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Tombés du ciel

Chapitre 38

Orgie / Partouze
Bérénice et Alicia avaient confié à leurs compagnons ce qu’il s’était passé avec Ugo. Comme elles en avaient pris l’habitude, elles ne cachaient plus rien à Bruno et Roger. Si ceux ceux-ci se montrèrent compréhensifs, en partie pour Victoire, ils l’acceptèrent néanmoins difficilement. Non que le problème fut qu’il soit un homme mais ce qu’il avait fait à Victoire et l’état dans lequel cela avait mis Franck et Karima les avait mis en colère contre lui. S’ils avaient compris qu’il pouvait avoir des circonstances atténuantes, les coups portés étaient impardonnables, de leur point de vue.
Bruno et Roger firent la gueule à leurs compagnes pour quelques jours avant de passer l’éponge et de se plonger dans la saison touristique qui battait son plein. Alicia avait peu apprécié de se faire mettre à l’écart mais elle avait retenu une chose : ils n’avaient fondamentalement rien contre l’idée qu’elles se fassent un autre mec. D’une part, Bérénice et elle passaient de l’un à l’autre sans soucis mais cela allait plus loin que ça. En creusant un peu auprès de Bruno et de Roger, Alicia et Bérénice comprirent qu’à force de les entendre dévoiler ce qu’il se passait côté Karima, Franck et Victoire, ou entre les quatre femmes, ils avaient l’impression de participer.
Alicia et Bérénice ouvrirent les yeux sur la relation que leurs compagnons entretenaient avec Franck. Ils s’appelaient souvent, s’envoyaient des textos alors qu’ils regardaient un match de foot ou de rugby chacun chez soi. Ils avaient aussi fait quelques soirées foot sous prétexte de laisser leurs compagnes, et Victoire dorénavant, faire ce que bon leur semblait. Bérénice et elle parlèrent de cela devant Hala et Salil ; les enfants d’Alicia leur révélèrent que Franck venait souvent chez eux lorsqu’elles partaient à quatre faire une sortie. Des fois aussi, ils allaient chez lui avec Bruno et Roger, ce que Salil aimait bien car cela lui permettait de se balader au village et de croiser plus facilement des copains d’école. Hala aussi aimait bien y passer car elle avait plus de chance de croiser Paco.
Alicia et Bérénice en tombèrent des nues, découvrant à quel point les trois hommes étaient proches. Elles comprirent alors pourquoi ils n’auraient pas vu d’un mauvais œil que l’une d’elle couche avec Franck. Et par la même, elles se demandèrent s’ils n’envisageaient pas Karima et Victoire comme des partenaires possibles. Elles allèrent leur poser la question et ils confirmèrent leurs soupçons pour Franck. Pour Karima et Victoire, ils avaient plaisir à les imaginer avec elles et aussi avec Franck mais ne se voyaient pas forcément fantasmer plus. Alicia et Bérénice furent surprises mais elles se rendirent compte que leurs hommes et leurs amies pouvaient baiser ensemble sans que cela les choquent outre mesure.
Karima et Victoire avaient des jolis atouts dans leurs genres et elles étaient toujours très heureuses de les voir. Elles-mêmes durent s’avouer que Franck n’avait rien pour leur déplaire. Mais tout ceci resta de l’ordre du fantasme, de la possibilité. Etendre leur relation à d’autres partenaires leur paraissait encore plus incertain. Les quatre amants n’allèrent donc pas plus loin, préférant et devant se concentrer sur la saison touristique et les préparatifs de leurs mariages.
A la fin des cours, début juillet, Victoire voulut prendre quelques jours de congés pour aller chez sa mère. Elle voulut s’éloigner un peu, se ressourcer et se faire dorloter. Elle pestait souvent contre le fait que sa mère la voyait encore comme une enfant mais cette fois-là elle ressentit le besoin d’être considérée comme telle. Une autre raison dicta ce choix : laisser Karima et son père en paix pour qu’ils puissent enfin concevoir ce petit frère. La semaine où Victoire fut absente, la traductrice et le maire s’en donnèrent à cœur-joie. Malheureusement pour eux, il n’y eut pas de bonne nouvelle de ce côté-là ensuite.
Par contre, Victoire leur revint en bien meilleure forme et elle sembla remonter la pente beaucoup plus vite. Elle voulut à nouveau sortir avec ses copines, ce que Karima voulu vérifier la première fois. La fille de Franck reprit alors une vie de plus en plus normale au grand soulagement de son père. La "normalité n’était pourtant que de façade puisqu’elle continuait de fréquenter Karima, Bérénice et Alicia. Elle se joignait régulièrement aussi à son père et Karima ou même parfois qu’avec celui-ci. Lorsque Franck et Karima planifièrent des congés, en aout, ils voulurent embarquer Victoire avec eux. Mais elle refusa poliment, préférant les laisser à deux.
Karima comprit que Victoire espérait une nouvelle fois que cela puisse se concrétiser en un bébé à venir mais elle perçut aussi autre chose. Elle se demanda un moment si elle devait interroger Victoire là-dessus et prit conseil auprès de sa "mère" et de sa "sœur". Elles apprirent de la bouche de la jeune femme que oui, elle avait commencé à voir un garçon de son âge mais que pour le moment elle ne préférait pas s’emballer. Elle voulait prendre le temps de construire une relation durable et posée avant d’envisager de le faire venir chez elle pour rencontrer Franck et Karima. Ce garçon semblait d’ailleurs vouloir agir de la sorte par rapport à sa famille. Victoire, loin d’une idylle de conte de fée, semblait vouloir édifier une relation d’adulte.
Si les trois femmes cherchèrent à en savoir plus, notamment sur le plan sexuel, Victoire se montra assez peu loquace. Elle se contenta de dire que cette relation lui permettait de se construire elle-même et qu’elle lui apportait beaucoup de bonheur simple. Elle ne baisait peut-être pas encore avec lui mais il était fort probable que cela ne tarde plus trop, en conclut Karima. Alicia et Bérénice furent assez d’accord sur ce point mais elles décidèrent toutes les trois de garder un œil attentif sur Victoire sans plus faire ingérence dans sa vie privée. Mais la nouvelle les ravit complètement, tant elles percevaient le manque qu’éprouvait Victoire.
Si les bras de son père la réconfortaient régulièrement, il était vite apparu qu’elle avait besoin de retrouver des relations sociales et affectives avec la gente masculine. Elle n’était pas fondamentalement lesbienne et, de plus, se limitait clairement à ses relations avec Karima, Bérénice et Alicia. L’arrivée de ce garçon laissait présager de bonnes choses pour la suite ; s’il se montrait aussi respectueux que ce que Victoire semblait en dire. Après, Karima et Bérénice ne savaient que trop bien qu’il n’était pas rare de reproduire les mêmes erreurs de casting. Mais leurs relations intimes purent à plusieurs reprises leurs permettre de voir le corps de Victoire de près sans que celui-ci ne laisse voir la moindre marque. Cela permit à Karima et Franck de partir sereinement en vacances, sachant que Bérénice et Alicia restaient dans les parages.
* * *


Karima et Franck avaient passés un séjour magnifique, jusqu’à trois jours du terme, la pluie et le froid s’étant invités. S’ils avaient pu se contenter de leur location les deux premiers jours pour peu sortir du lit et beaucoup faire l’amour, ils avaient fini par tourner en rond et se taper sur les nerfs. Ils avaient convenu de rentrer un jour plus tôt sans avertir Victoire, histoire de lui faire une surprise. Surprise qu’ils espéraient payante pour la retrouver elle et son corps sensuel. Ayant toute la France à traverser et malgré leur départ un vendredi, ils mirent toute la journée à redescendre chez eux.
Victoire les avait appelés, leur demandant s’ils voulaient qu’elle fasse quelques courses avant leur arrivée. Cela les avait faits sourire et ils avaient fait une petite liste pour donner le change. Victoire avait paru satisfaite de les savoir rentrer bientôt. Ils s’étaient mis d’accord pendant ces quinze jours pour que Karima emménage chez Franck. Ils ne pouvaient plus vivre à distance et ils sentaient que Victoire était prête à vivre avec Karima.
Arrivant vers 22h, ils s’étonnèrent de voir que toutes les lumières de la maison étaient éteintes. Il était tôt ; assez en tout cas pour que Victoire ne soit pas couchée. Ils entrèrent et constatèrent que le séjour et le salon étaient vides. Après tout, la fille de Franck avait pu sortir avec ses copines ou avec ce nouveau copain. Ils étaient partis avec la voiture de Karima, laissant celle de Franck à Victoire. Il voulut aller vérifier si son véhicule était dans le garage mais un halètement alerta Karima :
— Oh, on dirait bien que ta fille se fait plaisir, chuchota Karima.
Franck tendit l’oreille et hocha la tête en souriant. Si l’un et l’autre pouvaient entendre les soupirs de Victoire, aucune autre voix ne leur parvenait. Elle devait probablement se donner un peu de plaisir en solitaire.
— Oui, cette petite cochonne se fait du bien. Ça augmente même...— Viens, allons voir ce qu’elle fait...— Karima, elle a commencé toute seule...— Elle avait l’air si impatiente de nous retrouver. Je suis certaine que cette petite salope n’attend que ça et qu’elle a dû se soulager dès ce soir..., susurra Karima.
Franck regarda sa compagne dont la robe estivale ne pouvait cacher l’excitation qui montait en elle. La maghrébine s’était mise à l’aise pour faire la route en ne mettant pas de soutien-gorge. Ses tétons se dessinaient sous le fin tissu de sa robe blanche. Franck l’avait vu et y porta sa main pour masser ces seins déjà en attente d’attouchements. Karima soupira d’aise et alla plaquer une main sur la bosse de son compagnon. Si elle était visiblement émoustillée, l’excitation de Franck n’était pas moins palpable. Comme elle, il avait voulu faire le voyage sans sentir son paquet compressé par un sous-vêtement.
Franck et Karima s’embrassèrent fougueusement tout en laissant leurs mains se balader. Une bretelle tomba fort à propos dévoilant un sein, une braguette se retrouva ouverte invitant une main aventureuse à y faire une excursion. Après quelques instants, ils se retrouvèrent nus, Franck le sexe tendu à l’extrême et Karima la vulve suintante. Il la plaqua lentement mais fermement contre un mur, la trentenaire hoqueta de surprise et de plaisir comme les mains et le sexe de son compagnon se pressaient contre elle.
— Mmmmh, je te reconnais bien là mon doux lion. Mais ça serait dommage de ne pas la rejoindre, non ?— Rrrrrh, sûrement, t’es la reine des salopes de m’inciter à aller baiser ma fille...— Mmmh, c’est ma princesse aussi, ma petite salope d’amour. Allons-y, elle ne va pas tarder à jouir...
Approchant doucement pour surprendre Victoire, ils furent étonnés de constater qu’elle avait pris ses quartiers dans la chambre parentale. De derrière la porte, ils perçurent un deuxième souffle, des soupirs, masqués par ceux de la jeune femme. Ils tombèrent en arrêt devant cette surprise et tendirent l’oreille malgré eux.
Dans la chambre, il fut rapidement évident que le ou la partenaire de Victoire lui prodiguait un cunnilingus endiablé. Ils passèrent un œil par la porte entrebâillée mais ne virent que Victoire, allongée sur le dos et se massant fortement les seins. Là, il n’y eut plus de doute quant au sexe du lécheur. Le timbre grave de sa voix, ou plutôt de ses gémissements et de ses jappements, ne laissait plus place à l’imagination. Encore que le propriétaire de la voix restait un mystère. D’après ce que Karima savait du boucher ce genre de bruits et d’onomatopées étaient tout à fait son genre.
Qu’aurait-il fait là ? A moins qu’Alicia ne fut présente également... Elle ne semblait pas sur le lit mais pouvait se trouver sur la chaise dans le coin gauche de la chambre ou elle pouvait être à sucer son futur mari. Elle aurait eu la bouche libre, elle aurait abreuvé Victoire et Bruno de commentaires bien pimentés. Karima fut un peu vexée de voir que sa "sœur" lui piquait ainsi sa petite protégée. Mais elle se rendit compte que Victoire prenait à nouveau du plaisir dans les bras d’un homme, autre que son père. Tout près d’elle, Franck semblait le ressentir aussi. Il avait même l’air assez émoustillé par la situation.
Karima se sentait également attirée par les protagonistes de la chambre. Si Alicia et Victoire ne lui étaient clairement pas inconnues, Bruno l’était tout de même plus. Et pour Franck, c’était encore pire. Mais, son méat perlait sans discontinuer de liquide translucide. Victoire avait franchi la frontière qui les séparaient des deux couples de la ferme et Karima voulut la rejoindre. Elle regarda Franck avec dans les yeux cette question :
— On les rejoint ?
Franck se mordit la lèvre et sa compagne devina son envie d’entrer. Elle lui sourit et alla pour pousser la porte quand Victoire se manifesta :
— Aaaaah, tu me lèches si bien... Je mouille comme une chienne. Allez, viens me prendre. Défonce-moi...
Les bruits de cunnilingus cessèrent un instant et ils purent voir la silhouette du lécheur. Il était bien moins corpulent que Bruno ou Roger, ce devait donc être le nouveau petit-ami de Victoire. Ils restèrent figés alors que la jeune femme se faisait mettre en levrette en ronronnant de plaisir. Son partenaire se plaça derrière elle et l’enfila d’un coup sec en la faisant gémir fortement. Il ne lui laissa pas le temps de respirer qu’il était déjà à lui bourrer le con de coups effrénés. Il soufflait sous l’effort et rugissait, tant le plaisir que sa pénétration lui procurait était important.
Franck fut presque vexé de ne jamais avoir fait cet effet à sa fille. Ce garçon avait bien des qualités s’il avait pu la faire retrouver ces plaisirs en quelques semaines. Karima perçut la jalousie et le soulagement de Franck, elle-même était d’ailleurs partagée. Elle éprouvait ce même soulagement de voir Victoire se donner avec tant de lâcher-prise. Mais elle enviait sa jeune acolyte tant ce garçon semblait bien se débrouiller. Elle imagina que ce jeune homme puisse intégrer un jour leur lit. Mais l’idée ne flirta qu’une seconde avec son esprit avant que la raison ne reprenne le dessus. Karima prit la main de Franck afin de l’emmener ailleurs et laisser les jeunes tranquilles. Le maire la regarda avec compréhension et l’embrassa rapidement.
— Aaaah, rrrahhh, alors petite salope ? Ça te plait ? Tu aimes te faire défoncer comme une chienne ?— Aaaah, aaah, aaah, Ugo, Ugo, Ugo, haleta Victoire en réponse.
Franck et Karima se figèrent sur place : ce prénom et cette voix... Ce ne pouvait être que lui. Durant ces quelques secondes, Victoire supplia presque Ugo de l’enculer comme "une grosse pute". Mais ils ne l’entendirent pas tant la colère et la rage montaient en eux. Pris d’une impulsion soudaine, ils firent irruption dans la chambre en hurlant et en allumant la lumière :
— Qu’est-ce que tu fais à ma fille, encore ? Dégage petit con ! Va-t’en !— Ne la touche pas ! Tu n’as rien à faire là ! Pars, pars, pars !
Ugo et Victoire sautèrent du lit comme si les voix de Karima et Franck avaient eu assez de force pour les pousser de là. Ils se relevèrent et Victoire fit barrage de son corps, les bras en croix.
— Laissez-le ! Pitié, laissez-le ! C’est mon copain !
Dressée fièrement devant Ugo, elle faisait face. Derrière elle, Ugo ne se cachait pas, son regard soutenait la colère qui était dirigée contre lui et son bras était passé sur le ventre de la jeune femme. Karima posa la main sur le bras de Franck qui était prêt à se jeter sur le mécanicien. La trentenaire eut du mal à l’accepter mais le geste d’Ugo était doux et protecteur.
— Ugo, Vic, vous faites une erreur. Quelles que soient vos intentions, leur dit Karima aussi posément que possible.— Non, ce n’est pas une erreur, c’est comme ça, la défia Victoire.— Du calme, ma chérie, ils ne veulent que ton bien, lui dit doucement Ugo.— Et on sait que ce n’est pas ton cas, répondit sèchement Franck.— Papa, écoute. On s’aime et c’est comme ça... Il va falloir que tu l’acceptes, toi aussi Karima.— Mais, ma chérie il a...— Oui papa, il m’a frappé. Et il sait très bien que je ne lui pardonnerai jamais ce geste.— Mais elle a souhaité...— Passer l’éponge ? demanda Karima, incrédule.— Me donner une nouvelle chance.— A nous, c’est une chance pour nous deux, rectifia Victoire.— Mais, mais... Pourquoi ? demanda Franck.— Papa, je vais t’expliquer.
Franck se détendit et Karima enleva sa main de son bras. Elle regarda les deux jeunes gens dont l’attitude s’apaisait également. La traductrice se rendit compte de l’incongruité de la situation : ils étaient tous les quatre nus. Elle voulut leur demander de se couvrir mais elle n’osa pas briser cette trêve, d’autant plus que Victoire commençait à raconter comment elle en était venue à renouer une histoire avec Ugo.
— Kari, la fois où vous avez su ce que je faisais, comment je devenais, vous avez dit qu’une personne vous avait prévenues.
Victoire poursuivit en disant qu’elle avait sondé certaines copines puis elle avait élargi ses recherches. Mais c’est au cours d’une de ses premières sorties qu’elle avait croisé le garçon qu’il l’avait reconnu. Il était allé lui parler et Victoire l’avait remercié. C’est là qu’il avait répondu qu’il avait dû repasser par Ugo, n’étant pas encore au courant de sa condamnation. Et, ce qui avait fortement surpris Victoire, Ugo s’était montré particulièrement choqué d’entendre ça.
Victoire avait eu un peu de mal à admettre l’attitude de son ex-copain. Elle avait pensé le remercier mais la douleur des coups avait refait surface et elle avait abandonné l’idée. Et puis, elle s’était souvenu de la façon dont Karima, Alicia et Bérénice avaient parlé de lui. La fille de Franck n’avait pas compris pourquoi il leur paraissait aussi cassé qu’elle. Un samedi, lors d’une soirée chez des amis, elle avait eu la mauvaise surprise de le voir débarquer.
Ugo prit un peu la parole et confia qu’il avait été trainé là par ses copains. Il avait aperçu Victoire et tous deux avaient commencé à s’en aller, sentant qu’on leur avait tendu un piège. Face à face dans l’entrée, Ugo avait été stupéfait d’entendre Victoire le remercier et il avait dit qu’il s’était fait du souci pour elle. Finalement, ils avaient décidé de rester tout en gardant leurs distances. Ugo avait pu observer avec soulagement qu’elle paraissait aller mieux. De son côté, Victoire l’avait vu triste et mélancolique à la fois. Ils s’étaient retrouvés au moment de partir et ils s’étaient simplement serré la main avant de se quitter.
Cela aurait pu en rester là mais Victoire et Ugo avaient assez peu goûté le guet-apens et avaient eu besoin d’explications. Ce traquenard avait été décidé de chaque côté car leurs copains et copines avaient remarqué que tous deux évoquaient bien trop souvent leur ancienne relation. Victoire avait été assez troublée de se rendre compte qu’ils avaient raison, elle reparlait souvent d’Ugo quand elle n’était pas avec son père ou les trois femmes.
D’ailleurs, elle leur en avait un peu voulu de ne pas avoir dit la vérité, tout en comprenant les raisons pour lesquelles elles ne l’avaient pas fait. Victoire savait qu’il voyait un psy mais elle avait appris que la mère d’Ugo se lamentait de n’avoir pas vu que son petit garçon n’allait pas bien. La fille de Franck avait d’abord pensé qu’elle le surprotégeait avant de comprendre que "petit garçon" devait être pris au sens littéral. Victoire avait alors voulu en savoir plus.
Victoire avait trouvé quelques éléments de réponse dans les messes-basses de ses trois amies mais cela restait flou et elle sentait qu’elles ne croyaient pas vraiment à ce qu’Ugo avait pu raconter. Victoire s’était décidé à parler à Ugo lors d’un apéro organisé près d’un lac pour l’interroger. Elle était arrivée tôt et avait profité de la journée pour bronzer, se baigner et s’amuser. Ugo était arrivé après son travail et il avait vu Victoire en maillot de bain. Il l’avait trouvée resplendissante et pleine de puissance. Elle était venue vers lui et lui avait fait la bise de façon spontanée ; ils en avaient été très gênés. Elle l’avait laissé un moment puis était revenue pour lui parler.
Ugo l’avait suivi et, quand ils avaient été à l’écart, elle avait un peu tourné autour du pot avant de poser franchement la question qui la taraudait. Ugo avait été surpris et n’avait pas voulu dévoiler son histoire et celle de sa mère. Il l’avait fait devant Karima, Alicia et Bérénice, cela l’avait soulagé d’un poids. Mais il ne voulait pas se chercher d’excuses et avait préféré ne rien dire à Victoire. Pourtant celle-ci avait bien senti qu’il cachait quelque chose d’important et elle avait insisté. Il était resté fermé et Victoire avait laissé tomber pour cette fois-ci.
La fille de Franck était revenue à la charge dès le lendemain en allant retrouver Ugo à la sortie de son travail. Elle lui avait proposé de prendre un verre. Il avait accepté de se promener, inquiet qu’elle cherche à nouveau à savoir mais heureux d’être en sa compagnie. Comme il s’y était attendu, Victoire l’avait interrogé et comme la première fois il s’était refermé. Victoire lui avait dit qu’elle sentait qu’il y avait quelque chose, qu’elle pensait qu’il avait besoin de parler, qu’elle voulait le faire en souvenir des bons moments passés ensemble. Elle lui avait avoué qu’elle avait besoin de savoir que tous deux pouvaient construire un nouvel avenir chacun de leur côté.
Ugo avait été touché mais n’avait pu lui dire la vérité. Assis sur un banc, Victoire lui avait demandé de lui faire confiance. Pour montrer l’exemple et exorciser ses propres démons, elle avait raconté sa descente aux enfers. N’en connaissant pas le détail, Ugo avait pleuré, se sentant coupable de ce qui était arrivé. Elle lui avait dit qu’il n’était qu’en partie responsable et qu’elle avait elle-même pris de mauvaises décisions. Elle lui avait raconté comment elle avait voulu calquer les mots salés qu’elle aimait entendre sur sa personnalité. Elle avait alors doucement reposé la question à Ugo, prenant sa main dans la sienne, il avait craqué et avait raconté sa découverte du secret de sa mère.
Le flot s’était soudainement ouvert et il lui avait tout déballé de son parcours, de la vision qu’il s’était forgé de lui-même et de la peur qu’il l’avait accompagné depuis tant d’années. Victoire avait compris qu’ils avaient tous deux collé sur leur personnalité des choses qui n’étaient eux. Ugo lui avait avoué ce qui était arrivé avec Alicia et Bérénice, ce qu’ignoraient Karima et Franck, et que cela l’avait bien aidé à comprendre qu’il devait et pouvait faire la part des choses. Fortement troublée par cet aveu et lui demandant de tout garder pour lui, ce qu’elle ferait de son côté, Victoire avait décidé de tout dire de sa vie à Ugo.
Ugo avait accepté et elle avait raconté comment elle avait eu besoin de Karima pour s’accepter, ce que cela avait engendré comme relation entre elles. Comment, cette fameuse nuit, elles avaient brisé la dernière barrière. Victoire avait dévoilé comment elle avait débuté ses relations avec son père puis comment elle était entrée dans le cercle des trois femmes. Elle avait insisté sur la nécessité vitale que cela était devenu pour elle. Elle avait même avoué à Ugo comment elle avait eu besoin de son père pour voir qu’un homme pouvait être un partenaire lui procurant du plaisir.
Ils s’étaient séparé là-dessus, Victoire promettant à Ugo de l’accompagner et de l’aider au mieux. Elle était ensuite allée avec lui chez le psy, patientant dans la salle d’attente. Puis, elle avait eu un entretien avec ce psy qui avait jugé bon qu’elle vienne aussi le voir. Depuis ils y allaient ensemble, passant souvent l’un après l’autre. Sentant qu’Ugo était sur la bonne voie, Victoire s’était dit qu’elle pouvait s’éloigner un peu. Mais cela les avait mis tous les deux dans un état de dépression avancée qu’elle avait eu du mal à cacher.
Elle avait voulu en parler avec Ugo et ils avaient dû s’avouer à eux-mêmes puis à l’autre que des sentiments plus qu’amicaux avaient refait surface. Ils se sentaient bien mieux quand ils étaient ensemble, quand ils se soutenaient ou se consolaient. Se regardant bêtement de longues secondes, ils avaient joint leurs lèvres pour un tendre baiser.
Depuis, ils ressortaient en secret, cachant leur nouvelle histoire à tout le monde. S’ils avaient un temps pensé en parler à leurs proches, ils avaient vite conclu que pour vivre heureux, ils devraient vivre cachés ; au moins pour un très long moment. Victoire et Ugo avaient repris une relation comme avant, même plus intense tant ils parvenaient maintenant à se parler sans filtre, sans barrière ou faux-semblant. Ils ne se cachaient plus rien, pas même les relations sexuelles que Victoire pouvait encore avoir avec les trois femmes ou même avec son père.
— Je sais qu’elle est heureuse comme ça. Que c’est son équilibre, qu’elle vous aime comme ça. Alors ça me rend heureux moi aussi.— Papa ? Tu dis rien ?— Ma puce... Tu... Je ne peux rien t’interdire, tu es adulte, tu as les relations que tu veux. Mais je m’inquiète pour toi. Je savais pour Ugo et je lui en voulais moins mais c’est sa fragilité psychologique qui me fait peur.— Et la tienne aussi, ma chérie. Tu as eu des moments difficiles. Très, trop pour prendre ce genre de risque.— Kari, papa, c’est mon choix. Je l’aime et c’est tout... Je sais que c’est lui, l’homme de ma vie. C’est nos fragilités, nos fausses-routes qui font que nous sommes bien ensemble et plus forts que tout seul.
Ugo embrassa Victoire dans le cou et lui murmura quelques mots. Karima la vit sourire et soupirer de plaisir. Elle observa Franck et Karima et leur demanda :
— Dites, vous comptiez faire quoi ? A poil comme ça ?— Mais heu, on pensait être tranquille, mentit Karima.— Tututut, je vous l’ai dit, Ugo sait tout de ce qu’il se passe ici.— Tout ? Merde..., se lamenta Franck qui comprenait enfin.— Oui, tout. Et je ne dirais rien de ça à quiconque. J’ai eu un peu de mal à l’idée de devoir partager Victoire. Mais à chaque fois qu’elle revient vers après avoir passé un moment intime avec vous ou avec les trois femmes, elle est plus heureuse, plus joyeuse et nos propres moments intimes n’en sont que plus intenses. Et puis j’étais l’amant secret, elle ne pouvait changer de comportement...— Alors tu veux que j’arrête maintenant, supposa-t-elle.— Fait ce qui te rend heureuse, ma petite lune.
En réponse Victoire embrassa Ugo passionnément sous les yeux de Karima et Franck qui ne savaient plus comment agir face au jeune homme. Mais la question que Victoire avait posée ne lui avait pas échappé, elle se tourna à nouveau vers eux et reposa la question :
— Alors, vous vouliez quoi ?— Bon, on est arrivé et tout était éteint... On t’a juste entendu gémir. Avec Franck on a pensé que tu t’occupais toute seule. Ça nous a bien chauffé et on a entamé quelques préliminaires dans le séjour, avant de venir te rejoindre.— Mais en approchant on a fini par entendre quelqu’un d’autre. On ne voyait pas Ugo, on entendait seulement ses bruits de léchage. On a pensé que ce pouvait être Bruno, d’après Karima.
Victoire et Ugo commençaient à avoir un sourire en coin et la jeune femme sursauta légèrement. Karima ne comprit que lorsqu’elle s’aperçut que le sexe de Franck se gonflait, celui du jeune homme devait en faire de même contre le petit cul de Victoire. Retourner sur un thème lié au sexe et à ce qu’ils auraient pu faire troubla aussi Karima qui sentit son sexe frémir et reprendre une certaine humidité. En face, la petite poitrine de Victoire dardait ses tétons autant qu’elle le pouvait.
— On se demandait si Alicia n’était pas en train de le sucer pendant qu’il te léchait, continua Franck. On s’est étonné que la frontière soit franchie mais nous avons eu envie de vous rejoindre.— Mais on a vu que ce n’était pas Bruno et on allait repartir puis on a compris que c’était Ugo.
Karima repensait à ce qui aurait pu se passer. Ses seins étaient plus sensibles et cela ne l’étonnait guère tant les caresses de Franck, dans le séjour, l’avaient bien émoustillée. Et puis, elle avait vraiment aimé la possibilité de rejoindre Victoire, Alicia et Bruno. Surtout, elle se délectait des corps des deux jeunes gens en face d’elle. Si le sexe d’Ugo lui était encore caché, ce qu’elle voyait du jeune homme n’était pas déplaisant. Karima eut un sourire en coin que remarqua Franck. Il se pencha à son oreille et lui murmura :
— Alors ? La reine des salopes rêve de se taper un petit jeune ?
Elle n’osa répondre ouvertement mais le ricanement discret de Franck lui montra qu’il voyait clair en elle. Surtout, cela n’avait pas l’air de le choquer le moins du monde. Il bandait à nouveau fièrement et Karima redoutait de devoir passer à côté de cette splendide érection. En face, elle vit Ugo chuchoter à l’oreille de Victoire, elle sourit et se mordilla la lèvre inférieure :
— Mmmh, oui. Ta petite salope aime voir la queue de son père bander pour elle, lui répondit-elle tout haut.
Ugo blanchit d’un coup, il craignait visiblement que l’emploi de ce terme passe mal auprès de Franck.
— Oh, ça ne m’étonne pas d’elle. Mais, je sais que la petite pute qui est là aimerait bien savoir si elle te fait un peu d’effet...
Karima fut estomaquée que son compagnon réponde ainsi. Il n’avait pas tort mais elle n’aurait jamais pensé qu’il se laisse ainsi aller devant Ugo ; pour qui il avait encore, il y avait quelques instants, une grande animosité. Ugo se décala légèrement et laissa voir son érection. Karima, toujours éberluée par l’attitude de Franck, regarda ce sexe vigoureux sans bouger un cil. Elle put distinguer la main du jeune quitter enfin le ventre de Victoire et descendre vers son sexe. Il s’insinua entre ses cuisses tout en lui dévorant le cou. Victoire gémit et pencha la tête en s’abandonnant à son copain. Karima l’envia follement et eut la bonne surprise de sentir les doigts de Franck venir fureter entre ses fesses ; un peu brusque, il l’obligea à écarter les jambes et à exposer ses lèvres luisantes. Franck la masturba par l’arrière et vint peloter un de ses seins.
— Ugo, elle t’a dit que c’est cette chienne qui lui a fait aimer les grossièretés ?— Oui, Franck. Et depuis que je lui en dis, elle se comporte de plus en plus comme une t...,— Comme une trainée ? Ça ne m’étonne pas de ces deux putes, réagit Franck.
Karima vit Ugo acquiescer et sourire narquoisement. Le jeune homme caressait maintenant les seins de Victoire tout en s’activant un peu plus vite sur son abricot. La jeune femme haletait de plus en plus et regardait devant elle, les yeux dans le vide. Karima avait du mal à rester concentrée. Sa vision se troublait à cause des doigts de Franck et aussi à cause des mots des deux hommes. Elle gémissait de plus en plus et son sexe glougloutait sans discontinuer.
— Ooooh, oui, je suis une grosse chienne. Mais ta petite princesse est une vraie pute aussi.
Victoire attrapa le sexe d’Ugo et le branla par saccades désordonnées. Franck prit la main de Karima et la posa sur son membre tendu. Instinctivement ses doigts se serrèrent autour et son poignet leur fit faire des va-et-vient. Les deux hommes commencèrent à rugir et à mugir tout en continuant à masturber leurs amantes. Le maire finit par pousser Karima sur le lit et la plaça en levrette :
— Allez, sale pute. Offre-moi ta chatte un peu ! Qu’elle est trempée encore une fois ! Quelle chienne tu fais !
Karima n’eut que le temps de se satisfaire des paroles outrancières de son compagnon avant qu’il ne se plante vigoureusement en elle. Elle râla comme le gland frappait le col de son utérus et que la hampe lui écartait vivement les chairs intimes. A travers un brouillard épais, Karima vit Ugo pousser Victoire vers l’avant. Il dut se sentir autorisé par Franck car il pourfendit Victoire tout en lui assénant quelques délicieux outrages. La maghrébine sentit sur sa joue le souffle rapide et chaud de Victoire. Culbutée ardemment par Ugo, comme elle-même l’était par Franck, la jeune fille de dix-huit ans gémissait et soupirait à chaque aller-retour.La trentenaire colla ses lèvres à celles de Victoire. Leurs langues se mélangèrent pour un baiser baveux, tendre et bousculé. Elles poussèrent rapidement de petits cris comme les deux hommes augmentaient la puissance de leurs coups.
— Rhhaaa, oooooh, Ugo, ouiiii.
Karima comprit pourquoi Victoire poussait de tels plaintes quand un doigt vint s’introduire dans son anus. Elle râla longuement à son tour et augmenta la cambrure de son dos pour accentuer son plaisir. Un second doigt vint accompagner le premier et elle se mit à geindre sans plus s’arrêter. Victoire semblait perdre le contrôle et les deux femmes ne parvenaient plus qu’à vaguement se lécher la langue ou les lèvres en bavant abondamment.
— Allez, on va les défoncer de partout ! Hein, petite chienne ? Toi qui me le proposait toute à l’heure, ça devrait te plaire ! lança Ugo à une Victoire gémissante.
Elle ne put que répondre par quelques onomatopées et en tendant sur cul vers lui. Karima la sentit faire et elle eut envie du même traitement. Certes, ils devaient baiser utile mais la situation était bien trop excitante pour se cantonner à se faire repeindre le vagin.
— Regarde-moi cette radasse qui en veut aussi. Elles se sont bien trouvées ces deux-là ! commenta Franck ironiquement.
Néanmoins, il ne refusa pas l’invitation et sortit du con de Karima pour entrer dans son cul. Le gland se posa et elle voulut s’empaler elle-même. Elle n’eut pas assez de force pour ça et le maire s’agrippa à sa hanche pour pousser son sexe en elle. Karima cria et entendit distinctement Victoire hurler son plaisir et sa douleur. Il y eut une pause qui permit à la belle brune de chercher les lèvres de Victoire, elles se galochèrent comme des furies et Ugo demanda à la fille de Franck :
— Alors, tu la veux en entier ?— Ouiiii, met-là toute entière, souffla Victoire.
La jeune femme reprit vite son baiser pour étouffer ses cris et ses plaintes. Quand Ugo avait posé sa question, Karima n’avait pu s’empêcher de pousser légèrement ses fesses en arrière. Signe que Franck avait deviné être son accord pour se faire enculer. La traductrice poussa un long feulement et savoura cet instant où toute la hampe fut entrée en elle. Le maire commença quelques va-et-vient doux et lents, contrastant avec les mots qu’il employait à l’égard de sa compagne ou même de Victoire, ce que faisait également Ugo.
Dans un dernier éclair de lucidité, Karima se rendit compte que le jeune homme était dur dans ses mots mais doux dans ses gestes. Son propre plaisir reprit fortement et elle alla se stimuler le clitoris pour être en total lâcher-prise. Elle sentit Victoire pencher légèrement la tête pour voir ce qu’elle faisait. Karima la vit chercher son équilibre pour aller se caresser le sexe à son tour. Elle dut trouver son petit bouton car ses plaintes devinrent immédiatement plus profondes.
Les râles d’effort des deux hommes se firent également plus prenants, ils allaient venir dans les prochaines secondes. Karima et Victoire accentuèrent leurs stimulations et le baiser se mua à nouveau en un léchage maladroit des lèvres de l’autre. Leur plaisir grimpa vite, bien plus que ce que la trentenaire avait envisagé.
Inéluctablement, elle fut prise d’un orgasme qu’elle communiqua à Victoire. Elles jouirent en poussant de petits cris et prises par des tremblements incontrôlés. S’en fut trop pour les deux hommes dont les sexes étaient massés et pétris par les sphincters de leurs partenaires. Ils se plantèrent au fond des culs des deux femmes et se répandirent en rugissant et en mugissant.
Après quelques secondes d’extase à quatre, Franck et Ugo sortirent des fondements de Karima et Victoire qui s’écroulèrent sur le ventre. Ils vinrent vers elles et s’inquiétèrent de leur état. La traductrice fut soulagée qu’Ugo se comporte ainsi, elle se détendit un peu et rassura son compagnon. Elle se tourna vers lui et l’embrassa tendrement. A côté, Victoire prit Ugo dans ses bras et se serra contre sa poitrine. Elle finit par en sortir et dit à son père :
— J’ai été surprise que tu laisses Ugo me dire tout ça. Si vite, en tout cas. Tu lui en voulais tellement...— Bon je dois t’avouer que je lui en voulais autant parce que je fondais beaucoup d’espoir dans votre relation. On commençait à bien s’apprécier tous les deux et je te voyais si heureuse avec Ugo... Je m’en voulais aussi à moi de ne rien avoir vu venir.— C’est vrai ? Merci, Franck. J’ai été étonné que tu me permettes tout ça mais j’ai retrouvé la relation qui nous liait avant.— Victoire semblait tellement prendre son pied, plus qu’avec moi. Et pourtant elle m’aime énormément. J’ai compris qu’elle t’aime encore plus.— Donc, ça te dérange pas qu’on ressorte ensemble, papa ?— Non, mais je reste inquiet. Je comprends le travail qu’Ugo fait sur lui, je ne pense pas qu’il puisse te blesser volontairement.— Mais, comme ton père, je suis inquiète car vous êtes fragiles tous les deux. Votre relation est à risque, malgré tous vos efforts...— Je préfèrerais garder un œil sur vous... Du coup, Ugo ça serait bien que tu habites ici, proposa Franck.— C’est vrai ? Papa, je t’aime, dit Victoire avant d’embrasser son père. Mais et Karima ? Elle vient habiter aussi, alors !— Bien sûr, on voulait te l’annoncer de toute façon, lui confia Karima.— Génial ! Dis, mon chéri, je pourrais toujours... Tu sais avec Karima et papa.— Je te l’ai dit, bien sûr. Et puis, j’avoue avoir beaucoup aimé ce que nous venons de faire, avoua Ugo.— Parfait ! Tu es un amour... Et comme j’ai vu que Karima te plaisait pas mal. Et si elle a envie aussi...
Karima rougit malgré elle, elle tourna vers Franck un regard interrogateur. Avec ce qu’il faisait avec Victoire, il n’avait pas grand-chose à dire. D’ailleurs la possibilité qu’Ugo puisse profiter des charmes de Karima gonfla sa virilité. Elle en sourit et Victoire vint lui murmurer à l’oreille :
— Et si on mettait ça en pratique tout de suite ?
Karima acquiesça, souriante et gênée. Mais quand Victoire rampa vers le sexe de Franck, elle se décida à en faire de même. Le gland encore un peu souillé de sperme, elle l’inspecta sous le regard incrédule du mécanicien. Après un instant, elle se décida et le prit en bouche alors que Victoire produisait déjà quelques jolis bruits de succion.— Oooh, quelle salope, celle-là aussi ! Ça promet ! commenta goguenard le jeune homme.
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