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Torrides souvenirs d’été

Chapitre 1

Orgie / Partouze
CHAPITRE UN : RETROUVAILLES ESTIVALES
Enfin les grandes vacances et le bac en poche. J’allais pouvoir décompresser un peu. Je décidai donc de me mettre un peu au vert et d’aller passer deux semaines chez ma grand-mère qui vivait dans une petite bourgade bretonne, loin du cadre parisien, étouffant en été.
Comme tous les ans à la même période, j’y retrouvais avec joie mes amis François, Yves, Patricia et Valérie. Ces dernières étaient de bonnes potes mais nous pouvions toujours compter sur elles pour nous soulager. L’après-midi, par cette forte canicule qui sévissait loin des côtes, on allait se prélasser et bronzer au bord d’une petite rivière pour se rafraîchir.
Un bonne vingtaine de personnes étaient là à faire comme nous. J’aimais y voir toutes ces femmes en maillots de bain et détailler avec avidité leur anatomie. Grandes, petites, maigres, rondes, obèses... de 25 à 70 ans. J’admirais secrètement les femmes rondes et les mamies bien grasses, débordant de chair, plus que les grandes blondes minces et élancées, quoique...
Je me souviens que dès mon adolescences, ces femmes provoquaient chez moi de furieuses érections. Il en était ainsi de la directrice de mon collège, grande femme obèse de près de 60 ans à laquelle je pensais souvent dans mon lit avant de m’endormir. Je l’imaginais souvent nue sous un collant chair, arborant son large fessier. Et aussi ma voisine portugaise que je matais discrètement derrière la fenêtre quand elle bêchait son jardin, admirant ses grosses cuisses et ses larges fesses lorsqu’elle se baissait.
J’avais un faible pour les énormes postérieurs, les gros ventres et les bonnes cuisses bien larges et potelées.

CHAPITRE DEUX : NOTRE BAR PREFERE
Le soir venu, nous avions l’habitude de nous retrouver dans un café qui nous plaisait bien pour l’ambiance qui y régnait. La musique était excellente, on y passait notre temps à faire des jeux vidéos et boire quelques bières. On adorait mater et draguer les femmes qui nous plaisaient. Mais surtout, on était tous subjugués par la patronne et ses serveuses très sexy et provocatrices.
La clientèle était hétérogène, des ados comme nous mais aussi des personnes plus âgées fréquentaient l’établissement. Il s’agissait surtout d’habitués.
Le service était assuré par les tenanciers eux-mêmes, Robert et Doris, un couple d’environ 55 ans.
Robert était un bonhomme d’allure hirsute, bourrue, fruste mais très dynamique. Il officiait de façon énergique derrière le bar et traitait les commandes tout en s’entretenant avec les clients assis au bar. Sa tenue de prédilection était une chemise noire largement ouverte, laissant apparaître fièrement les poils de son torse velu. Il aimait aussi porter des marcels très courts faisant déborder sans vergogne son imposante bedaine d’amoureux de bière. C’était un gros dragueur et avait de nombreuses conquêtes à son actif.
Doris, son épouse, était une petite femme dodue qui servait les clients. Elle était vêtue de façon classique, escarpins plats, chemisier serré, pantalon classique très moulant mettant bien en valeur son généreux postérieur. En périodes d’affluence, Rachel et Lulu, deux serveuses lui prêtaient main forte.
Dès le premier soir, je ne pouvais m’empêcher de mater le gros derrière de Doris. Mon regard était irrésistiblement attiré par ce gros popotin qu’elle agitait innocemment ou non, au gré de ses allées et venues en salle. Cette femme de plus de 30 ans mon ainée me procurait de vigoureuses érections.
La fois suivante, je fis la connaissance de Rachel et Lulu qui étaient venues à la rescousse le soir du 13 juillet. Elles étaient toutes les deux grandes et fortes. Rachel, 40 ans, en jean moulant et chemisier, arborait fièrement son gros cul. Lulu, la bonne cinquantaine, grande et forte, était toujours en tenue classique de serveuse, chaussures noires, jupe noire, chemisier blanc, tablier blanc en dentelle.
De belles clientes étaient aussi assises au bar et cédaient au bagout de Robert qui ne perdait pas une occasion de les faire succomber à son magnétisme a****l.
Je me sentais vraiment dans mon élément dans cette ambiance conviviale à admirer ces belles femmes aux magnifiques courbures qui m’excitaient de façon torride. Quand cela devenait insoutenable, j’allais me soulager dans les toilettes mais 10 minutes plus tard, j’avais de nouveau une grosse érection. J’observais leur incessant ballet d’allées et venues entre les tables et le bar à servir, débarrasser et accessoirement se faire draguer par les clients dont certains avaient même les mains baladeuses. Je ne ratais pas une occasion de les croiser, engager la conversation et essayer de les faire rire un peu, les encourageant lors de ces rush inhabituels. J’en profitais au passage pour pouvoir effleurer leurs seins et leurs derrières en prétextant toujours une excuse de pure forme qui ne devait pas être très convaincante.
On restait souvent jusqu’à la fermeture où l’on se sentait plus disponible pour bavarder un peu.
CHAPITRE TROIS : VERTIGES DANS LES TOILETTES
Le lendemain matin, vers 11 heures, je décidai de me rendre dans mon café préféré pour le voir sous un autre jour. Je revenais d’un jogging et portait un caleçon noir bien moulant ainsi qu’un tee shirt serré et court.
Dès mon arrivée, Robert me gratifia d’un salut tonitruant et amical. J’eus droit à un sourire de la patronne également. Le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la taulière ! Elle portait ce jour une mini-mettant bien en évidence son fessier rebondi et ses grosses cuisses. Elle était aussi revêtue d’un haut en résille qui laissait entrevoir son énorme soutien-gorge et sa belle peau blanche et grasse. Son haut très court s’arrêtait au-dessus de son nombril piercé, arborant fièrement ses nombreux bourrelets sexy.
Après avoir posé mes affaires et m’être installé à une table, je me rendis aux toilettes.
A peine devant l’urinoir, la porte s’ouvrit et Robert entra avec force fracas. Après une blague bien salace, il se plaça à côté de moi. Puis il me mis une tape sur les fesses en me disant que j’avais un joli petit cul. Pour appuyer ses dire il me présenta son immense sexe tout dur. Il me dit que mon cul l’excitait beaucoup et qu’il aimerait bien en profiter davantage. Il me dit que nous serions bien à l’étage dans une chambre de sa pension. J’étais gêné et déclinait poliment et timidement son offre mais en même temps cette perspective commençait à m’exciter beaucoup. Il a bien senti que mon refus n’était que de pure forme. Il en profita pour remettre sa grosse main velu sur mon cul en prenant le temps de bien me peloter sans que je n’oppose la moindre résistance.
Je sortis des toilettes comme sous hypnose, parcouru de vertiges, une méga érection se dessinant sous mon caleçon noir moulant. Je me rassis à ma table pour tenter de reprendre mes esprits. Peine perdue, une nouvelle cliente venait d’arriver et s’installa sur un tabouret au comptoir.
C’était une grosse dame que je voyais pour la première fois. Elle avait l’air d’une fermière et portait une robe à fleurs très légère, serrée et courte qui arrivait à mi cuisses, dévoilant bien son anatomie. Un derrière immense, des cuisses épaisses comme des pylones, un ventre charnu et bien débordant, déformant l’avant de la robe ainsi que des bras ronds, flasques mais puissants, comme j’aimais tant. Sous sa robe, on apercevait les contours de sa culotte, petit détail qui poussait mon excitation à son comble.
Je ne pus m’empêcher de la dévorer des yeux.
CHAPITRE QUATRE : L’IRRESISTIBLE DEAL DE ROBERT
Robert qui m’avait vu la mater avec insistance me fit un clin d’œil et vint à ma rencontre. « Elle t’excite, hein ? Ecoute, si tu acceptes ma proposition, elle est à toi, je t’arrange le coup, je la connais très bien, c’est Josiane qui a fini son marché, elle vient tous les vendredis à midi. Elle ne peut rien me refuser ».
J’en étais bouche bée, je ne savais que répondre et j’étais très gêné. J’étais devenu tout rouge comme une petite pucelle à qui on aurait fait des propositions indécentes. Pour gagner du temps, je lui dit que j’allais réfléchir. Pour mieux me manipuler et m’aider dans ma prise de décision, il m’apporta une grande bière.
Je me lançai donc. Rouge de honte mais en même temps très excité, je lui fis part de mon accord à condtion que je puisse jouer avec Josiane mais aussi sa femme Doris.
Il acquiessa sur la champ, le regard brillant et lubrique, me disant que ce n’était qu’une simple formalité. Il s’empressa de retourner au bar.
Complètement abasourdi, tous mes sens en émoi, je me rassis à la table pendant que Robert, derrière le comptoir, fait un bref et discret exposé aux deux dames. Honteux plus que jamais, je n’osais plus relever la tête, pensant faire l’objet de railleries ou au contraire de regards réprobateurs emprunts de morale. Lorsque j’eus le courage de les regarder, je vis au contraire, des regards amusés et bienveillants à mon égard. Doris vint m’apporter un autre bière avec un grand sourire et me dit que tout allait bien et que je devais être confiant.
— Détends toi et bois tranquillement ta bière.
Au bout de 10 minutes, Robert revint à moi et m’interrogea du regard. Les deux bières ayant fait leur effet dans mon sang, j’étais moins coincé. Je lui répondit que oui. Il profita de mon trouble pour insérer un avenant au contrat : il adorerait me voir vêtu en petite pute, sa femme avait le nécessaire dans sa garde robe très fournie où elle m’emmènerait pour me préparer. Pour me rassurer, il me proposa que mes deux dulcinées assistent aux ébats, pour m’encourager dans cette première experience. Cela me rassura mais me procura aussi sentiment de honte jouissive à l’idée que ces deux femmes me voient dans cette situation particulièrement humiliante. Lulu assurera le service à cette heure où les clients étaient devenus plus rares. Nous montâmes tous les quatre au premier étage.
Dans l’escalier, mon regard était rivé sur les magnifiques postérieurs des deux dames qui m’avaient précédé. Leur démarche chaloupée me faisait le meilleur effet et je contemplais encore avec bonheur L’’énorme fessier en muvement de Josiane, sous sa fine robe à fleurs qui laissait bien transparaître les contour de sa culotte, mon péché mignon ! Doris n’était pas en reste et sa mini-bien serrée sur gros popotin mettait aussi en valeur ses grosses cuisses gainées de nylon noir.
En même temps, je sentais le regard de Robert s’appesantir sur le mouvement de mes fesses dans leur caleçon noir moulant que j’avais bien tiré vers le haut afin qu’il épouse parfaitement les contours de ma raie. Tout à coup, je sentis sa main sur mon épaule pour me stopper. Il se mit a peloter mon cul de manière obscène et me baissa le caleçon jusqu’au dessous des fesses tout en continuant de me tripoter de manière salace. Il me demanda de continuer de marcher lentement, le caleçon baissé en roulant bien du cul pendant qu’il marcherait derriere moi jusqu’en haut. Avant d’arriver, il me stoppa à nouveau pour bien se coller tout contre moi, me faisant sentir sa grosse bosse contre mon petit cul de salope. Puis il écarta ma raie pour y fourrer sa grosse main velue avant d’enfoncer son index dans mon anus.Il me tapota encore les fesses avant de me confier aux deux dames. Puis il partit m’attendre dans sa chambre où il allait me dépuceler dès que je serai prêt.
CHAPITRE CINQ : PREPARATION D’UNE PETITE PUTE
Arrivés dans la chambre de Doris, cette dernière me fit signe de m’assoir sur le lit et ouvrit une grande armoire remplie de vêtements et sous vêtements féminins. Elle les montra fièrement à Josiane, éblouie. Elle me dit de me déshabiller, ce que je fis lentement en essayant de maîtriser mon excitation jusqu’à ce que j’enlève honteusement mon caleçon de jogging sous lequel j’étais nu avec une méga érection que j’essayais maladroitement de dissimuler. Doris me demanda de me lever et la vue de mon sexe érigé les amusa toutes les deux.
J’avançais vers elles, le sexe bien tendu sous leur regard insistant et taquin. Doris examina rapidement mes mensurations puis fouilla dans sa garde robe. Quelques instants plus tard elle me tendit minijupe, culotte rose, bas noirs, jarretelles et porte-jarretelles assortis, chaussures à talon de dix centimètres, à ma taille, soutien-gorge rose, bustier translucide et perruque rose.
Elles décidèrent finalement de ne pas me donner de culotte pour mieux exposer mon cul. Elles m’aidèrent à me vêtir ce qui déclencha à nouveau une furieuse erection qui s’ajoutait encore à l’excitation que je ressentais de porter ces vêtements féminins. J’enfilais les chaussures à talons en dernier puis me levai pour les essayer, marcher et me regarder dans la glace. J’avais l’air d’une magnifique petite salope perchée sur mes haut talons qui me donnaient une belle démarche féminine. La mini-bien serrée arrivait à la base de mes fesses et laissait entrevoir leur naissance au pli des cuisses.
Quand je me baissais, mon cul était à moitié découvert. La jupe était aussi trop courte pour cacher ma bite et mes boules. Mon zob qui ne débandait plus formait une belle bosse sous le cuir noir de la jupe et mes boules bien pleines, pendaient de manière obscène. La perruque rose me donnait un air de petite pute et mes traits masculins étaient très atténués. Doris et Josiane m’admiraient en y allant de leurs commentaires salaces, se sentant fortes à deux contre un. Elles avait oublié un détail majeur : le maquillage. Fond de teint, rouge à lèvres pétant, rissil, far à paupière, j’eus droit à la totale et mon visage était transformé.
J’étais devenue une bonne petite cochonne prête à l’emploi, un garage à bites pour vide couilles. Elles m’aspergèrent encore abondamment d’un parfum bon marché qu’affectionnait particulièrement Robert lorsque ses conquêtes le portaient et qui avait le pouvoir de l’exciter tel un taureau face à la « muleta » rouge. Elles me baptisèrent « Fabienne, la chienne » et me prirent par la main chacune d’un côté pour m’accompagner dans la chambre où se trouvait Robert. Arrivés devant la porte chacune m’embrassa sur la bouche pour me donner du courage. A peine entrée dans la pièce elle me présentèrent.
CHAPITRE SIX : GRANDS FRISSONS D’UN GENRE NOUVEAU
Robert était la debout contre le mur la bite bien raide à la main en train de se branler.Quand il me vit, une vive lueur lubrique anima ses yeux et il banda encore plus fort.Il s’avança vers moi et me lança « met toi à genoux et suce moi, petite salope ».Je m’executai. Je m’agenouillai devant lui et approchait mon visage de sa grosse pine gonflée de sang. Je pris son gland entre mes lèvres puis avalai complètement son gros chibre.Ce gros porc ne sentais pas bon. Il puait la transpiration et sa bite avait un goût rance d’urine séchée.
Peu importe j’étais tellement excité que j’engloutis avec avidité sa grosse pine et le suçais de plus belle, accélérant la cadence, laissant son gros ventre poilu ballotter contre mon visage. Cela faisait presque une minute que je pompais sa queue alors qu’il râlait de plaisir, laissant échapper toutes sotes d’onomatopées, lorsqu’il explosa dans ma bouche et sur mon visage en éructant des insanités J’avais la bouche et le visage plein de foutre bien chaud que je dégustais et avalais goulûment quand tout à coup Robert de mit à hurler. Il venait d’apercevoir que sa bite était pleine de taches de rouge à lèvres ce qui déclencha son ire. Le voir comme ça me fit encore bander davantage.
— Sale petite pute, ça t’excite de me voir en pétard, tu vas voir ! ».
Alliant gestes et paroles, il m’empoigna et me couchât en travers de ses genoux.
— Tu vas me donner des nouvelles de cette bonne déculottée que je vais te flanquer ! ».
Il m’immobilisa bien sur ses genoux et releva ma jupe pour bien dénuder mon cul et l’offrir à la vue de tous. Un long silence, interminable, puis presque comme un soulagement, la première claque s’abattit sur mes fesses et je ne pus m’empêcher de hurler.Puis vint la deuxième, la troisième qui étaient réellement douloureuses ainsi que les suivantes qui m’arrachèrent à chaque fois un cri, cri de souffrance et/ou de plaisir, la frontière était ténue.
Les deux dames assises tout près me plaignaient à voix haute demandant a Robert de réfréner ses ardeurs, se demandant comment je pouvais supporter ce traitement de choc. Les coups continuaient de pleuvoir mais je ne sentait plus rien, la fessée était devenue routinière et mon cul était comme anésthésié. Je me sentais m’enfoncer dans une douce léthargie. En revanche, j’éprouvais d’intenses sensations dans mon ventre et mon sexe était bandé à fond. Après une cinquantaine de coups il s’arrêta net et je sentis sa bite toute dure contre mon ventreIl me lâcha, je me remis debout, titubant et vis les deux dames qui s’inquiétaient en apercevant mon derriere tout rouge que je ne sentais plus. Mais Robert me laissa peu de répit.Il se déshabilla complètement exhibant fièrement son énorme corps velu et sa grosse panse.
Il m’obligea à me placer à quatre pattes sur le lit, les fesses bien en l’air. Josiane eu le réflexe de m’enfiler un préservatif pour que je n’éclabousse pas toute la pièce car elle savait qu’en me faisant enculer j’aurai une violente jouissance. Robert s’empara d’un pot de saidou, comme à l’ancienne et m’en enduisit l’anus après m’avoir bien doigté. Puis il se plaça derriere moi et très rapidement je sentis son gland bien chaud aux portes de mon fondement.Il poussa et entra une partie de son sexe dans mon anus, m’arrachant à nouveau des cris au fur et à mesure qu’il me pénétrait et élargissait mon trou avec sa bite toute dure.Il allait et venait dans mon cul et je fus surpris de voir qu’il avait entièrement entré sa grosse pine en moi.
J’éprouvais une sensation délicieuse de me faire enculer comme une petite pute, sa grosse queue entièrement en moi. Il redoublait de fougue et bandait très fort. Il me labourait véritablement le cul depuis un moment. J’étais dans un état second, j’avais des sensations brûlantes dans le ventre Il accéléra encore la cadence puis se crispa ; je savais que la jouissance était proche. Subitement l’orage éclata, il lâcha toute sa semence et j’explosai en même temps que lui, sur un nuage de bonheur. J’étais transporté de plaisir, je n’avais jamais connu une telle jouissance, d’une telle force, d’une telle intensité.
Robert retira sa queue en grommela. J’aurais tant aimé qu’il me prenne encore par-devant, pour qu’il puisse aussi me rouler de bonnes grosses pelles bien crades. Mais il devait redescendre s’occuper du bar, peut être aussi de Lulu. Il m’invita à revenir la semaine suivante quand il aurait la visite de ses vieux potes Serge, Marcel, Raymond et quelques autres qui me dit il, adoreraient prendre une petite pute comme moi.
Il ajouta que son ami Gérard, menuisier de son état, était en train de construire un magnifique carcan de bois dans lequel je pourrai être immobilisé dans une posture bien humilante et subir de délicieux outrages. Me faire défoncer le cul à la chaîne, être rempli de foutre bien chaud, me faire enculer par plusieurs males placés derrière moi avant de les retouver de l’autre côté du carcan, devant mon visage immobilisé dans la lunette du carcan, pour les sucer copieusement et leur nettoyer la queue. J’allais pouvoir rencontrer tous ces cochons, me promener cul nul devant eux pour bien les allumer avant d’être fessé et exposé dans ce carcan.Hmm toutes ces bites dans mon petit trou serré, dans ma petite chatte de fiotte... j’en bavais de plaisir... mon clito se dressa à nouveau.
Mon visage rayonnant fit office de réponse.

CHAPITRE SEPT : CHOSES PROMISE, CHOSE DUE
Robert sortit en claquant la porte, me laissant comme promis, seul avec Doris et Josiane qui vinrent à moi et commencèrent à me rouler de grosses pelles tout en tripatouillant ma bite à nouveau bien dure. Josiane portait sa belle robe d’été à fleurs dans laquelle elle était à l’aise pour faire le marché. Elle soulignait magnifiquement ses gros bras flasques et blancs ainsi que son ventre imposant aux mille bourrelets appétissants. Son énorme postérieur était aussi large qu’un fauteuil de voiture. Josiane était tout de noir vêtue, minijupe en cuir, bas nylon et porte-jarretelles, culotte transparente, hauts talons...
Quand elle se baissait, on apercevait la naissance de son gros cul bien blanc. Elle me prit par la queue pour m’emmener sur le lit. Puis ensemble, elles se déshabillèrent en prenant tout leur temps de manière à ce que je ne rate rien du spectacle. Je savourais l’odeur de leur peau, ce savoureux mélange d’aisselles, de bourrelets suintant, de chattes et de culs humides. Ce parfum était divinement aphrodisiaque ajouté à la vue de leurs gros ventres et culs nus. De plus, leurs chattes étaient poilues et broussailleuses à souhait, comme j’aime tant !
Le spectacle était véritablement étourdissant et je dus faire beaucoup d’efforts pour ne pas ejaculer sur place.
A la vue de leurs grosses poitrines, je ne pus résister d’embrasser leurs énormes mamelles et de mettre ma tête bien au milieu. Doris me lança :
— Alors ma petite cochonne, tu t’es bien régalé le cul avec Robert ? Nous aussi, on aurait tellement aimé se prendre sa grosse bite dans le cul ! On était un peu jalouses de toi ! Alors je crois qu’on va aussi devoir te donner une fesser et te punir.
Et elles s’assirent l’une à côté de l’autre, me prirent sur leurs genoux et commencèrent à me fesser ensemble. Après la déculottée de Robert, voilà qu’elles s’y mettaient aussi ! Mon cul était tout rouge et commençait vraiment à me faire mal et brûler mais elles avaient l’air de bien s’amuser. Au bout de quelques minutes, elles arrêtèrent et j’eus du mal à me relever. Mais Doris me regardait en riant et me dit :
— J’ai envie de faire caca.
Josiane renchérit :
— Moi aussi !
Elles m’obligèrent à les suivre aux toilettes de la chambre à quatre pattes et les regarder faire caca. J’entendais des plouf entrecoupés de gros pets odorants et tonitruants jusqu’à ce qu’elles aient terminé. Je dus regarder et sentir leurs crottes, tirer la chasse et nettoyer les wc avec la brosse.
— Comme tu peux le voir, on n’a pas utilisé le papier toilette, c’est ta langue qui va nous laver le cul.
Alors, elles m’emmenèrent à nouveau vers le lit et se mirent à quatre pattes devant moi, le cul bien dressé vers l’arrière et me donnèrent l’ordre de leur lécher l’anus pour bien les nettoyer avec ma langue. Je devais les rendre bien propres et même dans leurs poils, il ne devait plus subsister la moindre trace de caca. Je pris mon affaire au sérieux et mis tout mon cœur à l’ouvrage. Pendant que je les léchais, elles lâchaient régulièrement de gros pets car elles savaient que j’adorais les sentir au plus profond d’elles mêmes. Snifer leurs pets était délicieusement aphrodisiaque !
Puis quand ce fut terminé, elles s’assirent à tour de rôle sur mon visage, l’écrasant avec leurs gros culs, frottant bien leurs chattes et leur anus contre mon nez et ma bouche, pétant encore pour que je les sente bien. J’avais perdu la notion du temps tellement j’étais bien, sur un nuage. Puis enfin, elles me demandèrent de les enculer tout en leur caressant la chatte. Ma bite sur le point d’exploser, rentrait dans leurs culs comme dans du beurre et quand je lâchai la sauce, on poussa des cris d’animaux avant de nous écrouler sur le lit, enlacés, pour s’endormir, épuisés mais heureux. Avant de tomber dans les bras de Morphée, je savais que ce n’était que le début de nos folles aventures et que jusqu’à la fin des grandes vacances, je passerai tout mon temps dans ce café, à rencontrer d’autres femmes et hommes et jouer à de nouveaux jeux en poussant toujours plus loin les limites du possible.
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