savait pas où le faire. Mais elle fut surprise de voir qu’Ugo, après le repas, lui confia qu’un de ses copains lui prêtait son studio à deux pas de là. Tous deux un peu angoissés par la suite, ils s’étaient retrouvés dans le studio où, tout juste entrés, Ugo l’avait embrassé fougueusement.
— Toi qui voulais être gentiment bousculée...— C’était surprenant et j’ai adoré ! Ses mains se font faites baladeuses et sont tombées sur mes seins en moins de deux. C’était trop bon mais je le sentais fébrile. Et puis, moi, je voulais lui faire sa danse.— Tu as eu raison, je pense, lui confia Karima en enfilant sa robe.
Victoire continua en indiquant qu’elle l’avait fait assoir sur le clic-clac et lui avait annoncé qu’il allait avoir une surprise. Dans le stress et la précipitation, Victoire avait raté l’envoi de la musique et avait mis une bonne minute avant d’y parvenir. Quand elle avait commencé, Ugo avait tout de suite compris et s’était penché en avant avec un grand sourire.Mais ces péripéties avaient troublé Victoire qui avait raté plusieurs pas au début de la chorégraphie. Elle avait choisi de tout stopper et de recommencer sous les encouragements compréhensifs d’Ugo.
— Je me suis mise un coup de pied au cul et j’y suis retournée. Et là ! Boum ! Ça s’est enchainé à peu près comme je voulais. J’ai bien oublié un pas ou deux mais il n’a rien vu.— Tu es douée, presque autant qu’Alicia.— Oh, c’est gentil, mais je crois surtout que c’est qu’à ce moment-là j’étais déjà en soutif. Tu avais raison à ce propos, la vue de mes seins, à travers les bonnets transparents, lui a complètement fait oublié leur taille. Et à moi aussi, quand j’ai vu comment il me convoitait. C’est une drôle de sensation à mi-chemin entre le morceau de viande et la déesse... Bref, je me sentais bien même si je devais encore baisser ma jupe, ce qui m’inquiétait un peu. J’allais devoir m’afficher de façon moins suggestive avec ce shorty sexy.— Tu n’as pas pensé à tamiser la lumière ?
Victoire n’y avait pas songé, les choses avaient été un peu trop vite. Mais elle s’était lancée dans un déhanché très suggestif pour faire tomber sa jupe et se retrouver en collants. Elle n’avait pas fait d’essai avec cet élément et l’enlever risquait de casser l’ambiance. Alors elle avait trouvé un moyen : faire participer Ugo. Elle s’était approché et avait posé le pied sur son genou et avait susurré à Ugo quoi faire. Il ne s’était pas fait prier plus et avait fait glisser le collant, une jambe après l’autre, tout en savourant la douceur de la peau de Victoire sous ses doigts. Chaussures et collant ôté, Victoire avait dû se faire violence pour s’arracher aux débuts de caresses de son copain.
— Oh, dans cette position il devait avoir une sacrée vue !— Dans le mille ! Je l’ai tout de suite compris quand il a passé sa langue sur ses lèvres, limite s’il ne bavait pas. Au moins ça m’a rassuré sur son appétit pour moi. Je crois que je me suis trop collé à mon plan. Mais ça me rassurait un peu de sentir que je maitrisais tout.— Mmmh, je comprends. Mais si tu es reparti danser, ça a dû faire monter son excitation et sa frustration.— Carrément ! Ugo, il était fou ! Mais il s’est tenu sage même si je le voyais avec la main sur le paquet... Ça m’a fait tout drôle de me dire qu’il se tripotait à cause de moi. Que j’avais déclenché ça chez un gars. Surtout que je me suis rendue compte que la situation ne me laissait pas de marbre. Mes tétons tentaient de percer mes bonnets et ma foufoune trempait le shorty. Il avait été tellement proche, juste avant, qu’il l’avait forcément remarqué.
Karima lui demanda si elle n’avait pas été trop gênée d’afficher ainsi ses émois mais, non, Victoire s’était dit que les choses suivaient le cours désiré. Elle avait poursuivi en retirant son soutien-gorge et en massant ses seins devant lui et en pinçant légèrement ses tétons. Elle avait vu le désir brûler dans les yeux d’Ugo et l’envie que ses mais se posent sur elle.Victoire s’était ensuite attaquée à son shorty avec une petite appréhension : la première fois nue devant un homme ! Les essais devant Karima et durant les cours de danse l’avaient suffisamment désinhibée pour qu’elle puisse le faire. Elle s’était mise de dos et avait baissé le shorty, jambes serrées. Elle ne s’était pas sentie assez en confiance pour le faire jambes ouvertes comme Alicia leur en avait laissé le choix.
— Je comprends, je ne pense pas le faire en écartant les jambes. Enfin, je verrai bien le moment venu.— Mais j’ai regardé par-dessous mon épaule et j’ai bien vu le désir qui brûlait au fond des yeux d’Ugo. Je me suis redressée, je lui ai fait face et lui ai lancé le shorty pour terminer par quelques pas, le temps que le morceau finisse. Il l’a attrapé et l’a porté à son nez ou sa bouche, j’ai pas trop vu. Pourquoi il a fait ça ?— Pour te sentir et te goûter, je pense. Il a eu l’air d’aimer ?— Bah, je crois vu le grand sourire qu’il continuait d’avoir. Ça veut dire qu’il serait ok pour...— Te faire un cunnilingus ? Faut voir...
Victoire continua son récit en indiquant qu’elle avait toujours le même objectif en tête. Ugo s’était levé et avait relancé le morceau afin de danser avec elle. Il lui avait chuchoter de le déshabiller, ce qu’elle avait fait pendant que lui l’avait caressé avec ferveur. Victoire n’avait pas voulu ôter chaussettes et chaussures, ne se sentant pas à l’aise dans cette position proche de la soumission. Karima lui demanda si c’était un geste ou une parole d’Ugo qu’il lui avait fait naître ce malaise mais Victoire lui indiqua que c’était venu d’elle sans qu’Ugo n’en soit l’initiateur. Il avait compris sa gêne et les avait enlevés lui-même. Elle avait ensuite eu un peu de mal avec la ceinture et les boutons de son pantalon car Ugo triturait ses tétons en même temps, ce qui lui avait fait perdre un peu pied.
Mais le pantalon était tombé et Ugo s’en était débarrassé rapidement. Victoire n’avait pas voulu se mettre à genou devant lui et, de toute façon, elle était déjà trop focalisée sur la bosse énorme, sans qu’elle ait de point de comparaison, de son boxer. Elle avait beaucoup aimé cette vue mais avait hésité à faire descendre le dernier rempart. C’est Ugo qui s’en était chargé et avait fait glisser son boxer pour libérer un sexe bien droit et tendu. Le gland avait touché le ventre de Victoire et elle avait longuement soupiré. Les mains d’Ugo étaient revenues sur elle : la gauche sur les seins et la droite entre ses cuisses. Cuisses qu’elle avait ouvertes pour faciliter les va-et-vient de son copain.
Trop rapides et mal placés, elle l’avait fait ralentir et avait corrigé la position de ses doigts sur son clitoris. Victoire avait senti un orgasme pointer le bout de son nez mais elle l’avait chassé de son esprit en respirant calmement. Sentant le sexe d’Ugo la frôler à nouveau, elle s’était dit qu’il voulait sans doute qu’elle s’occupe de lui. Elle avait alors pris son sexe en main pour le découvrir doux et chaud, dur et bien droit. Elle avait commencé quelques allers-retours mais Ugo l’avait fait ralentir et changer sa prise. Victoire pensait que ce qu’ils se faisaient étaient tellement bon, qu’ils auraient pu finir ainsi. Mais lui comme elle étaient habités par un autre désir.
Victoire avait cessé son baiser pour lui demander mais elle n’avait pu rien faire d’autre que le regarder dans les yeux. Finalement, Ugo avait fait la demande lui-même, demande à laquelle Victoire n’avait pu adresser qu’un hochement de tête approbateur. Le garçon l’avait ramené vers le canapé et l’y avait allongé avec douceur. Un peu coincée par le dossier du clic-clac, Victoire s’était sentie en position de faiblesse avec Ugo au-dessus d’elle. Mais ça n’avait duré qu’un instant, son sexe coulant et s’impatientant fortement. La fille de Franck avait vu Ugo approché plus, flippant quelque peu. Cela avait rassuré Victoire d’être avec un garçon aussi peu sûr de lui qu’elle l’était.
— Ensuite, il m’a fait écarter les cuisses et il s’est placé sur moi. J’ai senti son gland frotter à l’entrée de mon vagin. Oh, rien que ça c’était trop bon. J’ai cru d’abord que c’était un accident mais il l’a refait plusieurs fois. Je lui ai demandé après coup pourquoi il avait fait ça et il m’a dit que c’était pour lubrifier son gland. Ugo avait demandé quelques conseils à des copains à lui.— Oui, c’est mieux. A sec, l’un ou l’autre c’est désagréable voire douloureux.— Mais c’est une opération risquée, il a failli juté sur moi en le faisant. Alors, il a repris quelques caresses sur mon sexe et m’a embrassé longuement. Ça devait être pour faire baisser la pression. En tout cas, ça m’a rendue impatiente, alors quand il s’est replacé... J’ai failli donner un grand coup de bassin vers le bas pour qu’il entre enfin. Mais il a été rapide et j’ai senti son gland s’insérer doucement. Il a fait deux ou trois mouvements comme ça, juste avec le gland en moi. J’ai gémis comme une folle et il en a fait autant de son côté. Là, aussi, je crois qu’on aurait pris un super pied tous les deux rien qu’avec ça. Mais le train était en marche, plus moyen de le stopper. Je voulais, il voulait...— Mais il fallait passer l’hymen.— Oui, j’ai eu peur d’avoir mal. Ugo, il a eu peur de me blesser qu’il m’a dit après. Je voulais y aller, alors j’ai posé mes mains sur son petit cul musclé et j’ai légèrement poussé. Il a compris et son bassin s’est avancé un peu plus en moi. Il l’a fait lentement mais sans s’arrêter quand il a touché ma barrière. J’ai senti que ça a un peu forcé et j’ai grimacé. Ugo a voulu stopper mais je l’ai incité à aller au bout de sa pénétration.— C’est bien, il faisait attention à toi.— Ah oui, c’est vrai ça ! Oh, qu’il est trop chou ! En tout cas, il paraissait kiffer ce moment. Il avait un sourire... Moi, la gêne s’estompait doucement et je commençais à apprécier physiquement sa présence en moi. Dans ma tête j’étais déjà très contente de la façon dont je venais de perdre ma virginité. J’ai fini par lui demander de bouger en moi. Ce qu’il a fait en se retirant lentement et en se renfonçant de la même façon. Ces premiers coulissements, comme un rodage presque, j’ai vraiment aimé. Ça m’a permis de me mettre dedans de découvrir ce que ça faisait d’avoir une bite dans ma chatte. Et le rythme s’est accéléré sans que l’un de nous le veuille consciemment.— Vous vous êtes laissé aller à vos désirs, sans doute.— Peut-être. En tout cas, j’ai pris un plaisir de plus en plus grand. Même si mon hymen m’enquiquinait encore. Ça a dû bloquer mon envol vers le septième ciel. Mais c’est pas grave, j’ai pris vachement de plaisir et Ugo aussi. Il transpirait, il soufflait, il me regardait dans les yeux et m’embrassait. Tout ça a satisfait mon plaisir mental. Et puis, je l’ai vu faire une drôle de tête, j’ai compris qu’il allait jouir. Et ça n’a pas tardé, quelques secondes plus tard, j’ai senti son sperme inondé mon vagin. C’était marrant et assez agréable en fait. On s’est embrassé comme des fous et il s’est allongé contre moi.— Pour une première, ça m’a l’air bien. Tu jouiras peut-être à la deuxième.— Oh, ça on l’a déjà eu. On s’est réveillé en pleine nuit et on a recommencé. Cette fois je n’ai pas eu de douleur et je me suis mise sur lui. J’ai commencé en restant bien droite mais j’avais trop envie de l’embrasser alors je me suis allongée sur lui pendant que je m’empalais sur sa queue. En plus, dans cette position, mon bouton frottait sur son pubis. Avec tout ça, cette fois-là j’ai eu mon orgasme avant lui. Trop avant et j’ai dû le finir à la main. Ça m’a fait tout drôle d’avoir son sperme sur les doigts.— Bon, c’est très bien tout ça mais je vois un problème. Vous ne vous êtes pas protégé !— Oh, ça va. On est tous les deux vierges !— Ce n’est pas une raison. Et tu prends la pilule ?— Oui, t’inquiètes. Pff, on dirait ma mère...— Oui mais elle dirait ça aussi. Bon, donc à part ça tout va bien ?— Oui mais je m’interroge. D’abord, quand on l’a fait la deuxième fois, j’ai senti qu’après mon orgasme il aurait bien aimé que je le fasse jouir autrement qu’avec la main. Il voulait une pipe ?— Probablement. Mais si tu n’en as pas envie, tu n’es pas obligée de le faire.— Sur le coup, j’étais pas chaude mais la prochaine fois peut-être, surtout s’il me lèche avant.— Ok, mais l’amour c’est pas du marchandage. Je te fais ça si tu me fais ça. Non, tu fais quelque chose car tu en as envie et tu as le désir de lui faire plaisir sans contrepartie. Et lui ça devrait être la même chose. Mais bon, vous devez apprendre à vous connaitre.— Oui, c’est sûr. On débute. J’ai hâte de recommencer. Mais...— Mais quoi ?— Bon, on l’a fait et c’était trop bien. Mais j’aime bien t’entendre quand on se caresse. Ça m’a un peu manqué.— Mais je ne dis rien avec toi !— Oh si, des fois ça t’échappe. C’est marrant de t’entendre t’appeler cochonne ou coquine ou que tu me le dises.— Merde... Bon, ça va, c’est soft.— Ah, parce que tu aimes des trucs plus cochons ?— Oui, bon. Voilà, hein.— Tu crois qu’Ugo voudrait bien m’en dire aussi ?— Peut-être. Ce que tu peux faire, c’est, la prochaine fois, parler et commenter ce que tu ressens. Oui, là c’est bien. Oh, c’est bon, plus vite. Plus bas. Tu aimes ? Bref, tu vois le genre.— Oui... Je crois. Je décris mais pas de mots cochons.— C’est comme ça que j’ai fait démarrer ton père. Tu verras bien...— Merci... T’es plus qu’une amie tu sais.— Oh, merci Vic, ça me touche. Allez, faut que je me maquille un peu.
* * *


Alicia et Bruno étaient arrivés quelques minutes après avec Hala et Salil. Les enfants avaient été fous de joie de retrouver leur "cousine". Ils se croisaient de temps en temps mais pas assez au goût ce ceux-ci. Sans rentrer dans les détails, Victoire se sentit assez en confiance pour confirmer à Alicia que sa danse avait été un succès. Succès dont la danseuse sembla capter les sous-entendus. Le couple était déjà prêt et devait rejoindre Roger et Bérénice au restaurant. Alicia donna les dernières recommandations à Victoire et partit à contrecœur, poussée par Bruno. Karima les suivit quelques instants plus tard pour passer prendre Franck.
Victoire resta seule avec Hala et Salil qui trépignaient d’impatience de faire les fous avec elle. Mais la jeune fille prenait son rôle au sérieux et rappela quelques règles aux deux diables. Ils jouèrent tous les trois un petit moment avant que l’heure du dîner ne sonne. Alicia avait douché ses enfants et Karima avait préparé à l’avance un plat qu’il suffisait de réchauffer au micro-ondes. Durant le repas, Victoire eut la bonne surprise de recevoir un appel de son copain. Ils passèrent immédiatement en vidéo et elle put le découvrir en plein repas également. Cela apporta un peu plus d’ambiance à table puisque les enfants de chaque côté commencèrent à faire des grimaces à ceux d’en face. Devant le bazar qui augmentait, Victoire et Ugo mirent fin à leur appel, avec une grande frustration.
La baby-sitter n’en voulut pas trop à ses "cousins", elle verrait Ugo bientôt le vendredi soir suivant. Même si elle se demandait comment ils allaient pouvoir remettre ça : Ugo n’avait disposé du studio de son ami qu’une fois. Elle s’installa devant la télé et laissa les deux enfants regarder un peu avec elle. Elle réfléchit quelques minutes à la meilleure façon de pouvoir passer du temps avec Ugo, dans un endroit propice aux "câlins". Au bout d’un moment, elle se rendit compte qu’elle avait trop laissé passer l’heure du coucher. Elle envoya les enfants à l’étage, malgré leurs suppliques, pour le triptyque "pipi, les dents et au lit". Ils ronchonnèrent un peu mais obéirent assez vite. Ils se couchèrent dans les deux lits que Bérénice avait laissés et qu’elle utilisait en son temps pour ses neveux et nièces.
Après plus de bisous et d’histoires que prévu, Victoire put enfin redescendre. Elle remonta une quinzaine de minutes plus tard et put constater que ça dormait déjà à poings fermés. Elle en profita pour prendre une douche rapide et se changer pour la nuit. Elle redescendit pour terminer de regarder le programme qu’elle avait commencé en terminant le thé, maintenant froid, qu’elle s’était préparé juste en fin de repas. Vers 22h, elle eut la bonne surprise de recevoir un texto d’Ugo :
— Oui, ils sont couchés. Enfin !— Non, ils sont mignons quand même. Et les tiens ?— Ok, mais je te préviens, je suis en mode dodo.
Victoire n’eut pas le temps de répondre que son téléphone sonnait déjà. D’un swipe, la tête d’Ugo apparut sur son écran. Elle ne put s’empêcher de sourire, comme elle, il avait les cheveux encore mouillés d’une récente douche. Le t-shirt qu’il portait était différent de celui avec lequel elle l’avait vu un peu plus tôt dans la soirée.
— Salut bébé, je suis content de te voir.— Salut Ugo, moi aussi.— Heum, ça va ?— Hi, hi, hi, tu l’as déjà demandé...— Oui, mais ça va par rapport à hier soir, je veux dire.— Oh, ça... Oui, ça va super.— Tu regrettes pas ?— Oh, non, non. Tu as été très bien. Et moi, j’ai pas été trop nunuche ?— Non, non. C’était top. Donc, tu serais prête à recommencer ?
Victoire rougit avant de répondre :
— J’étais justement en train de réfléchir où on pourrait recommencer.— Super ! s’exclama Ugo.
Victoire le vit virer rouge pivoine et pouffa discrètement :
— Au moins, je t’ai laissé un bon souvenir...— Plus que ça. Je pense à toi sans arrêt.— Dis donc... Tu vas réussir à tenir jusqu’à vendredi ?
Ugo parut gêné et Victoire ne comprit pas tout de suite pourquoi. Jusqu’à ce qu’une réflexion de Karima ne lui revienne en mémoire. Il risquait de se masturber d’ici là et peut-être même dès la fin de leur appel. Elle eut l’image de son copain avec la bite à la main en train de se faire plaisir. Elle se sentit frémir et se dit que, comme elle y avait pris goût, elle risquait de faire de même, au moins le lendemain. Elle savait qu’elle allait penser à lui, à son corps, à ses lèvres, à son sexe. Victoire se demanda s’il allait en faire autant, d’un coup elle se rendit compte qu’elle ne voudrait pas qu’il pense à une autre qu’elle, même si c’était une star qu’il n’aurait jamais.La jeune femme voulut en avoir le cœur net. Un peu gêné Ugo lui confirma qu’il n’allait penser qu’à elle. Elle en fut heureuse mais à son tour gênée qu’il lui retourne la question. Rouge de confusion, elle avoua timidement qu’elle pensait faire de même.
— Oh, j’y pensais, oui.— Oh trop cool ! En pensant à moi ?— Bien sûr, patate !— Oh là, j’aurais trop aimé voir ça ! Oh, je vais avoir plein d’images dans la tête !
L’image bougeait, démontrant bien l’excitation de son copain. Victoire se demanda même s’il n’était pas déjà avec la main sur le paquet... D’ailleurs, elle commençait à mouiller légèrement et son sexe réclamait quelques caresses. Finalement, elle s’y mettrait dès la fin de l’appel. Puis, en chuchotant, comme s’il avait peur d’être entendu ou appréhendait la réponse, Ugo demanda à voir ses seins, histoire de les avoir bien en tête. Elle fut d’abord un peu gênée avant de trouver cela amusant. De plus elle y vit l’occasion de jouer avec Ugo et de voir s’il était partant pour s’exprimer. Elle minauda un minimum afin de le faire supplier ; ce qu’il fit en vantant la rondeur, la fermeté et la douceur de sa poitrine.
Les compliments plurent à Victoire qui accepta de se montrer, elle posa son téléphone et retira son haut de pyjama. Elle eut un léger frisson qui fit durcir un peu plus ses tétons. Elle entendait Ugo s’impatienter mais il exulta quand la poitrine de Victoire apparut à l’écran. Elle joua un peu avec d’une main tout en tenant son téléphone de l’autre.
— Merci, merci. Génial, je b...— Mmmh, tu bandes ? Je n’en attendais pas moins !— Oui, et pas qu’un peu !— Alors fais voir !
D’un coup l’assurance d’Ugo s’enfuit de son visage. Mais il se reprit assez vite et l’image devint floue et tremblante. Lorsque Victoire l’eut à nouveau nette, elle découvrit qu’Ugo était allongé sur son lit et qu’il venait sans doute de repousser sa couette. Son caleçon affichait une très belle bosse qui la satisfit pleinement. Mais elle eut envie d’en voir plus, beaucoup plus. La veille, et pendant la nuit, elle n’avait pas trop eu l’occasion de profiter de lui. Elle s’était mise à nue, littéralement, devant lui mais elle n’avait pas vraiment eu le loisir de le voir de près.Victoire demanda à Ugo si ses seins lui plaisaient, ce à quoi il répondit qu’il regrettait de ne pas avoir plus joué avec. Il aurait dû les caresser, titiller les tétons, les téter. Victoire avait repris les caresses sur ses seins et fut ravie qu’il eut envie de poser sa bouche sur sa poitrine :
— Mmm, voilà une bonne idée, gémit-elle.
La situation devenait intéressante mais tenir son téléphone d’une main était inconfortable. Et puis, elle ne pouvait voir que le visage de son copain et ses épaules. Tout à coup, l’image devint noire et elle crut qu’il avait coupé l’appel. Elle s’interrogea et se demanda si elle n’était pas allée trop loin. Après quelques secondes, Ugo fit son retour sur l’écran mais sous un angle différent. Le téléphone semblait être entre ses jambes à trente centimètres au-dessus du matelas, offrant à Victoire une belle vue en plongée sur le corps de son copain. Elle se demanda comment il avait fait son installation.
— Je vais être plus à l’aise... Ça te dit de faire pareil ?— Oui, oui. Attend, je regarde comment faire.
Après quelques instants à bricoler, Victoire cala son téléphone sur la table basse avec sa tasse et un gros bouquin pour bien la maintenir en place. Elle se rassit et son corps commença à être filmé en contre-plongée. Elle ne pouvait pas s’affaler dans le canapé et devait restée assez droite pour être bien cadrée. Sur l’écran, Ugo la regardait avec envie et la main sur le caleçon.
— Voilà, c’est bien là ?— Oui, oui, tu es belle. Je voudrais bien être là pour te caresser.— Moi, aussi... Regarde je le fais comme si tu étais avec moi. Mmmh, c’est bon. J’aurais bien voulu embrasser ton cou, ton torse, ton ventre, le caresser et le cajoler, souffla-t-elle dans l’espoir qu’Ugo entre dans ce jeu.
Il commença à se caresser le torse par-dessus son t-shirt mais Victoire fit la moue. Il dut comprendre qu’elle en voulait plus et elle le vit le retirer pour enfin faire voyager sa main sur sa peau. L’autre, Victoire la voyait toute prête à glisser dans le caleçon de plus en plus déformé. Elle avait envie de la voir de près et en détails cette bite. Elle s’amusa un peu avec ses seins, à deux mains c’était bien mieux, et vit avec plaisir qu’Ugo continuait à se toucher.
— J’aimerais qu’on soit vendredi et que tu têtes mon sein.— Moi aussi, je pourrais le lécher ça et autre chose si ça te dis, proposa-t-il timidement.— Oooh, tu ferais ça ? Vraiment ?— Oui, tu aimerais ?— Ouiii, j’ai la foufoune qui tremble à l’idée. Elle dégouline presque...— F... Fais voir.
Ugo prenait-il enfin les choses en main ? En tout cas, Victoire était partagée entre l’envie et la crainte. Est-ce qu’il sentit son hésitation ? Chercha-t-il délibérément à l’exciter davantage ? Ou était-il déjà bien chaud ? Il glissa sa main dans son caleçon et appliqua à sa queue un mouvement de masturbation évident. Elle voulait bien se montrer plus mais ne se voyait pas être la seule dans ce cas-là. Déjà que le strip-tease lui avait demandé un gros effort sur elle-même...
— Mmmh, je ne sais pas... Peut-être. Dis-moi avant, cette nuit tu aurais aimé que je te suce au lieu de te branler ?— Oh putain oui... Tu le ferais ?— J’y penses... Ça me permettrait de la voir de près, de très près...— Et tu veux en avoir un aperçu maintenant ?
Ugo avait-il capté l’allusion ou avait-il déjà envie de sortir son engin pour l’exhiber aux yeux de Victoire ? La jeune adulte ne savait trop quoi en penser mais s’il le faisait, elle se sentirait moins gênée d’afficher son sexe devant lui. En deux secondes, et quelques soubresauts d’images, Victoire vit Ugo ôter son caleçon et se réinstaller confortablement, le sexe en main. Il était maintenant nu devant elle, enfin sur l’écran. Elle le trouvait beau et attirant, surtout ce sexe bien dressé elle en avait une vue détaillée. Bien droit, comme elle l’avait senti la veille, il paraissait aussi assez gros finalement. Il ne faisait pas la taille des machins monstrueux des quelques vidéos pornos qu’elle avait pu voir. Ses couilles étaient à l’avenant et semblaient bien remplies. Victoire mouilla un peu plus et finit par glisser sa main dans son bas de pyjama.
— Alors, bébé ? Ça te plait ?— Mmmh, c’est sûr que je vais vouloir y goûter...— Ouais, moi aussi y a un truc que je voudrais goûter...
Elle comprit qu’il voulait voir sa chatte mais n’était pas très à l’aise pour se lancer. Mais quand il commença à se branler lentement, elle se sentit comme hypnotisée. Alors, Victoire se leva un instant pour enlever le pantalon de son pyjama et se rassit face au téléphone. D’abord, jambes serrées et la main sur le sexe qui faisait de petits mouvements. Cela sembla plaire à Ugo qui ne l’incita pourtant pas à se dévoiler plus. Mais Victoire voyait bien qu’il espérait tout voir de près. Alors elle se mit bien au bord du canapé, ce qui l’obligea à se tenir bien droite, se cambrant et mettant en avant ses mandarines. Doucement, elle ouvrit le compas de ses cuisses et finit par exposer sa vulve imberbe et luisante de cyprine.
— C’est trop beau... J’ai soif maintenant, je voudrais bien venir boire à ta source.— Mmmmh, ça me fait mouiller encore plus ce que tu dis... Parle-moi encore...
Ugo se lança dans une description pleine de gourmandise du sexe de Victoire qui se caressait les seins d’une main et titillait son clitoris de l’autre. Elle se lâcha à son tour et parla du sexe d’Ugo avec une profonde envie. Ils s’échangèrent ainsi des paroles plus descriptives que vraiment empreintes de lubricité. Mais c’était bien suffisant pour Victoire dont les deux mains étaient maintenant sur son sexe. La gauche, du majeur, lui titillait activement le clitoris et la droite, avec l’index, lui fouillait le vagin. Elle avait les yeux rivés sur son téléphone où elle pouvait admirer Ugo avec les deux mains occupées. La droite montait et descendait rapidement sur sa colonne de chair et la gauche massait doucement ses testicules.
Comme elle, il fixait intensément son écran, obnubilé par ce qu’il y voyait. Tous deux se regardaient avec de plus en plus de mal, avec des râles de plus en plus rauques au fond de la gorge, la peau perlée de sueur, le gland et la vulve brillants de liquide. Tout à coup, Victoire vit Ugo ouvrir de grands yeux, le souffle coupé, et de puissants jets de sperme jaillirent de son méat. De longs traits blancs atterrirent sur son ventre et sa poitrine alors qu’il continuait de se branler avec force.
Victoire fut cueillie à son tour et râla profondément, les doigts figés sur et dans son sexe. Son bassin donna de petits mais vigoureux coups vers l’avant et elle sentit de fins jets de mouille sortir de son sexe. Elle tremblait et haletait fortement, remplie d’une délicieuse plénitude post orgasmique. Sa vision redevint nette et elle put voir Ugo qui faisait courir le bout de ses doigts sur son sexe qui diminuait de volume. Il avait son sourire niais d’après éjaculation et semblait tout à fait satisfait. Il la regardait à nouveau avec un regard incisif et gourmand. Victoire se sentit toute chose et se mit à s’effleurer la peau des cuisses près de son sexe.
— Mmmh, c’était trop bien... Je crois que ça va me faire tenir jusqu’à vendredi.— Oui, moi aussi. Ugo ? Tu as bien aimé qu’on se parle comme ça ?— Oui, c’était cool. Et puis on y était un peu obligé. On ne pouvait pas se toucher...— Mais, tu le referais en vrai ?— Heu, oui, oui... Oh, oui ! Dis donc ça serait...— Volcanique ! J’espère... Mmmh, allez, il va falloir que je coupe.— Oui, tu as raison, je travaille moi demain et faut que je prenne une douche.— Moi aussi. Bisous, mon cœur.— Bisous, bébé.
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