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Tombés du ciel

Chapitre 32

Avec plusieurs hommes
Alicia conduisait son fourgon pour rentrer chez elle. Ce jour-là, elle était maussade, comme le temps. Elle se sentait même plus que maussade. Comme la météo finalement qui avait été vraiment exécrable toute la matinée. De la pluie et du vent avaient accompagné le marché de ce jeudi-là. Alicia n’avait pas trouvé de réconfort dans la présence de Bruno car la boucherie de Patrick et Myriam était fermée en cette dernière semaine d’avril, comme chaque année. Bruno avait donc été absent et elle regrettait de lui avoir dit de rester au chaud à la maison. Elle aurait eu bien besoin de lui.
Malgré cela, sa vie avait tout pour lui plaire, et pas que la sienne d’ailleurs. La jeune femme avait appris de sa "sœur" que Franck avait accepté qu’ils essayent d’avoir un enfant. Il avait averti Karima qu’il ne se voyait pas en avoir plus d’un autre car il craignait que cette grossesse prenne du temps et que la suivante ne se réalise pas avant ses cinquante ans. Karima s’en fichait parfaitement, un enfant, un bébé qui pousserait dans son ventre, c’était tout ce qu’elle voulait.
En plus elle était devenue depuis quelques semaines la compagne semi-officielle du maire. La première sortie qu’elle avait faite en tant que telle avait été mitigée. Quelques âmes chagrines avaient commenté négativement la présence d’une maghrébine, certains allant tout de suite imaginer l’érection de minarets dans la commune. Mais Karima avait déjà tissé suffisamment de liens professionnels et personnels dans la vallée pour que ces médisances ne prennent pas plus d’importance que ça.
De toute façon elle souhaitait limiter ses apparitions aux seules manifestations festives. Karima ne se sentait pas tout à fait légitime dans ce rôle alors que Franck voulait la voir de plus en plus souvent à ses côtés. Surtout que Victoire se faisait de plus en plus rare auprès de son père. Elle était heureuse avec Ugo tout en gardant une relation très complice avec Karima. Alicia s’était plusieurs fois demandé à quel point elles étaient proches. Mais la petite blonde avait vite compris que la toute jeune femme avait surtout besoin d’une confidente et d’un guide dans sa vie d’adulte. Surtout qu’elle trainait avec elle un certain mal-être par rapport à son corps.
Alicia, plus jeune, n’était pas beaucoup plus épaisse que Victoire. Elle n’avait vraiment pris en volume au niveau des fesses et des seins qu’après ses grossesses. Mais c’était sa pratique du pole dance qui lui avait vraiment donné plus d’épaisseur. Elle avait proposé à Victoire de venir en faire chez Roger avec la barre amovible qui lui servait à se maintenir en forme, à tester de nouveaux mouvements, à s’échauffer avant de partir travailler. La fille du maire s’était révélée aussi douée qu’elle, voire plus sur certaines choses, et il ne lui manquait qu’un physique renforcé pour être à l’aise. Et ça, il suffisait de travailler régulièrement et assidument pour l’obtenir. Victoire venait le samedi en tout début d’après-midi, ce qui permettait à Alicia de partir plus tard au club puisqu’elle s’échauffait chez elle. En plus Hala et Salil étaient ravis de voir plus souvent leur "cousine".
La strip-teaseuse avait ainsi pu connaitre un peu plus Victoire et avait découvert une jeune femme agréable, joyeuse et vive quand elle mettait de côté la mauvaise image qu’elle avait de son corps. Alicia comprenait pourquoi Karima s’était tant rapprochée d’elle. Mais si elle avait tissé des liens amicaux avec Victoire, ils étaient encore très loin de ceux noués entre Karima et Victoire. Et puis, sa relation naissante avec Ugo lui rappelait celle qu’elle avait vécu avec Samir.
Alicia avait parlé à Karima de l’intégrer à leurs sorties entre femmes. Sa "sœur" devenant blanche, elle avait dû préciser qu’il ne s’agissait que des parties piscine, cinéma, etc. Alicia regrettait d’ailleurs la baisse de ses autres relations avec Karima, depuis la fin des cours de danse. Mais, ses relations se renforçant énormément avec Franck, Alicia supposait que Karima se réservait pour lui en vue de tomber enceinte.
Surtout, ce qui dans sa vie aurait dû la rendre heureuse, c’était son futur mariage. En plus Bérénice et Roger allaient aussi se marier et Franck allait célébrer ces deux unions le même jour. Deux mariages le même jour dans ce petit village, même les plus anciens n’avaient pas souvenir d’un précédent. Alicia avait été assez surprise que Bérénice veuille bien accepter la demande de Roger. D’après ce qu’elle avait pu apprendre, sa "mère" avait toujours été peu réceptive à ce genre de cérémonial. La quinquagénaire avait été tentée de ne porter qu’une simple robe pour ce jour-là, mais Alicia, qui rêvait d’un mariage dans les règles, lui avait demandé de l’accompagner, avec Karima et Victoire, pour qu’elle se choisisse une robe de mariée.
Bérénice était venue de bon cœur, ne comprenant qu’une fois sur place qu’elle était tombée dans un piège : les trois autres femmes étant de mèche pour la convaincre de se prendre une robe pour elle aussi. Leur plan avait été bien préparé ; Alicia avait d’abord essayé des robes qui collaient mieux au physique de Bérénice, ce que la vendeuse, Karima et Victoire lui avaient fait remarqué. Alicia avait alors proposé à Bérénice d’en essayer une, pour voir, pour rire ; le temps qu’elle trouve un autre modèle qui lui convienne mieux.
Bérénice, en riant, avait trouvé l’idée amusante et était partie l’essayer. Elle avait été étonnée du rendu et les compliments sincères et appuyés des trois autres femmes l’avaient décidé à faire quelques autres essais. A la troisième robe, toutes avaient convenu que c’était la robe idéale pour elle. Alicia lui avait demandé de la porter le jour de son mariage, de leur mariage.
Bérénice avait d’abord refusé, tout en continuant à s’admirer dans le miroir de la boutique. Alicia et Karima étaient revenues à la charge et leur "mère" avait fini par avouer qu’elle se verrait bien habillée ainsi. Elle se sentait belle, à l’aise et le style simple correspondait à sa personnalité. Alicia avait sauté de joie et avait pu ensuite se concentrer sur sa propre robe. Elle en avait aussi profité pour demander à Karima et à Victoire d’être ses témoins, Bérénice jetant son dévolu sur Myriam et une de ses sœurs. La préparation leur prenait du temps et n’était pas toujours simple à organiser avec leurs emplois du temps chargés. Surtout que le seul moment de libre, à quatre, était le jeudi après-midi. Ce qui les obligeait parfois à zapper leur moment privilégié habituel.
Mais le mariage n’était rien comparé à ce qu’ils voulaient faire avec Bruno : un enfant ! Et même presque trois puisque son futur époux souhaitait adopter ses enfants. Quand ils leur en avaient parlé, Salil n’avait pas compris pourquoi ça changerait quelque chose puisque Bruno "c’est déjà mon papa", avait-il dit. Cela avait fortement touché le boucher qui en avait versé une petite larme. Par contre Hala s’était montrée farouchement opposée à la chose. Alicia avait tenté de la convaincre mais elle était restée sur ses positions. Quelques jours plus tard, elle avait surpris Hala et Bruno à discuter, assis sur un muret de la ferme. Elle les avait laissés à deux et s’était contentée de les observer de loin. Hala avait fait un câlin à Bruno puis était partie rejoindre son frère.
Bruno lui avait expliqué qu’il avait exposé à Hala les raisons pour lesquelles il voulait l’adopter et la petite fille lui avait fait part de ses propres raisons de refuser. Il ne voulut pas en dire d’avantage à Alicia puisqu’Hala avait souhaité garder cela entre eux. La fille d’Alicia lui avait simplement dit qu’elle y réfléchirait. Elle était revenue vers lui une semaine ou deux plus tard en lui disant qu’elle avait parlé à son papa et qu’il était d’accord, donc qu’elle acceptait. Alicia s’était demandé si, comme elle, elle avait vu Samir ou bien si c’était juste un subterfuge de son inconscient. Si le dénouement avait été celui espéré, cela lui avait tout de même causé quelques tracas nocturnes.

Tout semblait rouler comme prévu mais si le temps du jour était en partie la cause de son état taciturne, la raison profonde en était plus intime. Elle sentait qu’elle allait avoir ses règles, ses douleurs abdominales étaient annonciatrices d’un nouvel échec. Alicia savait qu’il faudrait probablement un peu de temps pour que cela se fasse mais chaque nouvelles règles étaient extrêmement frustrantes. Et ce n’était pas faute de planter la graine ! Ils baisaient tous les jours !
Ce qui ne les changeaient guère de l’habitude mais ils se limitaient à une seule pratique, une seule façon de faire venir Bruno. Cela était un peu monotone à la longue. Leurs ébats du jeudi, avec Bérénice et Roger, auraient pu mettre un peu de variété mais ils s’étaient réduits. Et puis, Roger ne se sentait pas de jouir en elle, même en étant stérile. L’idée, pourtant impossible, d’être à la fois le père et le grand-père du bébé le plongeait dans une panique et un stress importants.
Alors il la sodomisait ou se faisait sucer par Alicia jusqu’à jouir quand il pouvait aussi la brouter pour lui faire atteindre l’orgasme de façon un peu différente. Pendant qu’à côté, Bérénice se faisait défoncer allègrement par Bruno qui pouvait varier les plaisirs lors de son éjaculation. Mais même ça laissait un petit goût d’inachevé. Alicia rêvait de tomber enceinte rapidement et de pouvoir baiser pour le simple plaisir avec Roger, Bruno, Bérénice. Reprendre aussi avec Karima dès qu’elle serait, elle aussi enceinte. Et pourquoi pas avec Franck, il était plutôt bel homme et commençait à développer les penchants de Roger et Bruno. Tant qu’à faire, elle pouvait bien intégrer Victoire et son Ugo, après tout !
Son esprit divaguant bien trop loin, elle explosa de rire. Vraiment, sa mauvaise matinée et son mal de ventre lui montaient à la tête. Et puis, trempée par la pluie, Alicia n’avait pas chaud. Elle grelotait même un peu, elle poussa le chauffage du fourgon à fond et se dépêcha de rentrer chez elle.
* * *


Arrivée chez elle, Alicia n’en ressentit qu’un peu de réconfort. Il y faisait chaud et pourtant elle se sentait frileuse. Elle se dit qu’un bon repas, une douche chaude et se faire copieusement ramoner allait la remettre d’aplomb. Ses douleurs abdominales se calmèrent quelque peu, elles reprendraient le lendemain avec l’arrivée des "Anglais", ou peut-être le surlendemain. La douche lui permit de se détendre un peu plus mais ne la réchauffa pas vraiment, elle en ressortit grelotante et frissonnante malgré le confortable jogging qu’elle avait enfilé. Elle retourna dans le séjour où ses trois partenaires l’attendaient. Alicia s’affala dans le fauteuil et poussa un long soupir avant de tousser un peu.
Bérénice était assise entre les deux hommes, visiblement impatiente de commencer. Alicia vit que Roger et Bruno bandaient déjà, elle en sourit mais ne se sentit pas de les rejoindre, du moins tout de suite :
— J’ai un peu froid. Commencez sans moi, vous regarder devrait sérieusement me réchauffer.— Tu es sûre ma chérie ? demanda Bérénice.— Oui, maman. Et puis j’ai bien envie de te voir faire avec ces deux cochons...— Oooh, deux hommes pour moi ? Je ne sais pas...— Béré, une salope comme toi, ça devrait te plaire.— Roger, ça lui plait déjà. Regarde-moi ces tétons qui sont en train de percer son haut, ajouta Bruno.
Il plaqua le haut de Bérénice sur sa poitrine et on vit les seins de la quinquagénaire, moulés par le tissu et dont les tétons étaient effectivement dressés. Bérénice, comme souvent avec Alicia, était nue sous ses vêtements quand ils n’étaient que tous les quatre. Bérénice devint rouge de confusion et d’envie. Se faire exhiber ainsi ne lui déplaisait pas. Ce mélange de plaisir et de honte était troublant. Son sexe se mouilla rapidement, ses seins se gonflèrent un peu plus, ce que Bruno nota :
— Et ça t’excite bien, hein ? Quelle salope !— Si ses seins pointent je me demande comment c’est en bas, dit Roger pensivement.
Il fit lever Bérénice et baissa son pantalon, faisant apparaitre un sexe dont on pouvait déjà percevoir l’humidité.
— Quelle grosse pute, tu mouilles déjà ! C’est de penser que tu vas avoir deux queues pour toi toute seule ? demanda Roger.
Bérénice rougit un peu plus sans répondre ; cette nouvelle insulte la faisant mouiller davantage. Roger fourra deux doigts entre ses cuisses et les fit aller et venir plusieurs fois le long de sa vulve. Il les retira de là luisants de mouille. Il les lécha avec gourmandise et en émettant ses bruits d’animal habituels. Bruno sembla vouloir y gouter aussi et il ficha deux doigts dans le con de Bérénice qui en râla de plaisir. Une fois sortis de son antre, il les dégusta de façon toute aussi obscène. Alicia sentit son ventre tiraillé entre ses douleurs et son désir. Encore légèrement frissonnante, elle glissa une main dans son pantalon et joua avec son sexe. Son autre main passa dans son sweat et commença à triturer son sein.
— Foutez-la à poil, cette vieille salope !
Les paroles de la jeune femme surprirent les trois autres mais sembla aussi leur plaire. Bruno et Roger finir de déshabiller Bérénice et la laissèrent nue debout devant eux. Ils se mirent à la caresser, à lui peloter un sein ou une fesse, à jouer avec ses tétons ou son sexe. Ils accompagnaient tout cela de paroles grossières auxquelles la femme aux cheveux gris répondait en gémissant de plaisir. Elle n’était pas inactive et palpait fermement les bosses dans les pantalons des deux hommes. Bérénice finit naturellement par baisser les fermetures éclairs de leurs braguettes et en extirpa deux pieux déjà raides. Elle couina de satisfaction de sentir ces colonnes de chairs chaudes, douces et rigides entre ses doigts.
— Allez, suce-nous sale pute ! lui dit Roger.
Bruno appuya sur l’épaule de Bérénice qui se mit à genou devant eux. Sur son visage, Alicia put voir une certaine appréhension ainsi qu’une excitation évidente. Sa "fille" comprit que Bérénice était à la fois apeurée et impatiente de sucer deux sexes. Mais le doute s’effaça vite de son visage et un sourire se dessina sur ses lèvres comme ses deux amants déversait sur elle un flot d’injure aussi obscène qu’une douche de sperme.
Elle emboucha Roger tout en branlant Bruno pour ne pas le laisser en plan. Elle pompa férocement son futur mari pendant quelques instants avant d’être tirée par son futur gendre pour qu’elle vienne le sucer à son tour. Bérénice, un peu déboussolée, mit un moment avant de retrouver la queue de Roger dans sa main et l’astiquer fermement. Bruno râla de plaisir et de rage tandis que Roger grogna de frustration. Il s’impatienta rapidement et ramena Bérénice sur son sexe.
Les deux hommes s’échangèrent la bouche de Bérénice pendant quelques minutes ce qui rendit Alicia encore plus fiévreuse. Même un peu envieuse de sa "mère", elle se plut à s’imaginer à sa place passant et bavant lubriquement d’un membre à l’autre. Elle s’enfonça un doigt dans le vagin et tira fortement sur son mamelon. Elle couina et soupira sous l’effet de ses doigts et attira l’attention de son compagnon. Leurs regards se croisèrent et Bruno sembla vouloir la rejoindre puisque, visiblement, elle était réchauffée. Son sweat était relevé au-dessus de ses seins et son pantalon de jogging descendu aux genoux. Elle exhibait sans pudeur ses attributs qui témoignaient de son état d’excitation : seins aux tétons dressés et sexe trempé de mouille. Alicia indiqua d’un regard et d’une parole ce qu’elle voulait de son futur époux :
— Baisez-la tous les deux. Je veux vous voir la faire gueuler de plaisir, cette pute !
Les deux hommes la regardèrent avec étonnement et Bérénice avec les yeux emplis de surprise. Bruno et Roger toisèrent la femme à leurs pieds et un sourire lubrique se dessina sur leurs visages. Bérénice se mordit les lèvres, soudainement prise par une pulsion. Alors que ces deux grands gaillards étaient tout à coup dans leurs petits souliers, elle poussa Roger sur le canapé et elle se releva pour grimper sur lui. Avec un cri de rage et de luxure, elle s’empala sur son pieu brillant de salive.
— Quelle salope ! s’emporta Roger. Elle en veut, la chienne !— Tu parles ! Quelle pute ! Quelle salope ! commentait Bruno en s’astiquant le manche.— Viens, tu vas voir comment je suis une chienne ! lui répondit Bérénice.
Elle attira Bruno à elle et le reprit en bouche tandis que Roger commençait de puissants mais lents va-et-vient. Bérénice bavait et se languissait sur la queue de Bruno qui finit par prendre sa tête entre ses grandes mains pour aller et venir à son rythme entre les lèvres de sa belle-mère. Il commenta grossièrement le comportement débridé de la femme mature et fut rejoint par Roger qui traita sa compagne de tous les noms. Bérénice voulut répondre mais ne put que gémir d’approbation, la bouche remplie par le sexe de Bruno. De son côté, Alicia se pinçait et se tirait les seins avec force, deux doigts enfoncés dans son vagin. Elle regardait Bruno se faire sucer avec le plus grand plaisir. Ils avaient les yeux accrochés à l’autre et se souriaient de manière obscène alors qu’ils entendaient Roger insulter Bérénice et celle-ci geindre comme une folle.
Alicia fit un signe à Bruno qui eut du mal à y croire mais une lumière obscène s’alluma dans ses siens et, après avoir lécher son doigt, il alla le ficher dans le cul de Bérénice. Elle couina de surprise puis lâcha un long feulement dépravé. Roger dut sentir cette intrusion à travers les parois internes de la femme :
— Oh, mais c’est qu’elle en veut dans tous les trous, la chiennasse !— Mmmh, mmmh, oui. Fourrez-moi ! dit-elle complètement exaltée.— Tais-toi et suce ! lui rappela Bruno en lui enfonçant le sexe au fond de la gorge.
Pour bien la faire gémir, il ajouta un second doigt dont Bérénice accueillit la présence en tremblant de partout. Alicia, assise dans le fauteuil, avait une vue parfaite de la scène. Elle pouvait admirer la queue de Roger aller et venir dans la chatte de sa "mère" et les doigts de Bruno dans son cul. Elle était brûlante de fièvre sexuelle. Son pantalon gisait maintenant à ses pieds et elle avait posé les jambes sur les accoudoirs du fauteuil, lui faisant écarter les cuisses au maximum. Ça lui permettait d’accéder pleinement à son sexe dans le lequel elle faisait aller et venir deux doigts. Ses seins étaient toujours à l’air et subissaient des attouchements, des pincements assez brutaux qui la faisaient couiner.Alicia sentait son sexe dégouliner presque autant que ce que semblait faire celui de Bérénice. Mais elle voulait en voir plus, bien plus :
— Mes salauds, je vous ai dit de la faire gueuler. De la défoncer, cette pute ! Bruno défonce lui le cul ! Prenez-la en double !
Bruno, Roger et Bérénice se figèrent un instant, comme s’ils n’étaient pas sûrs d’avoir bien entendus. Alicia répéta sa demande et Bérénice lui dit :
— Oh oui, ma chérie. Allez-y tous les deux ! Remplissez mes trous ! Je suis votre salope ! Faites de moi une trainée ! Une radasse, un garage à bite !— Allez ! Fourrez-la, elle n’attend que ça ! les invectiva Alicia.— Alors, tu veux ma bite dans ton cul ? demanda Bruno sans y croire.— Oooh, ouiiii. Bourre-moi le fion comme un chien pendant que l’autre cochon me défonce la chatte ! hurla presque Bérénice.— Allez, vas-y ! l’encouragea Roger qui sentait son excitation tout emporter.— Comme tu veux, vieille pute !
Bruno s’enduisit le gland de salive, encore qu’avec celle déposée par Bérénice ce n’était guère utile. Il se plaça derrière elle et posa son gland sur la rosette de la quinquagénaire. Il poussa un peu mais le sphincter ne céda pas.
— Rentre-lui dedans ! lui intima presque Alicia.— Défonce-moi ! Aaaah, ouiiiii...
Le gland de Bruno venait d’entrer dans l’anus de Bérénice qui se sentit distendue et écartelée. Elle râla et trembla, elle suffoqua presque avant que Roger ne l’embrasse à pleine bouche dans un baiser plus que baveux. Bruno s’introduisit lentement dans le cul de Bérénice, en sentant le sexe de Roger juste de l’autre côté des tissus internes de celle-ci. La sensation était étrange mais agréable, surtout que les râles de l’employée de mairie laissaient à penser qu’elle prenait son pied. Roger aussi sentit la queue de Bruno longer la sienne, il ne bougeait pas et attendait qu’il soit bien à l’intérieur avant de reprendre. En attendant, il galochait sa future épouse tout en malaxant furieusement sa poitrine.
Ses seins allaient ressortir de là complètement rouges et meurtris mais elle couinait de plaisir à chaque fois qu’il les tordait. En retour Bérénice enfonçait ses ongles dans la peau de son torse et le chevrier savait qu’il aurait de sérieuses griffures en témoignage des leurs ébats torrides. Entre les bras et les corps de ses partenaires du moment, il distinguait sa "fille" se caresser, se stimuler, se pénétrer de ses doigts. Elle semblait prendre un plaisir démentiel à les observer.
— Alors, la petite pute, ça te plait de voir ta mère se faire prendre en double ?— Oh oui, mon papa cochon. Baisez-la ! Enculez-la !— Oooh, aaah, ça sera ton tour la prochaine fois mais salope de fille !— Oooh, ouii, maman ! Regarde comme j’ai hâte !
Bérénice pencha la tête sous son épaule et aperçut Alicia les jambes en grand écart, trois doigts dans la chatte et trois dans le cul à se ramoner les deux trous comme une damnée. Ses yeux étaient exorbités, elle haletait et bavait même sur sa poitrine tendue.
— Oh, ouiiii, ooh, putain ! Ohhh, ça sera bon de te voir prise comme la pire des chiennes !— Ouiii, ouiiii, ouiii, mamannnn ! cria Alicia en jouissant soudainement.
Ses jambes tremblèrent et se refermèrent subitement, laissant tout de même son antre lâcher quelques jets de mouille sur le sol. Impressionnés et surpris par l’orgasme de la jeune femme, Bruno et Roger pilonnèrent plus fortement les orifices de Bérénice qui se mit à crier de plus belle. Elle sentait ses chairs dilatées par les coups de reins puissants et rapides des deux hommes. Ils y mettaient toute leur force tout en lâchant quelques outrances à leur partenaire. Bérénice n’en put bientôt plus et partit à son tour dans un orgasme destructeur. Des spasmes puissants prirent les muscles de son vagin et de son anus qui massèrent et pétrirent les queues des deux hommes.Avec quelques grognements typiques, ils éjaculèrent dans les trous de la quinquagénaire encore tétanisée par la fin de son orgasme. Bruno sortit de son cul rapidement et se rassit à côté du couple. Celui-ci s’embrassait maintenant tendrement et Roger s’enquit de l’état de sa compagne :
— Ça va, Béré ? On n’a pas été trop rudes ?— Ouh, je vais avoir un peu mal au cul je pense. Mais ça va bien. Par contre je ne le ferais pas trop souvent, hein !— Oui, je te crois !— Ça t’a fait quoi de sentir Bruno ? demanda Bérénice.— C’était bizarre. Etonnant et un peu déstabilisant...— Oui, c’est clair, confirma le boucher. Surtout qu’on se sentait bien coulisser. Et que...— Et que quoi ?— De temps en temps, on avait les couilles que se touchaient..., avoua Roger un peu mal à l’aise.— Pas l’habitude de toucher un autre mec, ha, ha, ha ! se moqua Bérénice.
Elle se redressa, avec l’aide des deux hommes, et s’intéressa à Alicia.
— Alors ? Et toi, ma puce ? Alicia ?
La jeune maman ne répondit pas. Affalée sur le fauteuil comme une poupée de chiffon sans forme, elle semblait presque dormir. Bérénice se leva et alla vers elle, les cuisses maculées de traces de sperme s’écoulant de son cul et de sa chatte.
— Ca va mon cœur ?— J’ai chaud, maman...— Oh, mais tu es brûlante ! Viens, je vais m’occuper de toi. Lève-toi, on va te coucher.— Mais, je dois aller travailler ! Je ne peux pas me permettre de perdre ce job ! répondit Alicia comme si elle était revenue un an et demi en arrière.— Si, tu peux te permettre maintenant. Je suis là pour toi, ton père et ta mère aussi, lui dit doucement Bruno qui s’était rapproché.— Oh, mon chéri, mais et les enfants...— J’irai les chercher, avertit Roger dont le visage était soucieux.
Finalement, Bruno dut porter Alicia dans ses bras jusqu’à leur chambre et l’allonger dans leur lit. Là, Roger et Bérénice la rhabillèrent et la couvrirent de sa couette. Le reste de la journée, Alicia reçut les soins et les attentions de Bérénice. Jamais, elle n’avait vraiment reçu l’amour et le réconfort d’une maman quand elle avait été malade. Elle avait été soignée par les familles l’accueillant mais ça n’avait pas été si fort, si rassurant et réconfortant. Elle se plut à se laisser dorloter par sa "mère" et, après avoir pris de quoi faire baisser sa fièvre, elle se surprit à espérer retomber malade pour être encore choyée et chouchoutée comme cela. En deux jours, son coup de froid passa et elle se sentit à nouveau d’attaque.
Malgré la petite orgie qu’elle avait regardée avec plaisir et luxure, elle eut l’impression que ce qu’il lui resterait de cette journée, dans quelques années, ne serait que cette petite maladie qui lui avait offert toutes ces attentions de la part de sa "mère". Malgré tout, sur le moment, elle ne rêvait plus que d’une chose : se retrouver à la place de Bérénice.
* * *


Une semaine plus tard, Bérénice était assise dans ce même fauteuil. Comme Alicia, elle se caressait en admirant la petite blonde sucer Bruno et Roger à tour de rôle. Sa "fille" était arrivée à la maison, en compagnie de Bruno, excitée comme une puce. Il avait été difficile de la calmer, pire qu’un enfant impatient d’ouvrir ses cadeaux à Noël. Le repas était encore sur la table, c’était déjà bien d’avoir pu le terminer correctement. Depuis quelques jours, l’impatience d’Alicia n’avait fait que grandir tant elle voulait subir ce que Bérénice avait subi. Si elle avait ressenti quelques douleurs et irritations après cela, "subir" était tout de même trop négatif.
Bérénice pensait finalement être capable de le refaire si l’excitation, la situation s’y prêtaient. Elle avait eu un plaisir si fort qu’il l’avait profondément marqué. Sentir ces deux sexes la posséder, entendre ces deux hommes la traiter de tous les noms, de même qu’Alicia, tout ça lui avait fait passer un moment extraordinaire. Et ce qu’elle voyait à ce moment-là n’était pas pour lui déplaire. Elle comprenait enfin l’excitation et la lubricité incroyable qu’avait éprouvé la jeune danseuse en la regardant. Voir sa "fille" s’occuper de ces deux hommes qui l’avaient insultée copieusement, la rendait folle de sexe. Son vagin suintait déjà abondamment et ses seins étaient très sensibles. Elle les étira durement et s’en mordit la lèvre.
— Enfoncez vos queues bien au fond de la gorge de cette petite pute ! les invectiva-t-elle.— Oh j’y compte bien ! lui répondit Roger en pénétrant la gorge d’Alicia.
La jeune femme émit quelques gargouillis et bava énormément quand le gland de Roger lui chatouilla la glotte. Il ressortit vivement, laissant derrière lui un filet de bave relier son gland à la langue d’Alicia. Bruno attrapa sa compagne et remplaça la queue de Roger par la sienne. Il s’enfonça fortement, collant même son pubis contre le nez de sa future épouse. Elle battit l’air de ses mains et Bruno se retira un peu pour la laisser respirer. Il entama alors quelques va-et-vient dans sa bouche avec des bruits de succions humides importants.
— Quelle pute ! Regarde ça, Roger. Elle y va d’elle-même !
Le boucher venait de lâcher Alicia qui donnait des coups de tête en avant pour que la bite de son compagnon pénètre au fond de sa gorge. Elle se dégagea et les branla tous les deux :
— Alors mes cochons, pas déçus du voyage ? Elle se débrouille bien la petite trainée ?— Plus que bien, ravi que tu deviennes ma femme. Mais suce et tais-toi !
Avec un sourire espiègle et coquin, Alicia se remit à l’œuvre pour quelques instants. Bérénice avait déjà la main collée à la vulve et se frottait le clitoris ardemment. De temps en temps, elle mettait ses doigts à sa bouche pour déguster son jus intime. Elle lui trouvait d’ailleurs un meilleur goût que d’ordinaire, sans doute dû à une excitation plus importante, pensa-t-elle. Elle s’astiqua le clitoris furieusement et incita le trio à passer à la suite :
— Il va falloir la défoncer cette salope ! Baisez-la bien fort !— Ohhh, oui, baisez-moi, enculez votre chienne ! se languit Alicia aux pieds des deux hommes.
Bruno l’attrapa sous les bras et la souleva comme une plume, il l’embrassa en lui mangeant pratiquement la bouche et s’assit sur le canapé. Dans le même mouvement, il plaça Alicia au-dessus de sa queue mais rata son coup en ripant le long de ses lèvres vaginales. La jeune danseuse se souleva et, d’une main, positionna le sexe de Bruno correctement avant de se laisser retomber lourdement.
— Aaah, putain c’est bon. Viens-là mon Roger que je te suce encore un peu.— Aaaah, ma petite fille d’amour, tu penses encore à moi. Une vraie petite salope ! Avale ça !
Roger s’enfonça à nouveau entre les lèvres de sa "fille" alors que Bruno passait ses mains sous les fesses de celle-ci. Il entreprit alors de la faire monter et descendre sur son pieu. Il leur fallut un instant pour bien se caler mais ils parvinrent à réaliser la manœuvre sans trop de soucis. Roger avait encore les doigts humides de leur visite dans l’antre d’Alicia mais il y ajouta une bonne dose de salive avant d’aller en planter deux dans le cul de sa "fille".
— Quelle cochonne ! Ton trou du cul est déjà souple et prêt à m’accueillir !— Alors tu attends quoi ? lui demanda-t-elle narquoise.— Vas-y mon Roger. Encule-moi cette pute aussi fort que tu peux ! lui demanda Bérénice. Oooh, j’en mouille encore plus.— Ça va te plaire maman salope ! Allez-y les gars ! Cassez votre trainée !— Regarde ma fille. Je fais comme toi...
Bérénice avait déjà deux doigts dans le vagin depuis un moment mais elle en mit un troisième et alla s’en planter deux dans le cul. Alicia la regarda avec un air possédé, que sa "mère" lui renvoya au centuple. Un instant de silence se fit alors que Roger se plaçait derrière Alicia. Bruno écarta les fesses de sa compagne et l’agriculteur posa le gland sur la rosette d’Alicia puis poussa son sexe en avant. Alicia ne lâcha par les yeux de Bérénice mais son visage afficha une grimace effroyable mêlée à un sourire extatique. Bruno sentit la queue de Roger longer la sienne et il enfonça ses doigts dans les fesses d’Alicia qui griffa le torse de son compagnon à mesure que la double pénétration se réalisait.
— Lui laisse pas le temps de s’habituer, à cette pute ! Défonce-la ! hurla Bérénice qui se ramonait les trous à grands coups rageurs.
Roger s’agrippa aux seins de la jeune maman et entreprit de pilonner son cul. Les secousses furent vite suffisamment puissantes pour que le vagin d’Alicia coulisse de lui-même le long du sexe de Bruno. Il mangea à nouveau la bouche de sa compagne qui finit par s’en détacher pour hurler son plaisir et sa douleur. Bruno se mit à la bourrer comme il put tout en voyant du coin de l’œil Bérénice, les yeux à moitié révulsés, se défoncer les trous avec les doigts. Elle semblait dans un état proche de celui d’Alicia huit jours plus tôt, la sueur sur le corps en moins. Comme la jeune, la vieille en bavait même sur ses seins devant l’obscénité et la pornographie de la double pénétration.
L’agriculteur était tout aussi impressionné de voir leurs compagnes se mettre dans des états pareils. Mais il ne s’en plaignait pas, prendre le cul de la jeune alors que Bruno était dans son vagin était un vrai délice. Et tous deux abreuvaient leurs femmes de paroles ordurières qui augmentaient leur propre plaisir. La connivence avec laquelle il pratiquait cela en compagnie de Bruno l’étonnait de plus en plus. Même sentir sa queue glisser le long de la celle de son futur gendre lui paraissait de plus en plus agréable. Et, cette fois-ci, lorsque les couilles se touchaient ne le mettaient pas mal à l’aise. Ni lui, ni Bruno ne semblaient vouloir provoquer ces contacts mais le boucher n’en paraissait pas plus gêné que lui.
Roger entendit Bérénice crier plus fort ; en tournant la tête, il la vit jouir en tremblant comme une feuille. Elle avait la tête en arrière, la poitrine dressée vers le plafond à cause de la cambrure de son dos. Même de là où il était, il pouvait voir son sexe et son anus vibrer sous l’orgasme qui assaillait sa compagne. Cela finit de l’exciter et il sentit sa jouissance arriver. Il donna quelques violents coups dans le cul d’Alicia et se planta bien au fond pour y déverser sa semence. Bruno sentit les soubresauts de la queue de Roger et la jouissance de Bérénice dans les oreilles le fit jouir à son tour. Il se ficha tout au fond de son vagin, espérant que cette fois il la féconderait.
Alicia perçut les secousses et les spasmes des membres des hommes dans ses orifices, surtout la vision de Bérénice lui permit d’atteindre l’orgasme. Sa "mère" était littéralement dépravée, obscène, dans cette posture : couverte de ses fluides sur la poitrine, autour de la bouche, sur les cuisses et sur ses parties intimes. Elle cria à son tour et fut prise de terribles spasmes. Après quelques secondes, la danseuse sentit Roger sortir de son cul et rouler sur le côté, à bon de souffle. Bruno l’embrassa tendrement et l’enlaça affectueusement.
— Karima ! s’écria soudainement Bérénice.
Alicia tourna la tête vers l’entrée, là, Karima se tenait debout, devant la porte encore ouverte. Elle était rouge et livide à la fois, paralysée par ce qu’elle venait de voir.
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