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Tonton Tringleur

Chapitre 1

Gay
Comme prévu nous partîmes un peu avant midi avec mon oncle Jean Claude pour un concours de pétanque, laissant ’’nos femmes’’ en intimité. J’étais très excité, je savais de quelle façon elles occuperaient notre absence. Je les imaginais nues sur le lit en train de se gouiner en se défonçant la chatte et le cul avec des godes, j’aurais aimé assister à cette orgie féminine. Ces images me firent bander.JC parlait en conduisant sa main posée sur ma cuisse nue me caressait en remontant vers mon bas-ventre.— Mais tu bandes !!!..... c’est moi qui te fais cet effet ? …depuis le temps que j’ai envie d’être seul avec toi, ….adieux la pétanque.... C’est de tes boules dont je vais m’occuper ….. Et du reste... Je connais un endroit où l’on sera tranquille, j’ai envie de sucer ta grosse queue et  …......... Hummmmm !  Mets ta main dans mon short tu vois comme tu me fais bander aussi. Conduisant difficilement il avait sorti ma bite de mon short. J’avais ouvert sa braguette et je serrais dans ma main sa pine brûlante et bien dure. J’avais envie que l’on se suce mutuellement pour me délecter de son sperme en respirant son cul, et jouir dans sa bouche.Nous arrivâmes sur une falaise près d’une cabane de pêcheur construite presque dans le vide, il avait la clé. A l’intérieur il y avait une petite table avec deux chaises et un grand matelas à même le sol sur lequel il étendit un drap de plage. La porte à peine refermée JC déjà à poil m’embrassa à pleine bouche en baissant mon short, je lui rendais son baiser fougueux en lui caressant les couilles. Il s’agenouilla devant moi et engouffra ma bite qui suintait de liquide clair. Il me fit basculer sur la couche et s’allongea sur moi tête-bêche m’enfonçant sa queue entre les lèvres en embouchant la mienne. Avec fringale nous nous pompions en nous caressant mutuellement les burnes et le trou du cul. Nos bouches allaient de l’un à l’autre gobant une couille fouillant de la langue la corolle anale puis avalant à nouveau la totalité de nos bites tendues. Nos doigts s’enfonçaient dans l’anus de l’autre, ouvraient l’œillet nous tirant des soupirs de plaisir. Soudain mon oncle se détacha de moi, prit dans son sac un tube de crème m’en enduisit le gland et s’en badigeonna l’anus y enfonçant ses doigts graisseux puis se positionnant à quatre pattes.— Viens me prendre j’ai envie de sentir ta belle bite dans mon cul, j’ai besoin que tu m’encules.Il me tendit le tube je m’enduisis copieusement le chibre et de mes doigts bien gras je pénétrais son anus qui palpitait. Je les faisais tourner dans le conduit souple, son trou de balle était prêt. Je posais mon gland sur l’anneau resté ouvert et saisissant tonton par les hanches je poussais pour l’introduire. La pénétration se fit doucement sans heurt, mon manche glissait tout seul dans son anus bouillant. Je l’emmanchais à fond dans un bonheur inégalé.— Haaaaa …. !!! Que c’est bon ta grosse pine dans l’oignon vas-y encule moi à fond, fais moi reluire du trou du cul.Mes couilles collées aux siennes je commençais de lents allers-retours dans son manchon anal. Il soufflait, geignait émettant parfois de petits cris de bonheur. Son cul venait au-devant de mes coups de boutoir, il s’écartait les fesses à deux mains pour que j’aille plus loin dans ses entrailles. Je voyais sa couronne anale baguer mon mandrin, quand je me retirais elle formait comme une bouche ronde qui suce un gros sucre d’orge et se resserrait à la base de mon gland voulant le retenir. J’accélérais mon pistonnage le sodomisant de toute la longueur de ma queue m’enfonçant dans son ampoule rectale dont le sphincter se contractait autour de ma collerette. Son manchon anal était soyeux brûlant et palpitait sur mon pal à chaque poussée me procurant un plaisir inouï. Il suffoquait de volupté à chaque coup de bélier. Je passais un bras sous son ventre et saisissais sa queue un peu ramollie. je le branlais tout en l’enculant en force maintenant. Son cul se contractait de plus en plus sur ma bite, il poussa un long feulement en jouissant du cul, ma main se remplissait de sperme. Je continuais à lui astiquer le manche avec son jus tout en le défonçant complètement.
— Ouiiiiiiii.... Haaaaaaa ….... Mon petit salaud tu me fais jouir du cul..... Tu me vides les couilles. Encore............ Encore........... Encore …......... Ouiiiii.  Je jouis de partout ….....HoooooooooooooL’orgasme me foudroya aussi. J’explosais lui remplissant le boyau de foutre épais. Je n’en finissais pas gicler dans son cul qui débordait, le jus s’écoulait sur nos couilles collées les unes aux autres. Il se désemmancha se retourna et suça ma bite qui émettait encore quelques petits jets de semence se régalant de ma sauce. Il nettoya complètement ma queue encore raide et lécha mes burnes trempées de nos sécrétions, Puis il s’étala sur le matelas et m’attira sur lui, ventre contre ventre me roulant une pelle au goût un peu bizarre. Longtemps nous restâmes collées nous caressant, et nous embrassant, en roulant sur le lit bite contre bite, savourant le repos après l’orgasme. Ce moment de grande sensualité et de tendresse me faisait bander. Après m’avoir mis sur le dos il glissa entre mes jambes et lécha mon membre de bas en haut s’attardant autour du gland puis l’emboucha presque entièrement. Il me suçait à merveille le plaisir était immense, enfonçant la tête de mon nœud au fond de la gorge puis il remontait en faisant tournoyer sa langue tout au long de ma hampe en caressant mes bourses, je me laissais aller au plaisir qui montait à nouveau. Me masturbant d’une main, il releva mes jambes et passa sa langue chaude entre mes fesses léchant mon anus, forçant l’anneau à s’ouvrir pour y plonger sa lavette. Le plaisir était extraordinaire je sentais mon œillet vibrer de délices et s’élargir appelant la langue plus loin à l’intérieur. Ce fut un doigt qui me pénétra, plongeant de toute sa longueur en tournant pour caresser les muqueuses, pistonnant en douceur mon conduit, déclenchant des ondes de bonheur dans mon anus qui frémissait. Sa bouche avalait de nouveau ma pine et la pompait avec douceur. Un deuxième doigt rejoignit le premier dans mon conduit anal et tournoyait dans la gaine en élargissant le passage. Je sentis l’embout du tube crème à l’entrée de mon anus et une giclée douce me noyer l’intérieur. Aussitôt un troisième doigt vint s’agiter en profondeur dans mon cul, tourner, élargir et graisser mon manchon anal. Les sensations étaient incroyables j’avais envie de plus, mon anus palpitait sur les doigts fouisseurs. Je bandais comme un fou dans la bouche de tonton. Il se mit à genoux entre mes cuisses largement écartées. et me fit croiser les jambes dans son dos pour rester bien ouvert.-  Je vais te prendre à la missionnaire mon neveu chéri. Je vais faire de toi une femme tu vas jouir comme jamais, tu ne pourras plus t’en passer.Joignant le geste à la parole il ajusta son gland pointu sur l’ouverture de ma corolle détendue et poussa lentement. Une douleur me crispa l’anneau, mon sphincter se resserra sur la tête de l’envahisseur bloquant la pénétration.-  Détends toi mon mignon ma bite est beaucoup moins grosse que la tienne. Souffle bien. Force comme lorsque tu vas aux toilettes ça passera tout seul ensuite ce ne sera que du bonheur.J’expirais et inspirait à fond. La tête du nœud de mon oncle toujours engagé dans ma corolle, la douleur s’estompait des frémissements de plaisir montaient dans mon ventre. je poussais sur mon anus qui s’ouvrit, livrant le passage à la queue de JC. Je sentis sa pine me pénétrer, s’enfoncer doucement dans mon cul vierge. Son manche montait doucement en moi, m’envahissait, me remplissait. Les sensations étaient incroyables, un bien-être immense envahissait mes entrailles je me sentais comblé. Sa bite brûlante, d’une douceur infinie, s’embourbait dans mon conduit anal dont les parois se moulaient sur le pal bienfaiteur qui n’en finissait pas de plonger dans mon ventre. Le gland atteignit mon ampoule rectale, força le sphincter et pénétra. Ses couilles étaient collées à mes fesses écartées mon oncle me possédait entièrement, je ressentais un plaisir fabuleux, inconnu, j’étais heureux comme jamais. — Hooooooooo …..Tonton c’est merveilleux......C’est bon ta bite dans mon cul,  je la sens palpiter si loin dans mon ventre Il s’allongea sur moi, prit ma tête entre ses mains et m’embrassa avec passion en commençant des allers-retours dans mon trou du cul. Il me baisait avec délicatesse faisant naître dans mon corps des sensations inouïes, un plaisir physique et cérébral inédit. Je me sentais femelle. Il accentua ses coups boutoir, j’allais au-devant de son pistonnage soulevant mon bassin et projetant mon cul sur le mandrin qui m’enculait. Je le voulais toujours plus loin dans mon oignon. Je poussais de petits gémissements à chaque fois que sa bite atteignait le fond de mon rectum massant ma prostate me faisant délirer de plaisir.-  C’est bon ma petite salope de s’en prendre plein le cul hein.... Tu aimes ça que je t’encule. Tu en veux encore dans ta chatte anale, tu l’offres bien ton trou comme une bonne chienne. Tu jouis du fion sur ma bite ma belle petite pute.Il ahanait sur moi, me ramonant de toute la longueur de son braquemart. Il se souleva sur un bras, glissa une main entre nos ventres et saisit ma bite toujours dure qu’il branla. Du fond de mes entrailles une vague immense remontait dans mes reins. Un plaisir étrange, nouveau et prodigieux me submergea envahissant tout mon corps, faisant palpiter mon anus et mes intestins. Je contractais spasmodiquement les fesses et mon œillet, mes muqueuses frémissaient sur son chibre, mes sphincters le comprimaient, l’aspiraient, le suçaient. Un orgasme fantastique me bouleversait.Je jouissais du cul en beuglant et en éjaculant de longues fusées de sperme qui atterrirent sur ma poitrine et jusque dans mon cou, mon menton, mes lèvres. Immobile au fond de mon trou palpitant, tonton se régalait en léchant les flaques grasses sur mon visage, me laissant savourer l’orgasme qui me faisait trembler. Allongé sur moi il passa ses deux mains sous mes fesses pour me soulever et me pénétrer plus profondément et recommença à me sodomiser, en force maintenant me défonçant littéralement l’oignon à toute vitesse. C’était merveilleux ce bélier qui me labourait les entrailles, j’allais jouir encore.Il hurla en donnant un dernier grand coup de rein, son pubis écrasant mes burnes et ses couilles collés à ma rondelle distendue il gicla dans mon cul m’inondant le boyau de son foutre chaud qui me fit l’effet d’un baume remplissant tout mon corps du plaisir inoui, déclenchant dans mon ventre un nouvel orgasme incomparable. Il inséminait sa femelle, sa semence n’en finissait pas d’abreuver mon anus qui débordait. — Haaaaaaaaa… Alex je jouis dans ton cul de petite pute....... Je te remplis de foutre le trou de cul. Hoooooooooooo que c’est bon d’enculer son neveu...... C’est merveilleux de baiser en famille.Il se laissa aller lourdement sur mon corps la bouche collée dans mon cou se délectant du plaisir qui le faisait frémir au fond de mon ventre. Je le serrais dans mes bras et entre mes jambes l’embrassant et le cajolant : j’étais une ’’femme’’ comblée. Après une courte récupération JC se retira de mon anus et vint chevaucher ma poitrine me présentant sa queue encore bandée et couverte de jus divers :Je connaissais son vice.— Ma petite salope chérie maintenant il faut nettoyer les outils ... lèche ma bite, astique la bien je sais que tu aimes mon sperme..... tu vas te régaler.Il me prit derrière la tête et passa sur mes lèvres sa bite recouverte de foutre et de traces jaunâtres . Bizarrement je n’étais pas dégoutté, l’odeur m’était familière. L’hormone de l’amour circulait dans mes veines j’étais toujours dans l’euphorie de la jouissance. Je l’attirais par les fesses et gobais son gland passant la langue tout autour, dégustant le mélange crémeux qui le recouvrait. À la saveur du sperme s’ajoutait un goût âcre amer qui ne m’était pas déplaisant. J’embouchais sa queue jusqu’à la racine lapant et avalant le reste de foutre qui s’écoulait encore du méat, je nettoyais avec délice son membre de toutes traces, allant même jusqu’à sucer la bouillie jaunâtre et odorante agglutinée sur ses couilles. Satisfait il m’embrassa et s’étala sur la couche à côté de moi pour se reposer. J’étais toujours sur le dos, je sentais mon anus encore ouvert dégouliner des sirops de notre plaisir. Je passais une main entre mes jambes, sous mes burnes, et du bout des doigts je tâtais mon œillet bâillant douloureux et boursouflé d’où s’écoulait le sperme de mon tonton, Mon entre-fesse était inondé de foutre visqueux, plusieurs fois j’allais récupérer ce nectar de mes doigts que je léchais me régalant du liquide poisseux. Après quelques minutes de repos JC roula sur moi et m’embrassa goulûment.— Whaaooouuu qu’est ce que tu pues mais j’aime ça ! Toi aussi apparemment ….. !— Ohhhh...... !!! Oui ...... J’adore ! Tu viens d’ouvrir une voie qui sera désormais beaucoup empruntée. J’aime les femmes mais je sais maintenant que je ne pourrai jamais me passer des hommes et de leurs bites.Il glissa le long de moi léchant les traces de sperme sur mon buste, mon ventre, débarbouillant de ses lèvres ma queue et mes couilles, puis relevant mes jambes il enfouit son visage dans ma raie et vint pourlécher mon anus tuméfier. Sa bouche me faisait un bien ineffable, apaisant l’irritation qui me brûlait un peu. Il lapait le jus qui sourdait de mon trou, enfonçait la langue dans ma corolle distendue et boursouflée la faisant tourner dans mon conduit anal en feu. Il ventousait mon œillet pour aspirer le fluide nauséabond gras et amer mélange de sperme et de mucus anal.-Dis donc Alex mon neveu chéri tu ne pourras pas dire que tu ne t’es pas fait enculer vu l’état de ton anneau culier tout gonflé et violet qui reste bien ouvert. Mais ne t’inquiète pas j’ai une crème spéciale pour irritation anale, demain ton cul sera tout neuf tu pourras recommencer.Il me roula à nouveau une pelle, c’était vrai que sa bouche puait vraiment et avait un goût écœurant.— Nous sommes tout poisseux de sperme, de sueur et nous empestons il va falloir se laver sinon nos ’’femmes’’ vont se demander ce que nous avons fait pour rentrer dans cet état. Je connais un endroit où l’on va pouvoir se doucher se désaltérer et peut-être même s’amuser.Il était quatorze heures nous avions encore tout l’après-midi devant nous. Je savais que mon oncle avait beaucoup de ressources et surtout des idées originales parfois même farfelues.Mais vers quelles nouvelles aventures m’entraînait-il cette fois-ci... ???
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