Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 166 J'aime
  • 10 Commentaires

Tombés du ciel

Chapitre 40

Hétéro
Trois ans plus tard...
— Alors, petite pute ? Tu aimes te faire tringler ?— Aaaah, aaah, oui mon gros loup. Baise-moi plus fort, encore.
Alicia, en levrette sur son lit, avait les cheveux tirés en arrière par un Bruno lui donnant de grands coups de reins. Tous deux étaient en sueur et respiraient rapidement. Le boucher accentua sa prise dans la chevelure de sa femme et enfonça plus profondément ses doigts dans la chair de ses fesses. La danseuse grimaça mais apprécia sa bestialité maitrisée et se donna à fond dans leurs ébats. Mais en ce petit matin, il ne s’agissait pas de crier à plein poumon ni de lambiner. La journée risquait d’être longue et tous deux ne le savaient que trop bien.
— Défonce-moi, baise-moi comme une chienne. Aaaah, aaah, ouiiii, ouiii.— Ma trainée aime se faire prendre hein ? Et dans le cul, elle aime ça aussi ?— Ooooh, ouiiii, met-là dedans. Eclate-moi la rondelle !
Alicia plongea son visage dans l’oreiller et le mordit à pleine dent quand Bruno sortit de son vagin pour se planter vigoureusement dans son cul. Elle cria mais le son fut suffisamment étouffé pour qu’ils ne réveillent pas les enfants. Si Salil et Nadia, la petite dernière, avaient encore le sommeil bien lourd, Hala et ses dix ans avaient le réveil plus facile. Néanmoins, l’étage les séparant permettait de garder une bonne intimité.Le cul en feu et le sexe en fusion, Alicia sentit la hampe de Bruno aller et venir lentement dans ses boyaux. Le rythme s’accéléra petit à petit, lui laissant le temps de s’y faire et d’apprécier la sodomie. Pour ajouter une bonne dose de plaisir, la petite blonde alla se stimuler le bouton de ses doigts. Bruno en sentit les ongles lui chatouiller les bourses ce qui le troubla un peu mais augmenta ses sensations aussi.
— Prends ça, trainée, pute de trottoir, garage à bite, gouine de bas étages, éructa-t-il sans néanmoins crier.
Le boucher poursuivit ses coups de reins mais sentit qu’il allait bientôt craquer, sa femme semblait encore loin du compte et il voulut ralentir le rythme pour tenir la distance :
— Ah, non, plus vite, ça vient, ça vient, souffla-t-elle en retour.
Il lui obéit en la traitant des pires atrocités et en effet Bruno sentit les prémices de l’orgasme de la petite blonde pointer le bout de leur nez. Il tenta de penser à autre chose mais ce fut top dur pour lui, il renonça et finit par se planter au fond du cul d’Alicia en grognant son plaisir et en lâchant un flot de sperme épais. Les doigts d’Alicia s’agitèrent encore quelques secondes sur son clitoris et elle partit à son tour au septième ciel. Les spasmes de son sphincter finirent de traire le sexe de son mari et son vagin expulsa quelques jets de mouille sur leurs cuisses. Ils s’effondrèrent sur le lit et s’embrassèrent un moment.
— Pour un petit coup rapide, c’était dantesque, mon chéri.— On devrait le faire plus souvent... Ça va, je n’ai pas été trop fort dans tes fesses ?— Un peu mais ça allait et j’ai bien aimé que tu fasses une pause...

Alicia l’embrassa à nouveau et se lova contre son large torse. Il l’entoura de ses bras et elle soupira d’aise. Ils restèrent ainsi une petite minute mais Alicia s’inquiéta de l’heure :
— Ça va. On a fait vite, on a bien cinq minutes pour un câlin, lui répondit Bruno.
Alicia en profita pour passer ses doigts sur le bras de son mari en tournant principalement autour de la tête de loup qui y était tatouée. Elle sourit en se rappelant comment les quatre hommes avaient eu l’idée de se faire tatouer leur "animal totem" comme se plaisait à dire Franck. Elle avait voulu couvrir son petit papillon par autre chose après son accouchement et avait opté pour le surnom que lui donnait Bruno. Au dernier, elle avait laissé le papillon, en souvenir de son compagnon, et avait choisi sa fesse à la place pour y mettre une étoile bleutée et plusieurs petites autres à côté. Elle en avait parlé à Bérénice, Karima et Victoire et la jeune femme avait vite émis l’idée d’en faire autant. Aussi bornée qu’Alicia, il avait été vainc de la faire changer d’avis. Pire, elle avait réussi à convaincre Bérénice et Karima de faire comme elle.
Elles s’étaient retrouvées un samedi chez le tatoueur d’Alicia qui n’avait pas regretté de s’occuper de quatre popotins de ce calibre. Victoire avait fait réaliser une lune aux tons pourpres, Karima une couronne ornée de rubis flamboyants et Bérénice une sirène argentée relativement sage. Lorsqu’elles avaient montré ces œuvres artistiques, elles avaient un peu flippé quant à la réaction des hommes. Ceux-ci en furent surpris mais aussi ravis, surtout que l’emplacement choisi avait quelque chose de sexy qui leur plut énormément.
A tel point que l’idée avait fini par germer en eux de faire comme leurs compagnes. Si pour Bruno, Ugo et Franck, le loup, le taureau et le lion avaient été évidents. Roger et son cochon avaient posé problème. Et puis, Karima lui avait rappelé qu’elle le voyait plus comme un sanglier et l’agriculteur avait trouvé cet animal plus affichable. Les hommes s’étaient sagement contentés d’un tatouage sur le bras et non la fesse comme les femmes les y avaient incité.
— Au fait, tu travailles où ce soir ?— Chez Firmin, depuis qu’il est passé à un club de strip-tease plus conventionnel, on y retourne.— Et tu y vas avec Violet Moon ?— Oui, Blue Star et Violet Moon, mais aussi Red Queen et Golden Angel. Il a besoin de monde ce soir il y aura affluence...
Si Alicia et Victoire avaient rapidement mit au point un numéro après l’accouchement de la première, il leur était vite apparu que les organisateurs de soirée et les gérants de clubs demandaient souvent plus qu’un numéro et aussi de faire le show tout au long de la soirée. Alicia aurait bien contacté certaines anciennes collègues mais elle avait répugné à débaucher des filles de chez Firmin. Voyant ses soucis et la difficulté de développer leur activité, Karima s’était proposée pour faire quelques extras à l’occasion. Pas pour participer au numéro de pole dance mais pour mettre l’ambiance dans la salle. Touchées par sa proposition, Alicia et Victoire s’étaient tournées vers Bérénice pour faire la quatrième mais celle-ci ne se voyait pas du tout s’exhiber ainsi à son âge. Quatre, ç’aurait été vraiment un bon chiffre pourtant.
C’était au cours d’un déjeuner chez Laura et Luc (son mari) que les difficultés d’Alicia étaient venues dans la conversation. Et la maman de Paco, voyant ce à quoi se limitait Karima avait voulu aussi se lancer dans l’aventure. Au début, Karima et Laura s’étaient catonnées à la salle mais l’envie les avait finalement prises de se produire comme les deux autres. Surtout, lorsque Laura avait vu les tatouages correspondant aux pseudos données à ses trois partenaires, elle avait trouvé intéressant d’en faire des pseudos de scène et d’accorder leur costume à celui-ci. Victoire avait choisi de reprendre celui qu’elle avait eu dans sa mauvaise passe, histoire d’exorciser son passé. Alicia et Karima avaient vite trouvé le leur et Laura avait dû être un peu asticotée pour dévoiler celui que donnait son mari.
Finalement, elle avait même sauté le pas pour se faire un tatouage d’ailes d’ange dorées. Les quatre femmes avaient mis au point leurs tenues, puisqu’elles n’étaient jamais moins habillées qu’avec un soutien-gorge, un string et une perruque en accord avec leur couleur dominante. De plus, un maquillage de couleur idoine leur accordait un certain anonymat. Depuis elles tournaient dans la région en faisant fructifier leur petite renommée. Victoire et Alicia restaient les principales danseuses de leur groupe et ne faisaient appels à Karima et Laura qu’en cas de besoin, même s’il fallait bien avouer qu’elles avaient de plus en plus de mal à se passer de leurs partenaires.
— Je vois, vous allez encore jouer les cochonnes toutes les deux...— Avec qui ?— Laura.— Peut-être. Tu sais mon loup, je n’aurais jamais pensé que Luc et elle puissent être échangistes.— Moi non plus. Mais ils sont presque aussi cochons que nous. Et puis, je trouve Luc marrant quand il baise, on dirait vraiment le brame d’un cerf.— Hi, hi, hi, oui, c’est vrai. Quand il me culbute ça me donne vraiment cette impression, ça fait un peu bizarre au début. C’est vrai que son tatouage de bois de cerf lui correspond bien. On fera une sortie tous les quatre la semaine prochaine, ok ?— Oui, bien sûr. J’ai toujours plaisir à me faire sucer par Laura et lui bouffer la chatte.— Cochon, hein... Bon, il est l’heure, il faut se préparer, ça va être une longue journée de tournage je pense.
* * *

— Bonsoir, à tous. Et bienvenue dans cette émission spéciale. "Que sont-ils devenus ?". Vous allez retrouver certains de vos agriculteurs et agricultrices préférés. Ceux qui avaient trouvé l’amour, sont-ils toujours en couple ? Et ceux qui étaient repartis seuls, ont-ils trouvé l’amour ? Cherchent-ils toujours ? Là, je me rends chez Roger le chevrier qui était apparu il y a six ans. On regarde son portrait de l’époque et on se retrouve après. A tout de suite !
L’animatrice et l’équipe de tournage furent satisfaits de cette nouvelle prise. Ils redescendirent du petit chemin et prirent la direction de la ferme. Ils s’installèrent dans la chèvrerie dans laquelle Roger et Bruno avaient aménagé de quoi s’assoir avec des bottes de paille et des couvertures. Une assistante donna le top et la caméra se mit à tourner :
— Bonsoir Roger.— Bonsoir Karine.— Alors comment vas-tu ?— Très bien, je dois dire.
Karine et Roger parlèrent de son aventure dans l’émission, faisant semblant de temps à autre de se couper pour laisser passer un magnéto au montage. Ils revinrent sur le speed-dating, le choix des prétendantes et leur venue à la ferme. Au final, ils commentèrent rapidement le non-choix de Roger, tant à l’époque cela paraissait évident ; les échanges entre le fermier et les deux femmes se limitant à des cordialités amicales pleines de gentillesse.
— Bon, mon Roger. On va préciser aux téléspectateurs qui s’étonnent de la rapidité avec laquelle on est revenu sur ton aventure qu’il y a une bonne raison à ça. Et le pire, c’est que je l’ignore ! La production m’a juste dit : Karine prépare la boite de mouchoirs. Donc, je suis prête, dit-elle en exhibant une boite pleine.
Roger rit légèrement, visiblement un peu stressé devant tout ce qu’il avait à raconter. Il se redressa et attendit que Karine le lance :
— Alors, d’abord, c’est des larmes de joie ou de tristesse que je risque de verser ?— De joie, surtout de joie, Karine.— Aaah, parfait ! Alors, je t’écoute. Tu as trouvé quelqu’un ? Tu as enfin réussi à construire une famille. Car c’était bien là ta recherche principale à l’époque. Tu avais même tendance à t’isoler de plus en plus...— Isolé, je ne lui suis plus du tout. Et une famille, j’en ai trouvé une qui m’est tombée du ciel ! Une grande famille, même !
Sur ce signal, toute la "petite famille" de Roger fit apparition : Bérénice, Alicia, Bruno avec Hala, Salil et Nadia, Franck, Karima et Milan (leur fils), Ugo et Victoire. Les coiffures, les physiques de certains adultes avaient un peu changé, les enfants avaient grandi, Milan et Nadia arrivant en se cachant un peu derrière leurs mères. Star, le fis de Kosmos et Sky les accompagnait sagement. En fait, la chienne s’était enfuie et ses maitres avaient été soulagés de la retrouver, même dans son état. Sur les quatre chiots, Roger avait récupéré le plus vif et robuste dont Kosmos avait pris en main la formation. Un matin, six mois plus tôt, il ne s’était pas réveillé, passant le témoin à son fils.
— Mais qu’est-ce que... Aaaah ! cria Karine.
Surprise, elle en perdit l’équilibre et tomba en arrière, se retrouvant les quatre fers en l’air. Elle se releva rapidement et reprit une pause plus professionnelle :
— Bon, ça nous fera une image pour le bêtisier ! Alors c’est qui tout ce beau monde ?— C’est ma famille, un peu élargie...— Je vois ça... Raconte-nous donc comment tu as fait pour passer de vieux célibataire à chef de tribu...
Roger commença alors le récit de sa découverte d’Alicia et des enfants dans la montagne. Il parla de la façon dont il s’était retrouvé à les héberger pour une semaine, en omettant bien sûr le deal qu’Alicia lui avait pratiquement forcer à conclure. La danseuse se présenta, elle et son parcours, et ce qui l’avait amené là. La présentatrice en eut les larmes aux yeux mais réussit à se retenir. La petite blonde continua en parlant dans quelles circonstances elle avait retrouvé Bérénice et l’avait ramené là.
— Ah mais oui, maintenant que tu le dis, je me rappelle qu’on avait parlé de cet amour perdu dans la jeunesse de Roger. Donc c’était bien toi, Bérénice ? Oooh, c’est trop beau...
Bérénice décrivit, avec la gorge un peu nouée, ce qu’il lui était arrivé et pourquoi Myriam avait pu croire qu’elle était la mère d’Alicia. Là encore, il fut difficile à Karine de se contenir, elle-même ayant connu quelques épisodes malheureux. L’employé de mairie parla de la connexion immédiate qu’elle avait ressentie avec Alicia et que c’était ce qui l’avait convaincu de la suivre chez Roger jusqu’à la fin du séjour. Alicia compléta enfin cette première partie en évoquant le coup de cœur qu’elle avait eu pour Bruno et leur fin d’aventure nécessaire. Il y eut une pause, Nadia en profita pour réclamer les genoux de son papi et Milan passa de sa mère à son père.
— Mais vous êtes tous repartis à vos vies ensuite ? Qu’est ce qui vous a fait revenir ?
Alicia raconta l’épisode avec son Anglais alcoolisé et comment la peur l’avait fait revenir instinctivement ici. S’en était alors suivi des retours réguliers à la ferme, contribuant à leur rapprochement familial. Alicia continua en parlant de ce qui entachait un peu son bonheur de l’époque : son éloignement progressif de Karima. Elle rappela à Karine combien elle avait pu l’aider avant et qu’elle se sentait mal à l’aise de l’abandonner alors que la traductrice était aussi seule qu’elle. Là-dessus, Karima prit la parole et décrivit son propre parcours (qui toucha une fois de plus la présentatrice qui sortit quelques mouchoirs en papier). La trentenaire dit combien elle avait été heureuse pour Alicia mais aussi un peu triste de se sentir isolée, surtout à l’approche des fêtes.
Karima se remémora qu’elle avait été particulièrement touchée d’être invitée chez Roger et qu’elle s’y était sentie tout de suite très à l’aise, très bien accueillie et très choyée. Elle se souvint alors de cette première soirée de Noël en leur compagnie avec des étoiles plein les yeux, puis celle du réveillon de la nouvelle année où elle avait croisé Franck pour la première fois. Alicia reprit alors la parole pour évoquer à son tour cette soirée où elle avait retrouvé Bruno et où ils avaient passé la nuit ensemble.
Les deux hommes en profitèrent pour parler d’eux plus longuement : leur parcours amoureux et leurs déboires familiaux, la situation dans laquelle ils étaient à l’époque. Roger se remémora la joie visible des deux femmes à leur retour, le lendemain, et celle qui ne semblait plus les quitter ensuite même si pour Karima les choses n’étaient pas si simple. Avec Bérénice, ils sentirent que c’était à ce moment-là qu’ils avaient vraiment commencé à l’aimer comme Alicia et qu’ils avaient profondément prié pour qu’elle se libère et construise quelque chose avec Franck.
Roger s’émut une nouvelle fois en se souvenant de la façon dont ils avaient vu l’amour entre Alicia et Bruno grandir et celui entre Karima et Franck naitre et épanouir la trentenaire. De leur côté, Roger et Bérénice s’étaient rendus compte que leur relation se renforçait comme jamais, ce d’autant plus qu’ils se sentaient investis des rôles de parents et grands-parents. S’ils ne vivaient alors pas encore ensemble c’était tout comme dès qu’Alicia revenait ; ce qui avait fortement donné envie à Roger de le rendre permanent. Il avait mis un peu de côté ce projet en voyant que Karima avait enfin concrétisé et qu’il s’inquiétait un peu pour elle. Une fois rassuré, il avait pensé franchir le pas mais c’était Alicia qui l’avait devancé.
Ils avaient alors annoncé cela à leurs amis et Ugo avait fait son apparition à cette occasion. Le mécanicien avoua alors qu’il avait aperçu Victoire à rire aux éclats avec Hala et Salil et qu’il était tombé sous son charme. La jeune femme ajouta qu’elle avait été troublée par ce jeune homme qui avait secouru Bruno. Roger poursuivit un moment en parlant de leur installation commune, de la joie quotidienne que lui apportait leur présence. Assez pour songer à demander Bérénice en mariage ; sans oser le faire, la sachant rétive à cette tradition. Mais sur les conseils de Bruno qui le souhaitait pour Alicia, il s’était lancé, surtout qu’il avait songé à un argument de poids.
Bérénice et Alicia hochèrent pensivement la tête, la seconde évoquant aussi son désir de maternité qu’elle avait exprimé à Bruno cette nuit-là. Karima et Franck avaient, eux aussi, parlé enfant, tandis que Victoire et Ugo avaient pu concrétiser leur relation. Karine, qui n’avait principalement eu qu’à relancer et réagir, fronça longuement les sourcils avant de les interrompre :
— Mais, c’est fou ça ! Qu’est ce qui a bien pu provoquer tout ça ?— Eh bien, on leur a offert une petite danse, avoua Bérénice.— Une petite danse ? Oooh, mais Alicia, tu leur as montré comment faire un strip-tease ?— Oui... Et tu aurais pu t’en douter, tu ne nous as toujours pas reconnu avec Victoire ?— Non... Oh, mince ! Blue Star et Violet Moon ! Vous avez présenté un numéro de pole dance !— Oui, mais on s’est arrêté en demi-finale, lui rappela Victoire.— C’est vrai... C’était beau, sexy, athlétique et poétique.— En tout cas, ça nous a permis de nous faire connaitre et de développer notre activité. Maintenant, nous sommes quatre à nous produire !— Et ce qu’Alicia n’osera pas annoncer, c’est qu’elle va reprendre une partie de l’activité de l’école de danse ici, ajouta Victoire.— Mais c’est super, ça ! s’enthousiasma Karine.— Oui, c’était mon rêve... Je vais entamer une année de formation pour devenir prof de danse et je reprendrai l’école en partie puis en totalité quand Mireille arrêtera, dit-elle très émue.— Mais et toi Victoire, tu ne travailleras pas avec elle ?— Si mais un peu plus tard, avec Ugo on a quelques projets à réaliser de notre côté avant.— Oohh, c’est mignon...
Mignon, certes jusqu’à ce que Roger n’en vienne au moment où Ugo avait frappé Victoire, alors que tout semblait rouler au mieux. Karine se tendit et regarda Ugo d’une autre façon. Celui-ci ne se démonta pas et laissa Victoire narrer les évènements puis ceux des semaines suivantes. Il contribua à son récit en dévoilant son propre passé qui expliquait en partie ses actes. Cela radoucit Karine qui plaignit le petit garçon qu’il était quand il avait découvert les évènements liés à sa conception. Mais Victoire noircit un peu le tableau en rappelant ses errances et, heureusement, l’alerte donnée par Ugo. Le jeune homme se chargea de raconter leurs retrouvailles et le chemin qu’ils avaient parcouru ensuite pour retomber amoureux, presque malgré eux.
Franck prit le relais pour raconter comment il avait réagi en apprenant la nouvelle et ce qu’il avait craint pour eux. Karima opina plusieurs fois en ajoutant qu’elle éprouvait des sentiments maternels pour Victoire et que cela avait renforcé sa décision de venir vivre chez Franck. Roger termina en expliquant comment il avait vu revenir Ugo et comment, avec Franck et Bruno, ils l’avaient pris sous leur aile. D’abord pour le surveiller et puis ensuite pour le soutenir et l’aider.
— Eh, bien, c’est un vrai roman. Et donc, vous vous avez pu vous marier, non ?— Oui, la cérémonie a été très bien menée par le maire, taquina Bérénice.— Oui, mais je dois dire que c’est le repas qui a marqué les esprits, dit Alicia, la voix tremblante.
Un sourire intérieur contrebalança ces émotions, Alicia repensa à la tête que certains avaient pu faire quand ils avaient vu arriver les danseuses et autres femmes de l’établissement de Firmin. Des têtes s’étaient figées ou s’étaient baissées et les sourcils de certaines femmes s’étaient froncés, comprenant que leurs maris leurs avaient caché certaines sorties.
— Ah bon ? Pourquoi ?— J’étais sur des œufs et en panique mais j’avais une annonce et une demande à faire, deux en fait, commença Roger.
Il fit une pause, jouant une nouvelle fois avec les cheveux de la petite Nadia, il fronça des sourcils et sa respiration se bloqua mais il réussit tout de même à reprendre son récit.
— Avec Bérénice nous nous sommes levés et avons commencé un petit discours de remerciement. A un moment, comme je savais que certains s’étonnaient de ce mariage avec Bérénice, j’ai dévoilé la raison qui l’avait fait accepter.— Sans ça, j’aurais dit non...— Et alors, c’était quoi ? s’impatienta Karine.— Nous avons appelé Alicia et Karima près de nous et je leur ai dit que nous les aimions comme nos filles. Et que nous voulions qu’elles soient nos filles... Officiellement.— Tu veux dire : les adopter ? On peut adopter des adultes ?— Oui, en adoption simple. Et c’était tout juste pour Karima car il faut quinze ans d’écart. Ça s’est joué à quelques mois entre elle et Bérénice.— Oh... C’était vraiment le bon moment pour l’annoncer. Mais vous avez dit oui ? demanda la présentatrice à Alicia et Karima prenant un nouveau mouchoir pour essuyer ses larmes.— Bien sûr, répondirent-elles en chœur.— Cela a été très surprenant mais ça m’a bien aidé, commença Franck. J’en ai profité pour prendre le micro et les féliciter, et surtout pour demander au père de Karima la main de sa fille.— Nooon ! Après tout ce que vous avez vécu, ohh c’est trop pour moi, là...— J’ai été choquée qu’il ose s’afficher ainsi devant tout le monde mais j’ai dit oui. Surtout que la veille j’avais fait un test...— Tu étais enceinte ? Pile à ce moment-là ?— Oui ! J’ai dit oui et je lui ai annoncé l’heureuse nouvelle. Il a rougi et s’est senti mal mais il a sauté de joie.— Oh, la, la... C’est mieux qu’au cinéma !— Mais moi aussi, j’ai eu ma demande en mariage !— Pardon ? Hala ? Qui t’a demandé en mariage ?— Paco ! C’est mon amoureux.— Oh, c’est mignon. Mais vous êtes un peu jeunes, non ?— Oui, on va attendre mais on va le faire, affirma Hala.— Et c’est qu’ils semblent s’y tenir depuis trois ans. C’est très étonnant, confia Alicia.— C’est sûr. Eh bien, mon Roger, voilà des histoires qu’on n’entend pas tous les jours. Pfffiou, je n’arrête pas de pleurer, mince alors...— Heu, avec Victoire, on voudrait en profiter pour vous annoncer que je l’ai demandée en mariage et qu’elle a dit oui, leur annonça Ugo avec une certaine timidité.— Oh mais c’est pas vrai... Vraiment, vous m’en faites voir de toutes les couleurs, les félicita Karine.— En fait, ce qui l’a décidé c’est qu’il va être papa, ajouta une Victoire mutine.— Hein, quoi, je vais être grand-père ?— Oui, papa, tu seras le papi d’un petit garçon.— Mais tu es enceinte de combien ? Ça ne se voit pas du tout, s’étonna Karine.— Tout juste trois mois. On a fait la première écho la semaine dernière. Et pour répondre à ta question suivante, non ce n’est pas ça qui me fait dire que ce sera un garçon. Je le sais, c’est tout...— C’est vrai qu’elle ne s’était pas trompé pour Nadia et Milan, confirma Roger.— Bon, je crois qu’on va arrêter-là. Je n’ai pas les nerfs assez solides pour poursuivre. On peut dire que pour toi, et toute ta famille, tout va bien.— Je crois que oui.— Merci de nous avoir accueilli, Roger.
L’équipe arrêta le tournage pour quelques minutes, le temps pour l’animatrice d’aller tourner une conclusion un peu à l’écart. Roger et sa famille allèrent dans la ferme pour fêter les annonces du jeune couple. Il invita au passage les membres de l’équipe de télévision à venir partager un verre avec eux. Dans un chemin en contrebas de la ferme, Karine déroula son monologue de fin devant la caméra :
— Ce soir, vous avez pu retrouver certains de nos agriculteurs et agricultrices. Ceux et celles qui cherchent à nouveau l’amour, vous pouvez leur écrire, ils seront heureux de recevoir vos lettres. Pour d’autres, ils l’ont déjà trouvé comme Philippe et Laurence...
Elle fit une pause puis reprit :
— Et surtout Roger qui en plus d’avoir retrouvé l’amour, a trouvé toute une famille. Une famille qui ne s’est pas forgée par les liens du sang mais l’amour qu’ils se portent tous. On dit qu’on choisit ses amis mais pas sa famille mais Roger a choisi la sienne. Une famille c’est avant tout de l’amour, de l’affection dans les bons et les mauvais moments plus que de simples liens du sang. Je vous laisse à ces réflexions et vous souhaite une bonne soirée. A bientôt pour une nouvelle saison...
Coupant son monologue, elle fit mine de faire demi-tour et d’appeler l’agriculteur :
— Roger ! Attend-moi, je vais avoir besoin d’un petit remontant. J’ai eu trop d’émotions-là !
* * *


Plus tard dans la soirée, après de longues heures où la ferme fut remplie de rires et de tintements de verres, Roger et Bérénice se retrouvèrent dans leur chambre. Visiblement légèrement pompette, l’épouse du chevrier se fit très câline dès qu’ils refermèrent la porte derrière eux. Elle se colla à lui et l’embrassa passionnément. Si l’âge les rattrapaient doucement, ils n’en perdaient pas leur fougue amoureuse, seul leur physique les ralentissait parfois. De fait, ils participaient de moins en moins aux ébats sexuels des plus jeunes. S’ils se mêlaient encore à eux quand les enfants n’étaient pas dans les parages, ce qui était difficile à organiser, ils se contentaient plus volontiers de partager des moments intimes et intenses avec Alicia et Bruno le jeudi après-midi.
Et même lorsqu’ils se retrouvaient à six ou à huit, ils restaient souvent un peu à part, savourant et regardant avec tendresse et paternalisme les jeunes s’en donner à cœur-joie. Mais ils étaient rarement oubliés, les jeunes femmes venant souvent gratifier Roger de leurs charmes et de quelques attentions orales tandis que les hommes s’occupaient de Bérénice avec les mêmes délicatesse et perversité. Et si leur activité avec eux se raréfiait, les fois où ils baisaient ou se faisaient baiser n’étaient que des moments d’un grand plaisir charnel et affectif qui leur donnait un coup de fouet pour quelques jours.
Néanmoins, comme Alicia et Karima leur en avaient fait la remarque, ils se "grands-parentisaient". Bérénice avait laissé pousser ses cheveux adoptant une coupe plus longue dont elle calait souvent les mèches derrière les oreilles et où les cheveux blancs remplaçaient progressivement les gris. Sa fine et petite silhouette s’épaississait aussi, malgré ses heures de nage régulières. Elle restait pourtant largement au goût de Roger et des plus jeunes, surtout d’Ugo qui semblait autant apprécier Victoire qu’elle.
De son côté, Roger avait le ventre et le front qui poussaient tous deux de façon inexorable. Il gardait une belle prestance et des cheveux encore sombres, mais les années se lisaient sur son visage plus distinctement. A tel point qu’il avait eu l’envie de se laisser pousser la moustache. Chose que Bérénice avait d’abord détesté avant d’en apprécier les chatouillis quand il plongeait son visage entre ses cuisses. Ce qui avait poussé Karima, Victoire et Alicia à inciter leurs hommes à, au moins, tenter la chose sans rencontrer de succès, pour l’instant.
Ce soir-là, Bérénice déshabilla prestement son mari et s’agenouilla devant lui pour le pomper goulument :
— Eh bien, ma salope, tu as envie ce soir, se félicita Roger.
L’agriculteur posa sa main sur la nuque de sa femme et la poussa à avaler plus profondément son sexe. Bérénice se détendit les mâchoires et la gorge pour enfourner au mieux le bel engin. Elle reprit ensuite sa fellation, Roger se contentant d’accompagner le mouvement de la main et par quelques paroles salaces :
— Quelle brave chienne tu fais. Allez, suce bien à fond. C’est de savoir que tu vas être arrière-grand-mère qui te met dans cet état ?— Slurp, bien sûr, tu sais très bien que je considère Victoire comme ma petite-fille, grand-papi, se moqua-t-elle gentiment avant de le reprendre en bouche.— Dis plutôt, que tu as bien envie d’aller lécher la petite chatte de femme enceinte de Victoire, hein ?
Bérénice ne put s’empêcher de sourire à cette perspective et Roger ricana doucement avant d’avouer qu’il se verrait bien défoncer la jeune femme quand son ventre s’arrondirait un peu plus. Il en avait d’ailleurs bien profité quand ses deux filles avaient été enceintes, confiant à Bérénice qu’il avait assouvi un fantasme, un regret : celui de n’avoir jamais pu la baiser ainsi. Il s’était satisfait pleinement de l’état de ses filles et avait rudement envie de renouveler cette expérience avec sa petite-fille. Bérénice le vit perdu dans ses fantasmes et se moqua un peu de lui, arguant qu’ils retrouvaient tous deux un peu de lubricité à cette annonce.
— Oh oui, ma vieille pute. Et j’espère bien qu’on renouvellera notre petite sauterie d’avant mariage, espéra-t-il.— Mmmh, ouiii, comme avant le nôtre ou celui de Karima. Ça me fait dégouliner, vient donc me lécher comme un cochon. Viens boire mon jus de salope, quémanda Bérénice.
Sans se faire plus prier, Roger la releva et lui arracha à moitié les vêtements avant de l’allonger sur le lit. Il s’agenouilla devant elle et lui écarta largement les jambes. Encore bien souple, elle fit presque un grand écart, lui offrant ses deux trous en pâture. Si Bérénice n’avait jamais participé aux shows d’Alicia et Victoire, même quand Karima et Laura se rajoutèrent, elle avait pris l’habitude de profiter de leurs entrainements à domicile. Elle refaisait ensuite, en privé, ces chorégraphies ; faisant la quatrième à la place de Laura ou souvent juste avec Alicia. Avec son âge, elle ne se voyait pas aller faire cela en public, elle aurait trop eu l’impression de satisfaire le plaisir pervers de certains.
— Mmmh, oooh, oui, c’est bon, gémit Bérénice comme Roger entamait son léchage.— Tu mouilles comme une grosse truie, j’aime ça. Tu penses qu’Alicia va encore croquer Laura cette nuit, hein ? Tu aimerais bien la goûter cette petite pute ?— Mmmmh, comme toi. Et je testerai bien son mari aussi. Alicia et Bruno ont bien de la chance. Oooh, aaah, ça ne m’étonnerait pas qu’avec l’arrêt prochain de Victoire, Laura et Karima ne doivent assurer un peu plus de shows... Et que nos filles finissent par se gouiner avec elle.— Mmmm, mmmmhhh.— Ooooh, ouiiii. Ça m’étonne qu’elles ne fassent pas déjà ça à quatre... Mais je suppose que ça va vite venir. Et à huit ensuite...— Pas sûr que Laura et Luc voient d’un bon oeil les rapports entre Franck et Victoire, avança Roger.— Probablement, et de toute façon... Aaaaaah, aaahh, je sens que Karima raccrochera dans pas longtemps. Il leur faudra trouver une nouvelle recrue...
Roger grogna d’approbation tout en s’activant un peu plus sur le sexe de sa femme. Il se délectait de sa mouille presque aussi abondante qu’avant et toujours aussi savoureuse. Il la fourra avec deux doigts quelques instants et demanda à Bérénice si elle ne pensait pas que Franck et Karima ne se voyaient pas plus proche d’eux que des autres dorénavant. Elle acquiesça en râlant et en soupirant, se pétrissant fermement les seins au passage.
Néanmoins, ils convinrent tous deux que le couple n’abandonnerait pas ses parties avec Victoire et Ugo, puisqu’ils vivaient toujours sous le même toit. Enfin presque, puisqu’ils avaient acheté, l’année précédente, une ancienne ferme composée de deux petites maisons qu’ils avaient réuni grâce à une extension. Ils ne partageaient alors que la cuisine, le séjour et un salon, chacun pouvant aller et venir par sa propre entrée et vivre de son côté.
Roger sentit sa femme se raidir mais il ne voulait pas la faire jouir de suite, il avait été bien chauffé par sa fellation et avait besoin de tirer son coup au plus vite. Il se releva et embrocha soudainement Bérénice qui dut plaquer sa main sur sa bouche pour ne pas crier. Il ne la laissa pas respirer et entreprit de lui asséner de puissants coups de reins, auxquels il ajouta quelques vulgarités :
— Aaaah, sale trainée de gouine incestueuse. Prends-ça. Tu aimes te faire défoncer, hein ?— Mmmmh, oooh, ouiiiii, baise-moi, feula-t-elle.— Grosse pute, bouffeuse de moule et suceuse de bite.
Il continua ainsi quelques minutes et Bérénice augmenta ses plaintes au fur et à mesure des assauts de son mari. Elle sentait l’orgasme poindre quand elle fut subitement retournée sur le ventre. Elle pensa se faire prendre le cul, ce qui ne lui aurait pas déplu, mais Roger retourna dans son con baveux et accueillant. Il grogna et ronfla en la pénétrant à nouveau. Bérénice le sentit chercher sa position, se disant au passage qu’ils auraient pu rester comme ils étaient. Et puis, le fermier finit par la saisir par les cheveux et la tirer en arrière, lui tordant un peu le cou. Mais les coups de reins se firent plus profonds, ce qui lui fit oublier cette légère douleur. En plus, Roger vint l’embrasser derrière l’oreille, sur la nuque et les épaules avec une grande douceur avant de l’abreuver à nouveau d’insultes.
Le presque sexagénaire se démena ainsi un petit moment avant de sentir que son heure arrivait. Les cris de Bérénice, étouffés par l’oreiller dans lequel elle avait enfoui son visage, devenaient aussi plus aigus, signe de son orgasme prochain. Il s’activa pour un dernier sprint et sentit son épouse prendre son pied la première. Cela le surprit quelque peu et les spasmes de son vagin autour de son sexe le firent flancher. Il se déversa dans sa grotte et chaque giclée sembla accentuer le plaisir de sa compagne qui ronronna à chaque nouveau jet. Roger, épuisé et à bout de souffle, vint s’allonger auprès de Bérénice qui le regarda arriver avec les yeux encore un peu hagards.
— Ça va ? Je ne t’ai pas fait mal ?— Non, ça allait. Mais ça m’a surprise, je nous pensais bien parti dans cette première position.— Oui, mais je voulais quelque chose...— Aaah, j’ai pensé que tu voulais m’enculer au départ.— Non, pas du tout.
Roger se posa sur un coude et fixa sa femme un instant avant de lui poser une question :
— Depuis quand tu sais qu’Alicia est ta fille ?— Oh, tu le sais, depuis que...— Non, depuis tu sais que tu es sa mère biologique ?— Qu’est ce que tu racontes ? se défendit-elle.— Oh, je viens juste de le découvrir. Cet après-midi j’ai eu Nadia sur les genoux une bonne partie de l’interview. J’ai fini par remarquer cette petite tache triangulaire derrière son oreille. Sur le coup ça m’a fait réagir mais avec le tournage je n’ai pas fait tout de suite le rapprochement. Il a fallu que je vérifie en te retournant que c’est bien derrière la tienne qu’il y a la même.
Bérénice se redressa brusquement, complètement dégrisée, plongeant son regard dans celui de Roger. Elle se pinça les lèvres avant de répondre :
— Seulement depuis que Nadia est née. Alicia ne l’a pas, j’ai pu le constater la première fois qu’elle est venue chez quand elle a posé sa tête sur mes genoux. Mais dans ma famille toutes les femmes ne l’ont pas. Et puis, comme je me méfiais un peu j’ai préféré lui dire que j’avais accouché à une autre date. Le jour de sa naissance, je n’étais pas la seule à accoucher sous X alors j’avais un doute.— Mais Hala, elle ne l’a pas ?— Je ne sais pas, sa peau était trop mate pour que je sois sûre de moi. Mais Nadia...— C’est ce qui t’a incité à laisser pousser tes cheveux, cacher ta propre marque ?— Oui. Ecoute. Alicia est ma fille mais au même titre et de la même façon que toi. Pas plus, pas moins. Je l’aime comme ça, comme j’aime Karima. Ça ne doit rien changer. Tu m’entends ? Rien ! insista-t-elle froidement.— Mmmmh, je ne lui dirais rien. Mais vraiment, Myriam avait vu juste finalement. Allez ! Pour te faire pardonner, tu vas venir me nettoyer la queue, vielle salope !— Mmmh, avec plaisir mon cochon...
Diffuse en direct !
Regarder son live