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Tombés du ciel

Chapitre 39

Orgie / Partouze
— Bonjour Laura.— Bonjour Roger. Hala et Salil sont prêts ?— Oui, oui. Ils n’attendaient plus que toi.— Paco va être content de les avoir ce week-end. Vous êtes parés pour la semaine prochaine ?— Parés, parés. Nos femmes ont toujours l’impression qu’il faut ajouter un truc, faire la déco autrement ou changer le menu... Mais, bon, de toute façon, les mariages sont lancés maintenant.— Hi, hi, hi. J’ai fait pareil au mien... En tout cas, j’espère que vous aurez aussi beau qu’aujourd’hui...— Oui, ça serait bien. Pour une fin septembre, je ne vais pas me plaindre.— Elles sont où au fait ?— Quand on leur a dit qu’on voulait se faire une soirée foot à quatre, elles ont voulu un après-midi tranquille en échange. Au départ, elles pensaient aller au cinéma mais avec ce temps, elles sont allées près du petit torrent.— Oui, un peu de tranquillité avant le dernier rush. Et alors, vous avez préparé quoi comme surprise ? demanda Laura curieuse.— Je ne vais pas te le dire. Mais on est resté classique.— Oh, les connaissant, je suis sûre que ça va leur plaire. Vous les aimez tellement, c’est touchant... Et, heu, pour Ugo ? Comment ça se passe ?— Bien, vraiment bien. Je le connaissais finalement peu avant ça. En fait, je comprends pourquoi Franck avaient fondé de grands espoirs envers lui et Victoire. Et pourquoi il avait été si déçu et meurtri. Ce garçon est fondamentalement gentil, adorable et prévenant avec elle. Ça lui a fait beaucoup de bien d’aller chez Franck et Karima. Avant il voyait sa mère tous les jours et ça le ramenait en permanence à ses origines. Surtout, si ça rassurait Franck au début, Ugo a vite renoué de profondes relations avec lui.— Comme toi avec Bruno, hein ?— Oui, je crois qu’on peut dire ça. D’ailleurs, maintenant qu’on le voit de plus en plus, je pense que c’est pareil pour nous. Franchement, je l’aime bien ce gamin.— Laura ! cria Hala en déboulant dans le séjour. Je suis prête !— Hala, on dit bonjour, lui rappela Roger.— Ah, oui. Bonjour Laura.— Bonjour Hala. Tu es toute belle avec cette robe.— Merci, elle va plaire à Paco ?— Ma puce, que tu viennes le remplit de joie déjà... Bonjour Salil.— Bonjour Laura. Regarde, j’ai fait mon sac tout seul ! Et on a bien gardé le secret aussi.— C’est bien, mon garçon. Allez, vous êtes prêts ? Alors, on est parti... Roger, pour demain midi, venez manger à la maison.— C’est gentil, mais on risque de ne pas se lever très tôt... Et puis, on a prévu que Karima et les autres dorment ici. Par prudence.— Ah, mais pas de problème ! Au contraire, mon petit mari sera ravi de faire griller quelques saucisses de plus. Venez tous !
— Dis oui papi, comme ça Hala elle restera un peu plus avec Paco ! argua Salil.
La petite fille rougit sans rien dire et Roger accepta l’invitation. Laura partit avec les enfants, laissant Roger seul pour un court moment. Bruno arriva quelques minutes plus tard et gara sa moto à côté de la nouvelle voiture d’Alicia. Comme l’avait pressenti Ugo, son ancien véhicule était bon pour la casse. Alicia avait d’abord pensé racheté un vieux tacot mais Bruno lui avait fait remarquer qu’à cinq, bientôt, ils auraient besoin d’un peu plus grand et confortable. Ils avaient acheté un break d’occasion, auquel ils pouvaient ajouter une remorque pour partir en vacances. Pour l’heure Bruno rejoignit Roger pour lui donner un coup de main avec ses chèvres. Il fallait tout terminer pour s’occuper de préparer le repas du soir, l’ambiance et les cadeaux.
Ils travaillèrent prestement mais furent soulagés de voir arriver Franck et Ugo. Le maire avait pu se délester de ses obligations pour quelques heures et le jeune mécanicien était venu avec lui. A quatre, ils terminèrent rapidement et purent enfin s’occuper de ce qui les avait fait venir ici. C’était Ugo qui avait eu cette idée, au départ seulement à faire pour Bérénice et Alicia. Mais le boucher avait fait remarquer que Victoire et Karima méritaient tout autant ce genre d’attention, vu les moments difficiles qu’elles avaient vécus. En fait, ils s’étaient rendu compte que les évènements récents avaient fortement marqué les quatre femmes. Si Victoire et Karima en étaient directement actrices, Alicia et Bérénice en ayant soutenu longuement les deux autres en furent impactées également.
Bruno et Roger avaient dû les réconforter, les soutenir et les rassurer tant elles s’étaient inquiétées pour la jeune fille de dix-huit ans. Si elle allait beaucoup mieux, surtout depuis qu’elle avait retrouvé Ugo, Karima était moins encline que ses amies à la joie. Ce bébé avait du mal à venir et cela l’inquiétait de plus en plus. Alicia, Bérénice et Victoire se démenaient pour elle afin de la garder motivée et bien dans sa peau. Alicia se sentait tellement redevable envers sa "sœur" pour toutes ces fois où elle l’avait aidée à Perpignan, Bérénice s’en voulait toujours un peu de l’avoir laissé tomber entre les griffes de son ancien compagnon et Victoire avait une dette à payer envers Karima.
Cela plombait le moral des quatre femmes et cela embêtait les quatre hommes. Ils n’aimaient pas les voir ainsi et ils savaient que si l’une n’allait pas bien, les trois autres se mettaient vite au diapason. Cette petite surprise leur avait paru une excellente idée, histoire de faire la fête en toute intimité, sans pression, avant la grande cérémonie de la semaine suivante. Ils espéraient que cela offrirait une parenthèse insouciante, légère et bienfaisante à leurs compagnes.
Roger regarda son séjour et son salon, le résultat lui paraissait vraiment bien : simple et chaleureux. Franck, Bruno et Ugo semblaient tout aussi satisfaits. Le plat mijotait déjà, et pour un long moment, le reste du repas n’aurait qu’à être sorti du frigo au dernier moment. Bruno alla chercher son cadeau et le déposa à la place d’Alicia. Les trois autres l’imitèrent, Ugo leur demandant où il pouvait déposer la robe qu’il avait pour Victoire. Ils avaient tous acheté une robe pour leurs compagnes ou copines, Bruno devant se creuser un peu plus la tête pour la taille. Le ventre d’Alicia poussait et était maintenant visible. Il avait d’ailleurs fallu retailler sa robe de mariée mais son bady bump serait encore presque invisible avec la coupe qu’elle avait choisie.
— Mmmmh, je propose que tu la mettes sur mon lit à côté de celle de Bérénice. Franck et Bruno vous mettez les vôtres sur ton lit ? demanda Roger.
Ils étalèrent soigneusement les robes en question et revinrent dans le séjour. Roger jeta un coup d’œil circulaire sur ce qu’ils avaient fait. Ça lui fit bizarre de voir son domicile si changé. Certes la pièce avait été un peu décorée, tout comme la table, mais ce n’était pas ça qui lui sautait aux yeux. L’ambiance générale était plus chaleureuse depuis que les deux femmes vivaient ici. Dans un coin, des jouets de Salil et Hala, des photos de sa "famille" agrémentaient les murs. Si les travaux, ici, ne se voyaient pas vraiment, ni dans sa chambre, il percevait l’évolution de sa ferme dans la moindre pierre, poutre et tuile... Ça lui donna une bouffée de plaisir qui lui fit perdre la notion du temps.
— Roger ? Roger ? l’appela Bruno.— Mmmh ? Oui, je crois quoi qu’on est bon.— On devrait se dépêcher de les retrouver. Sinon, elles vont redescendre avant, s’inquiéta Ugo.— Ça m’étonnerait. Dès qu’elles sont ensemble, ça papote, ça rigole et elles oublient tout, lui rappela Franck. Mais ne trainons pas quand même, j’ai envie de profiter de ce temps exceptionnel.— Oui, on se grouille, approuva Bruno.
En quelques instants, ils regroupèrent quelques victuailles, des coupes et du champagne (plus du jus de fruit pour Alicia) dans deux grands paniers. Un grand drap blanc ferait office de nappe et Roger se décida à embarquer quelques serviettes, au cas où ils se risqueraient à tremper les pieds dans le torrent. Chacun chargé de son paquet, ils sortirent de la ferme et grimpèrent rapidement en direction de ce petit coin perdu.
Roger s’amusa de constater que ses trois compères semblaient monter à toute vitesse ; lui n’était pas le moins pressé d’entre eux. Sous ce chaud soleil, ils se mirent à transpirer et à souffler fortement. Le fermier écouta les trois hommes et se rendit compte que leurs compagnes avaient raison de les comparer régulièrement à des animaux. Certes, cela se faisait lors de leurs ébats et parfois en dehors mais, sous l’effort de cette marche rapide, leur nature se manifestait à plein. Bruno haletait rapidement comme un chien, Franck avait le souffle rauque comme un gros félin, Ugo ronflait comme un bœuf. Il s’écouta et il s’entendit grogner comme le ferait un cochon ou un sanglier.
— Elles vont avoir peur de nous, si on arrive comme ça, leur fit-il remarquer.— Comment, Roger ? demanda Franck.— Regardez-vous, vous suez et vous soufflez comme des bêtes.— Toi aussi, Roger, répondit Ugo.— Oui, et donc ?— Et donc, Bruno, on va ralentir un peu pour arriver plus dignement. On ne va tout de même pas débouler comme des sauvages !
Tous acquiescèrent et ralentirent le pas. De toute façon ils ne devaient plus être qu’à une centaine de mètres. Roger se demanda s’il n’était pas trop tard pour profiter de la fin d’après-midi. Non, il était à peine 17h, ils pourraient rester là-haut au moins deux heures avant de redescendre. Ils étaient presque en vue de la petite plage et entendaient le clapotis joyeux du petit torrent. Par contre, leurs compagnes étaient silencieuses, Roger pensa qu’elles s’étaient endormies au soleil. Sa marche se fit plus légère et ses compères en firent de même. Il ne fallait pas réveiller leurs conjointes et petite-amie en sursaut.
A la sortie d’un tournant, alors que le sentier longeait un peu cet espace dégagé avant d’y accéder, ils purent voir ce qu’il s’y passait. Encore cachés par quelques buissons et arbustes, ils restèrent subjugués par le spectacle que la nature leur offrait. Le soleil faisait scintiller l’eau du torrent, les arbres en filtraient les rayons semant des tâches d’ombre et de lumière un peu partout. A côté, le gazouillis des oiseaux et de l’eau vive était aussi un délice pour les oreilles. Un parfum frais de pin, d’herbes et d’humus chatouillait leurs narines. Pourtant ce que Mère Nature leur donnait était loin d’égaler ce que la nature de leurs femmes leur offrait.
Alicia, Bérénice, Karima et Victoire étaient allongées, les pieds encore dans l’eau. Leurs peaux, parsemées de petites gouttelettes, brillaient comme des diamants. De la peau très mate de Karima à celle diaphane et blanche de Bérénice en passant par les tons rosés de Victoire et légèrement cuivrés d’Alicia, ils avaient là un splendide camaïeu à dévorer des yeux. Leurs cheveux bruns, blonds, gris, châtains étaient mouillés par l’eau et la sueur ; plaqués en arrière ils leur donnaient un air de femme fatale. Leurs seins et leurs sexes imberbes, pourtant à nus, étaient masqués par des mains agiles. Leurs lèvres étaient tendrement scellées, Bérénice avec Victoire et Karima avec Alicia.
De faibles gémissements parvenaient enfin aux oreilles des quatre hommes. Cette musique, bien plus douce, n’était plus masquée par celle de la nature. De même, un léger fumet de femme se mêlait subtilement aux parfums de la flore pour le remplacer totalement dans l’odorat des voyeurs. Là, à quelques mètres, elles se donnaient du plaisir, librement, sensuellement, amoureusement. Ce tableau ne les laissa pas indifférent, ils se mirent à bander comme des fous en un instant.
— J’y crois pas... Elles ont vite oublié le cinéma, lâcha Bruno.— Oui, c’est clair.... On fait quoi ? demanda Ugo les yeux fixés sur les femmes.— Euh... Je ne sais pas, avoua Roger. Oh ! Elles se retournent !
En effet, Bérénice et Karima venaient de se mettre tête bèche avec leurs partenaires respectives. De là où ils étaient, ils pouvaient voir que Victoire et Alicia donnaient activement de la langue sur les sexes très humides qui leurs étaient offerts. Nul doute que les leurs devaient subir le même traitement en retour. Entre deux coups de langues, ils pouvaient entendre des plaintes et des soupirs plus appuyés. Roger porta sa main à sa braguette et se massa la bosse qui la déformait. Gêné de le faire devant Franck et Ugo, il voulut retirer sa main mais vit qu’ils ne faisaient pas différemment de lui. Ni Bruno d’ailleurs, dont le regard enflammé ne se tournait visiblement pas que sur Alicia.
— Elle est très sexy, Victoire, confirma-t-il.— Oui, hein ? Ma fille est très mignonne et ta future femme avec ce ventre arrondi, c’est merveilleux.— Karima en aura bientôt un comme ça. En attendant, tu as bien de la chance, lui confia Roger.— Toi aussi, Roger. Bérénice tient parfaitement la comparaison avec les autres, avoua Ugo.
Roger aurait eu envie de lancer quelques insanités mais n’osa pas le faire devant Franck. Traiter sa fille ou sa compagne de "pute" ou de "salope" le mettait dans l’embarras.
— Quelles chiennes, toutes les quatre ! lâcha Ugo surpris de sa propre initiative.
Il y eut un léger flottement et il allait apparemment s’excuser mais Roger lui coupa l’herbe sous le pied :
— Oui, des vraies salopes, toutes.— Des cochonnes de première classe, commenta Bruno circonspect.— Des putes, tu veux dire, le corrigea Franck avec un sourire en coin.
Bruno opina en souriant aussi. Ils continuèrent à chuchoter quelques mots grossiers aux quatre femmes pendant un petit moment. Roger aurait bien fait plus mais s’il se sentait très proche de Franck et d’Ugo, il ne se voyait pas aller plus loin. Il vit Bruno lancer un regard à gauche et à droite puis se décider à sortir son sexe pour se l’astiquer lentement. Le maire et le mécanicien en firent rapidement autant, le fermier se sentit alors le doit de libérer son sexe. A quatre ils se branlèrent en lâchant quelques grossièretés dans des murmures contenus. Ils ne voulaient pas briser l’élan des femmes et stopper ce spectacle, même si l’envie les tenaillait de les rejoindre.
Roger fut un moment gêné de se masturber en compagnie des autres hommes. Certes, avec Bruno, ils en avaient de longue date l’habitude. Et de ce qu’ils avaient confié, Franck et Ugo ne s’ennuyaient pas avec Victoire et Karima. Mais contrairement à Alicia et les autres, eux n’avaient aucun élan homosexuel. Roger et les autres s’étaient un temps inquiétés qu’elles les poussent dans cette voie mais cela n’arriva jamais. Le quinquagénaire en avait été fortement soulagé, d’autant qu’il appréciait tout juste les contacts fortuits qu’il pouvait avoir lorsqu’il prenait l’une ou l’autre en double avec Bruno. Franck et Ugo avaient eu droit à des doubles fellations et sentir leurs glands frotter l’un contre l’autre ne leur avait été agréable que parce que la bouche de Karima ou Victoire les accompagnait.
L’agriculteur se focalisa à nouveau sur le quatuor lesbien et les ronflements, grognements de ses compères lui donnèrent finalement du cœur à l’ouvrage. De plus, les femmes gémissaient bien plus vite et plus fort. De la rapidité des langues qu’il voyait, Roger comprit qu’elles allaient surement jouir dans peu de temps. Il serait bien allé baiser, Bérénice ou Alicia, mais pour une fois qu’il la voyait dans toute sa splendeur, sa seconde "fille" attirait ses pulsions. En même temps, il n’osait réaliser ce désir que pourtant il avait exprimé plus tôt. Désir que Bruno semblait avoir porté vers Victoire, Franck vers Alicia et Ugo vers Bérénice. Mais aucun ne faisait un geste, n’émettait une parole en ce sens.
Roger sentit qu’ils étaient peut-être en train de passer à côté d’une sacrée partie. Et se contenter d’une branlette de voyeur était un bien piètre honneur fait au tableau qui se déroulait sous leurs yeux. Finalement il choisit l’option de prendre un chemin détourné :
— Alors, Ugo, elle te plait ma femme, hein ? C’est une putain de cochonne, non ? Tu irais bien la baiser, non ?
Surpris, Ugo regarda son ainé d’un air étonné, se demandant visiblement si c’était du lard ou du cochon. Il choisit de répondre de la même façon, pour laisser planer le doute :
— Ouais, elle est bien baisable cette chienne. Ça doit être sympa de la tringler et de la secouer cette vieille trainée... Et ça te dirait d’aller fourrer ma petite salope ?— Je ne dirais pas non mais là c’est ma grande fille dont j’irais bien remplir les trous.— Ma reine des salopes, hein ? Je te comprends bien, Roger. C’est vraiment une folle du cul quand elle veut. Je pense qu’elle est comme sa petite sœur, avança Franck.— Oh que oui. Elle aime la bite ma future femme. Et la chatte du coup... Une vraie avaleuse de bite, un garage grand ouvert pour des queues prêtes à la faire gueuler, confirma Bruno. Et ta fille m’a tout l’air d’être une belle salope dans son genre aussi...
Roger avait vu juste mais tout le monde tournait autour du pot, déclamait des fantasmes sans oser sauter le pas... Il était frustré mais n’arrivait pas à lancer réellement l’idée. Il allait renoncer quand Franck lâcha :
— Et si au lieu de causer, on allait les défoncer ?
Il parut aussi surpris que les autres mais cela eut le mérite de mettre les choses au clair. La main sur le sexe, ils réfléchirent un quart de seconde avant de hocher la tête.
— Allez, on y va, proposa Bruno plein d’enthousiasme.— Ok mais doucement, fraudait pas les faire fuir, rappela Franck.
Ils allaient se lancer quand Roger objecta qu’ils allaient devoir se désaper une fois là-bas, ce qui risquait de mettre un coup de frein rédhibitoire. Alors ils se déshabillèrent derrière les buissons, posèrent leurs habits proprement sur ce qu’ils avaient apporté. Ils sortirent de leur cachette, nus et le sexe fièrement dressé au vent. Ils approchèrent à pas de velours, ne faisant crisser d’un caillou ou deux. Les quatre femmes, toutes à leur tâche, n’eurent pas conscience de leur présence. Jusqu’à ce qu’ils se manifestent en ricanant et en les invectivant :
— Regardez-moi ces putes qui se gouinent, dit Franck.— On savait que vous vous adonniez à ça, mais pas si souvent, commenta Roger.— Quelles salopes, quand même, tonnèrent Ugo et Bruno.
Alicia, Karima, Bérénice et Victoire stoppèrent soudainement leur activité pour faire face à ces nouveaux venus. Elles avaient apparemment craint qu’il s’agisse d’inconnus et furent rassurées de voir leurs hommes. Soulagées, mais diablement surprises de les voir nus et le sexe en main à se l’astiquer tranquillement. Assises les jambes pliées sur le côté, à genoux ou à quatre pattes, elles restèrent muettes quelques secondes. Leurs lèvres et leurs mentons brillaient de cyprine, leurs seins pointaient fièrement et leurs sexes (pour ce que les hommes pouvaient en voir) étaient bien trempés. Stupéfaites, elles se laissèrent insulter encore un peu avant de réagir.Roger reconnut bien cette étincelle dans les yeux d’Alicia et de Bérénice. Il fut ravi de voir la même chez Karima et Victoire mais il se demanda tout de même s’il ne s’emballait pas. Il aurait bien aimé savoir si elles voulaient bien d’eux ou si elles préféraient rester entre elles, quitte à les laisser mater.
— Alors les grosses putes ? Est-ce que vous voudriez goûter aussi à de la bonne bite ? demanda Bruno.— Eh bien, pour ma part, je ne dirais pas non. Même si vous nous avez interrompu au pire moment, siffla Alicia.— Mmmh, au pire, je ne sais pas, ma petite sœur... Vu mon état une belle queue ça me tente bien.
Bérénice et Victoire hochèrent la tête d’un air entendu et leur sourire au coin des lèvres était plein de gourmandise. Au moins, elles étaient dans le bon état d’esprit. A minima pour baiser avec le compagnon officiel. Oseraient-elles franchir le pas et aller vers ceux qu’elles n’avaient pas encore connu de près ? Roger avait quand même un sacré doute. Néanmoins, il choisit de s’avancer vers le quatuor lubrique. Bruno, Franck et Ugo le suivirent avec un temps de retard mais ils lui semblèrent bien décidés à se lancer aussi. L’agriculteur vit que Bérénice était impatiente de le voir arriver vers elle, tant son regard yeux lui lançaient des flammes de désir.
Roger stressa un peu en bifurquant au dernier moment et en se plantant devant Karima. La maghrébine resta bouche bée quelques secondes devant ce membre dressé à quelques centimètres de son nez. Les autres en profitèrent pour se placer en face de la femme qu’ils avaient pris pour cible et qui se retrouva toute aussi ébahie que la belle brune. Bien vite, Roger crut distinguer une lueur ravie dans les yeux de sa "fille", il pensa alors qu’il pouvait se lâcher :
— Je vois que mon ainée est aussi cochonne que la plus jeune. Comme je baise la cadette, je me dis que j’irai bien baiser ma grande fille salope.— Je suis touchée que tu me considères pleinement comme ta fille et comme une grosse salope, susurra Karima. Et si tu commençais par me la mettre au fond de la gorge ? Je vais te montrer comment se débrouille ta grande fille, mon papa d’amour.
Karima ouvrit en grand la bouche et Roger y inséra son sexe en grognant. Il ne se satisfit pas de la douceur de la langue et des lèvres de Karima, il lui asséna quelques mots crus qui semblèrent donner du cœur à l’ouvrage à la maghrébine. Le chevrier entendit vaguement les quelques mots qui s’échangèrent autour de lui, ne captant qu’un "sale pute", un "trainée", un "gros pervers" au milieu de bruits de succion baveux et langoureux.
Il se décida à jeter un œil pour voir que Franck allait et venait avec énergie entre les lèvres d’Alicia. Il se penchait même pour lui peloter les seins et surtout lui caresser le ventre. Bruno titillait et pinçait les petits seins de Victoire alors qu’elle bavait énormément autour de son sexe. Ugo se contentait de plonger ses doigts dans les cheveux gris de Bérénice mais enfonçait bien plus loin son gland qui faisait faire des gargouillis à la quinquagénaire.
Cela dura ainsi quelques minutes pour le pur plaisir des quatre hommes et la satisfaction des femmes de leur en procurer autant. Elles ne s’étaient pas abandonnées pour autant, se caressant les seins ou le sexe pour se maintenir à bonne température. Le plaisir dut devenir trop prenant car Ugo sortit vivement de la bouche de Bérénice :
— Allez, vieille radasse. On va tester ton garage à bite, dit-il en faisant le tour de sa partenaire.
Bérénice se laissa mettre en levrette et tendit le cul en arrière en regardant le jeune homme par-dessus son épaule :
— Allez, jeune taureau, viens me la mettre bien profond.
Ugo ne se fit pas prier et pourfendit l’employée de mairie d’un violent coup de reins. Elle gémit et râla, satisfaisant pleinement son baiseur. Donnant également des envies à ses amantes qui laissèrent les membres qu’elles suçaient pour proposer de passer à un autre trou. Bruno et Franck se déplacèrent rapidement derrière Victoire et Alicia pour les prendre à leur tour. Roger regarda Karima et celle-ci lui demanda :
— Moi aussi j’ai envie... Mais tu viens pas dans mon vagin, d’accord ?— Bien sûr, petite chienne. Je veux être son grand-père pas son père.
Roger se plaça derrière Karima qui lui offrit sa croupe à admirer. Ce qu’il fit un instant avant de se planter vivement dans son con. Ils râlèrent tous les deux et Roger commença de puissants va-et-vient en elle.
— Ooohh, ooh, tu n’es pas un cochon mon Roger, mais un sanglier, souffla Karima.
Le fermier fut étonné qu’elle emploie le même terme que Bérénice, encore qu’en y réfléchissant ça n’avait rien de si surprenant. Victoire et Alicia étaient bien en train de qualifier Bruno et Franck de "gros loup" pour le premier et de "lion" pour le second. Il s’en était fait la remarque en montant, elles leur rappelaient leur nature bestiale. Nature qui ne leur déplaisaient pas tant elles ahanaient et gémissaient de plaisir toutes les quatre. Néanmoins, cela montrait encore une fois à quel point elles se confiaient les unes aux autres. Roger voulut leur montrer que côté hommes, ils n’étaient pas en reste :
— Tu es une reine, Karima. Avec un con de salope et de chienne, mais une reine quand même.
La maghrébine parut surprise qu’il connaisse et use de ce mot pour elle mais apprécia les coups de reins qui l’accompagnèrent. Franck et Bruno comprirent ce que leur ainé avait voulu faire et employèrent un "petite étoile" et une "petite lune" pour Alicia et Victoire, au milieu de quelques mots grossiers qui firent couiner les deux femmes. Ugo se lança à son tour, causant une plus grande surprise à Bérénice :
— Bérénice, tu es une sirène qui attire à elle les hommes. Pas une avec une queue de poisson mais une avec un cul de pute.— Oooh, aaah, ouiii, oooh, vous vous racontez autant de trucs que ça ? réussit-elle à demander malgré la surpise et la pénétration vigoureuse.— Oui, on a pas besoin de baiser entre mecs pour se causer, lui répondit Roger.— Aaaah, aaah, c’est... C’est une demande pour qu’on arrête ? craignit Victoire.— Oh, non ! Faites comme bon vous semble, mes gouinasses ! On vous aime comme ça, les rassura Franck.— Aaaah, aaah, plus fort, plus fort ! Alors défoncez-nous comme des putains de chiennes ! les invectiva Alicia.
Les quatre hommes n’avaient pas besoin d’une telle motivation, leurs coups étaient déjà puissants et rapides. Pourtant, ils se démenèrent pour y ajouter encore de la force et de la vitesse. Ils suèrent rapidement et abondamment sous l’effort, le souffle occupé à insulter copieusement les quatre femmes. Celles-ci gémirent puis crièrent de plus en plus fort.
— Aaaaah, aaaah, ouiiii, ouiii, se mit à crier Karima.
Son vagin se mit à se contracter autour du membre de Roger qui ne put continuer ses allers-venues sans risquer de remplir son antre de son sperme. Il se retira prestement pour se branler au-dessus de son cul. En deux mouvements, le fermier éjacula une belle quantité de semence inerte sur la peau mate de sa "fille". Elle finit de jouir, répandant sa cyprine sur ses cuisses et au sol. Leur extase dut motiver et encourager les autres car bientôt Victoire poussa de longues plaintes subtiles. Son corps trembla et Bruno sortit son sexe pour arroser ses fesses et ses reins. Ils furent suivis par Franck et Alicia ; le maire innovant en allant repeindre le ventre arrondi de la petite blonde. Enfin, Bérénice jouit à son tour et Ugo sembla hésiter un instant avant de la retourner pour décorer ses seins et son ventre d’un sperme très fourni.Essoufflé, Roger s’allongea près de Karima qui se tourna vers lui et l’embrassa tendrement :
— Merci pour avoir éjaculé en dehors de moi.— C’est normal. Sinon, ça va ? J’ai pas été trop brusque ?— Non, t’inquiètes je suis comme ma sœur et ma mère. Tu peux y aller.
L’agriculteur se sentit rassuré, il jeta un œil aux autres binômes pour voir que cela parlait doucement ou s’embrassait délicatement après cette furie sexuelle. Alicia déclara qu’elle avait besoin de se rincer un peu et elle alla se tremper dans le petit torrent. Elle fut vite rejointe par les trois autres et elles semblèrent autant se laver que discuter des évènements.Les hommes en profitèrent pour ramener leurs affaires, les victuailles et la boisson qu’ils avaient laissées sous les buissons. Ils posèrent le tout près des serviettes des femmes et allèrent se nettoyer le sexe, eux aussi. La majesté récente de leurs membres disparut complètement dans l’eau froide pour ne laisser que de petits sexes rabougris. Leurs compagnes n’en dirent rien mais Roger put voir de légers sourires sur leurs lèvres. Elles savaient sans doute que cet état ne serait que transitoire et que leurs hommes reprendraient forme dans quelques minutes. Ils revinrent aux serviettes et Victoire leur demanda :
— Alors, content de nous avoir surpris ?— Oui, mais nous n’étions pas venus pour ça, répondit Bruno en exhibant une bouteille.— Et on a quelques autres surprises pour vous à la ferme, ajouta Roger en sortant les verres.
Une joie immense se lit sur les visages des femmes qui rirent de bon cœur. Restant naturellement nus, ils trinquèrent tous les huit et mangèrent quelques mignardises. Ils en profitèrent pour parler et Franck leur avoua qu’ils ne pensaient pas qu’elles puissent profiter de la moindre occasion pour s’envoyer en l’air entre elles. Bérénice lui répondit qu’elles n’en avaient pas eu l’intention mais la séance de bronzette improvisée s’était faite en sous-vêtement et que la chaleur les avait incités à se rafraîchir dans l’eau. Pour ne pas se retrouver avec des dessous humides, elles s’étaient déshabillées et les choses avaient lentement dérivé malgré elles.
Karima s’étonna aussi qu’ils connaissent les petits surnoms que les autres donnaient à leurs compagnes. Elle leur demanda si cela voulait dire qu’ils se parlaient de tout entre eux. Roger le lui confirma, ajoutant qu’ils le faisaient maintenant de façon totale depuis qu’Ugo était avec eux. Le jeune mécanicien avait eu du mal à se livrer à eux au début, alors ils avaient ouvert leurs cœurs et leurs esprits à celui-ci. Cela lui avait facilité la tâche et Ugo allait bien mieux depuis qu’il avait trouvé ses pairs et ses mentors. Ils parlèrent encore de choses et d’autres, la plupart tournant autour des mariages à venir. Au bout d’un moment, Alicia remarqua que les sexes de ces messieurs restaient bien plus petits que d’ordinaire. Elle leur en fit part d’un ton légèrement moqueur.
— Oh, il leur faudrait un petit remontant, je suppose, les taquina Bérénice.
Elle prit la bouteille mais s’aperçut qu’elle était vide. Déçue, elle la reposa mais Franck sortit la seconde qu’ils avaient prévue. La quinquagénaire la lui arracha presque des mains et s’ingénia à l’ouvrir. Le bouchon ne cédant pas facilement, elle dut se pencher sur la bouteille et forcer. Elle s’ouvrit finalement avec une gerbe de mousse qui arrosa le sein de l’employée de mairie. Le maire en profita pour aller laper les quelques gouttes de breuvage qui s’y trouvaient.
— Mmmh, je ne pensais pas à cette façon de boire le champagne. Mmmmh, mais c’est bien plus efficace pour leur redonner vie... Et bien plus agréable, susurra-t-elle.— Tu as raison, maman. Donne-moi ça, si je suis cantonné au jus de fruit. Je peux bien servir un peu quand même.
Alicia se versa un peu de bulles sur la poitrine et la tendit à Ugo qui plongea dessus avec gourmandise. La bouteille passa ensuite à Victoire et Karima qui imitèrent leurs comparses avant de se faire lécher les seins par Roger et Bruno. Les quatre hommes se mirent rapidement à produire leurs bruits d’animaux habituels sous les soupirs de plus en plus forts des femmes. Les membres des hommes reprirent une taille normale sans entrer pour autant en pleine érection.Victoire lança l’idée qu’il fallait une autre tournée mais Karima l’arrêta en lui disant qu’il fallait plutôt changer de contenant. La maghrébine repoussa Bruno et l’allongea sur le dos. Elle se plaça au-dessus de lui et s’accroupit devant son visage, d’une main elle attrapa la bouteille de champagne et en fit couler un peu le long de sa vulve. Immédiatement le boucher releva la tête et se mit à laper le sexe de Karima, lui arrachant des plaintes de plaisir.
— A moi, à moi, s’écria Victoire.
Elle plaça Roger comme Bruno et se positionna comme Karima. Avec la même souplesse elle se versa du champagne sur le sexe et le présenta à Roger qui se mit à la lécher comme un fou. La bouteille passa à Alicia puis à Bérénice qui eut besoin de l’aide de Franck pour opérer la manœuvre. Arcboutée, les mains posées en arrière, les jambes pliées pour mettre son sexe sous la bouche de Franck, elle commença rapidement à haleter et à gémir. Mais aussi, à grimacer de douleur, la position était difficile à tenir pour elle. Elle préféra se retourner et tomba nez-à-nez avec le sexe de Franck qui avait presque entièrement retrouvé une érection digne de ce nom.
— Mmmh, alors monsieur le maire a besoin d’un dernier petit coup de pouce ? On va arranger ça...
La femme aux cheveux gris se saisit de la bouteille et versa un peu de breuvage sur le gland, la hampe et les testicules de son partenaire. Son sexe sembla se contracter de désapprobation avant qu’elle ne se mette à le lécher et le suçoter goulument.
— Ooooh, oui, on va continuer mais je fatigue aussi. Et à ce que je vois, tu as besoin du même remède, dit Alicia en se retournant sur Ugo.
Elle se contenta de quelques gouttes de jus de fruit sur son sexe pour aller le sucer ensuite profondément. Karima et Victoire ne fatiguaient pas mais voulurent aussi profiter de cette nouvelle position. Elles se retournèrent et, après avoir mouillé le sexe de leur amant, elles se mirent à les sucer avec frénésie. Les quatre soixante-neuf se firent de plus en plus passionnés, provoquant râles, soupirs, feulements et plaintes aux huit protagonistes. Roger savait que sa jeune partenaire avait goûté aux joies du sexe anal avec Franck et Ugo, alors il tenta de jouer avec le sphincter de celle-ci. La jeune femme accueillit cette initiative avec des soupirs appuyés. Elle s’en félicita auprès de ses amies qui réclamèrent le même traitement, qu’elles obtinrent en moins de deux.
Alicia commença à se manifester de plus en plus bruyamment, signe que le jeune Ugo se débrouillait parfaitement bien. Roger se concentra sur le clitoris de Victoire qui se mit à gémir, la bouche pleine de son sexe. Elle ne se perdit pas complètement et continua tant bien que mal à sucer Roger. Néanmoins la jeune femme ne put tenir la distance et elle jouit la première, remplissant la bouche avide de Roger qui but avec plaisir cette cyprine parfumée au champagne. Il entendit aussi avec plaisir sa compagne atteindre l’orgasme sous les coups de langue fougueux de Franck. Puis, presque en même temps, Alicia et Karima rejoignirent leurs amies au septième ciel.
Tout à écouter les plaintes et les soupirs de jouissance des femmes, Roger se rendit compte que la bouche de Victoire reprenait du service, de façon très active. La jeune femme se mit à le pomper rapidement et en enfonçant sa hampe profondément dans sa gorge. D’une main, elle lui malaxa les testicules et le branla de l’autre. Le supplice fut bien trop délicieux pour Roger qui sentit son sperme grimper sa colonne de chair en quelques instants. Il n’eut pas le temps d’avertir Victoire et explosa dans sa bouche. Ce qui ne perturba pas la jeune femme qui continua sa fellation tant que du sperme sortit du méat de Roger. Tout à sa jouissance, il entendit ses compères prendre leur pied. D’abord, Ugo sous l’action d’Alicia puis Bruno avec Karima et enfin Franck, quelques secondes plus tard, avec Bérénice.
Alicia se releva la première et s’étira en massant son ventre, Bruno s’inquiétant pour le bébé, elle le rassura en lui disant que tout allait bien. Il alla tout de même vers elle pour poser amoureusement ses mains sur son ventre. Karima alla à côté de Franck et lui murmura que cela serait bientôt leur tour. Victoire se glissa près de son copain et lui demanda s’ils en auraient aussi. Ugo répondit par l’affirmative mais que pour l’instant, ils devaient s’occuper d’eux. Bérénice rejoignit Roger et lui glissa :
— Ils sont beaux nos enfants, non ?— Oui, ma sirène, allez, rentrons. Le diner et les autres surprises nous attendent, lui murmura-t-il plein d’affection.
Roger la sentit fondre et frissonner d’excitation à la perspective de nouveaux cadeaux. Bérénice demanda aux trois femmes de se rhabiller rapidement en leur disant que le meilleur était surement à venir. Alicia, Victoire et Karima s’empressèrent de lui obéir en riant comme des gamines. A l’étonnement de l’agriculteur, elles se contentèrent d’enfiler robes, shorts et tops sans sous-vêtements. Roger se demanda si cela était fait exprès, mais il se dit que cela pouvait augurer d’une fin de soirée particulièrement endiablée. A la surprise des autres hommes, il se rhabilla aussi en omettant ses sous-vêtements. Mais ils comprirent son intention et firent comme lui.
Les quatre couples redescendirent le chemin en se tenant tendrement par la main, la taille ou les épaules. En arrivant à la ferme, une odeur de bon plat mijoté les accueillit, ainsi qu’un Kosmos particulièrement excité. Roger ne comprit pas pourquoi il était aussi survolté, jusqu’à ce que le chien ne les guide vers sa niche où se reposait un autre animal. Roger se demanda d’où ce chien pouvait venir et ce qu’il faisait là. Lorsqu’il s’approcha il comprit que c’était une chienne et qu’elle avait le ventre gros. Typée berger allemand, elle semblait affaiblie, sans doute un énième animal abandonné sur la route des vacances.
— Kosmos, c’est toi ça ?
Le berger répondit en agitant joyeusement la queue et en jappant de bonheur. La chienne releva la tête, un peu craintive mais Roger la rassura en lui caressant la tête.
— Toi aussi, tu te retrouves avec une famille maintenant ? Bon, je lui donne à manger et on verra ce qu’on fait ensuite. Si elle s’est enfuie ses maitres seront contents de la retrouver... Peut-être pas dans cet état. Mais, bon. Ça ferait sans doute de bons chiens de bergers, non ? Tu les formeras, hein ? T’es un bon chien...
Roger retourna près des autres qui l’avaient suivi de loin, tous semblaient heureux pour Kosmos, surtout Alicia qui n’oubliait pas que c’était lui qui lui avait probablement sauvé la vie, ainsi qu’à ses enfants.
— Papa, on la garde ? Dis...— On verra. On fera quelques recherches quand même. Elle a une médaille, elle s’appelle Sky.— Sky et Kosmos, ils vont bien ensemble, non ?— Oui, allez, on rentre.
Dans la ferme, les femmes furent heureuses de voir comment leurs hommes avaient tout préparé et décoré. Franck leur indiqua qu’ils leur avaient prévu une robe à chacune pour cette soirée.
— Ah, ça explique vos pantalons et vos chemises toutes belles, comprit Karima. Allons nous habiller, les filles !
Elles s’absentèrent quelques minutes et Roger entendit quelques rires émanés des deux chambres. Il ne s’en soucia pas et termina de préparer le repas avec Franck et Ugo, Bruno se chargeant de servir quelques verres d’apéritif sans alcool. Après quelques minutes, il vit Bérénice et Victoire passer rapidement dans le séjour pour rejoindre l’autre chambre. Une minute plus tard, les quatre femmes ressortirent de là, toutes guillerettes. L’œil espiègle, elles toisèrent leurs hommes et soulevèrent le bas de leurs robes pour apparaitre nues en dessous :
— Pour ce soir, vous avez un accès illimité à chacune d’entre nous, commença Alicia.— Vos quatre salopes sont toutes à vous, tous les trous, continua Alicia.— A un, ou deux, ou trois, comme vous le voudrez, ajouta Bérénice.— On vous demande juste de jouir uniquement dans la chatte de votre petite salope, imposa Karima.
C’était une proposition qu’on ne pouvait refuser. De toute façon, Roger, comme les autres, ne pouvait rien refuser à aucune d’elles. Franck et Ugo souriaient déjà bêtement et Bruno hocha vigoureusement la tête. Roger acquiesça aussi, se disant qua la soirée et la nuit allaient être riches en émotions.
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