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Top Model

Chapitre 8

Travesti / Trans
15-Nous quittâmes New-York deux jours plus tard. Max me questionna sur ma soirée avec Stéphane. Mais je restai évasive dans ma réponse. Mais cette rencontre avait eu un effet secondaire que je n’aurai jamais imaginé. J’acceptai entièrement et pleinement ma féminité. Je parlais enfin de moi au féminin. Et si m’habiller et me maquiller était jusqu’à présent presque une corvée, désormais, c’était un plaisir. Max le ressentis : — Il y a quelque chose de changer en toi, me dit-il. Je te trouve ... plus joyeuse. Tu ne serais pas amoureuse ? — Ça va pas non ? Et de qui ? — De Stéphane par exemple ? — Aucun risque ! D’accord, c’était bien avec lui. Mais de là à être amoureuse ... De toute façon, je préfère les filles. Max n’ajouta rien.
Je rentrai chez mes parents pour me reposer un peu et récupérer du décalage horaire. Et préparer ma nouvelle création. Les beaux jours approchant, je choisis une robe, toujours courte mais dont le haut serait en tulle et dentelle. Bien évidemment, je ne parlais pas de ma soirée avec Stéphane, ni même celles avec mon patron. Maman remarqua aussi mon changement d’attitude. Mais elle ne m’en toucha pas un mot.
Le rythme de ma vie repris son cours. Je reçu un appel de Marion qui me donna de ses nouvelles mais aussi un peu de Nicolas et de Léa. Cette dernière, n’avais pas changé et butinait allègrement à gauche et à droite. Nicolas était toujours célibataire mais il était sur un coup. On convint de nous retrouver un soir autour d’une pizza pour parler plus longuement.
Cela faisait un mois que j’étais rentré des Etats-Unis. Mon téléphone sonna alors que j’arrivai chez moi. — Laurène, c’est Stéphane. Tu vas bien ? — Bonsoir Stéphane. Oui, ça va. Tu peux me rappeler d’ici un quart d’heure ? — Pas de souci ma belle. A tout de suite. Je me précipitai chez moi, aussi vite que mes talons aiguille et ma jupe serrée me le permettaient. J’attendis patiemment que Stéphane me rappelle. Une vraie midinette !Le téléphone vibra et, dans mon excitation, faillit tomber par terre. — Coucou, dis-je enjouée. Comment tu vas ? — Bien, bien. Et toi ?On échangea les banalités d’usages. Au fur de la conversation les souvenirs de notre première rencontre envahirent mon esprit. — Tu es libre ce week-end ? me demanda-t-il — J’ai prévu de rentrer chez mes parents.
— Ah ... La déception s’entendait dans sa voix. Si je n’étais pas contre un rendez-vous d’un soir, l’idée de passer tout un week-end avec Stéphane m’effraya. — Je peux te rappeler ? demandai-je presque en m’excusant— Oui bien sûr. Mon numéro a du s’afficher. — Je fais vite.
Je raccrochai, en plein doute sur moi, mes sentiments, mon devenir et mon avenir. Je prenais de plus en plus de plaisir à être une femme. Mais il n’était pas prévu, au départ, que cet état devienne définitif. La question était : est-ce qu’aujourd’hui, je suis prête à redevenir comme avant ?
Il y avait encore quelques semaine, la réponse aurait été claire : c’était oui. Depuis, la donne avait changé. Il y avait eu ma première création dont tout le monde avait fait l’éloge. Et Stéphane, qui m’avait traitée comme une vraie femme, sans se soucier de mon petit plus entre les jambes. Il avait particulièrement galant lors de la visite de la Grande Pomme et m’avait fait l’amour comme jamais.
J’appréciai énormément la compagnie de Stéphane. Passer quelques heures, c’était une chose, mais un week-end entier ! C’était la porte ouverte à une relation plus que passagère. Etais-je prête à ça ? Et le voulais-je ? Et Marion dans tout ça ?
J’appelai aussitôt maman pour lui dire que je ne viendrai peut-être pas ce week-end. — Tu travailles trop, dit-elle. Dès que tu arrives, c’est pour continuer de coudre. Arrête un peu de temps en temps. Sors. Tu n’as plus d’amis ou quoi ? La question me déstabilisa. Avais-je des amis ? Les derniers en dates étaient mes colocataires et on s’était quitté depuis plusieurs mois maintenant. Il ne restait en fait que Max et Damien. Mais pouvais-je les qualifier d’amis ? — Je vais te dire, continua maman, un ton plus bas. Si tu tombais amoureuse d’un homme, je ne t’en voudrais pas. Même si je préférerai quand même que tu nous ramène une fille. Je tressaillis. Heureusement que cent cinquante kilomètres nous séparaient, sans quoi maman aurait compris que j’étais en passe de virer ma cuti. — Merci maman, c’est gentil. Mais pour le moment, ce n’est pas le cas. Sauf que ma pensée disait tout le contraire. — C’est bon alors, je ne viendrai pas ce week-end. Merci maman. — De rien ma chérie. Profites ! Mais fais attention à toi.
Je rappelai aussitôt Stéphane. On convint de se retrouver vendredi soir, à la Fnac des Halles, rayon DVD. Je quittai le travail un peu plus tôt, faisant un détour par les toilettes pour me repoudrer le nez. Je déambulai dans les allées du centre commercial, m’attardant devant les boutiques de fringues. Mais si avant, je le faisais pour chercher l’inspiration et voir la tendance du moment, désormais c’était pour voir ce que je pourrai m’offrir.
Je me rendis enfin au lieu du rendez-vous avec un bon quart d’heure de retard. Stéphane était là. Mon cœur bondit en le voyant. On se fit la bise, chastement. — Tu es de plus en plus belle, dit-il. — Merci, c’est gentil. Nous quittâmes les halles pour aller s’installer à la terrasse d’un café. On y resta un moment, parlant de tout et de rien. Puis Stéphane décida d’aller diner. Dans le restaurant d’à-côté. Nous fîmes une balade dans la nuit tombante. Il m’avait pris le bras et je me collai à lui. Cette étrange et non moins agréable sensation de se sentir pleinement femme. — Tu veux prendre un dernier verre. J’ai réservé une chambre dans un hôtel, pas loin d’ici. Le message, cette fois, était on ne peut plus clair. Le verre, je m’en foutais. Je voulais Stéphane et j’espérai revivre le même plaisir que la dernière fois. — Pourquoi pas, répondis-je, mutine.
L’hôtel était quelconque. Mais peu importait.On s’installa au bar pour ce fameux dernier verre. Que l’on but plutôt rapidement. — Entre, dit-il en m’ouvrant la porte de sa chambre. Met-toi à l’aise.Je posai ma veste sur la chaise, m’assis sur le rebord du lit et croisai les jambes, souriant à ce qui allait se passer. — Cadeau, dit-il en tendant un sac sans marque. J’espère que ça te plaira et que c’est la bonne taille. Je déballai un superbe ensemble de lingerie d’une marque qui avait la fâcheuse manie de donner des leçons. — Il est magnifique, dis-je en déployant devant moi le serre-teille blanc.
La lingerie, ce n’était pas ce que je privilégiais le plus. Etant aussi plate qu’une limande, je n’avais pas besoin de soutien-gorge. Je me contentais juste de culottes, tangas et autres shorties assortis à mes tenues du jour. Quant aux bas, je n’en mettais quasiment jamais, préférant les collants meilleurs marchés et plus pratiques. — Tu veux bein le mettre ? demanda timidement Stéphane— Si tu veux oui. Mais pour le soutif, j’ai pas grand-chose à y mettre.— Et avec ça ? Il me donna une autre boite sur laquelle il y avait une photo de faux-seins. — Ok...
Je filai dans la salle de bains, me déshabillai. Je me débattis avec le soutien-gorge dans lequel je plaçais les faux-seins. Cela faisait vraiment bizarre comme sensation. Je passai le porte-jarretelles et attachai les bas en soie. Le string, les escarpins, une touche de rouge sur mes lèvres et je fis mon apparition dans la chambre.Je crus un instant que Stéphane allait défaillir. — Je crois que je suis amoureux, dit-il d’une voix chargée en émotion. Je me contentai de lui sourire, heureuse. Moi aussi, j’étais amoureuse. Mais il était hors de question de l’avouer. Il me prit dans ses bras, caressa mon corps, m’embrassa tendrement. Nous fîmes l’amour comme la première fois. Sauf que cette fois, j’avais gardé mes dessous et mes chaussures. Repus de plaisir, on se doucha et on se coucha. Ma première nuit avec mon amant. Bien sur, j’avais déjà partagé mon lit avec Helena. Mais ce n’était pas pareil. Ce n’était qu’un partage entre copine. Cette nuit-là, nous étions un couple qui dormait ensemble. Je me lovai contre lui, ma tête sur son épaule, ma main caressant distraitement son torse sculpté par des heures de musculation. Je m’endormis, plus heureuse que jamais.
Je m’éveillai. Le jour filtrait à travers les rideaux. L’entendis le bruit de la douche. Je m’étirai et m’enroulai dans la couette. J’avais du mal à imaginer et surtout comprendre ce qui m’arrivait. Moi un garçon, qui me croyait hétéro convaincu, mais travesti par nécessité, était tombé amoureux d’un homme. Comment cela pouvait-il être possible ?La douche s’arrêta. Stéphane entra dans la chambre, une serviette attachée à sa taille. Je me tournai vers lui.— Je t’ai réveillé ? demanda-t-il— Non, non.Il se pencha et m’embrassa. — Je peux te poser une question ? — Bien sûr !— Tu es homo ou hétéro ? — Hétéro, répondit-il après un instant de silence. Tu es juste l’exception qui confirme la règle. Pourquoi ? — Parce que ce je me pose la même question. J’étais persuadé de préférer les femmes. Mais avec toi, c’est différent. Dans tes bras, je me sens femme et passer du temps, faire l’amour avec toi me semble tout naturel. — Je sais, elles me disent toutes ça, répliqua Stéphane, taquin. — Salaud ! dis-je en lui balançant mon oreiller à la figure. S’en suivit une petite bagarre dans laquelle je n’eus pas le dessus. Il termina au-dessus de moi, bloquant mes poignets. Encore cette impression de vulnérabilité, d’être à sa merci. Il se pencha, me vola un baiser et me libéra. — Je vais me doucher, dis-je encore troublée par cette sensation.
L’eau chaude me fit le plus grand bien. Mais alors que je me laissais envahir par une certaine torpeur sous le jet brûlant, je ne vis pas Stéphane entrer dans la cabine exiguë, bien trop petite pour nous deux. Il me plaqua contre le mur carrelé. Je sentis sa queue dure glisser entre mes fesses. Comme quelques minutes avant, je ne pouvais plus bouger. Son sexe chercha l’entrée de mon cul et la trouva. Son sexe, lubrifié par le savon, glissa en moi lentement. J’haletais, gémissais, feulais. C’était trop bon. Il me ramona un peu plus sauvagement que d’habitude. Et je ne m’en plaignais pas. Soudain, il éjacula et le liquide chaud qui se répandit dans mes intestins me fit comprendre que mon amant m’avait prise sans protection. Bien qu’inquiète des possibles conséquences, je me laissai aller à ce plaisir défendu.
Stéphane quitta la douche comme il était arrivé. Sans que je m’en aperçoive. Ou presque ... Je restai encore un long moment sous le jet, repassant le film de cette divine pénétration.
Je me rhabillai comme la veille mais avec l’ensemble que mon amant m’avait offert. C’était la première fois que je sortais en ville avec des dessous aussi sexy et j’avais l’impression que tout le monde le savait et me regardait. On passa la journée ensemble. Stéphane me couvrit de cadeaux entre vêtements et chaussures. J’avais beau protester, rien ne l’arrêtait. J’étais sa princesse.
Le dimanche soir arriva. Nous dînâmes rapidement avant de rentre à l’hôtel pour faire et refaire l’amour. Le froid me réveilla. Mon chevalier était parti. Un mot sur l’oreiller : « Le plus beau week-end de ma vie. Merci ma princesse. » suivi d’un cœur dessiné.Et le mien s’arrêta.
16-Je n’eus aucune nouvelle de Stéphane pendant quelques jours. Je savais qu’il était à l’autre bout du monde. Son petit mot d’amour que j’avais gardé précieusement dans mon portefeuille, résonnait toujours dans ma tête, perturbant mon travail. Je rentrai chez moi le week-end suivant, week-end bien morne en comparaison de ce que j’avais vécu. Je me lançai dans la confection de ma nouvelle robe toute en couleur. Un sms s’afficha, confirmant mon rendez-vous avec Marion pour le lundi en fin d’après-midi.
On se retrouva devant un bar dans le Marais. Le dernier endroit où je pensais la rencontrer. Elle était déjà assise à une table en terrasse. Sans rien dire, je m’installai. — Désolée, mais j’attends quelqu’un, dit-elle en relevant les yeux de son IPhone— Oui, moi, dis-je, fière de mon coup. — Laurent ? — Laurène désormais. — Tu ne m’avais pas dit que ... — Non c’est vrai. Excuse-moi. J’ai pensé que si je te le disais, tu n’aurais pas voulu me voir. — Tu es bête ! Raconte-moi comment tu en es arrivée là.
Je lui racontai le comment et le pourquoi, passant sous silence mes frasques avec mes patrons, Helena et surtout Stéphane.Marion était toujours employée de banque, même si elle avait pris un peu de galons. Elle me parla de Nicolas. A cause de moi, il avait eu envie de rencontrer un travesti qui lui rappellerait Perrine, son premier grand amour. Il s’était mis à fréquenter les boites et soirées réservées aux travestis et transsexuels. Et ça avait payé ! Il avait rencontré Eric ou Erika, selon que l’on était le jour ou la nuit. Ça avait très vite accroché entre eux deux, si bien que Nicolas avait décidé de demander sa mutation pour Lyon pour vivre avec son nouvel amour.
Léa était fidèle à elle-même. Instit le jour, salope la nuit. Elle fréquentait un forum où elle donnait rendez-vous à ses amants, parfois en solos, souvent en groupes. Une fois, elle fut invitée par un couple. Et l’homme vanta ses qualités de suceuse en disant à sa femme de prendre des leçons. Cela lui donna l’idée de donner des cours de fellation mais aussi de léchage de minou. Cours payants bien sûr. Et selon ses dires, cela arrondissait largement ses fins de mois.
On parla beaucoup de moi, de mes nouvelles fonctions, de mon avenir que je voyais toujours en tant qu’homme une fois mes fonctions de démonstratrice terminée. On déambula dans le quartier encore très animés malgré l’heure tardive. Ou plutôt à cause de l’heure tardive. — Tu veux venir chez moi ? Je n’habite pas loin, proposa Marion. Puis elle se pencha et chuchota à mon oreille : — J’ai envie de refaire ce qu’on faisait quand on était en coloc. — C’est vrai que je boirai bien un petit quelque chose, dis-je avec un grand sourire.
Nous entrâmes dans son immeuble, montâmes à pieds les deux étages. Marion me poussa dans son appartement sans allumer les lumières. J’allai devoir attendre pour me rafraîchir le gosier. Elle passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa, tout en marchant vers sa chambre. Elle me poussa sur le lit, remonta ma jupe et dégagea mon sexe qui se dressai déjà. Elle le suça longuement. Puis, comme elle le faisait lors de notre vie en communauté, elle m’enjamba et vint s’empaler sur ma queue. Elle retira son pull léger et me donna accès à ses seins toujours aussi doux et volumineux. Mais cette fois, du bout de mes doigts, je remarquai que ses tétons étaient ornés d’un bijou. Je ne dis rien, me contentant de jouer avec. On changea de position, puis une nouvelle fois. Nous jouîmes ensemble.
Je passai la nuit avec Marion. Au petit matin, je découvrais son appartement tandis qu’elle préparait le petit déjeuner. Un appartement tout féminin avec ses bibelots, ses photos, des revues qui traînent ou des verres sales reliquat d’une soirée entre copines ou copains. L’idée que Marion puisse voir un autre homme me noua l’estomac. Mais à quoi pouvais-je prétendre. Certes, elle m’appréciait et on avait couché ensemble. Mais cela ne suffisait pas pour faire de nous un couple officiel. Je m’attardai sur les photos. Quasiment toutes montraient Marion avec une autre femme, de son âge apparemment. Des photos de vacances pour certaines, ou de soirées pour d’autres. — C’est qui sur les photos avec toi. Marion se rembrunit légèrement.— Edith. Ma compagne, ajouta-t-elle après un court silence.

Je restai bouche bée. C’était bien là la dernière des révélations à laquelle je me serai attendue. — Jamais je n’aurai imaginée devenir lesbienne, continua Marion. Mais depuis que j’ai rencontré Edith, je crois que je l’ai toujours été. Faire l’amour avec les hommes, finalement, je m’aperçois que je n’aimais pas ça. Je le faisais parce que c’était normal qu’une femme fasse l’amour avec un homme. Je suis et j’ai toujours été homosexuelle mais je n’ai jamais voulu l’admettre. — Et moi alors ? Cette nuit ...— Toi ? Tu es l’exception qui confirme la règle. Même si tu as un corps de garçon, tu as l’esprit et les manières d’une femme. Ça l’était déjà lorsqu’on était en coloc, bien avant que tu te travestisses. Quand je fais l’amour avec toi, j’ai les mêmes sensations qu’avec Edith. — Pourquoi dans le noir alors ? C’est pour ne pas voir ma tête ? — Pas du tout ! C’est juste que dans le noir, les sensations sont multipliées. C’est pareil avec Edith. — Comment vous vous êtes rencontrées ?

On s’installa à table. — Au travail ! Edith recherchai une banque pour emprunter pour acheter un appart. C’est moi qui l’ai reçue. Mais dès le premier regard, j’ai senti une attirance pour cette femme. Elle avait quelque chose qui me troublait. Et c’est allé de mal en pis durant l’entretien. Ses sourires, ses yeux pétillants me mettaient mal à l’aise. Autant dire que j’ai eu du mal à tenir un discours cohérent. Malgré tout, j’ai quand même réussi à lui faire une proposition. De crédit. Au moment de partir, on s’est serré la main. Elle m’a dit « A bientôt » et moi, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, je lui ai dit « A ce soir ». Elle m’a répondu « D’accord ». Et elle est partie. Comme je lui avais donné ma carte, elle m’a rappelée. On ne s’est plus quittées. Et finalement, on a acheté cet appart ensemble. — C’est une jolie histoire. — Oui, je trouve aussi. Et toi ? — Moi ? Rien de spécial. J’ai quelques aventures ici et là ... — Avec des hommes aussi ? demanda-t-elle curieuse— Parfois. — Tu aimes ? — Ça ne me déplaît pas. — Heureusement que Nicolas ne te vois pas comment tu es maintenant. Il ne te lâcherait plus. — C’est sûr. Edith sait que tu as couché avec moi ? — Evidemment. Je te la présenterai. Là, elle est partie à Berlin pour son travail. — Ça sera avec plaisir, dis-je. Il était désormais clair que je n’avais plus aucune chance avec Marion. Elle se serait qu’une amie, une très bonne amie.
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